Gnome

L'ethnie Gnome est difficilement détachable de leur race et de la nation du Kintal. D'abord, parce qu'en dehors des quelques rare Gnomes encore en esclavage sur le continent de Telzac, tous les gnomes viennent d'une même contrée et qu'aujourd'hui, une seule nation gnome existe au coeur du continent et que dès qu'ils ont l'occasion de se libérer, parfois avec l'aide de congénères, les esclaves gnomes rentre au pays comme ils disent.


Ce groupe d'individus a été massivement victime d'escalvage après avoir déporté de nombreuses fois de leur contrée d'origine : le kintal. Une vallée encaissée au millieu de massif montagneux imposant dont les mines Nirio Morio où vivent une des plus grandes communauté naines de Telzac.
On a jamais vu de gnomes se reposer sur un dieu par des prières d'aucunes sortes malgré une mythologie bien existante et une croyance plus ou moins défendue d'avoir été créer par l'un des dieux les plus important de la création. Les Gnomes sont connus pour être râleurs, peu engageant et ne sont guère tourné vers la conversation. Leur manque de foi et leur faiblesses physiques ont amenés nombres d'autres peuples à s'en servir comme mains d'œuvres pas chère; l'esclavage étant monnaie courante par les temps qui courent.
Conformément aux attribut de leur race, les Gnomes sont des êtres particulièrement ingénieux, surtout quand il s'agit de créer des objets. Ainsi, si leur statut d'esclave n'a guère évoluer au départ, leur fonction ont souvent évolué, on leur ordonnait de créer des outils toujours plus efficaces et quand on pensait que ça ne pouvait plus être améliorer, on les renvoyait au travail avec les autres esclaves. Quand il étaient trop vieux ou malade, on les faisait exécuter sur place. Bien que la première cause d'exécution était rare du fait de leur longévité; un gnome restait vraisemblablement au service d'un même humain pendant toute sa vie et s'il ne parvenait pas à s'échapper à ce moment et devenait le larbin des héritiers de son défunt propriétaire.

Aujourd'hui, les gnomes en esclavages sont rares et leur avancées technologiques sont aussi rare que prisée. Avare et rancunier même après les nombreux siècles passées, le Kintal garde ses portes closes et seuls quelques jeunes exportent à l'étranger quelques unes de leurs technologies les pllus grégaires qui suffisent à faire le bonheur de la plupart qui n'avait rien vu de tels.