Mes Plaines

Military: Battle

1759
13/11


Bataille des Plaines d'Abraham 10h.png
    '' ALLEZ LES GARS! '' lançai-je en faisant un large geste du bras pour encourager ceux derrière de maintenir le rythme. Dépassé la Butte-à-Neveu, sur les plaines; nous avancions avec détermination; tambours battant, pavillons claquant au vent. Nous n'avions pas fermé l'oeil de la nuit, mais ce filet d'anglais déployés devant nous réveillaient notre appétit et nos ardeurs. Sur ma gauche, Saint-Ours; un autre vétéran de 5ans de campagne commandait notre aile droite. Il hurla: '' ATTENDEZ AVANT D'OUVRIR LE FEU! '', mais certains soldats trop enthousiastes tiraient déjà vers la ligne rouge. '' ah ah! On va les rebuter sur leurs barques comme à Beauport! Tu vas voir! '' Me lança mon vieu compagnon Louis-François Renaud D'Avesne-des-Méloizes. Alors que je tirais le chien de mon fusil pour être prêt à épauler, je buttai sur quelque chose; je regardai à mes pieds sans m'arrêter: il s'agissait d'un pieu de bois planté dans le sol, je remarquai qu'il y en avait un à toute les verges. Je compris, sifflant entre mes dents: '' Perfide Albion '' Et c'est alors que j'entendis les officiers anglais hurler à l'unisson: FIIIIRE!!! La fine ligne anglaise sur 3 rangs ouvrit le feu simultanément: 4000 soldats. Le temps s'arrêta, devant nous; ce mur de fer coupait l'herbes comme une imparable lame et devant cette vague, il y avait nous. Je fus happé et tombai sur le dos, le souffle coupé. Il me fallu quelques instants pour reprendre le contrôle de mes moyens. J'entendis mon souffle, sentis du sang chaud couler sous ma chemise, mon front. J'y conduisis ma main, observai le sang sur celle-ci. Le soleil m'aveugla, un peu; je plissai les yeux. Et le bruit des combats empli mes oreilles: des cris, des plaintes, des hurlements; des tirs, le sifflement d'une autre volée de balles qui passaient pardessus moi: des cris, des plaintes, des hurlements. Pas très loin de moi gisait Saint-Ours, sans vie; le capitaine Boucher tentait de se relever, hagard, la cuisse ensanglanté et un pouce arraché pendouillant mollement sous sa main et autour de nous les soldats Seulé, Rossignol, Lecoin, Bourette gisaient au sol. 1   Je me redressai de peine et de misère, le souffle court. Quelques mètres devant, le tambour de la compagnie cessa de jouer alors qu'il fut transpercé de balles, le rang bleu tira une salve, puis se brisa alors que je vis les terribles Highlanders charger vers nos lignes. Je tentai de réunir mes forces afin de me lever puis je sentis un puissant élan me hisser suivi d'une lancinante douleur qui me traversa le corps, j'hurlai alors que je reconnus la voix du Grand Tâssé qui me mettais sur ses épaules en disant: '' Faut foutre le camp d'ici mon lieutenant! '' Alors qu'il courait vers le flanc de nos lignes, vers les sous-bois longeant la grande allée. Alors que les rangs des réguliers sur les plaines se brisaient comme un château de cartes, le hurlement des Highlanders annonçaient la mort pour les blessés et les trainards; les miliciens dans les sous-bois tiraient comme des diables pour couvrir la retraite, alors que nous arrivions à la lisière des sous-bois; un groupe de Wendates bondirent hors des fourrées et tirèrent une salve à l'unisson vers les Highlanders pour les ralentir et couvrir la retraite. Nous passâmes entre un groupe de miliciens, un homme d'un certains âge tappa sur l'épaule du milicien devant lui en disant: '' Faut partir d'ici Beaudoin! '' Plus loin j'entendis le capitaine de la milice de Lévis hurler: ''ON DÉCCROOOOOOCHE!!! '' 2   Chaque pas renfonçait l'épaule du Grand Tâssé dans mon ventre et me faisait un foutu mal de chien, je grimaçais à m'en fendre l'âme et serrais les dents à me les faire craquer; mais je préférais encore sa que de finir sous l'épée d'un Highlander. Les miliciens qui venaient de déccrocher nous dépassèrent pêle-mêles, puis ce fut au tour des guerriers autochtones; Sioux, Abénaquis, Wendates, Micmacs... Nous avions traversé la Grande-Allée puis nous enfoncions dans les fourrées vers la Basse-Ville. Nous descendîmes la côte entre la Haute et la Basse-Ville, toujours, ces diables d'Highlanders cette fois sur nos talons. Nous débouchâmes sur un creux de valon et eurent tous juste le temps de traverser des rangs de miliciens et soldats des compagnies franches pêle-mêle dans