Fahad Di'Liel
Fahad Di'Liel
Un pied léger, une démarche de danseur, les yeux de couleurs jaunes en amande et les oreilles légèrement pointues trahisse sont héritage elfique. Un homme qui semble sérieux et avoir une certaine rigueur dans sa vie, mais est-ce vraiment le cas?
Physical Description
Aspect Physique Général
Un physique qui tend plus vers la souplesse et l'agilité que la force physique brut.
Caractéristiques Faciales
Porte des points, légèrement rougeâtre, sous les yeux et les pommettes de chaques côté ainsi qu'aux dessus de chaques sourcils.
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Des souvenirs flous, Écho du temps à venir, Rêves en sommeil.
Masque tombe enfin, L'ombre révèle son vrai nom, L'ennemi sourit.
Deux âmes séparé, Échange sous ciel glacial Mère et fils réunis.
Dernier coup porté, Le colosse tombe enfin, Fardeau léger.
Pendant sa méditation et son entrainement matinale, Fahad repensa aux derniers jours passé. À son éveil brutal et son bras en feu. La "tourtequiche" de madame Quignon. L'arrêt des voleurs de chevaux par un groupe mené par un noble "perdu". En repensant au combat contre Jax, les mouvements de Fahad prirent plus de force et de rapidité. Ils avaient été si proche de le vaincre, mais il avait réussi à prendre la fuite.
Puis buvant un peu d'eau, il repensa à ce que Ludivine leur avaient appris. "ManfredCharles" qui était dans le proche cercle de Justinien, n'avait rien de bon. Puis le demi-elfe eu une petite pensée pour Emerion. Il avait pu faire ses adieux à son ami Jerfo et était maintenant le gardien de l'arbre.
Fahad se mis à faire une suite d'étirement sous l'oeil attentif de Solathil. Il ne devait pas baisser sa garde pour éviter de recevoir un coup de tête ou qu'elle ne mange ses vêtements. Ses pensée allait vers Givregarde. Une cité que tous disaient mère de tout les vices et des démons. Pourtant elle ressemblait à n'importe quelle grande ville. Même que leur groupe un peu disparate ne se faisait pas juger du regard par les gens. Puis il repensa au beau visage de Fareena... et à se qu'il a dû faire pour qu'Aroxyan es une chance de pouvoir revoir sa mère. Échanger son corps pour une entré au palais de givre... Fahad serra la machoire. Il n'était pas une vulgaire catin. Il aimait la bonne compagnie et souvent la chaleur d'une femme la nuit, mais se faire imposer divers femmes et même hommes. Un frisson parcourue Fahad. Était-ce le vent? la pensée des choses qu'il à fait ou subit ou bien qu'il comprenait ce qu'Aroxyan vivait et si il y avait une chance qu'il puisse revoir sa mère cela en valait le prix?
Après plusieurs longues minutes d'étirements et de coup d'oeil rapide à la chèvre, Fahad se leva puis alla vers le mannequin improvisé pour l'assainé de coup avec différente partie de son corps. Poings, pieds, genoux, coudes tout y passait. Il pensa à Hugues et au combat que leur groupe a sorti victorieux de justesse. Puis les coups était de plus en plus fort. Laissant les jointures et autres points d'impacts des coups des blessures, mineurs, mais de plus en plus apparante. Qu'est-ce qui c'était passé? Habituellement Regimbald et lui combattaient presque comme un seul mais là, rien n'avait fonctionné. Comme si depuis leur éveil, quelque chose n'était plus. Qu'est-ce qui ne fonctionne plus?
Puis Fahad s'arrêta. La couleur rouge sur la corde qui recouvrait le mannequin l'avait sortie de sa "transe". Il regarda ses mains, les jointures en sang. Puis ses coudes, ses genoux et ses jambes. On aurait dit qu'il s'était fait trainer derrière un cheval sur une bonne distance. Il alla à la cuve d'eau pour nettoyer ses blessures et enlever un peu de sueur.
Une fois changer et presque propre, Fahad monta dans son chariot et pris la direction de la ville.
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Avant de tomber de fatigue, Fahad eu le temps de faire son rapport au quartier général.
Ce qui suit a été écrit/dit comme rapport au général. Aucune information trouvée sur le rituel. La rivière au sud de l’ile mène à un embranchement qui se dirige vers Cendrebois et vers Bastican. Vers Batiscan un petit quai qui mène vers un campement qui semble servir de cache pour des ressources a été vu et légèrement inspecté. Arrivé à Batiscan, sabotage de 4 bateaux mais alerte donné. Au retour, réussi à capturer et rapporter un bateau avec quelques ressources à l’intérieur.
Ce qui suit a été écrit/dit comme rapport au général. Aucune information trouvée sur le rituel. La rivière au sud de l’ile mène à un embranchement qui se dirige vers Cendrebois et vers Bastican. Vers Batiscan un petit quai qui mène vers un campement qui semble servir de cache pour des ressources a été vu et légèrement inspecté. Arrivé à Batiscan, sabotage de 4 bateaux mais alerte donné. Au retour, réussi à capturer et rapporter un bateau avec quelques ressources à l’intérieur.
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Début de Sombrempt, mission de reconnaissance et marché pris sur le fait.
Regimbald, Emerion, Candide, Willybald et moi-même avons eu une petite rencontre usuel avec le général Auralé sur l’avancement des conflits et des occassions à saisir. Nous avons décider d’aller jeter un coup d’œil sur une troupe de fantassin lourd qui a été apperçu au nord-est de nos positions. Aussitôt la rencontre terminé et après avoir passé voir Justin de joyeux quartier-maitre, nous avons pris la direction du fortin-est pour demander des indications sur la route. Après quelques minutes à parler avec une personne sur place, nous avons pus avoir l’information et avons suivi Emerion qui suivait la piste. Le gnome à plus d’un tour dans son sac, il nous a fait passé presque au pied et à la barde de patrouille sans que ceux-ci ne sache que nous étions là. Après un moment de marche discrète, un membre du groupe nous fit signe qu’il entendait quelque chose, des personnes qui parlaient d’un ton de mécontentement. En nous approchant pour mieux voir ce qu’il se passait, la surprise ainsi qu’un peu d’effroit nous prit. Douze armure « tueur de Rhinn » se tenait en rang devant un bateau avec des Loraciens comme équipage. Un échange eu lieu, les Loraciens débarquèrent quelques caisses et fît monter les armures dans la cale du bateau. Un mage a échanger quelques mots avec ce qui semble le capitaine du bateau. Nous avons envoyé un message au Puit consernant le bateau. Il faut l’intercepter! Une fois le message envoyé et que nous ébauchions un plan, le bateau hissa une voile au couleur des Auralé et pris l’eau.
Nous devions détruire ce que les morts on reçu en échange des armures. Dolo, la chèvre de Candide fît une persé spectaculaire avec son déguisement de buissont pour aller donner un coup de tête et porter une flasque d’huile sur les caisses. Le restant se passa très vite. Willybald lançant du feu dans toutes les directions, Emerion en araigné qui s’attaqua au armure vivante, Candide avec ses traits qui faisait mouche à tout coup et Regimbald et moi-même qui frappaient et encaissait les coups de tout les cotés. Nous avons vaincûe une fois de plus la menace et avons réussi à rapporter une grande partis des mousquets qui était destiné aux morts. Ce que nous avons pus rapporter, nous l’avons laisser bruler.
Ce qui suit a été écrit/dit comme rapport au général. Un bateau au couleur des Auralé avec des Lorciens comme équipage quitte une crique avec à son bord 12 armures « tueur de Rhinn » donner par les morts en échange de mousquets et de poudres. La plus grande partie des mousquets ont été rapporter et le reste ainsi que la poudre a été brûler. Un magicien, son apprentis, 2 « tueurs de Rhinn », un nécrophage et des zélotes humains ont été tué. Un message a été envoyé au Puit de l’Our (au Juge Conrad ou au Seigneur Justinien) consernant le bateau avec les armures. Un nécrophage a été amener au sol par arme et magie de feu. Il continuait de bouger encore même lorsqu’il rampait dans le feu. Les tests mené jusqu’à maintenant semble bien confirmé que les sorts radiant et l’eau bénite sont les seules choses pour venir à bout définitivement de ses choses.
Piste facile, Marché entre mort et vivant, Feu destructeur.Reconnaissance, Armure vivante, marché, surprise.
Regimbald, Emerion, Candide, Willybald et moi-même avons eu une petite rencontre usuel avec le général Auralé sur l’avancement des conflits et des occassions à saisir. Nous avons décider d’aller jeter un coup d’œil sur une troupe de fantassin lourd qui a été apperçu au nord-est de nos positions. Aussitôt la rencontre terminé et après avoir passé voir Justin de joyeux quartier-maitre, nous avons pris la direction du fortin-est pour demander des indications sur la route. Après quelques minutes à parler avec une personne sur place, nous avons pus avoir l’information et avons suivi Emerion qui suivait la piste. Le gnome à plus d’un tour dans son sac, il nous a fait passé presque au pied et à la barde de patrouille sans que ceux-ci ne sache que nous étions là. Après un moment de marche discrète, un membre du groupe nous fit signe qu’il entendait quelque chose, des personnes qui parlaient d’un ton de mécontentement. En nous approchant pour mieux voir ce qu’il se passait, la surprise ainsi qu’un peu d’effroit nous prit. Douze armure « tueur de Rhinn » se tenait en rang devant un bateau avec des Loraciens comme équipage. Un échange eu lieu, les Loraciens débarquèrent quelques caisses et fît monter les armures dans la cale du bateau. Un mage a échanger quelques mots avec ce qui semble le capitaine du bateau. Nous avons envoyé un message au Puit consernant le bateau. Il faut l’intercepter! Une fois le message envoyé et que nous ébauchions un plan, le bateau hissa une voile au couleur des Auralé et pris l’eau.
Nous devions détruire ce que les morts on reçu en échange des armures. Dolo, la chèvre de Candide fît une persé spectaculaire avec son déguisement de buissont pour aller donner un coup de tête et porter une flasque d’huile sur les caisses. Le restant se passa très vite. Willybald lançant du feu dans toutes les directions, Emerion en araigné qui s’attaqua au armure vivante, Candide avec ses traits qui faisait mouche à tout coup et Regimbald et moi-même qui frappaient et encaissait les coups de tout les cotés. Nous avons vaincûe une fois de plus la menace et avons réussi à rapporter une grande partis des mousquets qui était destiné aux morts. Ce que nous avons pus rapporter, nous l’avons laisser bruler.
Ce qui suit a été écrit/dit comme rapport au général. Un bateau au couleur des Auralé avec des Lorciens comme équipage quitte une crique avec à son bord 12 armures « tueur de Rhinn » donner par les morts en échange de mousquets et de poudres. La plus grande partie des mousquets ont été rapporter et le reste ainsi que la poudre a été brûler. Un magicien, son apprentis, 2 « tueurs de Rhinn », un nécrophage et des zélotes humains ont été tué. Un message a été envoyé au Puit de l’Our (au Juge Conrad ou au Seigneur Justinien) consernant le bateau avec les armures. Un nécrophage a été amener au sol par arme et magie de feu. Il continuait de bouger encore même lorsqu’il rampait dans le feu. Les tests mené jusqu’à maintenant semble bien confirmé que les sorts radiant et l’eau bénite sont les seules choses pour venir à bout définitivement de ses choses.
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Début de Sombrempt, combat difficile et réussite in-extrémiste.
Le général Théophile m'a offert une belle jument du ranch Quignon. Un destrier de guerre. Je ne voulais pas accepté le cadeau, mais avec quelques mots de sa part, je n'ai pu résister. Je ne sais pas si les mots venait vraiment de lui ou si le seigneur Théophile les as "inventé", mais il semblerais que le grand Justinien lui même aurait dit qu'un bon officier doit être vue de ses hommes facilement, être un repère sur le champ de bataille. Un peu comme un phare pour les bateau. C'est avec cette jument de guerre que j'arrive du fortin sud à la tente du général Auralé avec Willybald.
Il y avait déjà des membres de la flotte présente sous la tente. Kling, Fasçahn et Annatae venaient tout juste de prendre place. Le général nous mis à jour dans les rapports et nous avons décider d’aller voir un début de fortification près d’Argentel. Si nous pouvions saboter leur travaux ou leur bateaux nous auriont un petit répis de se coté. Sur la route, une patrouille de mort nous est tombé dessus. Le combat fût tellement redoutable et les émotions tellement forte que j’en ai même oublié quelques secondes et perdu pied. Près des fortifications nous avons décider d’un plan. Fasçahn qui semblait le plus discret du groupe allait se faufilé pour saboter des bateaux ( avec du feu alchimique ) tandis que le reste du groupe allait combattre un ou des patrouilles qui allaient passé.
La première patrouille a été neutraliser assez rapidement et une chose étrange a été remarquer. Un nécrophage touché d’un sort d’Anna ( possiblement un sort radiant d’après Willybald ) ne c’est pas relevé et semblait ne pas « vouloir » se relever. Après quelques instants à vérifier le mort et discuter de la chose, nous avons conclue que si on tombait sur une autre partrouille nous devions faire le même test. Voir si le sort d’Annatae empêchait qu’un mort revienne à la vie. Par chance ou malchance, une autre patrouille arriva sur nous. Le combat nous prirent un peu plus de ressource que le premier mais nous avons tous sortis en un seul morçeau. Même chose pour le « mort » qu’Annatae à toucher avec son sort. Il ne se releva pas. Un des nécrophage que j’ai affronter en duel utilisait le style du Héron. Le même style que Mon Seigneur Justinien. J’ai fouillé se nécrophage et y ai découvert que le fourreau de son épée quoi que vieux, on pouvait distingué encore un symbole du Héron. J’ai décider de rapporter l’épée. Peut-être que les scribes au Puits pourront restituer l’épée à la famille si c’est possible. Un gros bruit d’explosion se fit entendre et une lueur rougeâtre dans le ciel pus être apperçu. Nous avons décider de nous diriger vert Argentel pour évité de reprendre les bois et peut-être rattraper Fasçahn. Nous l’avons rattraper près de la ville et il à pu nous confirmer que les bateaux avaient été saboter et qu’il avait vu un homme en robe ou en cape sortir d’un bâtiment et regarder en direction des bâteaux en donnant des ordres. ( possiblement un grader ) Fasçahn et moi avons décider de redescendre tout de suite à Auricourt pour ne prendre qu’un court repos après avoir fait un rapport au général Auralé. Le reste du groupe avaient décider de prendre un peu plus de repos au Puit.
**Ce qui suit a été écrit/dit comme rapport au général.** Un sort radiant peut empêcher un mort de se « relever ». On ne sait pas encore si il faut qu’il soit le coup fatal ou peut-de temps avant la mort, mais 2 nécrophages blesser par sort radiant juste avant de « mourir » ne s’est pas relever. La flotte ou une grosse partie qui était poster au nouvelle fortification ennemi près d’Argentel a été bruler. Un grader semble être sur place. Fasçahn mentionne qu’un des bateaux à « exploser » quand il y a mis le feu. Probablement remplis d’artifice Loracien. Des artifices Loracien semble être en leur possession.
Nuit éternelle, Subtile offensive planifié, Ciel rougoyant.Sabotage, magie, mort-vivant, explosion.
Le général Théophile m'a offert une belle jument du ranch Quignon. Un destrier de guerre. Je ne voulais pas accepté le cadeau, mais avec quelques mots de sa part, je n'ai pu résister. Je ne sais pas si les mots venait vraiment de lui ou si le seigneur Théophile les as "inventé", mais il semblerais que le grand Justinien lui même aurait dit qu'un bon officier doit être vue de ses hommes facilement, être un repère sur le champ de bataille. Un peu comme un phare pour les bateau. C'est avec cette jument de guerre que j'arrive du fortin sud à la tente du général Auralé avec Willybald.
