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Glossaire

OÙ L’ON FOURNIT UN GLOSSAIRE GÉNÉRAL

 
AÉTYTE (n.f.) pierre que l’on trouve dans les nids d’albâtre et dont les origines restent confuses : sécrétions de l’animal, écryme cristallisée… On s’en sert pour les travaux d’orfèvrerie et de couture.
ALACHINE (n.m., [alakin]) prêtre de l’ordre de Malachine. On les distingue des pèlerins de l’industrie qui apportent la parole du prophète.
ALBÂTRE (n.m.) oiseau caractérisé par ses ailes racornies et son bec effilé, se nourrissant du nectar des fleurs d’écryme et du sang des hurleurs.
ANENCE (n.f.) artefact lié à un ou plusieurs céphales. Le folklore lui accorde des propriétés mystiques.
ANENCÉPHALE (n.propre) dans la mythologie céphalique, première créature née de l’écryme. Certains le vénèrent comme un dieu.
ANTÉCRYME (n.f.) période antérieure à l’apparition de l’écryme. Son existence est mise en doute par certains encyclos renégats. La croyance veut que ce temps ait été marqué par une technique et un progrès insouciants.
ARAGONE (n.f.) religion traversière anti-scientiste et anti-citadine menant une vaste inquisition contre le progrès sous toutes ses formes. Ses saints se présentent le plus souvent comme des victimes cherchant à se venger de la technologie.
ARANTÈLE (n.propre) nom donné à la Toile par les arpenthes. Le nom commun continue de désigner la toile d’araignée dont les chemins tortueux rappellent celui des traverses.
ARPENTHÈME (n.m.) religion basée sur le postulat que le réseau traversier forme un schéma divin appelé l’Arantèle. Les arpenthes se sont donné pour mission de le déchiffrer.
ARPENTHE (n.m.) f idèle ou religieux de l’arpenthème.
BOHÈME (n.propre) cité légendaire où l’écryme n’aurait pas de prise.
BUSO (n.m.) 1- ovipare physiquement proche du rat, mais doté de crocs venimeux et d’une queue disproportionnée sur laquelle il se dresse parfois. 2- Nom de la drogue tirée de sa poche à venin séchée. Son administration se fait mélangée à de l’alcool ou, de manière tactile, en la frottant sur la peau. Un usage répété de ce dernier mode d’administration laisse des marques rouges indélébiles.
CÉPHALE (n.m.) dans l’imaginaire populaire, sorcier ayant pactisé avec l’écryme et ses démons.
CHYMIE (n.f.) alchimie consistant à employer l’écryme, cette science récente est renégate.
CITÉ (n.f.) agglomération bâtie sur un îlot émergeant, quelle que soit sa taille. Par opposition, les jonctions sont des agglomérations dont les fondations ne reposent sur aucune terre.CRI (n.propre) dans le folklore céphalique, rêve collectif désespéré qui donna naissance à l’écryme.
ÉCRYME (n.f, [ekrim]) matière acide et visqueuse dont l’origine inconnue est source de nombreux débats tant scientifiques que religieux. Sa teinte varie en fonction des saisons : verde (kaki), sanguine (rouge), rouille (rouille) et morte (brune).
ÉFOURCEAU (n.m.) pilote des nacelles permettant de monter ou descendre d’un dirigeable. Dans le cas d’une caravane comme Itinérance, les éfourceaux assurent également le transit entre aéronefs.
ÉPIPHYTE (n.f.) mousse comestible servant à épaissir les brouets.
ERRANCE (n.propre) 1- caravane autonome de chariots voyageant sur les traverses. Errance est liée aux origines d’Itinérance et a désormais disparu. 2- jeu symbole d’Itinérance opposant deux participants. L’objectif est de gagner en influence sur le reste de la Toile avec une caravane fictive se déplaçant sur un plateau figurant les cités et les traverses.
FLEUR D’ÉCRYME (n.f.) végétal poussant à même l’écryme après la pluie et mourant aux premières évaporations. La fleur est cueillie pour sa tige, dure et résistante à l’écryme et pour ses fleurs comestibles.
FULIGE (n.m.) animal domestique proche du porc. Plus rarement, on en trouve à l’état sauvage. Son régime très varié en fait une sorte d’éboueur naturel particulièrement prisé pour le recyclage.
GHILDE (n.f.) association de malfaiteurs versant dans la contrebande, la mendicité, la prostitution, le vol et, plus rarement, l’assassinat.
HALLE (n.f.) boutique construite autour des gares où les trains des konzerns y déposent leurs marchandises.
HARBEPON (n.m.) arbalète dont le projectile, en forme de harpon, est relié à un mince fil de fer.
HUILE LOURDE (n.f.) ce carburant est l’un des meilleurs combustibles sur le marché.
HURLE (n.m.) le hurle est une unité monétaire équivalente à un dixième de lige ou dix sous. Il se présente sous la forme d’une pièce allongée percée d’un trou et rappelle vaguement la gueule d’un hurleur. Il est transporté attaché à une cordelette.
HURLEUR (n.m.) prédateur chitineux vivant dans l’écryme et se nourrissant des fleurs d’écryme. Connu pour son cri caractéristique et ses bonds imposants, seul le cœur de cet animal est comestible, bien que les albâtres se nourrissent de son sang.HYDNE (n.m.) champignon poussant sur le composte dont l’application en potion ou en onguent permet de diminuer les risques d’infection.
