Académie de Tombétoile
Description des lieux
L'Académie de Tombétoile est la célèbre (et unique) académie de magie de la "Perle du Désert". Située au sud de la ville, proche du désert et loin de hauts quartiers, on y instruit ceux qui peuvent se payer l'accès aux cours et aux fournitures, mais aussi les prodiges parmi les plus pauvres, qui peuvent en être dispensés si ils deviennent les protégés d'un professeur, ou d'un élève plus âgé (devenant alors son protecteur). Les élèves, quels que soient leur statut peuvent aussi mettre à profit leur enseignement en produisant des parchemins, potions, objets, armes et armures magiques pour l'Académie, qui fonctionne ainsi comme le plus grand marché de magie de la ville, dans la partie ouverte au publique. Les apprentis y tiennent les stands, vantant la qualité de leurs produits (en réalité, parfois médiocre voir dans de rares cas, dangereux et imprévisibles). Les prix y sont très attractifs en raison du manque de savoir-faire de leurs créateurs et de leur seul besoin de financer leurs cours et internat.
Apparence extérieure.
L'académie est un large quartier et forme irrégulière, ceint d'un large muret noir, à hauteur d'homme (1m80) qu'il est vain de tenter d'escalader d'après les connaisseurs... Ses grands portes, un portail de fer ouvragé est toujours ouvert, de jour comme de nuit. Deux gardes se tiennent toujours en faction, portant la livrée Tombétoile, d'un noir de jais, frappée d'une sphère mauve, dont semble filer un trait arrondi : Une comète mauve, à l'évidence. ☄ A intervalles réguliers du muret, un pilier plus large encore est surmonté d'une statue canine massive, en granit et représenté assis, une patte posée sur un orbe semblant fait en verre. De loin et d'une hauteur, on peut discerner l'intérieur du parc, ses échoppes, son marché, les bâtiments d'internat et de cours, austères et sans fantaisie, dans l'architecture de pierre jaunâtre, du reste de la cité. Mais adossé au muret, une immense tour (42m) noire, lisse, domine tous les envions de silhouette à la fois massive, et élégante.
Apparence intérieure.
Que ce soit pour des raisons philanthropiques ou simplement parce que les élèves leur sont très profitables, le Conseil de l'Académie de Tombétoile semble avoir fait le pari d'accueillir le plus grand nombre possible d'élèves de l'immense cité surpeuplée. Nuit est jour, l'endroit bourdonne d'activité, les marchands et voyageurs venus faire des affaires se pressent, se cognent, dans la cour pourtant vaste, et dans les couloirs de l'internat, comme dans les salles de cours, on se serre et on s'habitue à la promiscuité. Pour autant, l'air y est plus frais et respirable que partout ailleurs dans la ville, ca nombre de mages y ont déjà réalisé les bénéfices à tirer d'enchanter en magie de froid, des objets simples (et parfois étranges) qui ornent les murs des salles de cours, des chambres et dortoirs. Pour le reste, la décoration est aussi farfelue et irrégulière que le talent des apprentis : certaines statues et tableaux sont féeriques, fascinants, surnaturellement attirants. A l'inverse, d'autres créations semblent tirés des pires cauchemars et si dérangeants qu'ils soient, arrivent toujours à trouver une petite place et un petit cercle d'élèves pour réclamer qu'il ne soit pas retiré …
Structure
Les candidats
Tout habitant ou voyageur peut entrer dans l'Académie et demander à y être reçu en tant que candidat. Il est fréquent que des nobles et marchands amènent leur progéniture, dûment préparée ou non, à l'examen, mais il est encore plus courant que des enfants des rues se présentent d'eux même, tentent, et retentent leur chance (une fois par an). Sauf exceptions, l'épreuve à alors lieux dans les heurs qui viennent, avant le coucher du soleil, en présence des deux professeurs et d'un élève expérimenté.
