The House of the Rising sun
Trame sonore de la scène:
Nichée dans les rues étroites des vieux quartiers non loin du port, un cloaque puant affichait une enseigne reconnue pour ses soirées de jeux bien arrosés d'alcool bon marché, de sueurs, d'urine et du sang des bagarres qui éclataient. À l'une des tables ce soir-là était assis un groupe de la ''White League'', une milice de vétérans de la guerre civile payée par les hommes en tunique blanche pour mater une révolte de métayer qui demandaient... une paie, quelle farce, le nord leur avait donné la liberté et maintenant ces fils de putes voulaient être payé. Ils avaient reçu une rondelette somme pour tirer dans le tas, ils payaient tournée après tournée. Puis un homme s'écrit en pointant vers l'extérieur: 'UN NÈGRE!'' Dans la cité aux cicatrices encore béante laissée par la guerre civile, les blancs humiliés du sud jetaient tous les malheurs qui les accablaient sur ceux qui étaient encore hier leurs esclaves. Hâtif de montrer qui étaient les meilleurs exterminateurs de racailles, les miliciens de la White League sortirent en courant, entourèrent le pauvre bougre et se mirent à le ruer de coups. Un homme se joint aux cercles et pris sans ménagement le corps de la victime et un des miliciens lui cria: '' HEY! où tu vas comme sa?! '' et l'homme répondit: '' On va l'achever dans la ruelle les gars, vous avez oublié, vous avez pas vos cagoules sur votre tête, on pourrait vous reconnaître. ''
'' Oh ouais '' dit un des miliciens aux dents pourris, au visage sale après avoir craché sur l'homme de couleur.
Arrivé dans la ruelle, le mystérieux personnage posa l'homme blessé au fond et se mis entre ce dernier et les miliciens et l'un d'eux dit: '' Euh? c'est quoi l'problème mon vieux? ''
'' Vous autres les gars. '' Et il envoya un puissant uppercut au milicien le plus proche dont la mâchoire éclata sous l'impacte et alla broyer le nez quelques pouces plus haut, défiguré, l'homme tomba raide mort. Avant qu'il ne tombe, il propulsa le cadavre sur un de ses camarades qui alla s'écraser contre le mur de brique de la ruelle puis, alors qu'un troisième lui planta un tesson de bouteille dans le torse, il sourit dévoilant de longs crocs puis il attrapa le bras du bougre, lui brisa le poignet comme s'il avait s'agit d'un cure-dent puis serra son autre main sous l'aisselle de l'homme et tira, arrachant le bras et alors que du sang lui giclait au visage, un sang âpre qui goûtait le mépris et la colère, il il envoya un puissant coup de paume au menton de l'homme lui broyant la mâchoire avant qu'il ne cri. Il se dirigea alors vers l'homme partiellement assommé par le cadavre de son camarade, il poussa le corps nonchalamment du pied, saisi l'homme par le collet et le souleva, avec son autre main il bloqua la bouche de l'homme et alla enfoncer un pouce dans l'un de ses yeux doucement jusqu'à la cervelle pour que le sang coule et il but de ce sang qui, comme celui de ses camarades, gouttait le colère, la haine et le mépris, mais quelque chose de plus: la peur viscérale de La Mort qu'il avait vu venir. Une fois repus, il laissa tomber le corps pardessus l'autre et il s'aperçu que la victime des trois hommes avait repris conscience et observait le spectacle, bouche bée. L'homme soupira, s'accroupi à côté de l'homme blessé, pris sa main et lui souffla: '' Je suis désolé. '' Il lui brisa la nuque d'un coup sec. Il parti en laissant tomber à l'entrée de la ruelle une note écrite sur un papier épais qui avait bu et bruni le sang qui avait été utilisé pour y inscrire un seul mots: '' Wrath ''
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