HYDROCRYME (n.m.) mélange de vapeur d’eau et d’écryme. Ni inflammable ni corrosif, il est surtout plus léger que l’air et est donc particulièrement employé pour les dirigeables. Il est également employé pour faire tourner certains moteurs dont les importantes performances se font au détriment de la durée de vie.
ICARIEN (n.m.) pilote de cerf-volant.
JONCTION (n.f.) lieu de rencontre entre deux traverses. Par analogie, ce terme désigne les villes qui s’y sont développées puis, par la suite, toutes les villes bâties sur les traverses.
JURANDE (n.m.) terme désuet pour appeler le membre d’une Loge.
KONZERN (n.m.) conglomérats de grandes compagnies marchandes, dirigés par la noblesse marchande.
LIGE (n.m.) unité monétaire tirant son nom du salaire d’une journée d’un homme d’armes. Cent sous valent un lige et dix liges une pièce d’or.
LOGE (n.f. avec une majuscule) corporation affiliée à un métier. Ces instituts s’occupent de la recherche et de l’application de ce savoir, mais également de son enseignement. Par analogie, les « grandes » Loges englobent plusieurs domaines.
LYS NOIR (n.m.) confrérie terroriste anti-citadine proche du culte de l’aragone. Moins extrémistes toutefois, ses membres ne poursuivent qu’un but politique.
MALACHINE (n.propre, [malakin]) prophète dont la religion préconise l’existence d’une âme machine.
MANDRE (n.f.) champignon noir comestible poussant à proximité de l’écryme. Un procédé coûteux permet d’en faire des parchemins.
MNÉMOSYNE (n.f.) petit cocon de toile qui, une fois brisé, libère des effluves permettant de rêver éveillé.
MOUCHE (n.f.) fonctionnaire à la mémoire eidétique au service de la propagande, traquant les erreurs administratives et luttant contre la corruption. On les trouve essentiellement en Antipolie, mais aussi dans le Lansk.
MOYÉCRYME (n.m.) période d’obscurantisme consécutive à l’apparition de l’écryme. Le Moyécryme précède la révolution industrielle.
MYCOTIÈRE (n.f.) lieu, le plus souvent une cave, où sont cultivés les champignons et les mousses.
NAGEL (n.m.) champignon comestible, mais psychotrope cultivé essentiellement pour l’élevage.
NOBLESSE MARCHANDE (n.f.) ordre capitaliste dirigeant les konzerns reprenant une hiérarchie féodale agrémentée de codes et de rites propres à chaque konzern.
PLAQUE (n.f.) publication locale éditée sur des feuilles métalliques et lue dans des lieux publics.PROPAGANDE (n.f.) diminutif donné aux ministères de la propagande. Cette institution, dirigée par les métropolites, est propre à chaque ville. Les ministères de la Propagande sont les seuls ministères à entretenir des rapports étroits avec ceux des autres villes afin de maintenir la paix. C’est de ces liens qu’est née la légende d’une propagande transurbaine, entité omnipotente au-dessus même des États.
RELAIS (n.m.) auberge traversière ayant, pour certaines, bénéf icié de l’essor du commerce et des échanges entre cités pour prospérer jusqu’à atteindre la taille de petite ville. Par convention, la dénomination de relais englobe toutes les auberges traversières alors que les cités possèdent des cafés, des tavernes, des pensions, des gargotes, des hôtels, des guinguettes…
RENÉGAT (n.m.) scientifique rejetant les interdits scientistes fixés par les Loges. Qualifie le plus souvent une personne ne payant pas de dime à sa Loge.
ROSE-FER (n.f.) fleur rigide et coupante, utilisée comme une arme.
RULL (n.m) drogue permettant de résister au sommeil.
SEIGNEUR TRAVERSIER (n.m.) noble régnant sur les traverses comme derniers vestiges d’une époque féodale révolue. Présents sur toute la Toile, on les trouve au pouvoir dans les principautés d’Olmune.
SIMANE (n.m) drogue hallucinogène privant de sensation.
SPORÉ (n.m.) champignon employé comme combustible une fois séché.
SUBSISTANCE (n.f.) ministère de la Subsistance chargé de l’approvisionnement des cités.
SYLAMEL (n.f.) drogue accordant des visions prophétiques, mais conduisant généralement les toxicomanes au suicide.
SYNDIC (n.m.) regroupement ouvrier. Désigne également l’union des habitants d’un immeuble chargé de la valorisation des ressources du bâtiment : jardin suspendu, récupération de l’eau de pluie des gouttières, installation d’une mycotière dans la cave…
TOILE (n.propre) ensemble des trames et donc des traverses. Par extension, l’univers d’Écryme.
TRAME (n.f.) ensemble des traverses datant d’une même époque. Elles sont ainsi souvent d’un même type. La première trame, datant de la fin du Moyécryme, est constituée de grandes traverses de pierres. Les traverses de la seconde trame sont, le plus souvent, en fer (aussi dites eiffeliennes) et comprennent des câbles télégraphiques. La troisième trame comprend des traverses privées.
TRAVERSE (n.f.) pont gigantesque lancé au-dessus de l’écryme. L’ensemble des traverses forme la Toile.
URBATECH (n.m) terme familier désignant un membre du ministère de l’Urbanisme ou un savant en urbatechnologie.URBEAH (n.propre) culte considérant que chaque cité est vivante.
VAGUE (n.propre) dans le folklore, gigantesque raz-de-marée d’écryme ayant supposément mis un terme à l’Antécryme. Une certaine périodicité lui est souvent attribuée.  

