Mafia

Après l'Éveil, la Cosa Nostra a invité les petits groupes ethniques à s’unir. Ils ont d'abord "convaincu" les gangs ethniques blancs (juifs, irlandais et polonais). Ensuite, ils ont recruté les latinos (mexicains, cubains et portoricains). Les derniers à être intégrés sont les gangs de rue noirs qui ont pris de l'importance. La Mafia du Sixième Monde n'est plus un syndicat du crime ethnique (italien) mais multiethnique avec des factions mixtes et des factions d'une seule ethnie. Un syndicat qui, à des degrés divers, est toujours un acteur majeur dans les nations "occidentales". Il s'agit d'un syndicat du crime assiégé qui, depuis plus d'un siècle, perd régulièrement des territoires et des parts de marché au profit de syndicats du crime étrangers (principalement les Yakuzas, les Vory, les Triades et les organisations musulmanes) et de syndicats du crime nationaux nouvellement apparus (gangs de prisonniers à l'échelle nationale, comme la Mafia mexicaine, et organisations amérindiennes, comme la Mafia Koshari et Lakota).

La Mafia à Montréal

Après la débandade de la famille Rizutto au début du 21è siècle, la famille Cotroni est revenue au premier plan. La famille s’est principalement intéressée aux jeux illégaux, aux prêts usuraires, au trafic de stupéfiants, à l’extorsion et au meurtre et à la corruption de fonctionnaires publics. Elle contrôle des industries, des commerces, etc, mais se refuse à établir un territoire tels que le font les gangs de rue. Le Café Empire est le point de rencontre le plus connu du clan. On peut habituellement y obtenir une audience avec un lieutenant de la famille.