Il y avait déjà des membres de la flotte présente sous la tente. Kling, Fasçahn et Annatae venaient tout juste de prendre place. Le général nous mis à jour dans les rapports et nous avons décider d’aller voir un début de fortification près d’Argentel. Si nous pouvions saboter leur travaux ou leur bateaux nous auriont un petit répis de se coté. Sur la route, une patrouille de mort nous est tombé dessus. Le combat fût tellement redoutable et les émotions tellement forte que j’en ai même oublié quelques secondes et perdu pied. Près des fortifications nous avons décider d’un plan. Fasçahn qui semblait le plus discret du groupe allait se faufilé pour saboter des bateaux ( avec du feu alchimique ) tandis que le reste du groupe allait combattre un ou des patrouilles qui allaient passé.
La première patrouille a été neutraliser assez rapidement et une chose étrange a été remarquer. Un nécrophage touché d’un sort d’Anna ( possiblement un sort radiant d’après Willybald ) ne c’est pas relevé et semblait ne pas « vouloir » se relever. Après quelques instants à vérifier le mort et discuter de la chose, nous avons conclue que si on tombait sur une autre partrouille nous devions faire le même test. Voir si le sort d’Annatae empêchait qu’un mort revienne à la vie. Par chance ou malchance, une autre patrouille arriva sur nous. Le combat nous prirent un peu plus de ressource que le premier mais nous avons tous sortis en un seul morçeau. Même chose pour le « mort » qu’Annatae à toucher avec son sort. Il ne se releva pas. Un des nécrophage que j’ai affronter en duel utilisait le style du Héron. Le même style que Mon Seigneur Justinien. J’ai fouillé se nécrophage et y ai découvert que le fourreau de son épée quoi que vieux, on pouvait distingué encore un symbole du Héron. J’ai décider de rapporter l’épée. Peut-être que les scribes au Puits pourront restituer l’épée à la famille si c’est possible. Un gros bruit d’explosion se fit entendre et une lueur rougeâtre dans le ciel pus être apperçu. Nous avons décider de nous diriger vert Argentel pour évité de reprendre les bois et peut-être rattraper Fasçahn. Nous l’avons rattraper près de la ville et il à pu nous confirmer que les bateaux avaient été saboter et qu’il avait vu un homme en robe ou en cape sortir d’un bâtiment et regarder en direction des bâteaux en donnant des ordres. ( possiblement un grader ) Fasçahn et moi avons décider de redescendre tout de suite à Auricourt pour ne prendre qu’un court repos après avoir fait un rapport au général Auralé. Le reste du groupe avaient décider de prendre un peu plus de repos au Puit.
**Ce qui suit a été écrit/dit comme rapport au général.** Un sort radiant peut empêcher un mort de se « relever ». On ne sait pas encore si il faut qu’il soit le coup fatal ou peut-de temps avant la mort, mais 2 nécrophages blesser par sort radiant juste avant de « mourir » ne s’est pas relever. La flotte ou une grosse partie qui était poster au nouvelle fortification ennemi près d’Argentel a été bruler. Un grader semble être sur place. Fasçahn mentionne qu’un des bateaux à « exploser » quand il y a mis le feu. Probablement remplis d’artifice Loracien. Des artifices Loracien semble être en leur possession.
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Retour dans les brumes, forteresse bien gardé et armoirie du passé.
Regimbald, Ludivine, Emerion, Candide, Willybald et moi-même somme partis pour les brumes en passant par Cendrebois. Arrivé à la petite baronnie, Ludivine vérifia avec la baronne si leur cimetière avait été pillé. Effectivement la dépouille du frère de la baronne DuRoc a été volée. Après avoir donné nos sympathie à la baronne, nous avons pris congé et passé la nuit à l’auberge. Le lendemain matin, la route nous attendait.
La marche dans les brume ne change presque jamais, toujours aussi oppressante. Nous somme arrivé à un ancien campement que des membres de notre groupe avaient réussi à vider de ses occupents. Après une petite inspection de notre part, rien ne semblait montrer que des mouvements avaient eu lieu depuis et que personne ne semblait nous suivre, nous avons repris la route. Après un moment de marche, nous sommes arrivés à un ancien point de contrôle maintenant sous la gouverne des morts qui marche. Le groupe contourna le campement par ce qui semblait un petit cour d’eau ( avec des morts au fond qui n’attendait qu’a nous prendre par surprise. ) et passa la palissade qui faisait front à la route. Plusieurs morts ainsi que des humains on été vue sur place mais nous avons été assez discret que nous avons pu continuer notre route sans avoir alerté les gens et les morts en place.
Nous somme arrivé devant une clairière aménagée avec une petite forteresse en son centre. Aucun arbre ne pouvait bloquer la vue sur un terrain dégagé sur une distance d’une centaine de pas. Les membres du groupe ont discuté de la façon d’agir puis nous avons passé à l’action. Squelettes archer et en armes, mort-vivants et humains on déferlé telle une vague sur nous. Mais comme le récif, ils se sont brisés sur nous. Une créature ailé, faisant pensé à une grosse chauve-sourie est apparue avec dans ses patte un homme. L’homme semblait le chef de la forteresse. Aussitôt au sol, il y avait une sorte de manteau de brume sur son corps. Plusieurs de notre groupe dont moi-même avons attaqué de toute nos force se nouvel arrivant. ( j’appris plus tard qu’il se nommait La’Kar ) Au bout de plusieurs attaques chanceuses et acharnées nous avons réussi à le mettre au sol. Emerion transformé en araignée géante à pus tirer le corps de l’homme à Ludivine pour qu’elle puisse faire en sorte qu’il ne se relèvera pus jamais. Les morts commençaient à nous déborder quand nous avons décidé de faire un repli stratégique. Candide acheva la créature volante pour couvrir notre repli vers la sortie des brumes. Juste avant de me replier, je rammasa l’arme de facture Loracienne que La’Kar utilisait. Plus tard sur la route, alors que Candide et Emerion vérifiaient l’arme nous avons remarqué un blason sur la lame de l’arme. Un croissant de lune avec un triskel à l’intérieur.
L'armoirie sur l'arme de La'Kar, un blason que je connais que trop bien... celui de ma mère.
Flèches volent dans les cieux, Braves guerrier à la charge, Détermination étincelante.Des brumes, des morts, un lieutenant, un blason.
Regimbald, Ludivine, Emerion, Candide, Willybald et moi-même somme partis pour les brumes en passant par Cendrebois. Arrivé à la petite baronnie, Ludivine vérifia avec la baronne si leur cimetière avait été pillé. Effectivement la dépouille du frère de la baronne DuRoc a été volée. Après avoir donné nos sympathie à la baronne, nous avons pris congé et passé la nuit à l’auberge. Le lendemain matin, la route nous attendait.
La marche dans les brume ne change presque jamais, toujours aussi oppressante. Nous somme arrivé à un ancien campement que des membres de notre groupe avaient réussi à vider de ses occupents. Après une petite inspection de notre part, rien ne semblait montrer que des mouvements avaient eu lieu depuis et que personne ne semblait nous suivre, nous avons repris la route. Après un moment de marche, nous sommes arrivés à un ancien point de contrôle maintenant sous la gouverne des morts qui marche. Le groupe contourna le campement par ce qui semblait un petit cour d’eau ( avec des morts au fond qui n’attendait qu’a nous prendre par surprise. ) et passa la palissade qui faisait front à la route. Plusieurs morts ainsi que des humains on été vue sur place mais nous avons été assez discret que nous avons pu continuer notre route sans avoir alerté les gens et les morts en place.
Nous somme arrivé devant une clairière aménagée avec une petite forteresse en son centre. Aucun arbre ne pouvait bloquer la vue sur un terrain dégagé sur une distance d’une centaine de pas. Les membres du groupe ont discuté de la façon d’agir puis nous avons passé à l’action. Squelettes archer et en armes, mort-vivants et humains on déferlé telle une vague sur nous. Mais comme le récif, ils se sont brisés sur nous. Une créature ailé, faisant pensé à une grosse chauve-sourie est apparue avec dans ses patte un homme. L’homme semblait le chef de la forteresse. Aussitôt au sol, il y avait une sorte de manteau de brume sur son corps. Plusieurs de notre groupe dont moi-même avons attaqué de toute nos force se nouvel arrivant. ( j’appris plus tard qu’il se nommait La’Kar ) Au bout de plusieurs attaques chanceuses et acharnées nous avons réussi à le mettre au sol. Emerion transformé en araignée géante à pus tirer le corps de l’homme à Ludivine pour qu’elle puisse faire en sorte qu’il ne se relèvera pus jamais. Les morts commençaient à nous déborder quand nous avons décidé de faire un repli stratégique. Candide acheva la créature volante pour couvrir notre repli vers la sortie des brumes. Juste avant de me replier, je rammasa l’arme de facture Loracienne que La’Kar utilisait. Plus tard sur la route, alors que Candide et Emerion vérifiaient l’arme nous avons remarqué un blason sur la lame de l’arme. Un croissant de lune avec un triskel à l’intérieur.
L'armoirie sur l'arme de La'Kar, un blason que je connais que trop bien... celui de ma mère.
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Voyage à la capitale, combat intensif et prisonnier obéissant.
Regimbald, Aroxyan et moi-même avons fait route vers la capitale pour dénicher le bouffon. Regimbald avait fait une promesse de ramener le personnage et il avait un contact qui pouvait peut-être nous renseigner sur des endroits possible. Sur place, nous avons rencontré LY’ÿel et la jolie Edhel qui on décider de se joindre à nous. Après un petit passage au Fae voir un contact de Regimbald et Aroxyan, un guide nous pointa vers un endroit où nous pourrions trouver le bouffon.
Nous avons fait une reconnaissance de l’endroit et Edhel avec Braise on explorer du haut des airs. La reconnaissance à porter fruits car l’endroit qui nous avaient été pointé était en réalité un leurre. Après une petite discussion, nous avons décidé passé à l’action le soir et de passer par les toits. La décision de passer par les hauteurs a été très laborieuse mais nous avons réussi à nous approcher de notre objectif. Trois gardes maitrisés sans faire trop de bruit mais lors de notre dernier déplacement, une personne perdit presque pied et fit par de notre présence. Nous avons donc foncé vers une lucarne pour entrée dans le bâtiment.
Nous avons combattu des hommes alerté par notre présence et réussi sans grand peine à les vaincre. En fouillant les lieux, une porte donna sur un passage dérobé dans le sol vers des salles souterraines. Des Loraciens nous attendaient, dont deux spadassins. Le combat fût très rude et acharnée. Plusieurs d’entre nous étions à bout de souffle et en sang mais grâce à notre combativité, nous avons survécu et pas eu.
La fouille des lieux se fit en vitesse, car nous ne voulions pas être coincé en se lieux avec d’autre Loracien qui auraient pu nous surprendre. Nous avons ramassé plusieurs papier, peut-être sans importance car une personne avait réussi à s’échapper, mais nous avons mis la main sur ce que nous étions venu chercher : le bouffon dénommé Grintzel. Il s’avéra que Grintzel était un prête- nom et qu’il était un ami d’enfance d’Aroxyan. Avec l’aide de plusieurs travailleurs sur place, nous avons pu ramener ce qu’il y avait de ravitaillement sur place en chargeant ma charrette. Ludivine va être des plus joyeuses avec le ravitaillement apporté et le fameux Grintzel.
Fin de la chasse, Le coupable est libéré, Jugement en vue.Nouvelle-Audarque, une planque, un bouffon, une révélation.
Regimbald, Aroxyan et moi-même avons fait route vers la capitale pour dénicher le bouffon. Regimbald avait fait une promesse de ramener le personnage et il avait un contact qui pouvait peut-être nous renseigner sur des endroits possible. Sur place, nous avons rencontré LY’ÿel et la jolie Edhel qui on décider de se joindre à nous. Après un petit passage au Fae voir un contact de Regimbald et Aroxyan, un guide nous pointa vers un endroit où nous pourrions trouver le bouffon.
Nous avons fait une reconnaissance de l’endroit et Edhel avec Braise on explorer du haut des airs. La reconnaissance à porter fruits car l’endroit qui nous avaient été pointé était en réalité un leurre. Après une petite discussion, nous avons décidé passé à l’action le soir et de passer par les toits. La décision de passer par les hauteurs a été très laborieuse mais nous avons réussi à nous approcher de notre objectif. Trois gardes maitrisés sans faire trop de bruit mais lors de notre dernier déplacement, une personne perdit presque pied et fit par de notre présence. Nous avons donc foncé vers une lucarne pour entrée dans le bâtiment.
Nous avons combattu des hommes alerté par notre présence et réussi sans grand peine à les vaincre. En fouillant les lieux, une porte donna sur un passage dérobé dans le sol vers des salles souterraines. Des Loraciens nous attendaient, dont deux spadassins. Le combat fût très rude et acharnée. Plusieurs d’entre nous étions à bout de souffle et en sang mais grâce à notre combativité, nous avons survécu et pas eu.
La fouille des lieux se fit en vitesse, car nous ne voulions pas être coincé en se lieux avec d’autre Loracien qui auraient pu nous surprendre. Nous avons ramassé plusieurs papier, peut-être sans importance car une personne avait réussi à s’échapper, mais nous avons mis la main sur ce que nous étions venu chercher : le bouffon dénommé Grintzel. Il s’avéra que Grintzel était un prête- nom et qu’il était un ami d’enfance d’Aroxyan. Avec l’aide de plusieurs travailleurs sur place, nous avons pu ramener ce qu’il y avait de ravitaillement sur place en chargeant ma charrette. Ludivine va être des plus joyeuses avec le ravitaillement apporté et le fameux Grintzel.
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Retour à la maison, héro du passé et protecteur de tombeau.
À peine arrivé des marais, une personne me mentionna que Ludivine voulait me voir en urgence. Elle avait eu des informations lors d’un sortie dans les brumes que les morts allaient s’en prendre au cimetière de Havrefleuve dans les prochains jours et que nous devions partir le plus tôt possible. Après avoir pris le courrier des hommes à Auricourt pour Havrefleuve, Ludivine, William, Regimbald, Willybald et moi-même partirent pour la baronnie des Herden.
Arrivé sur place, nous avons été voir directement le cimetière faire une petite reconnaissance. Rien ne semblait indiquer quelque chose de suspect ou de profanation autant dans le cimetière que le mausolée du vieux baron Arménald. Lors de la visite du mausolée, des vieux souvenirs d’exploits du baron lors des guerres précédente me revient en mémoire. Il était un grand stratège et d’un tempérament que seul Justinien ou le candélabre pouvaient calmer. Cela devait être la raison de l’attaque planifié des morts, ils devaient vouloir relever des morts Arménald pour commander de leurs troupes. Après avoir discuté de mes souvenirs avec le reste du groupe, nous sommes partie au manoir voir Théodore. La charmante Gertrude nous reçu en cuisine et pus nous préparer un quelque chose à manger puis le baron nous invita à le rencontrer.
Je présentai brièvement chaque membre du groupe au baron puis laissa Ludivine discuter des choses sérieuses avec lui. Nous sommes convenus d’un plan avec l’aide Théodore et son approbation si les choses tournaient mal, celui d’ouvrir le tombeau de son père pour que Ludivine puisse empêcher les morts de pouvoir profaner son corps.
À la deuxième nuit il y eu de l’action. Plusieurs hommes sont arrivés pour déterrer des corps « frais » accompagné de morts qui marchent. Un combat acharné s’en suivi. Leur chef, un nécromancien fit même irruption. Nous avion bien amoché ses troupes et il semblait nous jaugé, plusieurs de ses morts restaient à distance sans nous attaqué. Comme si il avait une certaine peur de perdre des troupes. Voyant mes compagnons ensanglanté et moi-même à bout de souffle, je fis signe à William qui était avec moi devant le nécromancien de rebroussé chemin. Il valait mieux reporter le combat dans ses conditions. Ludivine mordait sa bride de ne pouvoir le poursuivre, nous devions nous assurer que le tombeau resterais intacte et partir sa poursuite aurait laissé sans protection le mausolée. Nous avons fait un rapport au baron de notre réussite qui a beaucoup apprécié notre effort.