Des termes relatifs à l'Antipolie

  CANDBURY (n. propre) cité frontière entre l’Antipolie et le Gloriana où vivent les Candburins.
CELLULE (n.f.) sous division des directoires. Les cellules sont gérées par les secrétaires des ministres.
CHAMBRE (n.f.) les chambres parlementaires correspondent aux ministères. La nuance est une question de taille puisque les chambres parlementaires s’appliquent à la Ligue tout entière alors que les ministères se limitent aux cités.
DIRECTOIRE (n.m.) sous-service des chambres parlementaires ou des ministères.
ENTRELACE (n.propre) aussi connue sous le nom de cité des voleurs, cité des bains ou ville évaporée, est une gigantesque conurbation de trente-cinq îles. Entrelace présente une caractéristique unique sur la Toile : elle ne possède aucun adjectif ni de nom de citoyen lui correspondant. La coutume veut que l’on accole tout simplement un d’Entrelace à son nom.
ITHAR (n.propre) cité dont les habitants sont les Ithians.
LIGUE (n.f.) surnom donné à l’union des territoires antipoliens.
OUTREPOLIE (n.propre) ancien nom de l’Antipolie.
PARIS (n.propre) cité des inventions à la limite orientale de l’Antipolie.
PARLEMENT (n.m.) le parlement rassemble, à l’échelle de l’Antipolie entière, l’ensemble des quatre chambres parlementaires rappelant directement les structures des ministères.
PRAGUE (n.propre) cité parlementaire de l’Antipolie entière, habitée par les Praguois.
TSAR (n.m.) titre désignant l’ancienne noblesse antipolienne rappelant les origines communes avec le Tsar, dirigeant du Lansk.
VIENNE (n.propre) première cité antipolienne, habitée par les Viennois.  