les hautes-herbes alors qu'un hurla: FEUUUUUU!!! et les mousquets crachèrent alors que les diables écossais émergeaient du sous-bois. Le Grand Tâssé me déposa au sol: '' Si sa vous dérange pas mon lieutenant, on va prendre une pause ici. '' Je lui fis un signe de pouce en l'air et il se retourna vers les anglais, épaula son mousquet et tira un coup: '' PRENEZ VOUS SA DANS L'CUL BANDE DE SALAUD! '' Je pris mon pistolet et tirai le chien, prêt à défendre ma peau. J'entendis alors surgir plusieurs cris enthousiaste un peu partout dans les rangs puis le Grand Tâssé me dis en regardant derrière lui pardessus son épaule: '' ILS RECULENT! ON LES A EU! J'vous garanti qui passeront pas en Basse-Ville les pourris! On va les arrêter dret icitte! AYE MAILLOUX! CHU ICITTE! AMMÈNE LES AUTRES DE ST-SAUVEUR!'' dit-il à l'intention de quelqu'un plus loin. Il posa alors un genoux au sol et me dit en chargeant son arme: '' On va les arrêter dret icitte au Coteau Ste-Geneviève! '' puis ledit Mailloux arriva avec une grappe de miliciens venant grossir les rangs des guerriers wendates sur notre gauche et des autres miliciens sur notre droite. '' Aye lé gars! Vous êtes d'où vous autres? '' lâcha le Grand Tâssé aux miliciens sur notre droite, puis l'un d'eux répondit: '' Acadien mon gars, on é Acadien! '' plus loin dans la ligne on entendit '' Cape St-Ignace! '' '' St-Roch-de-la-Côte-du-Sud! '' '' Lévis! ''   '' Ah bin sa parle au yâb joual'vert! '' La voix d'un officier se fit entendre, je fus alors rassuré d'entendre la voix de mon compagnon Louis-François: '' LES GARS! PRÉPAREZ-VOUS, ILS REMETTENT SA! ÉPAULEZ VOS ARMES ET TIREZ SUR ORDRE! '' Un silence de plomb s'abattit sur les rangs, le Grand Tâssé épaula son fusil, comme ledit Mailloux et ses compagnons de la Basse-Ville. L'ordre surgit et les mousquets rugirent. Je fis éclaboussé de copeau de bois alors qu'une balle s'écrasa sur une souche non loin de moi, je crachai des bouts d'écorces et vit le Grand Tâsser au prise avec un Highlanders, ils tombèrent tout deux au sol et roulèrent dans les hautes herbes; le Grand Tâssé tenta de dégainer un couteau de sa botte et le highlander en profita pour le déséquilibrer et le renverser, ils étaient à moins d'un mètre de moi, je braquai mon pistolet vers l'homme et tirai; sa cervelle évacua sa boîte cranienne dans un horrible spectacle lugubre puis le cadavre s'affala sur le Grand Tâssé qui le poussa sur le côté, il s'essuya le visage, cherchar son arme parterre qu'il ramassa puis en se relevant me lança un: '' Merci lieutenant! '' Évitant de justesse un autre Highlander qui, cette fois, fut cueilli par la hachette lancée par un guerrier Wendate non-loin. '' Barabass! Criss! T'en manque pas une mon viarge! ''   Je me remis à recharger mon pistolet alors que j'entendis des cris d'enthousiasme partout sur les lignes et le Grand Tâssé hurler vers l'autre côté du valon: '' VOUS EN VOULEZ ENCORE?! ''   Les officiers s'assuraient de maintenir la cohésion des rangs, des longues minutes s'égrainèrent puis plusieurs dizaines, les anglais devaient préparer quelque chose. Puis, des ordres se mirent à pleuvoir dans les rangs: '' ÉPAULEZ VOS ARMES! '' '' PRÉPAREZ-VOUS À TIRER '' Les miliciens de St-Sauveur autour de moi épaulèrent leurs fusils, les Wendates à notre gauche firent de même. Le Grand Tâssé: '' Ils remettent sa une troisième fois mon lieutenant, sont durs de comprenure les maudits anglais. '' Puis le tonnerre des mousquets claquèrent, les hommes se mettant à recharger frénétiquement alors que la réplique des tuniques rouges se faisaient entendre, les balles se mirent à siffler au-dessus de moi, le dénommé Mailloux tomba sur le sol; blessé à une jambe alors qu'il rechargeait son fusil, il grimiça de douleur, fini de recharger son arme et épaula alors qu'il était assis puis tira. '' Sa vâ Mailloux?! '' dit Le Grand Tâssé '' S'po aujourd'hui qui vont avouair le père Mailloux cé moé qui t'el'dit Tâssé! '' pesta-t-il en rechargeant de nouveau son arme. Je tendis mon pistolet au milicien le plus proche et lui fis signe de me passer son fusil afin que je le recharge, il s'exécuta et je me mis à charger frénétiquement son arme. Autour, les cris pleuvaient comme les balles; des copeaux de bois volaient sur nous arraché au tronc derrière lequel les gars de St-Sauveur utilisaient comme barricade. J'aperçus