Est-ce que les troupes « intelligentes » des morts son limité? Pourquoi ne pas avoir envoyé toute ses troupes en finir avec nous au mausolée?
Tombe sacré, Protection d’un murmure du passé, Repos préservé.Un tombeau, un général, des morts, un piège.
À peine arrivé des marais, une personne me mentionna que Ludivine voulait me voir en urgence. Elle avait eu des informations lors d’un sortie dans les brumes que les morts allaient s’en prendre au cimetière de Havrefleuve dans les prochains jours et que nous devions partir le plus tôt possible. Après avoir pris le courrier des hommes à Auricourt pour Havrefleuve, Ludivine, William, Regimbald, Willybald et moi-même partirent pour la baronnie des Herden.
Arrivé sur place, nous avons été voir directement le cimetière faire une petite reconnaissance. Rien ne semblait indiquer quelque chose de suspect ou de profanation autant dans le cimetière que le mausolée du vieux baron Arménald. Lors de la visite du mausolée, des vieux souvenirs d’exploits du baron lors des guerres précédente me revient en mémoire. Il était un grand stratège et d’un tempérament que seul Justinien ou le candélabre pouvaient calmer. Cela devait être la raison de l’attaque planifié des morts, ils devaient vouloir relever des morts Arménald pour commander de leurs troupes. Après avoir discuté de mes souvenirs avec le reste du groupe, nous sommes partie au manoir voir Théodore. La charmante Gertrude nous reçu en cuisine et pus nous préparer un quelque chose à manger puis le baron nous invita à le rencontrer.
Je présentai brièvement chaque membre du groupe au baron puis laissa Ludivine discuter des choses sérieuses avec lui. Nous sommes convenus d’un plan avec l’aide Théodore et son approbation si les choses tournaient mal, celui d’ouvrir le tombeau de son père pour que Ludivine puisse empêcher les morts de pouvoir profaner son corps.
À la deuxième nuit il y eu de l’action. Plusieurs hommes sont arrivés pour déterrer des corps « frais » accompagné de morts qui marchent. Un combat acharné s’en suivi. Leur chef, un nécromancien fit même irruption. Nous avion bien amoché ses troupes et il semblait nous jaugé, plusieurs de ses morts restaient à distance sans nous attaqué. Comme si il avait une certaine peur de perdre des troupes. Voyant mes compagnons ensanglanté et moi-même à bout de souffle, je fis signe à William qui était avec moi devant le nécromancien de rebroussé chemin. Il valait mieux reporter le combat dans ses conditions. Ludivine mordait sa bride de ne pouvoir le poursuivre, nous devions nous assurer que le tombeau resterais intacte et partir sa poursuite aurait laissé sans protection le mausolée. Nous avons fait un rapport au baron de notre réussite qui a beaucoup apprécié notre effort.
Est-ce que les troupes « intelligentes » des morts son limité? Pourquoi ne pas avoir envoyé toute ses troupes en finir avec nous au mausolée?
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Rencontre à la flotte, information surprenante et des gobelins squatters.
Willybald à eu vent que Valerien, la personne contacte à voir pour son problème de malédiction était présentement au campement de la flotte. Je lui ai proposé de l’accompagner, ce qu’il accepta avec rapidité. En route pour rejoindre le campement de la flotte avec Willybald, nous avons dû laisser Ayjilinatin et la charrette à Antovers. Aucun chemin praticable ne se rend là-bas. Arrivé sur place, il nous fallu que quelques minutes pour trouvé l’endroit où les gens passé un peu de temps. Une sorte de quartier-maitre. Willybald remarqua des personnes connu et je pus apercevoir la jolie Edhel accompagné de Tonkx, la copine d’Aroxyan, et d’un lézard inconnue nommé Kling. Braise est venu nous rejoindre quelques instant plus tard. Il a dû voir les poils de barbes de que lui réservait dans une de mes poches. Je devais être assis trop proche de la demoiselle car il me fixait d’un drôle d’air jusqu’à ce que je m’éloigne d’elle. Willybald à mentionné que nous étions venu pour rencontré Valerien à propos du mal qu’il était en lui. Comme certain membre de la flotte étaient atteint du même mal, le petit groupe nous accompagnèrent pour la rencontre avec l’homme en question.
Valerien, un drôle d’homme. Un parler franc et sans détour mais avec une pointe d’humour qui nous permet de nous questionner sur ses réelle intention. Son savoir sur les choses « obscures » semble très grand. Un homme de la flotte, Fasçahn, était en discussion avec lui. Il donna à Valerien un livre suspect. D’une couleur mauve avec une reliure non commune, Valerien mentionna que ce livre était le seul exemplaire de connaissance magique très puissante mais très dangereuse. Le genre de livre qui pourrait faire apparaitre un mal ancien. Un peu à contre-cœur, il fit un rituel pour délivrer les membres de la flotte et Willybald de leur malédiction. Un truc pas très bon à voir et encore moins à sentir. Valerien nous renseigna sur plein de sujet, ses connaissances semblent très grandes. Braise, serais l’essence d’un Roc. L’oiseau mythique représentant le Guerrier. Que leur malédiction, venait d’un bébé Chtonien. ( une puissante créature maléfique d’avant le cataclysme. )
Avant de quitter, nous sommes allez voir leur ingénieur en défense, un nain du nom de Gromar Durrepierre de Kayros. Plusieurs gobelin attaquent ses palissades et deux campement aurait été aperçu non loin. Un petit camp était situé non loin de la route pour notre retour et pour donner un léger coup de main à Edhel et ses compagnons, Willybald et moi avons décidé qu’on pouvait faire un petit détour pour prendre des informations sur le petit campement. Arrivé sur place, tout se passait bien, la petite gnome était garder en laisse. Elle semblait vouloir foncer tête baissé dans le petit campement. Notre mission était de prendre de l’information pour qu’un assaut futur leur soit plus facile. Je pense que tout la colère de la petite sortie quand elle reçu une branche dans un œil, car elle est tombé par terre et un juron lancé à plein poumon alerta le petit campement. Nous avons donc dû affronter une vingtaine de gobelin dont des traqueurs et un sorcier. Leur chef était tout aussi redoutable. Après un combat acharné, nous avons réussi à vaincre la menace. Lors de la fouille des lieux, une sorte de monastère abandonné, j’ai fait remarquer un symbole très ancien à Willybald. Je lui ai demandé de le prendre en note dans ses écritures. Le symbole en question, représente un ancien symbole des Huits. L’endroit serait un ancien monastère d’un augure.
Je crois que l’endroit pourrait bien plaire à Ludivine. ( en plus d’être pas très loin du domaine d’un Baronnet Mier )
Livre maléfique, Corps purgé du maléfice, Délivrance trouvé.Un livre, des tentacules, des gobelins, un groupe disparate.
Willybald à eu vent que Valerien, la personne contacte à voir pour son problème de malédiction était présentement au campement de la flotte. Je lui ai proposé de l’accompagner, ce qu’il accepta avec rapidité. En route pour rejoindre le campement de la flotte avec Willybald, nous avons dû laisser Ayjilinatin et la charrette à Antovers. Aucun chemin praticable ne se rend là-bas. Arrivé sur place, il nous fallu que quelques minutes pour trouvé l’endroit où les gens passé un peu de temps. Une sorte de quartier-maitre. Willybald remarqua des personnes connu et je pus apercevoir la jolie Edhel accompagné de Tonkx, la copine d’Aroxyan, et d’un lézard inconnue nommé Kling. Braise est venu nous rejoindre quelques instant plus tard. Il a dû voir les poils de barbes de que lui réservait dans une de mes poches. Je devais être assis trop proche de la demoiselle car il me fixait d’un drôle d’air jusqu’à ce que je m’éloigne d’elle. Willybald à mentionné que nous étions venu pour rencontré Valerien à propos du mal qu’il était en lui. Comme certain membre de la flotte étaient atteint du même mal, le petit groupe nous accompagnèrent pour la rencontre avec l’homme en question.
Valerien, un drôle d’homme. Un parler franc et sans détour mais avec une pointe d’humour qui nous permet de nous questionner sur ses réelle intention. Son savoir sur les choses « obscures » semble très grand. Un homme de la flotte, Fasçahn, était en discussion avec lui. Il donna à Valerien un livre suspect. D’une couleur mauve avec une reliure non commune, Valerien mentionna que ce livre était le seul exemplaire de connaissance magique très puissante mais très dangereuse. Le genre de livre qui pourrait faire apparaitre un mal ancien. Un peu à contre-cœur, il fit un rituel pour délivrer les membres de la flotte et Willybald de leur malédiction. Un truc pas très bon à voir et encore moins à sentir. Valerien nous renseigna sur plein de sujet, ses connaissances semblent très grandes. Braise, serais l’essence d’un Roc. L’oiseau mythique représentant le Guerrier. Que leur malédiction, venait d’un bébé Chtonien. ( une puissante créature maléfique d’avant le cataclysme. )
Avant de quitter, nous sommes allez voir leur ingénieur en défense, un nain du nom de Gromar Durrepierre de Kayros. Plusieurs gobelin attaquent ses palissades et deux campement aurait été aperçu non loin. Un petit camp était situé non loin de la route pour notre retour et pour donner un léger coup de main à Edhel et ses compagnons, Willybald et moi avons décidé qu’on pouvait faire un petit détour pour prendre des informations sur le petit campement. Arrivé sur place, tout se passait bien, la petite gnome était garder en laisse. Elle semblait vouloir foncer tête baissé dans le petit campement. Notre mission était de prendre de l’information pour qu’un assaut futur leur soit plus facile. Je pense que tout la colère de la petite sortie quand elle reçu une branche dans un œil, car elle est tombé par terre et un juron lancé à plein poumon alerta le petit campement. Nous avons donc dû affronter une vingtaine de gobelin dont des traqueurs et un sorcier. Leur chef était tout aussi redoutable. Après un combat acharné, nous avons réussi à vaincre la menace. Lors de la fouille des lieux, une sorte de monastère abandonné, j’ai fait remarquer un symbole très ancien à Willybald. Je lui ai demandé de le prendre en note dans ses écritures. Le symbole en question, représente un ancien symbole des Huits. L’endroit serait un ancien monastère d’un augure.
Je crois que l’endroit pourrait bien plaire à Ludivine. ( en plus d’être pas très loin du domaine d’un Baronnet Mier )
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Un manoir à sécuriser, une lettre de menace et le temps qui manque.
La suite des négociations prévue avec les Mier et les Delacroix pour Sombrempt était prévue pour bientôt au manoir des Auralée à la capitale. Je me suis rendu un peu plus tôt sur place avec des visages connus; des gardes, des cuisiniers, des servant, etc. La première rencontre nous aura servit de leçon. Des hommes se sont présenté à l’entré en mentionnant être de la suite d’Archibald Delacroix. J’ai été les accueillir et après m’être assurer que tout était bien en ordre, je les conduisis au manoir pour leur présenté l’endroit où ils allaient séjourner. Puis un breuvage et un repas était de rigueur pour ses hommes qui venaient de faire voyage. En plein repas, une lettre laissée sur la table attira mon attention. Elle était en Loracien et je n’ai réussi à déchiffrer que quelques mots qui ne semblait avoir ni queue ni tête et personne présent ne sachant lire le Loracien, la suite d’Archibald ( Lothario, Percilas et William ) et moi-même somme allé au seul endroit possible à la capitale pour avoir des informations « discrète »… La ligue de Neustrie.
Après une petite discussion avec maître Maalosis, il déchiffra la lettre au mot difficile. C’était une lettre de menace dirigé directement envers Ludivine et par la même occasion tout les membres de la noblesse présente. Nous avons demandé des informations sur le front de libération et d’artifice capable de raser un bâtiment à Maalosis et un jeune Rhinn, Étienne, a rejoint notre petit groupe intrigué par la chose. ( et le fait que nos informations pointaient vers les taudis et que lui-même passait du temps là-bas. Il pouvait nous être d’un aide précieuse. ) Le temps nous étaient compté car la menace était planifié pour le lendemain. Je devais passer voir un autre endroit où les informations son nombreuses, les contes de Fae. Comme toujours, la charmante personne qui est Ninri nous accueilli comme il se doit. J’ai malheureusement dû couper court à notre conversation pour rencontrer un homme d’information. J’ai été droit au but et certainement dévoilé de l’information, mais l’homme savait déjà pour la continuité des négociations. Il nous a fait part que ce que nous cherchions à de forte chance d’être dans le coin des quais, mais que contre rémunération, il pouvait mettre un de ses hommes sur le coup. Comme le temps manquait, j’ai accepté et convenu d’un mot de code pour validé d’être devant la bonne personne le moment venu.
Nous avons quitté le centre de la capitale pour aller vers les quais de l’ouest, ceux des taudis. Pour gagné du temps, le groupe ses séparé pour quérir le plus d’information possible dans le plus court laps de temps. Nous devions ramasser le plus de renseignement possible avant notre rendez-vous avec notre contact. Sois pour confirmer ses informations sois pour ne pas avoir les mains vide si l’homme n’avais rien pour nous. Il se trouva que l’homme du rendez-vous avait certaine information et combiner avec les nôtres, nous avons pût réduire la zone de recherche à quelques bâtiments dont un qui était très possiblement l’endroit que nous cherchions. Le contact était prêt à nous aider à faire diversion pour éloigner des gardes du hangar sans rien nous demander en compensation. J’en ai déduit qu’il devait faire parti d’un gang à qui le hangar devais appartenir avant de tomber aux mains du front de libération. Nous avons tous convenue de la suite des choses puis avons pris d’assaut le hangar qui était maintenant moins protéger.
Tout c’est passé vite, très vite. Je me suis retrouvé seul dans le bâtiment entouré de Loracien en arme. Tout semblais bien se dérouler jusqu’à ce qu’un Spadassin et un Artificier fit irruption dans la pièce. Les autres coincé à l’entrée ou à l’extérieur suite à un artifice Loracien ( une sorte de toile gluante ), je me suis retrouvé à faire face au deux spécialistes Loracien seul. Le Spadassin était redoutable, je n’ai jamais rencontré d’adversaire aussi fort au corp à corp. J’ai réussi à lui tenir tête, mais avec l’Artificier dans mon dos et les hommes Delacroix blessé, incapable de venir à moi et essayant tant bien que mal des attaques à distance, j’ai redoublé d’ardeur et réussi à faire retraiter l’Artificier. Il avait reçu quelques tirs à distance mais tenait toujours sa position. Puis lors de son retrait, il tomba au sol dans un sommeil magique, il échappa l’emprise de son artifice et permis au autre membre de me rejoindre à l’intérieur. Le spadassin réveilla son collègue Artificier et tout les deux prirent la fuite. En fouillant l’endroit nous sommes tombés sur une bouteille au contenu visqueux et des notes ajoutées à une carte griffonnée. Toujours sans perdre de temps, nous avons suivie la carte dans l’espoir de trouvé les artifices qui explose. La carte pointait à l’extérieur de la ville.
Arrivé à l’endroit mentionné par la carte, une petite maisonnée était présente. Une petite altercation avec un homme éclata et il appela ce qui semble être la maitresse des lieux. Une femme à la manière d’une noble apparue suivie par un gigantesque drake. Nous avons appris que la femme fabriquait des poisons, potions ou artifice et les vendait au plus offrant. Elle avait effectivement vendu des « choses » au front de libération. Ni un poison ni un artifice qui explose. Un artifice qui une fois allumé, répand dans la pièce une sorte de fumé qui tue tous ceux qui la respire dans un temps plus ou moins long. Nous avons continué de discuter avec elle et il y avait un antidote à son artifice. ( avec la description, c’était ce que Percilas avait trouvé dans le hangar. ) Elle pouvait nous en vendre, mais le coût était tel que personne ne pouvait payer. ( L'antidote ou le poison serais à base de sang d'Ashura. ) Elle demanda un service en échange du remède et tous rebroussèrent chemin sauf Lothario qui lui était prêt à faire l’échange de service. Ensuite tout le monde prirent la route vers la capitale, mais une surprise nous attendaient. Le front de libération nous avait tendu plusieurs embuscades pour nous empêcher de retourner au manoir. Nous avons combattu et couru toute la nuit pour arrivé au manoir à bout de force mais trop tard. Des gardes du conclave étaient sur place et plusieurs personnes étaient blessées. Le front avait changé de plan de par notre pro action et envoyé un de leur meilleur assassin. Les nobliaux étaient sauvent, mais salement amoché. Si seulement j’avais su lire ma langue maternelle…..