L'intégration des apprentis se fait toute l'année au fil des examens. et si tout apprenti peut entrer par l'examen, les frais pour les cours et l'internat lui seront demandés chaque mois, en espèce sonnante et trébuchantes, ou parfois en troquant des objets (repris à ville prix par le Conseil). Chacun est libre de s'inscrire aux cours qu'il désire, mais plus de cours implique plus d'argent en fin de mois. Ceux qui expliquerons que ce fonctionnement favorise les familles riches, se voient rétorqués que les pauvres les plus doués trouvent toujours un protecteur riche, et sont les meilleurs créateurs d'objets. Dans les faits, les apprentis vivent en telle promiscuité que l'entraide, et la solidarité, tire vers le haut la plupart des apprentis, mais le stress en fait parfois tomber dans des marchés douteux, voir abjects.
Quand un petit prodige des quartiers pauvres parvient à passer les portes d'une salle de cours en tant qu'élève, il se retrouve confronté à la pénible réalité : Bien que l'admission soit ouverte à tous, les cours ne sont dispensés qu'aux élèves en mesure de payer. Il peut alors chercher au cours du mois où rien ne lui est demandé, un protecteur. C'est le statut le plus connu au sein de l'établissement et même des apprentis relativement aisés y ont recours, afin de ne pas limiter leur apprentissage. Cela signifie qu'un autre apprenti, plus riche probablement, recevra une partie de l'addition de son ou ses protégés en fin de mois, voir la totalité si celui-ci n'est guère regardant. En retour, le protégé devient littéralement son obligé, à la libre disposition de son protecteur d'en faire son scribe personnel, son employé dans les ateliers de créations d'objets magiques et dont le bénéfice des ventes lui reviendront, en partie ou intégralement. Il n'est pas exceptionnel que certains en abusent pour traiter son protégé comme un esclave le temps de son apprentissage, mais il est tout de même plus courant et socialement admis d'avoir un rapport d'employeur à employé, ce qui évite de s'attirer le mépris de tout ceux qui réprouvent moralement de mauvais traitements …
Les binômes ne se forment que relativement tard dans la formation des apprentis. Ceux-ci doivent avoir auparavant, maîtrisé au moins quatre sorts, consignés dans leur grimoire, pour pouvoir passer une épreuve commune et être inscrits en tant que tel. Un binôme d'apprentis partage non plus le dortoir, mais une chambre pour deux. Ils suivent les même cours, au prix d'une seule inscription. En cas de duel de magie, ils entre en lice ensemble contre le binôme opposé, ou contre le fou qui les défie sans avoir formé son propre binôme. Et ce qui rends un binôme si redoutable est le rituel magique qui lie, faiblement d'abord, les deux apprentis dès l'officialisation de leur pair. Progressivement ce lien va se renforcer tant que les mages l'alimentent, en renouvelant le rituel. Il est dangereux de le délaisser totalement, tout comme il est dangereux de le renforcer à l'extrême, fondant les deux êtres en un seul. L'apprentissage de la mesure et de la recherche d'un équilibre … L'Académie considère la formation du binôme comme un élément important de la formation du futur mage, celui-ci devant partager ses pensées, ses émotions, ses calculs et ses talents avec l'autre, afin de se synchroniser totalement avec lui. Même si chacun peut ensuite continuer son chemin comme il entends, un mage qui a été en binôme ne peut jamais tout à fait oublier la sensation de devoirs partager ses pensées les plus hautes, comme ses émotions les plus ingrates avec une personne. Le plus souvent, des décennies après quitté l'Académie, les anciens binômes restent en contact. Certains ne se sont jamais séparé non plus.
