Espripteur (french)
L'espripteur a été inventer par Jean Droches quelques décennies plus tôt. Voyageur, écrivain et grand penseur de son temps, Jean a de nombreuses passions et la création de cet objet fabuleux était autant un besoin pour lui qu'un moyen de continuer à voyager au frais des acheteurs qui étaient souvent prêt à payer cher pour une telle merveille : dicter par la pensée à une plume autonome.
A première vue, l'original ne paye pas de mine et ne semble guère plus qu'une vulgaire plume d'oie ; souvent choisie pour l'écriture. Les espripteurs de Droches qui ont suivi ont tous été plus somptueux les uns que les autres. Tantôt orné d'or et de diamant, tantôt d'argent, ou encore, et c'est là le plus cher espripteur jamais vendu : en plume de phœnix. L'histoire raconte que cet escripteur ne saurait être détruit de main d'humain. Mais ceci est une autre histoire. Le fonctionnement de l'objet n'a pas connu d'évolution depuis son invention et son utilisation est des plus simple. Tout d'abord, l'acheteur doit procéder à un rituel qui le lie à l'escripteur. Le rituel est des plus rapide à réaliser et c'est généralement le vendeur qui l'exécute. Pour ce faire, il faut un brin de cheveux assez long pour faire un nœud autour d'une petite section détachable de l'objet ou simplement autour de l'espripteur en fonction du modèle choisi. Le brin doit être trempé dans une goutte de sang mêlée à 25mL d'eau consacrée scrupuleusement. Le cheveu et le sang doivent bien sûr appartenir au futur utilisateur. Une fois le brin attaché à l'emplacement désiré de l'espripteur, on dessine un cercle magique. C'est la partie la plus complexe et elle pourrait être longue mais une bonne partie des vendeurs possèdent aujourd'hui une natte flanquée de toutes les inscriptions et cercles nécessaire au rituel de connexion. Le mélange sert aussi d'encre pour inscrire trois symboles directement sur le visage de l'intéressé ; un sur chaque tempe et le dernier sur le milieu du front. L'utilisateur peut se déconnecter de l'objet par le rituel de déconnexion quand il veut céder son bien à quelqu'un d'autre. Une plume ne peut être connectée à plus d'une personne. Pour l'utilisation concrète, il suffit d'employer le mot de commande communiqué par le vendeur et de dicter mentalement ce que l'on souhaite écrire. Si l'objet semblait au départ une babiole de riche aussi peu efficace qu'utile, les expériences ont montré que l'espripteur était tout sauf inefficace. Rapide et précis, il ne fait pas de faute d'orthographe et sa graphie reflète généralement son utilisateur. Bien que cher, on commence à trouver de plus en plus souvent et les prix deviennent peu à peu abordable aux classe moyenne.
A première vue, l'original ne paye pas de mine et ne semble guère plus qu'une vulgaire plume d'oie ; souvent choisie pour l'écriture. Les espripteurs de Droches qui ont suivi ont tous été plus somptueux les uns que les autres. Tantôt orné d'or et de diamant, tantôt d'argent, ou encore, et c'est là le plus cher espripteur jamais vendu : en plume de phœnix. L'histoire raconte que cet escripteur ne saurait être détruit de main d'humain. Mais ceci est une autre histoire. Le fonctionnement de l'objet n'a pas connu d'évolution depuis son invention et son utilisation est des plus simple. Tout d'abord, l'acheteur doit procéder à un rituel qui le lie à l'escripteur. Le rituel est des plus rapide à réaliser et c'est généralement le vendeur qui l'exécute. Pour ce faire, il faut un brin de cheveux assez long pour faire un nœud autour d'une petite section détachable de l'objet ou simplement autour de l'espripteur en fonction du modèle choisi. Le brin doit être trempé dans une goutte de sang mêlée à 25mL d'eau consacrée scrupuleusement. Le cheveu et le sang doivent bien sûr appartenir au futur utilisateur. Une fois le brin attaché à l'emplacement désiré de l'espripteur, on dessine un cercle magique. C'est la partie la plus complexe et elle pourrait être longue mais une bonne partie des vendeurs possèdent aujourd'hui une natte flanquée de toutes les inscriptions et cercles nécessaire au rituel de connexion. Le mélange sert aussi d'encre pour inscrire trois symboles directement sur le visage de l'intéressé ; un sur chaque tempe et le dernier sur le milieu du front. L'utilisateur peut se déconnecter de l'objet par le rituel de déconnexion quand il veut céder son bien à quelqu'un d'autre. Une plume ne peut être connectée à plus d'une personne. Pour l'utilisation concrète, il suffit d'employer le mot de commande communiqué par le vendeur et de dicter mentalement ce que l'on souhaite écrire. Si l'objet semblait au départ une babiole de riche aussi peu efficace qu'utile, les expériences ont montré que l'espripteur était tout sauf inefficace. Rapide et précis, il ne fait pas de faute d'orthographe et sa graphie reflète généralement son utilisateur. Bien que cher, on commence à trouver de plus en plus souvent et les prix deviennent peu à peu abordable aux classe moyenne.
Type d'objet
Tool
Rareté
peu commun
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Super intéressant! J'imagine qu'il vaut mieux être concentrer sur ce qu'on veut dicter et ne pas être sujet à laisser ses pensées vagabonder XD C'est intéressant qu'une plume peut être liée à plusieurs personne à la fois, mais de fois ça doit bien être le bazar aussi si il essaye de dicter en même temps et qu'ils font pas gaffe XD
"Une plume ne peut être connectée à plus d'une personne." ;) Merci pour le com :)