Gardien vigilent, Danger imminent désastreux, Fuite impitoyable.Une lettre, des recherches, un poison, une fuite.
La suite des négociations prévue avec les Mier et les Delacroix pour Sombrempt était prévue pour bientôt au manoir des Auralée à la capitale. Je me suis rendu un peu plus tôt sur place avec des visages connus; des gardes, des cuisiniers, des servant, etc. La première rencontre nous aura servit de leçon. Des hommes se sont présenté à l’entré en mentionnant être de la suite d’Archibald Delacroix. J’ai été les accueillir et après m’être assurer que tout était bien en ordre, je les conduisis au manoir pour leur présenté l’endroit où ils allaient séjourner. Puis un breuvage et un repas était de rigueur pour ses hommes qui venaient de faire voyage. En plein repas, une lettre laissée sur la table attira mon attention. Elle était en Loracien et je n’ai réussi à déchiffrer que quelques mots qui ne semblait avoir ni queue ni tête et personne présent ne sachant lire le Loracien, la suite d’Archibald ( Lothario, Percilas et William ) et moi-même somme allé au seul endroit possible à la capitale pour avoir des informations « discrète »… La ligue de Neustrie.
Après une petite discussion avec maître Maalosis, il déchiffra la lettre au mot difficile. C’était une lettre de menace dirigé directement envers Ludivine et par la même occasion tout les membres de la noblesse présente. Nous avons demandé des informations sur le front de libération et d’artifice capable de raser un bâtiment à Maalosis et un jeune Rhinn, Étienne, a rejoint notre petit groupe intrigué par la chose. ( et le fait que nos informations pointaient vers les taudis et que lui-même passait du temps là-bas. Il pouvait nous être d’un aide précieuse. ) Le temps nous étaient compté car la menace était planifié pour le lendemain. Je devais passer voir un autre endroit où les informations son nombreuses, les contes de Fae. Comme toujours, la charmante personne qui est Ninri nous accueilli comme il se doit. J’ai malheureusement dû couper court à notre conversation pour rencontrer un homme d’information. J’ai été droit au but et certainement dévoilé de l’information, mais l’homme savait déjà pour la continuité des négociations. Il nous a fait part que ce que nous cherchions à de forte chance d’être dans le coin des quais, mais que contre rémunération, il pouvait mettre un de ses hommes sur le coup. Comme le temps manquait, j’ai accepté et convenu d’un mot de code pour validé d’être devant la bonne personne le moment venu.
Nous avons quitté le centre de la capitale pour aller vers les quais de l’ouest, ceux des taudis. Pour gagné du temps, le groupe ses séparé pour quérir le plus d’information possible dans le plus court laps de temps. Nous devions ramasser le plus de renseignement possible avant notre rendez-vous avec notre contact. Sois pour confirmer ses informations sois pour ne pas avoir les mains vide si l’homme n’avais rien pour nous. Il se trouva que l’homme du rendez-vous avait certaine information et combiner avec les nôtres, nous avons pût réduire la zone de recherche à quelques bâtiments dont un qui était très possiblement l’endroit que nous cherchions. Le contact était prêt à nous aider à faire diversion pour éloigner des gardes du hangar sans rien nous demander en compensation. J’en ai déduit qu’il devait faire parti d’un gang à qui le hangar devais appartenir avant de tomber aux mains du front de libération. Nous avons tous convenue de la suite des choses puis avons pris d’assaut le hangar qui était maintenant moins protéger.
Tout c’est passé vite, très vite. Je me suis retrouvé seul dans le bâtiment entouré de Loracien en arme. Tout semblais bien se dérouler jusqu’à ce qu’un Spadassin et un Artificier fit irruption dans la pièce. Les autres coincé à l’entrée ou à l’extérieur suite à un artifice Loracien ( une sorte de toile gluante ), je me suis retrouvé à faire face au deux spécialistes Loracien seul. Le Spadassin était redoutable, je n’ai jamais rencontré d’adversaire aussi fort au corp à corp. J’ai réussi à lui tenir tête, mais avec l’Artificier dans mon dos et les hommes Delacroix blessé, incapable de venir à moi et essayant tant bien que mal des attaques à distance, j’ai redoublé d’ardeur et réussi à faire retraiter l’Artificier. Il avait reçu quelques tirs à distance mais tenait toujours sa position. Puis lors de son retrait, il tomba au sol dans un sommeil magique, il échappa l’emprise de son artifice et permis au autre membre de me rejoindre à l’intérieur. Le spadassin réveilla son collègue Artificier et tout les deux prirent la fuite. En fouillant l’endroit nous sommes tombés sur une bouteille au contenu visqueux et des notes ajoutées à une carte griffonnée. Toujours sans perdre de temps, nous avons suivie la carte dans l’espoir de trouvé les artifices qui explose. La carte pointait à l’extérieur de la ville.
Arrivé à l’endroit mentionné par la carte, une petite maisonnée était présente. Une petite altercation avec un homme éclata et il appela ce qui semble être la maitresse des lieux. Une femme à la manière d’une noble apparue suivie par un gigantesque drake. Nous avons appris que la femme fabriquait des poisons, potions ou artifice et les vendait au plus offrant. Elle avait effectivement vendu des « choses » au front de libération. Ni un poison ni un artifice qui explose. Un artifice qui une fois allumé, répand dans la pièce une sorte de fumé qui tue tous ceux qui la respire dans un temps plus ou moins long. Nous avons continué de discuter avec elle et il y avait un antidote à son artifice. ( avec la description, c’était ce que Percilas avait trouvé dans le hangar. ) Elle pouvait nous en vendre, mais le coût était tel que personne ne pouvait payer. ( L'antidote ou le poison serais à base de sang d'Ashura. ) Elle demanda un service en échange du remède et tous rebroussèrent chemin sauf Lothario qui lui était prêt à faire l’échange de service. Ensuite tout le monde prirent la route vers la capitale, mais une surprise nous attendaient. Le front de libération nous avait tendu plusieurs embuscades pour nous empêcher de retourner au manoir. Nous avons combattu et couru toute la nuit pour arrivé au manoir à bout de force mais trop tard. Des gardes du conclave étaient sur place et plusieurs personnes étaient blessées. Le front avait changé de plan de par notre pro action et envoyé un de leur meilleur assassin. Les nobliaux étaient sauvent, mais salement amoché. Si seulement j’avais su lire ma langue maternelle…..
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Une lettre à transmettre, une blessure douteuse et rencontre d’une prisonnière Levantin.
Ludi est venue me voir pour me demander un service, une lettre destinée au baronnet Miers. Je lui ai demandé si c’était pour les négociations en cours. Elle a rougit légèrement et mentionner que oui. Je me doute qu’il n‘y ai que des mots de négociations dans cette lettre mais bon, je me dis que si Ludi est venue me voir pour ce service, c’est qu’elle avait besoin d’une personne de confiance pour remettre la lettre. J’ai accepté tout de suite, je ne pouvais manquer une occasion de retourner voir le/la très sympathique Ninri au conte. Moi qui espérait rêvasser en chemin, j’ai vite compris que le voyage allait être très long… Aroxyan allait venir avec moi, mais je me réconfortais en me souvenant que certaine porte lui était ouverte.
Après une nuit plus ou moins reposante au fae, nous sommes entrés à la Ligue de Neustrie pour remettre la lettre. Le courageux Willybald et la charmante Edhel était déjà sur place à fouillé dans plusieurs livres devant eux. Willybald nous a fait par, à Aroxyan et moi-même, le but de leur recherche… un remède à une infection, le truc le plus dégeulasse que j’ai pus apercevoir. Un couleur mauve, des boursoufflures et des mouvements sous la peau!! J’ai tout de suite immobilisé le bras de Willybald et demander à Aroxyan d’amputer le bras du très courageux barde! Willybald a réussi à me convaincre de ne pas amputer son bras de garde cette option en dernier recourt. (Note à moi-même, ne pas touché le membre d’une personne si quelque chose bouge sous la peau, pour éviter d’être contaminé.) Un homme nommé Arsène, à l’allure de Rinn des ruelles, était curieux de la blessure de Willybald. Il a du être dérangé dans ses recherches quand on a parlé d’amputation. Il nous a aidés à faire quelques recherches sur ce qui pourrait être dans le bras de Willybald, mais sans grand succès. Aroxyan a mentionné qu’un de ses oncles aurait peut-être des réponses.
Arrivé au grand temple, nous avions quelques doutes sur l’oncle de l’halfelin et encore plus quand un giganteste prédicateur drake nous « receva » dans son bureau. Son « oncle » était en fait plus un mentor avec le type de discussion qu’ils ont entretenue. Mais l’halfelin avait vue juste, Prédicateur Solairik pouvait apporter son aide à Edhel et Willybald. Avec la puissance que les Huits lui on accordé, il a fait sortir les parasites des deux infectés mais à bien préciser que se n’était que temporaire. J’ai eu une petite discussion seul à seul avec le Prédicateur. J’ai cru remarquer un moment qu’il se retenait de dire des informations, comme les nobles qui cache certaine chose à leur sujet pour éviter de plus gros problème. J’ai réussi à le convaincre de nous mettre sur une piste ou d’avoir une information pour sauver des personnes. Un nom est sorti, un capitaine de bateau : Valérien Capitaine du Hurlevent. Juste avant de quitter le bureau, de toute son imposante stature le Prédicateur Solairik me demanda l’impossible…. Veillé sur le nabo!! (Après Juge Conrad et Ludivine, maintenant Prédicateur Solairik et Aroxyan!! Mais qu’est-ce que j’ai fait aux anciens pour ça!)
Je devais laisser la lettre à la ligue de Neutrie pour le baronnet, mais comme nous allions passer devant leur domaine à Rivelande pour se rendre à Trellac, j’ai décidé de mettre en main propre le papier. N’ayant pus la remettre au baronnet lui-même, j’ai dû laissé la lettre à son homme de main, Balthazaar. Le Rinn Asrène nous a accompagné jusqu’à Trellac. Je ne sais pas si c’était une punition infligé par le Prédicateur Solairik, mais il avait « passé un savon » la veille au très jeune Rinn. Nous avions eu information la veille qu’une Levantin, la Commodore de la flotte était prisonnière là-bas. Curieux de voir une Levantin et par amitié pour Edhel qui voulait avoir des nouvelles de sa chef, nous avons décidé d’y aller et voir si nous pouvions la rencontré. Arrivé à la prison, Aroxyan réussi à convaincre la sentinelle en charge des geôles de nous laisser discuter avec la prisonnière. Sentinelle Horik est un homme de poigne, mais le papier que lui remit le halfelin semblait avoir effet sur l’homme. Arrivé à la cellule, la Levantin dans un piteux état était là, assise au sol. Edhel s’est entretenue un moment avec la Commodore Mehraveh. Sans avertir le reste du groupe, j’ai « testé » Mehraveh. Je me suis fait passer pour un sympathisant de la Loracie. J’ai puisé dans ma mémoire pour aller chercher une phrase que mère disait parfois, une phrase qui démontrait qu’on était pour la cause. Elle à compris le message, mais m’a fait comprendre que sa fidélité était à la défunte impératrice. Comme elle était morte, sa fidélité allait à ses hommes, à la flotte. Mais que si un jour l’impératrice venait à refouler le sol, son allégeance retournerait à l’impératrice. Elle n’a pas tout à fait passé le test, mais au moins sa fidélité n’est pas à la Loracie... mais à l’impératrice. Puis Sentinelle Horik est venue nous rejoindre pour mettre un terme à cette discussion. Il semblait ne pas avoir apprécié notre présence et nous fit escorter le plus promptement vers la sortie.
Nous avons déambulé dans les rues, admirant les échoppes et étal de produits différent du Puits de l’ours puis avons pris des rues différentes. Un petit étal avec des bijoux fait à la main était tenu par une vielle dame. Plusieurs bijoux arboraient des formes d’animaux des marais. Une peu comme certaine personne vendait des bijoux en lien avec un ours au Puits. Un petit pendentif avec une breloque en forme de lézard attira mon œil. La dame me posa quelques questions et avec les réponses fournis, m’en conseilla un en particulier. Un petit lézard vert qui était tenu par de fine lanière de cuir bleuté. Après avoir acheté le bijou et payé beaucoup plus que ce que la dame me demandait, elle fit un genre de bénédiction sur le bijou. Je n’ai pas compris la langue, mais elle m’a souhaité bonne chance. Il ne me resterais plus qu’à trouvé le courage de lui remettre….
Dans l’ombre du doute, Chemin vers la vérité, Certitude émerge.Une blessure, un drake, une geôle, une Levantin
Ludi est venue me voir pour me demander un service, une lettre destinée au baronnet Miers. Je lui ai demandé si c’était pour les négociations en cours. Elle a rougit légèrement et mentionner que oui. Je me doute qu’il n‘y ai que des mots de négociations dans cette lettre mais bon, je me dis que si Ludi est venue me voir pour ce service, c’est qu’elle avait besoin d’une personne de confiance pour remettre la lettre. J’ai accepté tout de suite, je ne pouvais manquer une occasion de retourner voir le/la très sympathique Ninri au conte. Moi qui espérait rêvasser en chemin, j’ai vite compris que le voyage allait être très long… Aroxyan allait venir avec moi, mais je me réconfortais en me souvenant que certaine porte lui était ouverte.
Après une nuit plus ou moins reposante au fae, nous sommes entrés à la Ligue de Neustrie pour remettre la lettre. Le courageux Willybald et la charmante Edhel était déjà sur place à fouillé dans plusieurs livres devant eux. Willybald nous a fait par, à Aroxyan et moi-même, le but de leur recherche… un remède à une infection, le truc le plus dégeulasse que j’ai pus apercevoir. Un couleur mauve, des boursoufflures et des mouvements sous la peau!! J’ai tout de suite immobilisé le bras de Willybald et demander à Aroxyan d’amputer le bras du très courageux barde! Willybald a réussi à me convaincre de ne pas amputer son bras de garde cette option en dernier recourt. (Note à moi-même, ne pas touché le membre d’une personne si quelque chose bouge sous la peau, pour éviter d’être contaminé.) Un homme nommé Arsène, à l’allure de Rinn des ruelles, était curieux de la blessure de Willybald. Il a du être dérangé dans ses recherches quand on a parlé d’amputation. Il nous a aidés à faire quelques recherches sur ce qui pourrait être dans le bras de Willybald, mais sans grand succès. Aroxyan a mentionné qu’un de ses oncles aurait peut-être des réponses.
Arrivé au grand temple, nous avions quelques doutes sur l’oncle de l’halfelin et encore plus quand un giganteste prédicateur drake nous « receva » dans son bureau. Son « oncle » était en fait plus un mentor avec le type de discussion qu’ils ont entretenue. Mais l’halfelin avait vue juste, Prédicateur Solairik pouvait apporter son aide à Edhel et Willybald. Avec la puissance que les Huits lui on accordé, il a fait sortir les parasites des deux infectés mais à bien préciser que se n’était que temporaire. J’ai eu une petite discussion seul à seul avec le Prédicateur. J’ai cru remarquer un moment qu’il se retenait de dire des informations, comme les nobles qui cache certaine chose à leur sujet pour éviter de plus gros problème. J’ai réussi à le convaincre de nous mettre sur une piste ou d’avoir une information pour sauver des personnes. Un nom est sorti, un capitaine de bateau : Valérien Capitaine du Hurlevent. Juste avant de quitter le bureau, de toute son imposante stature le Prédicateur Solairik me demanda l’impossible…. Veillé sur le nabo!! (Après Juge Conrad et Ludivine, maintenant Prédicateur Solairik et Aroxyan!! Mais qu’est-ce que j’ai fait aux anciens pour ça!)