Louis-François, il descendait la butte pour rejoindre les hommes en contrebas qui étaient au corps-à-corps. '' Les anglais ont apporté des renforts mon lieutenant, y'en a au moins 3 régiments! '' Je sifflai: '' Perfide albion ''   Un guerrier wendate fut touché à son tour. Je vis également remonter la butte Louis-François avec un milicien blessé sur ses épaules, suivi d'un autre officier, Legardeur, qui aidait un milicien blessé à marcher. Le Grand Tâssé: '' ON TIENT LÉ GARS! ON TIENT! '' Ouvrant de nouveau le feu. Louis-François passa à ma hauteur, je lui dis: '' Comment sa se présente en bas?! ''   Louis-François: '' Ils ont débordé les gars du Cape St-Ignace sur la première ligne au centre et ceux de Trois-Rivières sur la première ligne aussi sur notre flanc droit; ils ont fait venir des renforts; mais les miliciens se battent comme des diables dans l'eau bénite; tu devrais voir sa! ''   '' Où est la ligne de replie? ''   Il répondit avant de poursuivre sa route: '' De l'autre côté de la St-Charles! ''   Il poursuivi son chemin avec le blessé, les tirs retentirent de nouveau, je passai pour une troisième fois un fusil chargé à un milicien près et en pris un déchargé afin de renouveler la manoeuvre. Alors que disparaissait Louis-François dans les rues du Faubourg St-Sauveur, les tirs des anglais s'entendaient de beaucoup plus près et les impactes sur le gros tronc étaient une véritable pétarade insaissante, on avait l'impression que s'était une buche qui crépitait dans un feu. '' ILS ONT DÉBORDÉ LES ACADIENS! '' hurla le Grand Tâssé. Barabass: '' Faut vous replier! On vous couvre les gars! '' 3   Le Grand Tâssé me ramassa et me mis de nouveau sur son épaule: '' La fête est finie mon lieutenant! On se repli '' Les miliciens de St-Sauveur nous dépassèrent bientôt et descendirent le coteau, nous bifurcâmes vers la St-Charles, bientôt suivi par les Wendates qui tirèrent une dernière salve avant de se replier. Deux miliciens aidaient Mailloux puis le premier de la troupe poussa la porte du premier bâtiment venu avec son pied. Nous y entrâmes afin d'y reprendre notre souffle et nous y trouvâmes un spectacle horrifiant alors que gisait parterre le cadavre du boulanger décapité, sa tête avait été posé sur une pyramide de miche de pains fraîchement cuite... parterre gisait un jeune homme inconscient, blessé. '' Bande de dégueulasses!, y'ont décapité Voyer! '' 4 Nous eûmes à peine le temps de reprendre notre souffle, Mailloux poussa un volet avec le canon de son arme et tira: '' Sont déjà là lé gars, faut pas rester icitte. ''   Nous repartîmes et traversèrent la rivière St-Charles. Pour nous, cette bataille était finie; après notre traversée de la St-Charles; les régiments de réguliers et les miliciens avec eux furent réunis; levèrent le camp et contournèrent la ville pour rejoindre l'armée de Bourlamaque pour faire retraite vers Montréal. Le trajet sur ces centaines de lieux entre les deux villes fut un véritable calver, mais j'eus l'hiver pour m'en remettre. 5     1. Le capitaine René-Amable Boucher fut effectivement blessé d'un tir à la cuisse et eut le pouce droit arraché durant la bataille, le commandant de Saint-Ours et les soldats mentionnés trouvèrent également la mort lors de l'affrontement sur les Plaines.
2. Les rangs français se disloquent après les premières salves anglaises et sont balayés des Plaines par les Highlanders, cependant; le gros des troupes réussisssent à retraiter grâce aux tirs de couvertures des miliciens et des guerriers autochtones sur leurs flancs.
3. Les Highlanders ne réussirent pas à percer les lignes des miliciens, il fallu 2 régiments anglais apportés en renfort afin de finalement briser la ligne après d'âpres combats de près de 2 heures.
4. Les Highlanders décapitèrent le boulanger Pierre-Gervais Voyer et placèrent sa tête de manière macabre sur ses miches de pain. Un jeune milicien acadien, Joseph Trahan, raconte en détail dans ses mémoires avoir trouvé le cadavre alors qu'il allait trouver refuge dans la boulangerie après les combats du Coteau Ste-Geneviève.
5. Après la défaite des Plaines d'Abraham, l'armée de Montcalm désormais commandée par le Chevalier de Lévi marchent vers Montréal pour y hiverner. L'armée a subit des pertes relativement faible et a pu retraiter en bon ordre grâce à la résistance des miliciens et des guerriers autochtones.  

