Humain

Homo sapiens ou Être humain, parfois appelé Man ou plus communément appelé Homme moderne, Homme, ou simplement Humain, est une espèce de primates sapiens. Il appartient à la famille des hominidés et est le seul représentant actuel du genre Homo, les autres espèces étant éteintes.   Parmi les hominidés actuels, il se distingue du point de vue physiologique par un mode locomoteur au sol exclusivement bipède, son cerveau plus volumineux et sa pilosité moins développée. Il faut ajouter à ces critères l’existence d’une ménopause chez la femme, rare chez les autres hominidés.   Du point de vue de l'éthologie (l'étude scientifique du comportement des espèces animales), et par rapport au reste du règne animal, l'Homo sapiens se distingue par la complexité de ses relations sociales, l'utilisation d'un langage articulé élaboré transmis par l'apprentissage, la fabrication d'outils, le port de vêtements, la maîtrise du feu, la domestication de nombreuses espèces végétales et animales, ainsi que l'aptitude de son système cognitif à l'abstraction, à l'introspection et à la spiritualité. Certaines de ces caractéristiques étaient partagées par d'autres espèces du genre Homo.   Plus généralement, il se distingue de toute autre espèce animale par l'abondance et la sophistication de ses réalisations techniques et artistiques, l'importance de l'apprentissage et de l'apport culturel dans le développement de l'individu, mais aussi par l'ampleur des transformations qu'il opère sur les écosystèmes.   Il existe aujourd'hui plusieurs ethnies humaines qui se distinguent par des variations physiologiques et anatomiques, telle que les différentes couleurs de peau, toutes liées à des différences environnementales dans leurs habitats. Certaines ethnies sont même influencées par les mœurs et coutumes de leurs sociétés. Bien que la plupart ne montre pas de variances importantes, certaines ont subi des changements, principalement internes, les différenciant du genre Homo commun.   Il existe une évolution artificielle de l'être humain qui se caractérise sous la forme d'une autre espèce nommée Surhumain. Ces individus sont physiquement et physiologiquement plus fort, plus grand, plus résistant. Plusieurs points faibles physiques sont manquant chez les surhumains.   L'humanité est la race la plus présente dans le Xiantia Dominion, ainsi que d'autres mondes dans la galaxie de la Voie lactée. De ce fait, certaines espèces plantoïdes ou prédatrices qui se sont nourries sur des humains, ont assimilé certaines caractéristiques donnant naissances à certaines espèces Demi-humaines,
D'autres races demi-humaines sont nées suite à des relations sexuelles entre humains et membres d'autres races. Pour certaines races, leur existence vient de la libido très active des humains et d'autres facteurs psychologiques tel que ouverture d'esprit, fétiche ou simplement frustration sexuelle.

Basic Information

Anatomie

Homo sapiens est un hominidé (une famille de primates) dont la caractéristique physique la plus évidente est sa position debout: la colonne vertébrale est redressée et les membres antérieurs ne s'appuient pas sur le sol. Il fait partie des très rares mammifères adoptant ce mode de locomotion.   Le corps humain comprend les jambes, le torse, les bras, le cou et la tête. Un corps humain adulte comprend environ 100 trillions de cellules (10 puissance 14). Les systèmes corporels les plus couramment définis chez l'homme sont les systèmes nerveux, cardiovasculaire, circulatoire, digestif, endocrinien, immunitaire, tégumentaire, lymphatique, musculo-squelettique, génital, respiratoire et urinaire.   Comme beaucoup d'autres conditions, le poids et le type de corps sont influencés à la fois par la susceptibilité génétique et l'environnement et varient considérablement d'un individu à l'autre.   Un humain adulte mesure de 1,40 à 2 m, mais cet écart peut s'étendre d'environ 70 cm à environ 2,70 m, dans les deux extrêmes du nanisme et du gigantisme. La taille est influencée par des facteurs environnementaux, tels que la disponibilité de nourriture, mais aussi par la génétique. Certains individus peuvent adopter des tailles dépassant largement les 2,70 m.   Le poids moyen varie entre 45 kg et 150 kg et tend généralement vers les 65 kg. Les données individuelles varient beaucoup autour des moyennes, avec une forte influence de facteurs environnementaux, alimentaires et comportementaux. Les moyennes elles-mêmes varient beaucoup selon les populations et les époques. Les hommes sont en moyenne 12 centimètres plus grands que les femmes.   La pilosité humaine est réduite par rapport à celle des autres primates ; elle est essentiellement limitée à certaines parties du corps (cuir chevelu, aisselles et pubis).   La couleur de la peau humaine présente une grande variété (noire, brune, beige ou rosée très claire), liée à la présence plus ou moins abondante de mélanine, un pigment brun filtrant les rayons ultraviolets. La peau humaine est plus foncée dans la zone intertropicale. Cette variété de pigmentation est une adaptation génétique aux différences d'ensoleillement selon les zones géographiques. En Afrique, les albinos ont ainsi un risque accru de cancers de la peau.   L'humain a besoin du soleil pour synthétiser la vitamine D. Plus il s’est trouvé sous des latitudes faiblement ensoleillées, plus sa peau s’est éclaircie, ce qui facilite la production de vitamine D. La peau noire a en revanche un très haut pouvoir filtrant face aux UV. La dépigmentation a suivi la migration des populations humaines vers les zones septentrionales de la planète.   La peau humaine se ride, s’amincit et perd son élasticité avec l’âge. Des pratiques à visée ornementale ou rituelle peuvent modifier l'aspect de la peau et y faire apparaître des motifs divers.   Caractères sexuels secondaires : la pilosité est moindre sur le corps féminin, à l'exception notable du cuir chevelu. En effet, le cycle de vie des cheveux est de cinq ans chez la femme, et de trois ans chez l'homme. Les cheveux poussent aussi plus rapidement chez la femme, ce qui, combiné à des facteurs culturels, peut expliquer que sa chevelure soit souvent plus longue que celle de l'homme. La femme a des seins proéminents en dehors même des périodes de gestation et d’allaitement, une tessiture vocale haute, un bassin plus large et un rapport taille / hanche inférieur. La pilosité masculine est généralement chez l'adulte plus abondante, le bassin est étroit, la musculature plus puissante, la voix plus grave, etc. Toute considération ethnique mise à part, la couleur de la peau est plus sombre chez l'homme que chez la femme. Cette différence serait due à l'influence de certains œstrogènes sur la sécrétion de mélanine.
Bien que se soit le cas en générale, il existe certaines sous-espèces dont les caractéristiques ne varient pas entre homme et femme, voire sont inversés.