Je devais laisser la lettre à la ligue de Neutrie pour le baronnet, mais comme nous allions passer devant leur domaine à Rivelande pour se rendre à Trellac, j’ai décidé de mettre en main propre le papier. N’ayant pus la remettre au baronnet lui-même, j’ai dû laissé la lettre à son homme de main, Balthazaar. Le Rinn Asrène nous a accompagné jusqu’à Trellac. Je ne sais pas si c’était une punition infligé par le Prédicateur Solairik, mais il avait « passé un savon » la veille au très jeune Rinn. Nous avions eu information la veille qu’une Levantin, la Commodore de la flotte était prisonnière là-bas. Curieux de voir une Levantin et par amitié pour Edhel qui voulait avoir des nouvelles de sa chef, nous avons décidé d’y aller et voir si nous pouvions la rencontré. Arrivé à la prison, Aroxyan réussi à convaincre la sentinelle en charge des geôles de nous laisser discuter avec la prisonnière. Sentinelle Horik est un homme de poigne, mais le papier que lui remit le halfelin semblait avoir effet sur l’homme. Arrivé à la cellule, la Levantin dans un piteux état était là, assise au sol. Edhel s’est entretenue un moment avec la Commodore Mehraveh. Sans avertir le reste du groupe, j’ai « testé » Mehraveh. Je me suis fait passer pour un sympathisant de la Loracie. J’ai puisé dans ma mémoire pour aller chercher une phrase que mère disait parfois, une phrase qui démontrait qu’on était pour la cause. Elle à compris le message, mais m’a fait comprendre que sa fidélité était à la défunte impératrice. Comme elle était morte, sa fidélité allait à ses hommes, à la flotte. Mais que si un jour l’impératrice venait à refouler le sol, son allégeance retournerait à l’impératrice. Elle n’a pas tout à fait passé le test, mais au moins sa fidélité n’est pas à la Loracie... mais à l’impératrice. Puis Sentinelle Horik est venue nous rejoindre pour mettre un terme à cette discussion. Il semblait ne pas avoir apprécié notre présence et nous fit escorter le plus promptement vers la sortie.
Nous avons déambulé dans les rues, admirant les échoppes et étal de produits différent du Puits de l’ours puis avons pris des rues différentes. Un petit étal avec des bijoux fait à la main était tenu par une vielle dame. Plusieurs bijoux arboraient des formes d’animaux des marais. Une peu comme certaine personne vendait des bijoux en lien avec un ours au Puits. Un petit pendentif avec une breloque en forme de lézard attira mon œil. La dame me posa quelques questions et avec les réponses fournis, m’en conseilla un en particulier. Un petit lézard vert qui était tenu par de fine lanière de cuir bleuté. Après avoir acheté le bijou et payé beaucoup plus que ce que la dame me demandait, elle fit un genre de bénédiction sur le bijou. Je n’ai pas compris la langue, mais elle m’a souhaité bonne chance. Il ne me resterais plus qu’à trouvé le courage de lui remettre….
-Note à l'endos d'une page de journal-
L'homme sauvé dans à l'arbre de promesse, Benild = La Canne!!!!
-9-
Une rencontre de famille, des négociations formelles et une tentative d’assassinat.
Un soir alors que Ludivine et moi-même discussions, elle m’annonça qu’elle voulait rencontrer un Baronnet, Grégoire Mier. Ayant grandit dans l’entourage d’un Baron et que le Marquis semblait bien m’aimer, Ludivine voulait que je l’accompagne à cette rencontre. Elle voulait rencontrer le Baronnet Mier et essayer de voir si il pouvait faire un allier durant Sombrempt. Je n’avais jamais participé à se genre de rencontre, mais si Ludivine me le demandais, je ne pouvais pas refuser. (Surtout qu’après réflexion, je ne voyais pas beaucoup de membre de la guilde de l’ours être bien vue dans se genre de discussion. Mon coté elfique pourrais même causer des problèmes si ces Mier son très conservateur.) Elle m’a convié au manoir un matin, pour une rencontre formelle avec son père. Je n’ai pas dormis de la nuit… une rencontre avec Justinien!!! Je devais me faire plus que présentable. L devais pouvoir m’aider. Je passerai chez lui avant d’aller au manoir.
Arrivé au manoir, Ludivine m’attendait à l’extérieur l’air anxieuse. Plus j’approchais et plus je le devenais à mon tour comme si c’était contagieux. J’allais devoir parlé de ce que j’ai vue dans les brumes si on me posait la question et c’est peut-être de savoir que Conrad pouvait être présent qui me rendait nerveux au plus haut point. La rencontre allais avoir lieux et en traversant les portes, Justinien, Théophile et… Conrad nous attendaient. Une petite discussion concernent une sorcière/druidesse Meriel et des objections majeures de Conrad à son sujet fût calmer par Justinien. Les deux hommes connaissent cette Meriel et il parle même « d’alliés inattendu » en temps de guerre. Voyant que Conrad était de mauvaise humeur plus que d’habitude, je me suis retenu de parler des Tieflings. J’allais garder cette rencontre pour une prochaine fois, si possible avec le Marquis seul à seul. Une petite chamaillerie entre Ludivine et son frère s’en suit et changea un peu l’atmosphère le temps de quelques minutes. Ludivine fit part de la rencontre futur prévue avec les Miers et une possible alliance pour le mois sombre. Le marquis sembla ravi de voir l’initiative de sa fille et lui donna les pleins pouvoirs lors de cette rencontre. Si elle devait négocier quelque chose, elle pouvait le faire au nom du marquisat. Le marquis allait même faire préparer leur demeure à la capitale pour la rencontre Mier-d’Auralé.
À notre arrivé à la « maison » de la capitale, plusieurs servant s’affairaient à nettoyer et rendre l’endroit plus acceptable. Nous n’avons pas eu à attendre longtemps avant que les invités de marques arrivent. Accompagné par deux homme de mains ou conseillé, Balthazar un homme au visage voilé et Thomas un vieux scribe qui regardait partout, peut-être pour trouver des failles dans les défenses de l’endroit. Quelques gardes aux couleurs du baronnet l’accompagnaient comme protection. Après les salutations d’usage et être entré à l’intérieur pour prendre un petit breuvage, la discussion entre Ludivine et le baronnet tourna vite en négociation. Je gardais un œil sur les deux hommes, et un peu plus sur se Balthazar. J’ai pus voir sous son voile... et je comprends. J’ai vue des morts qui marchent avec un plus beau visage. Même si la discussion allait bon train, je ne saurais dire qui avait l’avantage des négociations, certain terme ou jargon m’était un peu inconnu. Mais il semblerait qu’un mariage de convenance a été mis sur la table.
Tout semblais bien se déroulé, jusqu’à ce que je remarque en même temps que Ludivine, qu’un garde au couleur du Marquis ai tué un garde des Miers. Ne voulant pas créer d’incident diplomatique, j’ai sauté par-dessus la table pour traverser la fenêtre où se trouvait l’homme. Arrivé à l’extérieur, quatre hommes armés d’arbalète s’approchait des fenêtres. Des gardes du marquisat et un serviteur. J’allais engager le combat avec ses hommes quand un crie de douleur lancer par Ludivine me fit retourné à l’intérieur. Un combat acharné avec se qui était clairement des assassins de métiers éclatas. Nous avons réussi à repousser l’attentat d’assassinat et l’un des hommes de main réussi à faire deux prisonniers. Nous avons pus entre-apercevoir un homme qui donnait des directives à ceux qui fuyaient. Il avait l’apparence d’un Saltimbanque. Par la suite,une petite séance de prise d’information avec un prisonnier très coopératif, nous permis d’apprendre que le coup avait été monté par un groupe. Le front de libération de Meryda.
Négociation tendue, Compromis se dessine, Accord en équilibre.Une Dame, un Baronnet, des négociations, un assassinat
Un soir alors que Ludivine et moi-même discussions, elle m’annonça qu’elle voulait rencontrer un Baronnet, Grégoire Mier. Ayant grandit dans l’entourage d’un Baron et que le Marquis semblait bien m’aimer, Ludivine voulait que je l’accompagne à cette rencontre. Elle voulait rencontrer le Baronnet Mier et essayer de voir si il pouvait faire un allier durant Sombrempt. Je n’avais jamais participé à se genre de rencontre, mais si Ludivine me le demandais, je ne pouvais pas refuser. (Surtout qu’après réflexion, je ne voyais pas beaucoup de membre de la guilde de l’ours être bien vue dans se genre de discussion. Mon coté elfique pourrais même causer des problèmes si ces Mier son très conservateur.) Elle m’a convié au manoir un matin, pour une rencontre formelle avec son père. Je n’ai pas dormis de la nuit… une rencontre avec Justinien!!! Je devais me faire plus que présentable. L devais pouvoir m’aider. Je passerai chez lui avant d’aller au manoir.
Arrivé au manoir, Ludivine m’attendait à l’extérieur l’air anxieuse. Plus j’approchais et plus je le devenais à mon tour comme si c’était contagieux. J’allais devoir parlé de ce que j’ai vue dans les brumes si on me posait la question et c’est peut-être de savoir que Conrad pouvait être présent qui me rendait nerveux au plus haut point. La rencontre allais avoir lieux et en traversant les portes, Justinien, Théophile et… Conrad nous attendaient. Une petite discussion concernent une sorcière/druidesse Meriel et des objections majeures de Conrad à son sujet fût calmer par Justinien. Les deux hommes connaissent cette Meriel et il parle même « d’alliés inattendu » en temps de guerre. Voyant que Conrad était de mauvaise humeur plus que d’habitude, je me suis retenu de parler des Tieflings. J’allais garder cette rencontre pour une prochaine fois, si possible avec le Marquis seul à seul. Une petite chamaillerie entre Ludivine et son frère s’en suit et changea un peu l’atmosphère le temps de quelques minutes. Ludivine fit part de la rencontre futur prévue avec les Miers et une possible alliance pour le mois sombre. Le marquis sembla ravi de voir l’initiative de sa fille et lui donna les pleins pouvoirs lors de cette rencontre. Si elle devait négocier quelque chose, elle pouvait le faire au nom du marquisat. Le marquis allait même faire préparer leur demeure à la capitale pour la rencontre Mier-d’Auralé.
À notre arrivé à la « maison » de la capitale, plusieurs servant s’affairaient à nettoyer et rendre l’endroit plus acceptable. Nous n’avons pas eu à attendre longtemps avant que les invités de marques arrivent. Accompagné par deux homme de mains ou conseillé, Balthazar un homme au visage voilé et Thomas un vieux scribe qui regardait partout, peut-être pour trouver des failles dans les défenses de l’endroit. Quelques gardes aux couleurs du baronnet l’accompagnaient comme protection. Après les salutations d’usage et être entré à l’intérieur pour prendre un petit breuvage, la discussion entre Ludivine et le baronnet tourna vite en négociation. Je gardais un œil sur les deux hommes, et un peu plus sur se Balthazar. J’ai pus voir sous son voile... et je comprends. J’ai vue des morts qui marchent avec un plus beau visage. Même si la discussion allait bon train, je ne saurais dire qui avait l’avantage des négociations, certain terme ou jargon m’était un peu inconnu. Mais il semblerait qu’un mariage de convenance a été mis sur la table.
Tout semblais bien se déroulé, jusqu’à ce que je remarque en même temps que Ludivine, qu’un garde au couleur du Marquis ai tué un garde des Miers. Ne voulant pas créer d’incident diplomatique, j’ai sauté par-dessus la table pour traverser la fenêtre où se trouvait l’homme. Arrivé à l’extérieur, quatre hommes armés d’arbalète s’approchait des fenêtres. Des gardes du marquisat et un serviteur. J’allais engager le combat avec ses hommes quand un crie de douleur lancer par Ludivine me fit retourné à l’intérieur. Un combat acharné avec se qui était clairement des assassins de métiers éclatas. Nous avons réussi à repousser l’attentat d’assassinat et l’un des hommes de main réussi à faire deux prisonniers. Nous avons pus entre-apercevoir un homme qui donnait des directives à ceux qui fuyaient. Il avait l’apparence d’un Saltimbanque. Par la suite,une petite séance de prise d’information avec un prisonnier très coopératif, nous permis d’apprendre que le coup avait été monté par un groupe. Le front de libération de Meryda.
-8-
Discussion avec une druidesse qui a éclaircie plusieurs choses. Petit paris avec des gardes à Lislone et une alliance surprenante.
J’étais en pleine réparation de la grange quand de la visite arriva. LI’yel, Candide, Willybald et Emerion sont passé me dire bonjour. Candide s’est offert pour aider avec les rénovations de la grange. J’ai cru comprendre que son père était charpentier et comme tout aide est la bienvenue, je l’ai même invité à dormir à la grange quand il travaillerait ici. Ils sont venue pour entrer en contact avec Éclat de lune, la druidesse. Alors que nous discutions, un oiseau de grande taille arriva pour se transformer en une magnifique Elfe. Difficile de dire son âge, mais L n’avait d’yeux que pour la dame. Elaraëlys à répondu à plusieurs question d’Emerion. Je ne suis pas celui avec le plus de connaissance arcanique, mais les réponses tournaient autour de nexus et des Arbres de promesse. ( les arbres brumeux ). Elle nous a confirmé le nom du général des brumes établie près d’Auricourt. L’homme à la monture de feu serait un dénommé Jax. Un homme qui serait ici depuis le premier arrivant sur ses terres. La druidesse m'a remis une breloque fait en os d'une patte d'aigle. Un fois brisé, elle va savoir qu'on veut lui parler.
Une fois la discussion terminée et mon équipement prêt, nous avons pris la direction d’Havrefleuve. Le domaine des Herdens et mon foyer. J’étais très enjoué de revoir certain visage et j’ai même pris plaisir à décrire les endroits et les gens du domaine. Le lendemain matin d’une soirée un peu embarassante où Wyllibald décida de raconter « Les aventure de Fahad », je m’étais levé tôt pour mettre à jour le baron Théodore Herden des derniers nouvelles.
Arrivé à Lislone, nous avons fait une prise d’information avec des gardes sur des entrées et sorties de la ville vers l’est. Comme ils prenaient des notes sur tout les entrées et sorties, pour leurs paris, nous avons appris qu’un convoi avait bien passé par ici pour rapporter des artefacts des brumes. Nous avons donc pris la route vers l’est jusqu’à notre arrivé dans les brumes. Willybald fit preuve de courage et de bravoure comme la dernière fois et entra juste derrière moi. Le jeune Candide ne semblait pas du tout effrayé de l'expérience. Se jeune à quelque chose de particulier. Après avoir traversé les brumes, Willybald à été atteint d'un mal de tête. Nous avons eu juste le temps d'apercevoir une marque sur le front de Willybald. Comme si il avait été victime d’un sort. Sur nos gardes, nous avons continué d’avancé jusqu’à ce qu’un choix se présente à nous. Tenter de retrouvé des caisses perdu ou vérifier un arbre de promesse. Candide était plus que déçu que nous aillons décidé d’aller vers l’arbre, mais l’arbre pouvais nous apporter plus de réponse pour Sombrempt.