Les Braves tombés au champ d'honneur à la bataille des Plaines d'Abraham

Civil

  • Voyer, Pierre-Gervais; Boulanger assassiné par les Highlanders qui lui ont tranché la tête dans sa boulangerie.
  • Compagnies Franches de la Marine

  • Beuyant, Louis (Compagnie de Beaujeu de Villemonde)
  • le nommé Bernard
  • Bonté, Étienne (Compagnie de Boishébert)
  • Boucher de La Perrière, François-Clément de Montréal
  • Bourette, Louis
  • le nommé Bourguignon
  • de Saint-Ours d’Eschaillons, François-Xavier de Montréal, commande l'aile droite des troupes française lors de la bataille.
  • Lemaire, Antoine Sergent de la Compagnie de Saint-Ours
  • Lecoin, Jean
  • le nommé La Victoire
  • le nommé Lescale
  • Nolan, Gaspard
  • Patche, Bastien
  • Presta, Edme
  • Régent, Simon (Compagnie du Chevalier de La Corne)
  • Rossignol, Pierre
  • le nommé Sans-Souci; grenadier
  • Seulé, Jacques, originaire de Suisse
  • Télé, Jean
  • Milice

  • Allaire, Pierre de Saint-François-de-la-Rivière-du-Sud
  • Alarie, Charles de Bastiscan
  • Barry, Pierre de Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud
  • Beaudoin, Joseph de Champlain
  • Bergeron, Antoine de Louiseville (La Rivière-du-Loup à l'époque)
  • Boucher, François
  • Cadet, Augustin de Québec
  • Charbonneau, Jacques de Sainte-Rose (Laval)
  • Chaulet, Jacques
  • Chauret, Jean de Pointe-Claire
  • Contant, Jean-Baptiste de Champlain
  • Couteleau, Maurice de Québec
  • Desjardins, Jean-Baptiste de Québec
  • Delisle, Louis de Montréal
  • Dépatie, Antoine de Mascouche
  • De Plaine, Antoine de Saint-Ours
  • Deslauriers, Pierre de Boucherville
  • Dubeau, Charles de Québec
  • Hautrage, Joseph de Saint-François-du-Lac
  • Fortier, Jean de Saint-Jean-de-l'Île-d'Orléans
  • Gillet, Pierre de Saint-Ours
  • Goulet, François de Saint-Antoine-sur-Richelieu
  • Grégoire, Jean-Baptiste de Québec
  • Huet, Michel de Rimouski
  • Lafranchise, François de Varennes
  • Landrillet, Pierre de Québec
  • Lapointe, Michel de Saint-Ours
  • Latour, Jean-Marie de Sainte-Geneviève-de-l'Île-Bizard (Sainte-Geneviève à l'époque)
  • Marin, Paul de Varennes
  • Marsau, Augustin de Saint-Vallier
  • Martel, Joseph de Montréal
  • Pelletier, Joseph de Montmagny (Saint-Thomas-de-la-Côte-du-Sud à l'époque)
  • Poudrier, Pierre de Saint-Pierre-de-l'Île-D'Orléans
  • Pouliot, Ignace de Saint-François-de-l'Île-D'Orléans
  • Saint-Onge, Nicolas de Saint-François-de-la-Rivières-du-Sud
  • Soulard, Jacques de Saint-Roch-des-Aulnaies (Saint-Roch-de-la-Côte-du-Sud à l'époque)
  • Spénard, Jean-Baptiste de Saint-Pierre-les-Becques (Saint-Pierre-des-Évrards à l'époque)
  • Milice acadienne