Génétique et Reproduction

Même s'il existe des exceptions, Homo sapiens possède une forte tendance à la monogamie sociale, et dans une bien moindre mesure, à la monogamie sexuelle. Les couples forment le plus souvent la base de la structure familiale et sociale, s'établissent dès la puberté et durent en général jusqu'à la mort. Cette tendance s'explique par le très fort investissement que nécessitent la protection et l'éducation des enfants, rendant nécessaire d'un point de vue évolutif la cohésion du couple. Il s'agit là encore d'un caractère distinguant l'Homme des autres Hominidés. L'espèce humaine est principalement une espèce à stratégie de reproduction dont les conditions de vie sont prévisibles, avec des approvisionnements réguliers en ressources et des risques faibles : les animaux investissent dans la survie des jeunes. La fécondité est donc restreinte. Les populations présentent donc peu de jeunes mais beaucoup d'adultes.

Vitesse de Croissance et Étapes

Gestation

  Chez l'Humain, la gestation est appelée grossesse et dure environ neuf mois. Une femme gravide est dite enceinte. La grossesse est le plus souvent monoembryonnaire, même si une grossesse sur quarante est gémellaire. Il arrive aussi, plus rarement, qu'une femme donne naissance a jusqu'à 8 enfants. La parturition est appelée accouchement.   L'accouchement s'effectue le plus souvent dans la douleur du fait des contractions utérines, de la dilatation du col de l'utérus et de la distension périnéale. Les difficultés liées à l'accouchement sont parfois associées à l'antagonisme de deux aspects anatomiques propre à l'être humain : la taille croissante du crâne et l'absence de développement concomitant du bassin des femmes attribué à la station debout. Dans les sociétés avancées, divers techniques médicales peuvent être utilisées pour rendre l'accouchement plus facile.   L'accouchement ne se fait pas toujours par voie basse : le recours à la césarienne, représente parfois plus de 30 % des naissances dans certains pays développés. Une équipe de scientifiques, observant cet accroissement sur quelques années, a émis l'hypothèse que le recours à la césarienne empêcherait la sélection naturelle et mènerait à une évolution humaine où il y aurait de plus en plus de bébés avec un gros crâne et de mères avec un bassin étroit, ce qui accroitrait à son tour le taux de césariennes. Par ailleurs, l'être humain est capable, à l'aide de dispositifs techniques divers, d'assurer la survie d'un enfant prématuré à partir d'un âge gestationnel d'environ vingt-cinq semaines.  

