Dans le monde de Cyberpunk 2077, la majorité de la population se tourne vers le matériel cybernétique électronique et les gros flingues pour régler ses différends. Dans la partie ouest de Pacifica, les Animals, un gang de marginaux féroces, rejettent ces deux solutions. Ils préfèrent utiliser des implants artisanaux sans électronique, et la nanochirurgie pour alimenter leur organisme en stéroïdes et en nutriments ultra avancés. Ils ont également mis au point une méthode de combat de rue pour tirer le meilleur parti de ces corps contre des rivaux équipés d’armes à feu. Ils passent la majeure partie de leur temps dans les zones de loisirs abandonnées de Pacifica, mais peuvent être rencontrés en ville lorsque quelqu’un recherche un videur ou un garde du corps à ne pas emmerder.
Des muscles qui semblent prêts à exploser, des veines de la taille d’un tube, des crânes rasés au-dessus de larges épaules, les corps des Animals sont leurs uniformes et leurs traits les plus distinctifs. Leur peau subit les séquelles de ces produits dopants : elles sont recouvertes d’immondes cicatrices et de rougeurs. En raison de la force ridicule de ces muscles, ils ont besoin d’implants endosquelettiques et de renforts articulaires pour empêcher leurs os de s’écraser et leurs tendons de se déchirer. On peut donc apercevoir des morceaux de métal parmi ces monticules de chair, mais pour la plupart, les Animals sont d’impressionnants exemples de l’aspect contre nature que peuvent prendre des êtres « organiques ».
Les tenues des Animals sont frappées de l’emblème et des couleurs de leur meute. À l’instar des hooligans, ils sont particulièrement fiers de leur identité de groupe, et prêts à combattre quiconque oserait la dénigrer
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