Arrivé dans une clairière,un arbre gigantesque nous accueilli. Il ne ressemblait à aucun autre arbre vu. Les racines, les branches, tout étaient surdimenssioné. Après quelques minutes d'investigation, 2 créatures spectrale en arme ont apparue et attaqué le groupe puis un groupe de Tiefling s'est joint aux spectres. Un combat acharné et avec l'aide d'une araignée géante à nos coté ( Emerion a un pouvoir de se changer en araignée! ), le groupe à vaincu l'ennemi. J’ai réussi à assommer un Tiefling et en faire prisonnier. A peine l’homme attaché, que son chef arriva pour nous demander de l’échanger. Une petite discussion suivi et un marché a été conclu. Leur groupe ne nous attaquerait pas si nos chemin venait à se rencontrer de nouveau. Ils nous remirent à tous une broche que l’on devait porter pour notre sauf conduit. Le groupe de Tiefling mené par Morcius, semble vouloir nous aidé pendant Sombrempt suite à une discussion avec lui. Le général des brumes au sud du Marquisat, serait un ennemi commun. Morcius nous a indiqué que si nous voulions plus d’information sur les arbres de promesse, nous allons devoir rencontrer « Le résident ». Il nous a indiqué une direction puis lui et son homme, quittèrent dans les brumes. Avant de prendre la direction de la sortie, nous avons fait un petit détour dans la direction montré par le chef Tiefling. Nous avons rebroussé chemin à la vue d’un manoir, car la nuit arrivait à grand pas et personne ne voulait tenter le coup d’une nuit ici.
J’appréhende le moment où Conrad va savoir pour mon « alliance » avec le groupe de Morcius. J’espère avoir la même force que Justinien quand se moment va arriver.
Lames qui s'affrontent, Fiers adversaires, Alliés improbables.Une druidesse, un voyage, un arbre, une alliance
J’étais en pleine réparation de la grange quand de la visite arriva. LI’yel, Candide, Willybald et Emerion sont passé me dire bonjour. Candide s’est offert pour aider avec les rénovations de la grange. J’ai cru comprendre que son père était charpentier et comme tout aide est la bienvenue, je l’ai même invité à dormir à la grange quand il travaillerait ici. Ils sont venue pour entrer en contact avec Éclat de lune, la druidesse. Alors que nous discutions, un oiseau de grande taille arriva pour se transformer en une magnifique Elfe. Difficile de dire son âge, mais L n’avait d’yeux que pour la dame. Elaraëlys à répondu à plusieurs question d’Emerion. Je ne suis pas celui avec le plus de connaissance arcanique, mais les réponses tournaient autour de nexus et des Arbres de promesse. ( les arbres brumeux ). Elle nous a confirmé le nom du général des brumes établie près d’Auricourt. L’homme à la monture de feu serait un dénommé Jax. Un homme qui serait ici depuis le premier arrivant sur ses terres. La druidesse m'a remis une breloque fait en os d'une patte d'aigle. Un fois brisé, elle va savoir qu'on veut lui parler.
Une fois la discussion terminée et mon équipement prêt, nous avons pris la direction d’Havrefleuve. Le domaine des Herdens et mon foyer. J’étais très enjoué de revoir certain visage et j’ai même pris plaisir à décrire les endroits et les gens du domaine. Le lendemain matin d’une soirée un peu embarassante où Wyllibald décida de raconter « Les aventure de Fahad », je m’étais levé tôt pour mettre à jour le baron Théodore Herden des derniers nouvelles.
Arrivé à Lislone, nous avons fait une prise d’information avec des gardes sur des entrées et sorties de la ville vers l’est. Comme ils prenaient des notes sur tout les entrées et sorties, pour leurs paris, nous avons appris qu’un convoi avait bien passé par ici pour rapporter des artefacts des brumes. Nous avons donc pris la route vers l’est jusqu’à notre arrivé dans les brumes. Willybald fit preuve de courage et de bravoure comme la dernière fois et entra juste derrière moi. Le jeune Candide ne semblait pas du tout effrayé de l'expérience. Se jeune à quelque chose de particulier. Après avoir traversé les brumes, Willybald à été atteint d'un mal de tête. Nous avons eu juste le temps d'apercevoir une marque sur le front de Willybald. Comme si il avait été victime d’un sort. Sur nos gardes, nous avons continué d’avancé jusqu’à ce qu’un choix se présente à nous. Tenter de retrouvé des caisses perdu ou vérifier un arbre de promesse. Candide était plus que déçu que nous aillons décidé d’aller vers l’arbre, mais l’arbre pouvais nous apporter plus de réponse pour Sombrempt.
Arrivé dans une clairière,un arbre gigantesque nous accueilli. Il ne ressemblait à aucun autre arbre vu. Les racines, les branches, tout étaient surdimenssioné. Après quelques minutes d'investigation, 2 créatures spectrale en arme ont apparue et attaqué le groupe puis un groupe de Tiefling s'est joint aux spectres. Un combat acharné et avec l'aide d'une araignée géante à nos coté ( Emerion a un pouvoir de se changer en araignée! ), le groupe à vaincu l'ennemi. J’ai réussi à assommer un Tiefling et en faire prisonnier. A peine l’homme attaché, que son chef arriva pour nous demander de l’échanger. Une petite discussion suivi et un marché a été conclu. Leur groupe ne nous attaquerait pas si nos chemin venait à se rencontrer de nouveau. Ils nous remirent à tous une broche que l’on devait porter pour notre sauf conduit. Le groupe de Tiefling mené par Morcius, semble vouloir nous aidé pendant Sombrempt suite à une discussion avec lui. Le général des brumes au sud du Marquisat, serait un ennemi commun. Morcius nous a indiqué que si nous voulions plus d’information sur les arbres de promesse, nous allons devoir rencontrer « Le résident ». Il nous a indiqué une direction puis lui et son homme, quittèrent dans les brumes. Avant de prendre la direction de la sortie, nous avons fait un petit détour dans la direction montré par le chef Tiefling. Nous avons rebroussé chemin à la vue d’un manoir, car la nuit arrivait à grand pas et personne ne voulait tenter le coup d’une nuit ici.
J’appréhende le moment où Conrad va savoir pour mon « alliance » avec le groupe de Morcius. J’espère avoir la même force que Justinien quand se moment va arriver.
-7-
Rencontre d’une femme avec un drôle d’oiseaux. Partie au sud vers les brumes pour avoir de l’information et sauvetage de soldat barricadé dans les ruines d’une ville fortifié.
La copine gnome de l’hafelin, Tonkx, nous a introduit au même de son petit groupe. Des gens qui étaient perdu en brume et qui se sont échoué suite à une collision entre bateau si la petite dit bien la vérité. Elle semble parfois inventer des choses. ( comme être perdu dans les brumes de nombreuses année ou avoir suivie une poule jusqu’au Puit-de-l’ours.) Un matin, Aroxyan, Regimbald, Willybald et moi-même avons partagé notre repas avec la charmante Edhel, une jeune femme du même groupe que Tonkx. Elle n’avait pas du tout un poulet comme animal mais plutôt une sorte de grand rapace, peut-être un grand aigle. L’aigle semble avoir des aptitudes spéciales, il comprend notre langage. Après un repas bien chargé en émotion, de voir Regimbald perdre ses moyens devant l’oiseau, nous sommes partie vers le sud. Avoir une personne qui pourrait nous servir de guide près ou à l’intérieur des brumes serait un atout pour prendre des informations sur la ligne de front avant le Sombrembre.
Arrivé à Auricourt, nous avons pus voir l’ampleur des forces déployés pour la préparation du mois sombre. Nous avons passé une partie de la journée à récupérer des informations aux soldats qui était de repos mais sans grand succès. J’ai commencé à faire parler de la ligue du Puit-de-l’ours auprès des soldats et pour les remercier de leur effort, j’ai déboursé pour plusieurs de leur consommation. Par la suite, les langues on commencé à se délier et nous avons pris connaissance qu’un groupe escouade de soldats était porté disparue depuis bientôt une dizaine de jours. Avec Edhel, notre guide experte en brume, nous avons décidé d’aller voir si nous pouvions retrouver la trace de survivant.
La brume du sud, n’est pas une brume ordinaire. Une fois le pied à l’intérieur, on croirait entrer dans un nouveau monde. Tout est oppressant, comme si un poids était toujours sur notre poitrine. Après un moment de marche, nous somment tomber sur la toile de deux gigantesques araignées. Le combat ne fût que de courte durée. Ne voulant pas s’attarder plus sur cet endroit, par la crainte d’avoir à combattre encore plus de ces créatures, nous avons repris la route sans reprendre notre souffle. N’ayant pas vraiment de points de repère sur le temps passé, nous avons marché se qui semblerais une autre heure avant de tomber sur des bâtiments. Nous somme arrivé à une ancienne ville.
L’oiseau d’Edhel avait pris les devants pour servir de yeux. Edhel à la même capacité que certain à pouvoir voir par les yeux de son animal. ( Plus je croise des gens avec ce pouvoir, plus je me dit que Conrad doit en être capable aussi. ) Edhel nous mentionnes que des morts qui marchent, sont près d’un endroit où il semble y avoir un ou des survivants barricadé. Après une petite discussion d’une marche à suivre et d’avoir donné du courage à Willybald, nous avons réussi à mettre hors d’état de nuire un mort et à faire en sorte que le courageux Willy entre voir le soldat. Le soldat nous mentionnes que plusieurs on été capturé et mené au centre du la ville, dont leur chef, mais que certain avait réussi à se barricadé non loin. Nous avons eu de la chance, car dans une ruelle près de l’endroit où nous étions, deux morts semblaient être attiré vers une porte. Tout le groupe s’approcha discrètement avec une nouvelle peur au ventre. Le soldat nous a fait mention que les morts pouvaient s’appeler entre eux. Donc il fallait agir très vite pour éviter d’être submergé par tous les morts qui marchent du coin. La peur nous a donné des forces, car les deux morts n’ont pas eu le temps de résister à notre attaque surprise. Une fois la menace passé, nous avons pus constater notre chance, c’était bel et bien d’autre membre de l’escouade disparue. La chance à presque tourné quand le mort que nous avions battue, a surpris Aroxyan. ( en y repensant plus tard, j’ai bien aimé entendre le petit cris de peur de l’halfelin, lui que rien ne semble lui faire peur. ) Avant que tous les morts qui marchent ne rappliquent, nous avons pris la fuite avec les trois survivants et sommes retourné à Auricourt. Arrivé en lieu sur, Edhel nous mentionne que Braise, son oiseau, à vue un homme à la capuche verte monté sur un destrier de feu. Nous tenons une piste…
Personnes en danger, Héros surgissent, Sauvetage audacieux.Un oiseau, des brumes, des soldats, des morts qui ne meurent pas.
La copine gnome de l’hafelin, Tonkx, nous a introduit au même de son petit groupe. Des gens qui étaient perdu en brume et qui se sont échoué suite à une collision entre bateau si la petite dit bien la vérité. Elle semble parfois inventer des choses. ( comme être perdu dans les brumes de nombreuses année ou avoir suivie une poule jusqu’au Puit-de-l’ours.) Un matin, Aroxyan, Regimbald, Willybald et moi-même avons partagé notre repas avec la charmante Edhel, une jeune femme du même groupe que Tonkx. Elle n’avait pas du tout un poulet comme animal mais plutôt une sorte de grand rapace, peut-être un grand aigle. L’aigle semble avoir des aptitudes spéciales, il comprend notre langage. Après un repas bien chargé en émotion, de voir Regimbald perdre ses moyens devant l’oiseau, nous sommes partie vers le sud. Avoir une personne qui pourrait nous servir de guide près ou à l’intérieur des brumes serait un atout pour prendre des informations sur la ligne de front avant le Sombrembre.
Arrivé à Auricourt, nous avons pus voir l’ampleur des forces déployés pour la préparation du mois sombre. Nous avons passé une partie de la journée à récupérer des informations aux soldats qui était de repos mais sans grand succès. J’ai commencé à faire parler de la ligue du Puit-de-l’ours auprès des soldats et pour les remercier de leur effort, j’ai déboursé pour plusieurs de leur consommation. Par la suite, les langues on commencé à se délier et nous avons pris connaissance qu’un groupe escouade de soldats était porté disparue depuis bientôt une dizaine de jours. Avec Edhel, notre guide experte en brume, nous avons décidé d’aller voir si nous pouvions retrouver la trace de survivant.
La brume du sud, n’est pas une brume ordinaire. Une fois le pied à l’intérieur, on croirait entrer dans un nouveau monde. Tout est oppressant, comme si un poids était toujours sur notre poitrine. Après un moment de marche, nous somment tomber sur la toile de deux gigantesques araignées. Le combat ne fût que de courte durée. Ne voulant pas s’attarder plus sur cet endroit, par la crainte d’avoir à combattre encore plus de ces créatures, nous avons repris la route sans reprendre notre souffle. N’ayant pas vraiment de points de repère sur le temps passé, nous avons marché se qui semblerais une autre heure avant de tomber sur des bâtiments. Nous somme arrivé à une ancienne ville.
L’oiseau d’Edhel avait pris les devants pour servir de yeux. Edhel à la même capacité que certain à pouvoir voir par les yeux de son animal. ( Plus je croise des gens avec ce pouvoir, plus je me dit que Conrad doit en être capable aussi. ) Edhel nous mentionnes que des morts qui marchent, sont près d’un endroit où il semble y avoir un ou des survivants barricadé. Après une petite discussion d’une marche à suivre et d’avoir donné du courage à Willybald, nous avons réussi à mettre hors d’état de nuire un mort et à faire en sorte que le courageux Willy entre voir le soldat. Le soldat nous mentionnes que plusieurs on été capturé et mené au centre du la ville, dont leur chef, mais que certain avait réussi à se barricadé non loin. Nous avons eu de la chance, car dans une ruelle près de l’endroit où nous étions, deux morts semblaient être attiré vers une porte. Tout le groupe s’approcha discrètement avec une nouvelle peur au ventre. Le soldat nous a fait mention que les morts pouvaient s’appeler entre eux. Donc il fallait agir très vite pour éviter d’être submergé par tous les morts qui marchent du coin. La peur nous a donné des forces, car les deux morts n’ont pas eu le temps de résister à notre attaque surprise. Une fois la menace passé, nous avons pus constater notre chance, c’était bel et bien d’autre membre de l’escouade disparue. La chance à presque tourné quand le mort que nous avions battue, a surpris Aroxyan. ( en y repensant plus tard, j’ai bien aimé entendre le petit cris de peur de l’halfelin, lui que rien ne semble lui faire peur. ) Avant que tous les morts qui marchent ne rappliquent, nous avons pris la fuite avec les trois survivants et sommes retourné à Auricourt. Arrivé en lieu sur, Edhel nous mentionne que Braise, son oiseau, à vue un homme à la capuche verte monté sur un destrier de feu. Nous tenons une piste…
-6-
Regimbald va faire une livraison à la capitale et à demander à certain de l’accompagné. Avec Hugues et les sorciers bandits qui rôdent, mieux vaux être sur ses gardes.
Un nain, un pari, une visite, un massage.
Le groupe c’est rencontré à la forge où Regimbald terminait de charger sa cargaison dans la charette et nous avons ensuite quitté vers la capitale pour une livraison. En route, Aroxyan nous a dit que Hugues nous regardaient au loin. Personne d'autre n'a réussi à voir l'homme. Peut-être quele nabot Aroxyan essayait de se jouer de nous encore une fois?
Plus loin sur la route, LI'yel et Willybald on entamé une chanson sur Regimbald, mauvaise idée...Maintenant il va avoir la grosse barbe!
En vue du bâtiement des contes de Fae, Aroxyan m’a mis au défi d'avoir une réponse au contes de fae sans avoir posé une question avec un massage comme récompense. Défi que j'ai relevé haut la main avec l'aide de l'hôte qui a bien voulu jouer le jeu avec moi. Ce, cette Nenri…. Cela faisait bien longtemps qu’une personne n’avait réussi à me charmer à ce point… autre que la présence du grand Justinien. Nous avons pus nous rendre au bureau de l’ami de Regimbald pour avoir des nouvelles d'Altan'Hankor puis Aroxyan nous a fait visiter la ville. Il disait connaitre plusieurs endroits « qu’il faut absolument voir »
Aroxyan nous entraina dans plusieurs boutiques, échoppe et autres pour y faire quelques achats de produits locaux. Plusieurs on optés pour l’auberge à la fin de la journée mais j’avais un dos qui ne demandait qu’à être massé.