  • Bertrand, Charles
  • Bourré, François
  • Gaudet, Jean-Baptiste
  • Régiment du Béarn

  • Boshier De Kergus, Olivier-Bernard-Alexandre; officier originaire de France
  • de Charbel De La Parquière, Guillaume; officier originaire de France
  • De Maubeuge d'Herbigny, Pierre officier originaire de la région des Ardennes en France
  • Hurel, Antoine; originaire de Caen en Normandie; France
  • le nommé Gazetier
  • Lapin, Pierre de France
  • Lepage, Étienne de France
  • Sansregret, Pierre de France
  • Tournier, Jean
  • Régiment du Berry

  • Legrand, Pierre-Alexandre; soldat originaire de France
  • Régiment de Guyenne

  • Brunel, Louis; soldat natif de France
  • de Cornier, Étienne; capitaine
  • de Fouquet, Louis-Charles-Auguste, officier natif de France
  • de Grave, Pierre-Anicet; officier natif de France et cousin du Marquis de Montcalm
  • Desjardins, François; soldat natif de France
  • Deligas, Pierre; soldat natif de France
  • Denau, Louis
  • Dupont de Jonchères, Balthazard-Marie; officier originaire de France
  • Forêt, Pierre
  • Hardi, Joseph
  • Personon, Jean; soldat natif de France
  • Restauran De Fonbonne, Louis; officier natif de France
  • Régiment de La Sarre

  • Bedel, Georges; soldat établi à Sainte-Anne-de-Bellevue
  • Bourniol, Laurent-Louis; soldat natif de France
  • Breton, Nicolas-François; soldat natif de France
  • Brue, François
  • Cordial, Étienne
  • Duprat, Jean-Baptiste; officier
  • Enjoras, Pierre
  • Fresche-Pêche, Jean; soldat natif de France
  • Galant, Jean
  • Garnichou, Antoine-Pierre
  • le nommé Ladéroute
  • Roupillet, Jean
  • Senezergues de la Rode, Louis-Étienne-Guillaume; officier commandant du Régiment de La Sarre et de l'aile droite lors de la bataille
  • Shelaup, Étienne
  • Simon, Bernard; soldat natif de Francce
  • Susson, Bernard
  • Tellier, François
  • Tessier, Jean; soldat natif de France
  • Régiment du Languedoc

  • le nommé Beausoleil
  • le nommé Champagne
  • le nommé Comtois
  • de Marillac, Charles-François-Ange; officier des fusiliers
  • le nommé Léveillé
  • Limonier, Claude; soldat natif de France
  • Magret, René-Arnaud établi à Saint-Augustin-de-Desmaures
  • Reclat, François
  • le nommé Tionville
  • Salomon, François
  • Régiment Royal-Rousillon

  • Adam, Jean-Baptiste
  • Anglade, Louis; soldat natif de France
  • Delmar, François; soldat natif de France
  • Olivier, Jean
  • Mauchant, Dominique établi à Saint-Philippe-de-La Prairie
  • Related Location
    Haute-Ville
    Related timelines & articles
    Histoire du Domaine de Québec