Croissance

  À la naissance, le bébé est complètement dépendant de sa mère, ce qui constitue une différence notable par rapport aux autres hominidés. La mère peut allaiter son enfant pendant plusieurs années, l'allaitement exclusif couvrant l'intégralité de ses besoins jusqu'à ses 6 mois, date à laquelle démarre généralement le début de la diversification alimentaire. Homo sapiens élève généralement sa progéniture au moins jusqu'à la puberté.   Les jeunes naissent avec une masse autour de 3 kg, et une taille d'environ 50 à 60 cm, après une gestation de neuf mois. Ils sont totalement dépendants à la naissance, et leur croissance dure plusieurs années. La maturité sexuelle survient entre 12 et 15 ans. La croissance des garçons continue souvent jusque vers 18 ans (la croissance se termine vers 21-25 ans avec la solidification de la clavicule).   La puberté se manifeste en moyenne vers l'âge de 12 à 17 ans. La ménarche, période des premières menstruations, intervient chez les jeunes filles vers l'âge de 11 ans. Pour les garçons, la capacité à procréer est en théorie continue, de la puberté jusqu'à la fin de la vie. Chez la femme, cette capacité disparaît à la ménopause, qui survient généralement entre 40 et 50 ans. La ménopause est rare chez les mammifères, y compris chez les primates.   Le cycle ovarien dure environ 28 jours et est marqué par les menstruations. Contrairement à la plupart des femelles de primates, la femme ne manifeste pas de chaleurs et la période de meilleure fécondité n'est donc pas directement décelable par les mâles. Cependant, il est avéré que le comportement des femmes, en particulier lors de la recherche d'un partenaire sexuel, est sensiblement différent pendant l'œstrus. L'homme quant à lui serait plus attiré par les femmes en période d'ovulation, en raison de modifications physiques de la femme.   Le coït est la principale méthode de fécondation. Dans certaines sociétés plus avancées, la femme peut avoir recours à des techniques de procréation médicalement assistée, telles que l'insémination artificielle et la fécondation in vitro, que ce soit dans le cadre de la lutte contre la stérilité, ou pour les femmes célibataires ou en couple homosexuel. Inversement, les êtres humains ont la particularité de pouvoir contrôler et réduire consciemment leur fécondité en empêchant la fécondation lors du coït, par diverses méthodes de contraception. Dans plusieurs endroits du monde, ces pratiques qui tendent à décorréler, de façon unique dans le règne animal, la reproduction de l'activité sexuelle ont un impact drastique sur le taux de fécondité, le rendant inférieur au seuil de renouvellement des générations.   Espérance de vie   L'espérance de vie est très dépendante des conditions matérielles et de la disponibilité de soins médicaux. L'espérance de vie d'une personne en bonne santé se situe aujourd'hui autour de 90 ans dans les sociétés les plus avancées, et est inférieure à 50 ans dans celle les plus précaires. Des cas isolés de longévité approchent 120 ans, et la personne ayant vécu le plus longtemps dont l'âge a pu être vérifié avait 138 ans.   Il est évident qu'avec l'amélioration des soins médicaux et des conditions de vie, que l'espérance de vie se rallonge tout en permettant de ralentir ou de retarder la dégradation physiologique de l'individu.

Besoins et habitudes alimentaires

Homo sapiens est omnivore et opportuniste. Un humain végétarien ou zoophage demeure omnivore : l'alimentation humaine est donc une attitude culturelle avant tout.   L'Homme peut chasser n'importe quelle espèce animale, et est même capable de chasser des animaux normalement considérés comme des superprédateurs. Pour cette raison, l'Homme est parfois considéré comme le superprédateur ultime. L'être humain n'est cependant pas en haut dans la chaîne alimentaire en raison de son régime omnivore qui comporte une large proportion d'aliments d'origine végétale.   Les Hommes dans leur ensemble consomment des aliments très diversifiés, qu'ils soient d'origine végétale ou animale. À une certaine époque, la base de leur alimentation est toutefois devenue constituée de féculents, issus en particulier de trois céréales : le blé, le maïs et le riz. Cette propension à consommer des féculents semble être une spécialisation humaine : le taux d'amylase dans la salive humaine est en effet de six à huit fois plus élevé que dans la salive d'autres Hominidés. Avant l'essor des céréales, les Hommes devaient probablement se procurer des féculents par la consommation de tubercules. Cet usage s'est conservé jusqu'à nos jours, notamment depuis l'expansion de la pomme de terre ou d'équivalents.   Une particularité de l'alimentation humaine est que la plupart des aliments sont cuits, en particulier la viande. Parce qu'elle accélère le processus de digestion, et permet ainsi d'accroître l'apport énergétique alimentaire, la cuisson semble avoir joué un rôle essentiel dans le développement particulièrement prononcé du cerveau humain. La cuisson améliore aussi l'innocuité microbiologique des aliments.   Normalement un adulte présente, comme la plupart des mammifères, une intolérance au lactose. Cependant, une mutation génétique a été sélectionnée plusieurs fois dans certaines régions en raison de l'essor de l'élevage laitier dans ces régions. De nos jours, environ 15 % de la population mondiale présente à l'âge adulte une tolérance au lactose sous forme de lait. La plupart des adultes sont cependant capables de consommer des fromages, dont la production est une pratique très ancienne. Il semble que la consommation de fromage a contribué à sélectionner la tolérance au lactose.   L'Homme possède une appétence prononcée pour certaines saveurs, notamment le salé et le sucré. Le sel et le sucre sont normalement présents en faibles quantités dans la nature, mais l'Homme depuis peu est capable d'en produire en quantités industrielles et à faible coût. Cet écart entre l'appétence pour ces substances et leur abondance est l'un des facteurs à l'origine de problèmes de santé tels que l'obésité, l'hypertension artérielle ou le diabète, et ce principalement chez les individus disposant d'un niveau de vie relativement faible, mais tout de même suffisamment élevé, d'un point de vue anthropologique, pour avoir accès aux productions industrielles.   L'ensemble des habitudes alimentaires et arts culinaires de chaque culture est regroupé sous le terme de gastronomie.
Nom Scientifique
Homo sapies sapiens

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