Rues animées dansent, Tourbillon de vie en ville, Visite mouvementée.
Le groupe c’est rencontré à la forge où Regimbald terminait de charger sa cargaison dans la charette et nous avons ensuite quitté vers la capitale pour une livraison. En route, Aroxyan nous a dit que Hugues nous regardaient au loin. Personne d'autre n'a réussi à voir l'homme. Peut-être que
En vue du bâtiement des contes de Fae, Aroxyan m’a mis au défi d'avoir une réponse au contes de fae sans avoir posé une question avec un massage comme récompense. Défi que j'ai relevé haut la main avec l'aide de l'hôte qui a bien voulu jouer le jeu avec moi. Ce, cette Nenri…. Cela faisait bien longtemps qu’une personne n’avait réussi à me charmer à ce point… autre que la présence du grand Justinien. Nous avons pus nous rendre au bureau de l’ami de Regimbald pour avoir des nouvelles d'Altan'Hankor puis Aroxyan nous a fait visiter la ville. Il disait connaitre plusieurs endroits « qu’il faut absolument voir »
Aroxyan nous entraina dans plusieurs boutiques, échoppe et autres pour y faire quelques achats de produits locaux. Plusieurs on optés pour l’auberge à la fin de la journée mais j’avais un dos qui ne demandait qu’à être massé.
-5-
Le juge Conrad a fait passer un message. Déjà terrifiant de loin, il l’est encore plus lorsqu’il nous regarde à un pas de distance. Certain mage peuvent voir dans les yeux de leurs animaux, je me demande si le juge peut nous regarder de cette façon?
Tout juste de retour à la grange, Regimbald mentionne qu’au matin nous devons nous rendre à la Tanière pour manger avec les autres et discuter de certaine chose. Nous avons parlé de plusieurs sujets en passant d'un feu de grange à la porte arrière des contes de fae. Nous avons de nous séparer aller chercher de l'information à différent endroit en ville pour gagné du temps. Aroxyan, Emerion et Willybald ont été voir au porte de la ville questionner des gardes pour avoir des informations sur un possible archer "vert". Ludivine et moi même avons été voir le juge Conrad au sujet d'ancien brigand qui serait flétris.
Conrad nous confirme que les brigands ne sont aucunement flétris. Les sorciers manipuleraient les brigands pour les tenir en bride. Le juge semble m'avoir donné une mission, de protéger le marquisat de ses ennemis. Il m'a bien fait comprendre le message en s'approchant et mis une main de fer sur mon épaule. Une main qui doit avoir soigné des blessures du marquis lors des dernières guerres!
En route vers la clairière, nous avons exploré un endroit où des brigands aurait été tuer et une piste qui s’éloigne vers la rivière. Nous sommes retournés à la clairière en premier lieu. Un demi-orc gigantesque et un homme à capuche était en discussion dans la clairière. Du nom de Charle-Brun et un certain Vroggakt. Ce dernier avait très peu de mot si on le compare au demi-orc. Aroxyan semblait connaitre Vroggakt car il l'a appelé "tonton" et que l'homme lui a tendu des morceaux de pain et à fait mention d’une d'une coutume de partage de pain. Emerion nous a mentionné que Charle-Brun était un pionnier et fondateur de la confrérie, que celui-ci n'a pas réfuté. Après avoir échangé comme des personnes civilisées avec le demi-orc quitta l'endroit sur un destrier doré gigantesque. Les deux hommes nous on dit avec des mots différent qu'il existait une solution au problème de la clairière, une sorte de marché doit avoir lieu.
Nous avons retourné sur nos pas et avons suivie la piste qui mène à la rivière. Comme la piste était vielle de quelques jours, nous sommes retournés à l'auberge pour une nuit bien méritée. À l'aube, nous somme aller au Kelline, là où la piste mène et elle mène au campement des brigands. Après avoir vérifié les différentes options qui s’offraient à nous, nous avons pris un groupe en embuscade pour leur parler. Un chef de groupe écouta très attentivement Ludivine leur proposer une rédemption et tous on accepter de se rendre. Arrivé en ville, les prisonniers nous font mention que La Cane à maintenant une cane qui émane de la brume acquis tout récemment. Elle aurait été sculpté par un sorcier et béni de celui qui boite lui même. Ils nous mentionnent aussi que Hugues aurait un rang supérieur au sorcier. Il tuerait les brigands, simplement pour montré sa force et mangerais même ses victimes pour acquérir plus de force ou de pouvoir. Hugues et La Cane pourrait être une menace importante avec Sombrempt qui approche à grand pas.
Mise en garde donnée, Homme écoute, choix incertains, Destin en balance.Un juge, une mise en garde, des inconnus, un marché.
Tout juste de retour à la grange, Regimbald mentionne qu’au matin nous devons nous rendre à la Tanière pour manger avec les autres et discuter de certaine chose. Nous avons parlé de plusieurs sujets en passant d'un feu de grange à la porte arrière des contes de fae. Nous avons de nous séparer aller chercher de l'information à différent endroit en ville pour gagné du temps. Aroxyan, Emerion et Willybald ont été voir au porte de la ville questionner des gardes pour avoir des informations sur un possible archer "vert". Ludivine et moi même avons été voir le juge Conrad au sujet d'ancien brigand qui serait flétris.
Conrad nous confirme que les brigands ne sont aucunement flétris. Les sorciers manipuleraient les brigands pour les tenir en bride. Le juge semble m'avoir donné une mission, de protéger le marquisat de ses ennemis. Il m'a bien fait comprendre le message en s'approchant et mis une main de fer sur mon épaule. Une main qui doit avoir soigné des blessures du marquis lors des dernières guerres!
En route vers la clairière, nous avons exploré un endroit où des brigands aurait été tuer et une piste qui s’éloigne vers la rivière. Nous sommes retournés à la clairière en premier lieu. Un demi-orc gigantesque et un homme à capuche était en discussion dans la clairière. Du nom de Charle-Brun et un certain Vroggakt. Ce dernier avait très peu de mot si on le compare au demi-orc. Aroxyan semblait connaitre Vroggakt car il l'a appelé "tonton" et que l'homme lui a tendu des morceaux de pain et à fait mention d’une d'une coutume de partage de pain. Emerion nous a mentionné que Charle-Brun était un pionnier et fondateur de la confrérie, que celui-ci n'a pas réfuté. Après avoir échangé comme des personnes civilisées avec le demi-orc quitta l'endroit sur un destrier doré gigantesque. Les deux hommes nous on dit avec des mots différent qu'il existait une solution au problème de la clairière, une sorte de marché doit avoir lieu.
Nous avons retourné sur nos pas et avons suivie la piste qui mène à la rivière. Comme la piste était vielle de quelques jours, nous sommes retournés à l'auberge pour une nuit bien méritée. À l'aube, nous somme aller au Kelline, là où la piste mène et elle mène au campement des brigands. Après avoir vérifié les différentes options qui s’offraient à nous, nous avons pris un groupe en embuscade pour leur parler. Un chef de groupe écouta très attentivement Ludivine leur proposer une rédemption et tous on accepter de se rendre. Arrivé en ville, les prisonniers nous font mention que La Cane à maintenant une cane qui émane de la brume acquis tout récemment. Elle aurait été sculpté par un sorcier et béni de celui qui boite lui même. Ils nous mentionnent aussi que Hugues aurait un rang supérieur au sorcier. Il tuerait les brigands, simplement pour montré sa force et mangerais même ses victimes pour acquérir plus de force ou de pouvoir. Hugues et La Cane pourrait être une menace importante avec Sombrempt qui approche à grand pas.
-4-
Rencontré une légende, se faire toucher par le héro. Discuter avec le Marquis et une demande d’un père.
Regimbald et moi-même avons rejoint LI’yel, Ludivine et le nabot Aroxyan à la Tanière avant d’aller rencontrer le Marquis. L’homme que nous avons aidé à sortir des bois, Benil, était sur son départ quand nous l’avons invité à notre table pour parlementer un peu. Il nous donna quelques informations sur un sorcier, la Canne ( Mahbon serais le maitre qui donne les pouvoirs au sorciers. ). Ensuite nous comme aller à notre rendez-vous. J’étais très nerveux, de par le fait de pouvoir enfin rencontrer l’homme qui peuple les histoires autour des feux et de l’attitude que le nain pourrait avoir avec LE héro du puit-de-l’ours. Un peu de déception car c’est le fils ainée, Théophile qui nous a accueille. Ludivine eu une petite discussion familiale avec lui puis le marquis arriva un peu plus tard pour nous parler. L’homme avança vers nous, on aurait dit que le temps s’était arrêté, que tout les sons avaient cessé pour ce grand homme.
J’ai pu rencontrer le héro des légendes… Justinien le guerrier! Celui qui terrassa des créatures plus dangereuses les unes que les autres. Il a même mis une tête géante de loup devant sont campement d’avant les guerres! J’ai osé lui demander de simplement mettre une main sur mon épaule. Justinien… le grand héro… m’a offert sa bénédiction!!!! Ludivine lui parla du problème de brigand et de ce que nous voulons faire à se sujet. Mon seigneur ne s’opposa d’aucune façon. Elle lui parla du projet d’une ligue au Marquisat, j’ai dû puisez au fond de moi-même pour reparler à cette homme légendaire, lui demandant de simplement reconnaitre notre projet.
Nous avons passez quelques jours à nous reposer, s’assurant que les blessures de Regimbald ne le gène plus dans ses mouvement et à repenser à notre rencontre avec le Marquis et sa grandeur qui nous inspire tous. Puis nous avons pris la route le jour suivant, rêvassant d’exploit du passé.
Arrivé à l’endroit voulu, le nabot Aroxyan trouva une piste que nous avons suivie silencieusement jusqu’à tomber sur 2 malotrus. Une petite discussion avec eux et une promesse d’avenir meilleur, ils nous ont amené à un point de rencontre avec leur chef. Un énorme humain nommé Hugh avec comme lieutenant un Tieffelin. La conversation était bien entamé quand un homme à capuche rouge et masqué à donner l’ordre de capturer Ludivine. Le combat suivi et un 2e homme à capuche apparue. Nous avons été surpris de voir que ses fameux hommes à capuche étaient de dangereux sorciers. Le combat fût féroce et nous avons réussi à mettre en déroute les brigands et les sorciers. Les quelques prisonniers que nous avons réussi à faire, nous mentionnent que tout les brigands serais sous la Flétrissure. Lors de leurs acceptations, ils doivent boire un liquide qui les rendrait Flétrie.
À notre retour en ville, un rituel contre la Flétrissure nous attendait. Je me demande si à force de recevoir autant de bénédiction sainte, elles finiront par n’avoir aucun effet sur nous. Je devrais demander à Ludivine de faire des recherches.
Par-delà le temps, Son courage inspire tous, L’homme devient une légende.Un homme, un père, un héro, une légende.
Regimbald et moi-même avons rejoint LI’yel, Ludivine et le nabot Aroxyan à la Tanière avant d’aller rencontrer le Marquis. L’homme que nous avons aidé à sortir des bois, Benil, était sur son départ quand nous l’avons invité à notre table pour parlementer un peu. Il nous donna quelques informations sur un sorcier, la Canne ( Mahbon serais le maitre qui donne les pouvoirs au sorciers. ). Ensuite nous comme aller à notre rendez-vous. J’étais très nerveux, de par le fait de pouvoir enfin rencontrer l’homme qui peuple les histoires autour des feux et de l’attitude que le nain pourrait avoir avec LE héro du puit-de-l’ours. Un peu de déception car c’est le fils ainée, Théophile qui nous a accueille. Ludivine eu une petite discussion familiale avec lui puis le marquis arriva un peu plus tard pour nous parler. L’homme avança vers nous, on aurait dit que le temps s’était arrêté, que tout les sons avaient cessé pour ce grand homme.
J’ai pu rencontrer le héro des légendes… Justinien le guerrier! Celui qui terrassa des créatures plus dangereuses les unes que les autres. Il a même mis une tête géante de loup devant sont campement d’avant les guerres! J’ai osé lui demander de simplement mettre une main sur mon épaule. Justinien… le grand héro… m’a offert sa bénédiction!!!! Ludivine lui parla du problème de brigand et de ce que nous voulons faire à se sujet. Mon seigneur ne s’opposa d’aucune façon. Elle lui parla du projet d’une ligue au Marquisat, j’ai dû puisez au fond de moi-même pour reparler à cette homme légendaire, lui demandant de simplement reconnaitre notre projet.
Nous avons passez quelques jours à nous reposer, s’assurant que les blessures de Regimbald ne le gène plus dans ses mouvement et à repenser à notre rencontre avec le Marquis et sa grandeur qui nous inspire tous. Puis nous avons pris la route le jour suivant, rêvassant d’exploit du passé.
Arrivé à l’endroit voulu, le nabot Aroxyan trouva une piste que nous avons suivie silencieusement jusqu’à tomber sur 2 malotrus. Une petite discussion avec eux et une promesse d’avenir meilleur, ils nous ont amené à un point de rencontre avec leur chef. Un énorme humain nommé Hugh avec comme lieutenant un Tieffelin. La conversation était bien entamé quand un homme à capuche rouge et masqué à donner l’ordre de capturer Ludivine. Le combat suivi et un 2e homme à capuche apparue. Nous avons été surpris de voir que ses fameux hommes à capuche étaient de dangereux sorciers. Le combat fût féroce et nous avons réussi à mettre en déroute les brigands et les sorciers. Les quelques prisonniers que nous avons réussi à faire, nous mentionnent que tout les brigands serais sous la Flétrissure. Lors de leurs acceptations, ils doivent boire un liquide qui les rendrait Flétrie.
À notre retour en ville, un rituel contre la Flétrissure nous attendait. Je me demande si à force de recevoir autant de bénédiction sainte, elles finiront par n’avoir aucun effet sur nous. Je devrais demander à Ludivine de faire des recherches.
-3-
Retourner sur nos pas, avoir des réponses à nos questions. Déterrer des morts qui marchent et combattre un cheval spectral.
Seulement deux jours de repos avant de retourner en expédition avec Ludivine, voilà le prix à payer pour protèger le Marquisat. Ludivine est venu nous cherchez Regimbald et moi accompagné de Willy et un nouveau visage, un jeune garçon nommé Candide. Le jeune garçon semble un peu « spécial ». Il tire une chèvre morte monté sur des roues. « J’ai certain doute sur l’enfant, il semble très jeune pour avoir l’expérience du combat. J’espère qu’il ne sera pas un danger pour le groupe. »
Arrivé sur place, Ludivine demande au huit de lui indiqué où le mal se trouvait dans le sol puis je balise les endroits avec un morceau de bois. Déterrer et tuer une première créature. La seconde était dans un petit étang. Willy le réveilla avec une branche et sans trop de difficulté, le groupe réussirent à le tuer et ceux qui reste sans trop de problème. Pour être certaine que les morts qui marchent restent bien morts, Ludivine versa de l’eau bénie des huit sur leur tête. Leurs tête semblais fondre aussi vite que la bière disparaissait de la chope de Regimbald. En fouillant dans les flaques d’eau près de l’endroit où l’ami d’Emerion a été retrouvé, j’ai trouvé un bracelet de houe avec une petite pierre marqué d’une griffe. Peut-être laisser par le confrère du gnome.