Les professeurs de l'Académie sont presque tous des mages, certains se contentent d'être de grands érudits et spécialistes, mais ils sont marginaux dans le corps professoral. Chacune d'entre eux dispense des cours et surveille des ateliers où les apprentis vont exercer leurs talents de mages et de créateurs. Ils ont libre choix de leur méthode et de la quantité de travail exigé pour chaque élève.Il est seulement tenu de conseiller au mieux les apprentis pour qu'ils fassent éclore leur talent et fassent plus tard, la fierté de l'Académie. Certains, sans surprise, sont chaleureux, bienveillants, courtois, et bien intentionnés. D'autres ne sont là que pour le prestige, l'argent ou pire, le pouvoir que cette position confère en ces murs comme en dehors. Le poste est parfois politique, certains manoeuvrant des années durant pour être choisi au conseils et pour évincer des rivaux trop dangereux.
L'Académie souffre parfois de dépenses conséquentes, et imprévues : Accident magique, décès prématuré d'un élève, composants rares gâchés à l'atelier … Pour faire face aux dépenses courantes (salaires, entretien, nourriture, matériel d'écriture) comme imprévus, la vente des cours et la part des ventes sur les objets magiques ne sont qu'une partie de la somme dont l'Académie a besoin pour son fonctionnement. Le reste est couvert (et parfois bien au delà) par les mécènes. Un mécène est une personne extérieur à l'Académie qui vient la financer, en général en attendant en retour, de petites faveurs. Cela prends parfois la forme de l'admission gracieuse d'un élève assez intelligent pour apprendre efficacement des cours et des ouvrages, mais pas assez pour pratiquer vraiment la magie.Des commandes d'objets magiques à prix réduit, ou les prêt d'un apprenti pour un service de lancement de sort, ponctuel, est aussi considéré comme un juste retour des choses pour un mécène régulier.
Composé de douze mages-professeurs nommés "magistère", et d'un mage élu en leur sein, l'Archimage. Le Conseil est chargé d'organiser la vie et le fonctionnement de l'Académie. Décidant du sort des élèves, comme des professeurs. Du choix d'un marchand plutôt qu'un autre pour fournir la nourriture ou les encres rares. Ils s'occupent tantôt de l'intendance et de la logistique, tantôt de la discipline et des relations de l'Académie avec le Conseil des Clans ou les Ministres.
Si une place de conseiller se mérite par des années de patience et de services à l'Académie, après avoir gagné si ce n'est la confiance, au moins le respect, l'estime des professeurs … la place d'Archimage est la plus convoitée de toute encore. Actuellement, le poste à été confiée à Sélinaë Gulthung Andomiel, une haute-elfe maîtrisant la plupart des écoles de magie à un niveau sans précédent. Excentrique, tous savent qu'elle se montre distante mais épie chacun et chacun en secret, magiquement, pouvant révéler un secret inavouable au détour d'une conversation anodine, faisant ressentir aux membres du Conseil, son emprise sur eux et sur les lieux. Elle s'est montrée jusqu'ici, bien plus efficace que son prédécesseur, mais n'a jamais réussi à mettre au vote ses propositions de réforme de l'Académie, incluant la bourses d'étude pour les plus pauvres, et le jumelage avec des guildes combattantes pour former les mages à des duels autres que magiques. Pour finir, il est des rumeurs indiquant que Sélinaë aurait mené ses divinations au delà du plan, épiant des lieux inconnus du multivers, s'offrant des observations sur les plans supérieurs et élémentaires, notant toujours distraitement ses idées, consignés dans d'épais volumes de sa bibliothèque personnelle.
Tout habitant ou voyageur peut entrer dans l'Académie et demander à y être reçu en tant que candidat. Il est fréquent que des nobles et marchands amènent leur progéniture, dûment préparée ou non, à l'examen, mais il est encore plus courant que des enfants des rues se présentent d'eux même, tentent, et retentent leur chance (une fois par an). Sauf exceptions, l'épreuve à alors lieux dans les heurs qui viennent, avant le coucher du soleil, en présence des deux professeurs et d'un élève expérimenté.