Des termes relatifs au Gloriana

  CHAMBRE (n.f.) les chambres parlementaires correspondent aux ministères (Paix/Guerre, Arts et Métiers/Subsistance, Urbanisme/idem). La Propagande n’est pas représentée.
REINE DE FER (n.f.) nom donné à la dirigeante actuelle du Gloriana.
MILICE DE FER (n.f.) milice aux ordres de la reine de Fer.
GENTE FACONNIÈRE (n.f.) bourgeoisie industrieuse assurant la transmission du savoir à la manière des Loges, mais avec une plus forte implication auprès des konzerns. La présence des Loges est donc fortement réduite dans le royaume du Gloriana.
LONDRES (n. propre) principale cité gloriannaise, habitée par les Londoniens.
HIVERNÊCE (n. propre) cité entièrement bâtie sous un dôme de verre et de fer habitée par des Hivernais.
CAMELOT (n.propre) cité mère du Gloriana accueillant la reine de Fer, ses habitants sont les Camaal.
CITÉS INDÉPENDANTES DU COMMERCE cités ou plutôt jonctions-relais placées hors du territoire gloriannais, mais possédées par ses konzerns. On parle également de communautés autonomes.  

Des termes relatifs à l'Istanie

  ABBASSIDES (n.propre) noms donnés à la dynastie des descendants d’Abbas, c’est-à-dire des khalifes. La période des Abbassides a été marquée par les nombreux excès des khalifes.
ANATOLIE (n.propre) partie est de la Grande Traverse. Berceau de l’Istanie, elle comprend Ankara, Istanbul et Ismyr.
ANKARA (n.propre) cité d’Anatolie dont les citoyens sont les Ankariotes.
CONFRÉRIE (DES SÉRAILS) (n.f) association des plus grands sultans dirigeants l’Istanie.
DINARIQUE (adj) relatif à la partie centrale de l’Istanie, souvent appelée Monts dinariques. Monténégro en fait partie.
ESCLAVES (RÉVOLTE DES) (n.propre) soulèvement ayant mis fin au règne des Abbassides.
FRANC PEUPLE désigne les Istaniens qui ne sont ni esclaves ni sultans.
GHOULE (n.f.) membre d’une ghilde istanienne.
GRANDE TRAVERSE (n.propre) traverse démesurée reliant toutes les cités istaniennes.
ISKANDRA (n.propre) cité bibliothèque de l’Anatolie habitée par les Iskandrins.
ISMYR (n.propre) cité de l’Anatolie peuplée par les Smyrniotes.
ISTANBUL (n.propre) cité d’Anatolie ayant donné son nom à l’Istanie et habitée par les Stambouliotes.
KHALIFE (n.m.) signifiant également successeur, désigne les seigneurs de la période des Abbassides.
MONTÉNÉGRO (n.propre) cité des Monts dinarique dont les habitants sont les Monténégrins.
ODALISQUE (n.f.) servantes des concubines, se réunissant en groupes occultes appelés sororités par opposition à la confrérie.SAINT (n.m.) terme ankariote désignant un humain affligé d’une difformité et considéré comme un semidieu. Cette croyance est restreinte à Ankara.
SULTAN (n.m) titre pris par les seigneurs istaniens suite à la révolte des esclaves.
TANGER (n.propre) cité des Îles du Couchant habitée par les Tangerois (parfois également appelés Tangerin).  