Après avoir tergiversé sur quoi faire avec l’arbre, nous avons décidé d’abattre l’arbre. Au premier coup, une brume très dense s’échappa de l’arbre. Regimbald s’assura qu’un mort était resté mort. D’après les dires, les brumes peuvent faire des choses hors du commun aux morts qui marchent. Des bruits et une voix d’outre-tombe s’embla s’adresser à nous puis un cheval fait de brume sorti de l’arbre et Regimbal fonça dessus tête baisser. Une gigantesque araignée fantomatique descendit des toiles pour nous attaquez à elle aussi. Nos armes n’avaient pratiquement aucun effet sur les créatures. Sauf les carreaux de l’arbalète de l’enfant… son arme semblait avoir sa propre vie. Seulement un peu de brume semblaient s’échapper de l’endroit où nos armes auraient dû laisser une blessure. Le cheval de brume tenta de retourner dans l’arbre, mais avec un coup simultané de Regimbal et moi-même, le cheval se dissipa. L’araignée fût beaucoup plus facile à terrasser. Candide joua un peu de la hache sur l’arbre et Regimbald le rejoint pour l’aider à abattre l’immense saule. Une brume de plus en plus épaisse s’échappa de l’arbre et même une fois l’arbre par terre, la brume continuait de s’échapper de la souche encore un bon moment puis cessa. Nous sommes revenus au Puits de l’ours, rendre des comptes et s’être fait purifier contre la Flétrissure. « Le jeune Candide, a certains atouts. Il à l’air très jeune mais après l’avoir vu en combat, je ne sais pas trop quoi en penser encore. Reste à voir si son inexpérience nous mettra en danger. »
Chemin incertain, Hésitations dans l'esprit, Trouve ta voie juste.Des doutes, des morts, de la brume, la force de vivre
Seulement deux jours de repos avant de retourner en expédition avec Ludivine, voilà le prix à payer pour protèger le Marquisat. Ludivine est venu nous cherchez Regimbald et moi accompagné de Willy et un nouveau visage, un jeune garçon nommé Candide. Le jeune garçon semble un peu « spécial ». Il tire une chèvre morte monté sur des roues. « J’ai certain doute sur l’enfant, il semble très jeune pour avoir l’expérience du combat. J’espère qu’il ne sera pas un danger pour le groupe. »
Arrivé sur place, Ludivine demande au huit de lui indiqué où le mal se trouvait dans le sol puis je balise les endroits avec un morceau de bois. Déterrer et tuer une première créature. La seconde était dans un petit étang. Willy le réveilla avec une branche et sans trop de difficulté, le groupe réussirent à le tuer et ceux qui reste sans trop de problème. Pour être certaine que les morts qui marchent restent bien morts, Ludivine versa de l’eau bénie des huit sur leur tête. Leurs tête semblais fondre aussi vite que la bière disparaissait de la chope de Regimbald. En fouillant dans les flaques d’eau près de l’endroit où l’ami d’Emerion a été retrouvé, j’ai trouvé un bracelet de houe avec une petite pierre marqué d’une griffe. Peut-être laisser par le confrère du gnome.
Après avoir tergiversé sur quoi faire avec l’arbre, nous avons décidé d’abattre l’arbre. Au premier coup, une brume très dense s’échappa de l’arbre. Regimbald s’assura qu’un mort était resté mort. D’après les dires, les brumes peuvent faire des choses hors du commun aux morts qui marchent. Des bruits et une voix d’outre-tombe s’embla s’adresser à nous puis un cheval fait de brume sorti de l’arbre et Regimbal fonça dessus tête baisser. Une gigantesque araignée fantomatique descendit des toiles pour nous attaquez à elle aussi. Nos armes n’avaient pratiquement aucun effet sur les créatures. Sauf les carreaux de l’arbalète de l’enfant… son arme semblait avoir sa propre vie. Seulement un peu de brume semblaient s’échapper de l’endroit où nos armes auraient dû laisser une blessure. Le cheval de brume tenta de retourner dans l’arbre, mais avec un coup simultané de Regimbal et moi-même, le cheval se dissipa. L’araignée fût beaucoup plus facile à terrasser. Candide joua un peu de la hache sur l’arbre et Regimbald le rejoint pour l’aider à abattre l’immense saule. Une brume de plus en plus épaisse s’échappa de l’arbre et même une fois l’arbre par terre, la brume continuait de s’échapper de la souche encore un bon moment puis cessa. Nous sommes revenus au Puits de l’ours, rendre des comptes et s’être fait purifier contre la Flétrissure. « Le jeune Candide, a certains atouts. Il à l’air très jeune mais après l’avoir vu en combat, je ne sais pas trop quoi en penser encore. Reste à voir si son inexpérience nous mettra en danger. »
-2-
Des questions et des réponses, on doit cogner aux bonnes portes. Les troupes du marquisat on peut-être manqué quelque chose, nous devons retourner en forêt s’assurer de la chose… et nous avons bien fait.
J’ai rencontré un nouveau venu, le barde Willybald. Ludivine lui avait donné rendez-vous pour nous accompagner. Un type… d’un certain charme. Pour commencer notre excursion, nous sommes allez voir le capitaine Gontranc. Il avait peut-être des informations sur les recherches entourant les terres du marquisat. Rien, la vingtaine d’homme envoyé au quatre coin des terres non rien trouvé, pas même la moindre indice.
Par la suite, Ludivine est allée demander la bénédiction du juge Conrad pour sortir de la ville. Il a sermonné la Rinn, sur ses choix de partenaire d’expédition et que leur troupe n’avait rien trouvé. Ludivine fit un vœu devant les 8 qui a mit le juge hors de lui! Nous avons commencé par une petite visite au ranch des Quignons. L’homme est toujours aussi sympathique. J’ai fait les présentations entre la femme de maitre Quignon et Ludivine. Elles ont échangé quelques potins mais rien qui ne pouvait nous être utile. Ludivine ne semblait pas être à l’aise de l’endroit? Ou bien c’était les gens? C’est maitre Quignon qui va passer une belle soirée!
Avec Emerion en tête de file, nous somme retourné dans la forêt chercher des indices ou des traces que les hommes du marquis auraient pu manquer. Le gnome semblait confus à un endroit, comme si quelque chose n’était pas à sa place. Après un certain temps et plusieurs détours, il nous dirigea vers une clairière. Un grand saule était en son centre et plusieurs toiles d’araignée couvraient le ciel. Après avoir fouillé la clairière, nous avons trouvé un « mort qui marche » qui était enterré. Le plan était simple, le décapité et rapporter la tête comme preuve au candélabre. J’ai réussi à lui tranché la tête... mais la coupure semblait se « guérir » d’elle-même. Ludivine l’acheva avec la lumière des 8 qui était en elle.
En quittant la clairière, nous avons rencontré Benild. Un homme d’un certain âge, qui venait de passé 3 jours perdu sur place. Il disait « enquêter » sur des événements arrivés en forêt et qu’il venait de la baronnie Ripleinne. Emerion nous sortie de la forêt en vitesse avant la pénombre. Plus la noirceur s’installait et beaucoup de bruit inquiétant arriva à nos oreilles. (Probablement dût à la noirceur et au stresse) Nous somme revenu au Puits de l’ours bien après la dernière messe. Rendu à l’église, nous avons été accueilli par le juge Conrad lui-même et lui avons remis la preuve : La tête du mort qui marche. Un seul problème, la tête avait repris vie. Le juge l’élimina sur le champ et mandata Ludivine pour réglé le problème avant le mois de Sombrempt.
-La lame s'élève, Un souffle, un geste précis, La victoire est tienne.Une forêt, une illusion, un mort-vivant dans la terre, une tête qui reprend vie.
J’ai rencontré un nouveau venu, le barde Willybald. Ludivine lui avait donné rendez-vous pour nous accompagner. Un type… d’un certain charme. Pour commencer notre excursion, nous sommes allez voir le capitaine Gontranc. Il avait peut-être des informations sur les recherches entourant les terres du marquisat. Rien, la vingtaine d’homme envoyé au quatre coin des terres non rien trouvé, pas même la moindre indice.
Par la suite, Ludivine est allée demander la bénédiction du juge Conrad pour sortir de la ville. Il a sermonné la Rinn, sur ses choix de partenaire d’expédition et que leur troupe n’avait rien trouvé. Ludivine fit un vœu devant les 8 qui a mit le juge hors de lui! Nous avons commencé par une petite visite au ranch des Quignons. L’homme est toujours aussi sympathique. J’ai fait les présentations entre la femme de maitre Quignon et Ludivine. Elles ont échangé quelques potins mais rien qui ne pouvait nous être utile. Ludivine ne semblait pas être à l’aise de l’endroit? Ou bien c’était les gens? C’est maitre Quignon qui va passer une belle soirée!
Avec Emerion en tête de file, nous somme retourné dans la forêt chercher des indices ou des traces que les hommes du marquis auraient pu manquer. Le gnome semblait confus à un endroit, comme si quelque chose n’était pas à sa place. Après un certain temps et plusieurs détours, il nous dirigea vers une clairière. Un grand saule était en son centre et plusieurs toiles d’araignée couvraient le ciel. Après avoir fouillé la clairière, nous avons trouvé un « mort qui marche » qui était enterré. Le plan était simple, le décapité et rapporter la tête comme preuve au candélabre. J’ai réussi à lui tranché la tête... mais la coupure semblait se « guérir » d’elle-même. Ludivine l’acheva avec la lumière des 8 qui était en elle.
En quittant la clairière, nous avons rencontré Benild. Un homme d’un certain âge, qui venait de passé 3 jours perdu sur place. Il disait « enquêter » sur des événements arrivés en forêt et qu’il venait de la baronnie Ripleinne. Emerion nous sortie de la forêt en vitesse avant la pénombre. Plus la noirceur s’installait et beaucoup de bruit inquiétant arriva à nos oreilles. (Probablement dût à la noirceur et au stresse) Nous somme revenu au Puits de l’ours bien après la dernière messe. Rendu à l’église, nous avons été accueilli par le juge Conrad lui-même et lui avons remis la preuve : La tête du mort qui marche. Un seul problème, la tête avait repris vie. Le juge l’élimina sur le champ et mandata Ludivine pour réglé le problème avant le mois de Sombrempt.
-1-
Pourquoi suis-je derrière les barreaux avec des inconnus? Comment j'en suis arrivé là? Le visage de déception du capitaine quand il est venu nous chercher, j'imagine un peu la même chose sur celle du jeune baron. Je doit reprendre mon sang-froid et méditer à la situation.
Le forgeron Régimbald est venu nous chercher, sur missive de Ludivine. Quelques travaux à faire et nous seront libre. Elle ne semble pas avoir perdu de son grand coeur pour laisser sortir les autres. Un Loracien du nom de Ll'yel. un gnome à la chevelure de couleur du nom d'Emerion et un Halfelin surnommé Aroxyan. Nous devons nous rendre sur les terres de maître Quinion pour du travail.
Maître Quinion nous indiques une cloture à réparer dans les plus bref délai. Régimbald à bien fait de nous superviser à distance, sous le pommier, avoir le soleil dans les yeux aurait pus affaiblir ses yeux et un des autres aurraient pus essayer d'en profiter pour s'échapper. Après une journée de dure labeur, j'ai demandé Régimbald a eu l'idée de demander asile à maître Quinion pour la nuit. Ce lever tôt pour commencer plus tôt. Il a malheureusement oublier d'avertir le capitaine, qui a eu comme conséquence la visite de celui-ci pour s'assurer de notre bon travail. Notre "collègue" d'infortune Loracien, semble avoir la capicité d'être à plusieurs endroit au même moment, il aurait été vue à voler des chevaux au maître voisin. Maître Quinion nous exempta de travaux pour aller voir si nous pouvions donner un coup de main à retrouver les animaux volés.
Rendu sur place et après avoir poser quelques questions, nous avons suivie une piste laisser par les voleurs. Il nous fallu peu de temps pour tomber sur leur campement. Avec Régimbald, j'ai essayé de les raisonnés mais sans succès. Leurs chef à lancé l'attaque et tout c'est passé très vite. Des voleurs on perdu connaissance, d'autre on réussi à fuir et quelques-uns on été fait prisonniers. Leur chef à dû faire une mauvaise chute de cheval après avoir reçu une hachette en plein visage lancé par le forgeron. Il en était méconnaissable après la bataille.
Après avoir questionné les prisonniers et fouillé les lieux, nous avons obtenus des informations qui semble... avoir été oublié.
Après avoir rapporter les chevaux volés nous sommes retourné voir maître Quinion. Le capitaine était sur place et c'était une chance pour nous. Nous avons pus lui remettre les prisonniers et lui mentionner l'information de premier ordre pour le Marquisat. Les brûmes on bougé!!!
Maître Quinion nous mentionnes qu'un magnifique cheval qui allait devenir un cadeau de marque, avait été volé le temps de notre enquête. Maître Quinion nous offrit l'hopistalité de sa maison et une tourte bien chaude si nous parvenions à retrouvé la magnifique monture. Nous n'étions plus des travailleurs gratuits, mais une petite troupe d'homme en armes avec une mission. Après avoir retrouvé rapidement la piste du voleur dans une petite clairière, une créature qui semble venir des ombres nous a attaqué. Je n'avais jamais encore vue une telle créature. On aurait dit un mort qui courait vers nous avec des grandes mains. Par chance et par adresse, nous avons réussi à s'échapper, au grand malheur pour maître Quinion qui venait de perdre une monture.
Nous sommes tous retourné à la Tanière, une taverne assez mouvementé, car une tourné devait être payer pour nos exploits.
Comme l'aube silencieuse Le monde s'épanouit en paix La tranquillité règneUn jeu de carte avec des incoonus, le Loracien trop chanceux, une bagarre éclate, les gardes puis le capitaine arrivent.
Le forgeron Régimbald est venu nous chercher, sur missive de Ludivine. Quelques travaux à faire et nous seront libre. Elle ne semble pas avoir perdu de son grand coeur pour laisser sortir les autres. Un Loracien du nom de Ll'yel. un gnome à la chevelure de couleur du nom d'Emerion et un Halfelin surnommé Aroxyan. Nous devons nous rendre sur les terres de maître Quinion pour du travail.
Maître Quinion nous indiques une cloture à réparer dans les plus bref délai. Régimbald à bien fait de nous superviser à distance, sous le pommier, avoir le soleil dans les yeux aurait pus affaiblir ses yeux et un des autres aurraient pus essayer d'en profiter pour s'échapper. Après une journée de dure labeur,
Rendu sur place et après avoir poser quelques questions, nous avons suivie une piste laisser par les voleurs. Il nous fallu peu de temps pour tomber sur leur campement. Avec Régimbald, j'ai essayé de les raisonnés mais sans succès. Leurs chef à lancé l'attaque et tout c'est passé très vite. Des voleurs on perdu connaissance, d'autre on réussi à fuir et quelques-uns on été fait prisonniers. Leur chef à dû faire une mauvaise chute de cheval après avoir reçu une hachette en plein visage lancé par le forgeron. Il en était méconnaissable après la bataille.
Après avoir questionné les prisonniers et fouillé les lieux, nous avons obtenus des informations qui semble... avoir été oublié.
Après avoir rapporter les chevaux volés nous sommes retourné voir maître Quinion. Le capitaine était sur place et c'était une chance pour nous. Nous avons pus lui remettre les prisonniers et lui mentionner l'information de premier ordre pour le Marquisat. Les brûmes on bougé!!!
Maître Quinion nous mentionnes qu'un magnifique cheval qui allait devenir un cadeau de marque, avait été volé le temps de notre enquête. Maître Quinion nous offrit l'hopistalité de sa maison et une tourte bien chaude si nous parvenions à retrouvé la magnifique monture. Nous n'étions plus des travailleurs gratuits, mais une petite troupe d'homme en armes avec une mission. Après avoir retrouvé rapidement la piste du voleur dans une petite clairière, une créature qui semble venir des ombres nous a attaqué. Je n'avais jamais encore vue une telle créature. On aurait dit un mort qui courait vers nous avec des grandes mains. Par chance et par adresse, nous avons réussi à s'échapper, au grand malheur pour maître Quinion qui venait de perdre une monture.
Nous sommes tous retourné à la Tanière, une taverne assez mouvementé, car une tourné devait être payer pour nos exploits.