L'examen :
Il se déroule le plus souvent dans le bureau personnel de l'un des professeurs, et il consiste ni plus ni moins à démontrer une faculté de mémorisation, de compréhension et d'apprentissage très au dessus de la moyenne. Les professeurs citant un texte d'un érudit de leurs choix devant le candidat, parfois à deux voix pour le troubler, avant de commencer à poser des énigmes et jeux d'esprits. La session s'achève en demandant au candidat de citer à nouveau lui même de tête le passage lu au début de l'examen. Les trois examinateurs votent alors à main levée, pour ou contre son intégration à l'Académie.Les apprentis
L'intégration des apprentis se fait toute l'année au fil des examens. et si tout apprenti peut entrer par l'examen, les frais pour les cours et l'internat lui seront demandés chaque mois, en espèce sonnante et trébuchantes, ou parfois en troquant des objets (repris à ville prix par le Conseil). Chacun est libre de s'inscrire aux cours qu'il désire, mais plus de cours implique plus d'argent en fin de mois. Ceux qui expliquerons que ce fonctionnement favorise les familles riches, se voient rétorqués que les pauvres les plus doués trouvent toujours un protecteur riche, et sont les meilleurs créateurs d'objets. Dans les faits, les apprentis vivent en telle promiscuité que l'entraide, et la solidarité, tire vers le haut la plupart des apprentis, mais le stress en fait parfois tomber dans des marchés douteux, voir abjects.
Les protégés et les protecteurs
Quand un petit prodige des quartiers pauvres parvient à passer les portes d'une salle de cours en tant qu'élève, il se retrouve confronté à la pénible réalité : Bien que l'admission soit ouverte à tous, les cours ne sont dispensés qu'aux élèves en mesure de payer. Il peut alors chercher au cours du mois où rien ne lui est demandé, un protecteur. C'est le statut le plus connu au sein de l'établissement et même des apprentis relativement aisés y ont recours, afin de ne pas limiter leur apprentissage. Cela signifie qu'un autre apprenti, plus riche probablement, recevra une partie de l'addition de son ou ses protégés en fin de mois, voir la totalité si celui-ci n'est guère regardant. En retour, le protégé devient littéralement son obligé, à la libre disposition de son protecteur d'en faire son scribe personnel, son employé dans les ateliers de créations d'objets magiques et dont le bénéfice des ventes lui reviendront, en partie ou intégralement. Il n'est pas exceptionnel que certains en abusent pour traiter son protégé comme un esclave le temps de son apprentissage, mais il est tout de même plus courant et socialement admis d'avoir un rapport d'employeur à employé, ce qui évite de s'attirer le mépris de tout ceux qui réprouvent moralement de mauvais traitements …
Les binômes
Les binômes ne se forment que relativement tard dans la formation des apprentis. Ceux-ci doivent avoir auparavant, maîtrisé au moins quatre sorts, consignés dans leur grimoire, pour pouvoir passer une épreuve commune et être inscrits en tant que tel. Un binôme d'apprentis partage non plus le dortoir, mais une chambre pour deux. Ils suivent les même cours, au prix d'une seule inscription. En cas de duel de magie, ils entre en lice ensemble contre le binôme opposé, ou contre le fou qui les défie sans avoir formé son propre binôme. Et ce qui rends un binôme si redoutable est le rituel magique qui lie, faiblement d'abord, les deux apprentis dès l'officialisation de leur pair. Progressivement ce lien va se renforcer tant que les mages l'alimentent, en renouvelant le rituel. Il est dangereux de le délaisser totalement, tout comme il est dangereux de le renforcer à l'extrême, fondant les deux êtres en un seul. L'apprentissage de la mesure et de la recherche d'un équilibre … L'Académie considère la formation du binôme comme un élément important de la formation du futur mage, celui-ci devant partager ses pensées, ses émotions, ses calculs et ses talents avec l'autre, afin de se synchroniser totalement avec lui. Même si chacun peut ensuite continuer son chemin comme il entends, un mage qui a été en binôme ne peut jamais tout à fait oublier la sensation de devoirs partager ses pensées les plus hautes, comme ses émotions les plus ingrates avec une personne. Le plus souvent, des décennies après quitté l'Académie, les anciens binômes restent en contact. Certains ne se sont jamais séparé non plus.