Des termes relatifs à Itinérance

  MARRAINE (DES VENTS) (n.f.) salle commune de chaque dirigeable ayant des allures de café. Lieu de repos et de rencontre, on y discute, fume, boit et se restaure. Les visiteurs y sont souvent cantonnés.
PASTEUR (n.m.) titre donné au capitaine (homme ou femme) d’un dirigeable.
PRINCE (n.m.) pilote principal et second du pasteur ayant toute autorité en son absence du pasteur.
SILENCE/BRUIT (n.m.) période rythmant la vie à bord d’Itinérance. Les silences désignent généralement une escale (moteurs et ateliers à l’arrêt, aucun sifflement du vent). Les bruits désignent les moments où la caravane avance.
SPHÉRYME (n.m.) cette haute distinction en matière d’artisanat se voit attribuée à des artisans d’Itinérance ayant réalisé au cours de leur première année une œuvre d’exception. Le sphéryme se présente sous la forme d’un disque ouvragé de bois et d’argent.
VALET (n.m.) mécanicien en chef s’occupant des équipes qui travaillent chaque jour afin de réparer les moindres avaries.
VEILLEUR (n.m.) un des dix miliciens détachés à un pasteur.  

Des termes relatifs au Lansk

  BOYARD (n.m.) seigneur traversier du Lansk.
FERRAILLE (n.propre) marché proche de Méthalume. Les liens entre les deux cités sont si importants que ses habitants sont également appelés Méthalumiens.
HETMAN (n.m) titre des chefs militaires lanskois.
MÉTHALUME (n.propre) cité emblématique du culte de Malachine où vivent les Méthalumiens.
MOSCOU (n.propre) capitale du Lansk où vivent les Moscovites.
SAINT-PÉTERSBOURG (n.propre) seconde cité du Lansk, habitée par les Pétersbourgeois.
TSAR (n.propre) dirigeant tout puissant du Lansk. Le Tsar est unique et prend une majuscule par opposition à la noblesse antipolienne.  

Des termes relatifs aux Marches

  JAT (n.m.) étranger, qui n’est pas mongol.
KHAN (n.m.) chef des khanats dépendant du khagan. Au nombre de quatre, ils dirigent les noyons ou chefs des oboqs. Le titre de khan est parfois remplacé par Chien Féroce.
KHANAT (n.m.) quatre régions qui constituent les Marches soit le Sibir (nord-est), le Samarkand (sudest), l’Olkkon (sud-ouest) et l’Ovar (nord-ouest). Chaque khanat est dirigé par un khan.
KHAGAN (n.m.) empereur des Marches, il est désigné par les khans ou quatre Chiens Féroces.
KHAGANAT (n.m.) mot mongol désignant les khanats, ou régions des Marches. Le khaganat est dirigé par le khagan.
KOURITLAÏ (n.m.) réunion des oboqs.
NOYON (n.m.) chef des oboqs ou clan mongol, qui a la gestion des oblats.
OBLAT (n.m.) domaine sur lequel s’étend la domination d’un oboq.
OBOQ (n.m.) clan mongol arpentant le vaste réseau traversier que sont les Marches.  

Des termes relatifs à la Nordanie

  DAME BLANCHE (n.f.) maîtresse de l’Hivernance. Leur nombre exacte reste un mystère.
DORVIK (n.propre) cité double habitée par les Dorvais. On différencie les Hauts-Dorvais des Bas-Dorvais vivant à l’ombre des premiers.
GOTTENBORG (n.propre) cité jumel le de Souspente habitée par les Gottenois.
HIVERNANCE (n.propre) religion matriarcale à l’influence nationale. Reliée à la légende du phénix des glaces, elle vise à préparer la Nordanie à l’exode salvateur de la Transhumance.
SOUSPENTE (n.propre) cité située à l’entrée de la Nordanie habitée par les Souspents.
TOUR CARRÉE tour située dans diverses cités de la Toile où les contrats sont passés avec les mercenaires nordaniens.
TRANSHUMANCE (n.propre) aboutissement de l’Hivernance voulant que l’humanité se libère de l’écryme en s’établissant sur des terres gelées. Très proche de la légende de Bohème, ce folklore s’est répandu aux restes de la Toile lors de l’ouverture de la Nordanie.  