Les professeurs
Les professeurs de l'Académie sont presque tous des mages, certains se contentent d'être de grands érudits et spécialistes, mais ils sont marginaux dans le corps professoral. Chacune d'entre eux dispense des cours et surveille des ateliers où les apprentis vont exercer leurs talents de mages et de créateurs. Ils ont libre choix de leur méthode et de la quantité de travail exigé pour chaque élève.Il est seulement tenu de conseiller au mieux les apprentis pour qu'ils fassent éclore leur talent et fassent plus tard, la fierté de l'Académie. Certains, sans surprise, sont chaleureux, bienveillants, courtois, et bien intentionnés. D'autres ne sont là que pour le prestige, l'argent ou pire, le pouvoir que cette position confère en ces murs comme en dehors. Le poste est parfois politique, certains manoeuvrant des années durant pour être choisi au conseils et pour évincer des rivaux trop dangereux.
Les mécènes
L'Académie souffre parfois de dépenses conséquentes, et imprévues : Accident magique, décès prématuré d'un élève, composants rares gâchés à l'atelier … Pour faire face aux dépenses courantes (salaires, entretien, nourriture, matériel d'écriture) comme imprévus, la vente des cours et la part des ventes sur les objets magiques ne sont qu'une partie de la somme dont l'Académie a besoin pour son fonctionnement. Le reste est couvert (et parfois bien au delà) par les mécènes. Un mécène est une personne extérieur à l'Académie qui vient la financer, en général en attendant en retour, de petites faveurs. Cela prends parfois la forme de l'admission gracieuse d'un élève assez intelligent pour apprendre efficacement des cours et des ouvrages, mais pas assez pour pratiquer vraiment la magie.Des commandes d'objets magiques à prix réduit, ou les prêt d'un apprenti pour un service de lancement de sort, ponctuel, est aussi considéré comme un juste retour des choses pour un mécène régulier.
Le Conseil de l'Académie
Composé de douze mages-professeurs nommés "magistère", et d'un mage élu en leur sein, l'Archimage. Le Conseil est chargé d'organiser la vie et le fonctionnement de l'Académie. Décidant du sort des élèves, comme des professeurs. Du choix d'un marchand plutôt qu'un autre pour fournir la nourriture ou les encres rares. Ils s'occupent tantôt de l'intendance et de la logistique, tantôt de la discipline et des relations de l'Académie avec le Conseil des Clans ou les Ministres.
L'Archimage
Si une place de conseiller se mérite par des années de patience et de services à l'Académie, après avoir gagné si ce n'est la confiance, au moins le respect, l'estime des professeurs … la place d'Archimage est la plus convoitée de toute encore. Actuellement, le poste à été confiée à Sélinaë Gulthung Andomiel, une haute-elfe maîtrisant la plupart des écoles de magie à un niveau sans précédent. Excentrique, tous savent qu'elle se montre distante mais épie chacun et chacun en secret, magiquement, pouvant révéler un secret inavouable au détour d'une conversation anodine, faisant ressentir aux membres du Conseil, son emprise sur eux et sur les lieux. Elle s'est montrée jusqu'ici, bien plus efficace que son prédécesseur, mais n'a jamais réussi à mettre au vote ses propositions de réforme de l'Académie, incluant la bourses d'étude pour les plus pauvres, et le jumelage avec des guildes combattantes pour former les mages à des duels autres que magiques. Pour finir, il est des rumeurs indiquant que Sélinaë aurait mené ses divinations au delà du plan, épiant des lieux inconnus du multivers, s'offrant des observations sur les plans supérieurs et élémentaires, notant toujours distraitement ses idées, consignés dans d'épais volumes de sa bibliothèque personnelle.
L'excellence ne connaît pas de compromis.
Date de Fondation
326 de notre ère
Type
Education, Magic
Chef
Ruling Organization
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