Des termes relatifs à la Pentapolie

  BEUGLANT (n.m.) nom des tavernes d’Endémine qui présentent des acteurs au jeu fort bruyant pour maintenir les mineurs éveillés.
CONFÉDÉRATION (n.f.) surnom donné à la Pentapolie. On la décrit même comme la confédération pentapolienne.CONSISTOIRE (n.m.) unique organe politique pentapolien constitué des cinq synodes.
DÉMOS (n.propre) la ville lumière est une cité tournée prisant la rhétorique dont les habitants s’appellent les Démocrites.
DUMESTRE (n.m.) contraction de duc et de bourgmestre. Cette charge héréditaire donne droit à diriger un des quatre quartiers d’Éole.
ENDÉMINE (n.propre) cité de la Pentapolie dont les habitants s’appellent les Endémiens.
ÉOLE (n.propre) cité des vents, capitale officieuse de la Pentapolie, habitée par les Éoliens.
HODOLOGISTE (n.m.) parlementaire démocrite élu lors des tribunes publiques.
QUADRIVIUM (n.m.) arts relatifs aux quatre hauts-collèges démocrites que sont l’arithmétique, la musique, la géométrie et l’astronomie.
SÉRONE (n.propre) cité de la Pentapolie dont les habitants s’appellent les Sérains.
SYNODE (n.m.) au nombre de cinq, ces divisions du consistoire sont destinées à gérer des domaines précis au nom de la Pentapolie tout entière : la Guerre, la Subsistance, l’Urbanisme, la Propagande et la Vigilance. Chaque synode est géré pendant six ans par une des cinq cités.
THÉORIC (n.propre) la ville logique est une cité de la Pentapolie dont les habitants s’appellent les Théoriciens.
TRIVIUM (n.m.) se dit des arts relatifs aux trois collèges de Démos, soit la grammaire, la rhétorique et la dialectique.  

Des termes relatifs aux Provinces rhodésiennes

  AGORA (n.f.) lieux de rassemblement dans lesquels se déroulent les ecclésias et, le reste du temps, les marchés.
ALSCYDE (n.propre) cité habitée par les Alscydis.
CONTRACTANT (n.m) nom donné aux citoyens des Provinces rhodésiennes. Ces derniers se doivent de posséder une lame citoyenne.
ECCLÉSIA (n.f.) assemblée de citoyens.
INTERCESSEUR (n.m.) courtier de la Loge éponyme en charge de négocier et faire respecter les contrats des mercenaires.
PANDORE (n.f./n.m.) pandore désigne à la fois la milice de chaque cité-État (il est alors employé au féminin), mais également les miliciens qui la compose. On dit un pandore qu’il soit homme ou femme pour parler des policiers.
SAGE (n.m.) conseiller citoyen ayant pour rôle de soumettre des lois au vote populaire. Ils portent des noms différents : doyens (Urbs), augustes (Spicules), assemblée vénérable (Alscyde), myste (Syénites).SPICULE (n.propre) cité bâtie dans des aiguilles de pierre où vivent les Spiculins.
TAPAGEUR (n.m.) membre de Loge ayant pour rôle de trancher lors des votes citoyens.
URBS (Cité mère) (n.propre) première cité des Provinces, habitée par les Urbissins.  

Des termes relatifs à Venice

  ANTIQUAIRE (n.m.) nom des membres de la Loge éponyme qui constituent les intermédiaires obligés entre artistes et konzerns.
ARLEQUIN (n.m.) milice des antiquaires caractérisée par une tenue bigarrée. Ses membres sont sous la direction de la Loge des antiquaires.
ARTISTOCRATE (n.m.) membre de l’artistocratie, noblesse artistique siégeant au parlement de Venice.
CRÉPUSCULAIRE (n.m.) corps d’échassiers sillonnant la cité la nuit venue. Les crépusculaires suivent les ordres du préfet.
DOGE (n.m.) maître des Loges artistiques et donc dirigeant de Venice. Au nombre de quatre, ils sont élus durant le Festival.
DROITURE (n.f.) sous-préfecture équivalente des ministères de la Subsistance. La droiture a également la charge de la justice par le biais du saint office et des crépusculaires.
FESTIVAL (n.propre) fête durant laquelle sont élus les quatre doges.
PRÉVENANCE (n.f.) sous-préfecture veillant sur l’état des bâtiments. Cette police de l’urbanisme est symbolisée par le fil de plomb porté par les architechs.
VENICE (n.propre) plus grande jonction de la Toile, Venice est souvent qualifiée (à tort) de cité : cité des arts, cité musée, cité des doges, cité neutre, cité libre, cité des ambassades. Capitale des arts et de la diplomatie, ses habitants sont les Veniciens.

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