Sylar

Le peuple Sylar est issu d'un très ancien groupe ethnique humain, les Vandrar, qui occupe le continent de Meidän.
Arrivés par le nord-est du continent d'Esias il y a quelques siècles, les Sylars s'y sont implantés progressivement et y ont fondé une nation qui est devenu la première puissance de la région : l'Empire Sylar.

Naming Traditions

Noms féminins

Agata, Alfdis, Aslaug (épouse de Dieu), Ayat (déesse-mère), Benti, Bersa, Brynja (armure), Dagmar, Edda (arrière grand-mère), Embla (Orme), Eydis (bonne fortune), Freja (féminine), Gunilla (bataille), Helka (déesse), Oydis (déesse de la chance), Ragna (conseillère), Sevil (bien-aimée), Sigat (championne d'Ayat), Sigrun (vainqueur secret), Sini, Solvi (de la maison de la force), Talin (nébuleuse), Ula (forte comme un petit ours), Vada (sagesse), Waiola (violette), Yaffa (superbe)

Noms masculins

Adils, Afdan, Agnarr, Albrikt, Arvid (arbre de l'aigle), Asmund (protection divine) Balsi, Beimi, Egil (respect), Darok, Eindridi, Endre (celui qui chevauche seul), Floki, Frodi, Gunnar (armée), Gunvor (alerte à la guerre), Hagen (l'aîné), Halvar (défenseur du rocher), Ingemar (dieu célèbre), Ivar (archer), Kettil (grand pot), Odan, Olavi (descendant de), Ranok, Seager (pieu marin), Seonag (Dieu est midericordieux), Tabor (joueur de tambourin), Tadeas (présent de Dieu), Talal (le lettré), Tarben (ours du dieu), Yaegar (chasseur)

Noms unisexes

Alva , Selby (ferme des saules)

Noms de famille

Agolaf, Dagnarr, Gunhagen, Lambrok, Tabolaf, Talhagen, Vadegil

Noms autres

Gentilé : Sylar, Sylari Suffixes féminins : -a, -at, -il, -in, -un, -vi Suffixes masculins : -ad, -ag, -al, -an, -ar, -er, -i, -ok, -or

Culture

Culture et héritage culturel

En raison de son histoire (et de sa religion qui en est l'echo), la culture Sylari est farouchement opposée à toute forme d'esclavage.
La société sylari prône donc l'égalité entre tous ses membres, notamment entre les hommes et les femmes, mais aussi envers les étrangers qui vivent en son sein : la loi est la même pour tous, sans distinction de genre, d'ethnie, de religion ou d'âge.
Le Sylar se doit aussi de protéger les membres les plus fragiles de la société (enfants, personnes agées ou ceux qui souffrent d'un handicap) et de respecter la parole des anciens.
Cependant, il existe également un très fort sentiment d'appartenance culturelle et une réelle solidarité au sein de la population, qui transcende même les clivages sociaux ; un noble Sylar n'hésitera pas à prendre la défense d'un Sylar miséreux contre toute agression, même si elle émane d'un riche étranger.
Cet aspect de la culture sylari est souvent perçue comme du racisme ou de la xénophobie par les observateurs extérieurs, ce dont les intéressés se défendent car ils estiment naturel, à titre individuel, que "le loup défend la meute qui est la sienne" (TODO : trouver un proverbe adapté).

Coutumes et valeurs partagées

Les formes de magie profanes (arcane, sorcellerie, chamanisme) sont considérées comme impures et dangereuses car elle n'émane pas d'un pouvoir divin, perçu comme juste et infaillible. Les Sylars mettent donc tout en oeuvre pour s'en protéger et n'hésitent pas à les combattre si c'est nécessaire.

Règles de Bienséance communes

Quand il se présente, un Sylar donne son nom, celui de ses parents (sa mère, puis son père) et sa ville d'origine ; le cas échéant, il accole à son nom ou à celui de ses parents, des caractéristiques personelles ou des faits de gloire : "Je suis Agnarr, fils de Solvi et de Tadéas, ...

Coutumes, traditions et rituels communs

Traditionnellement, ce sont les femmes qui sont destinées et formées au combat afin de défendre la foi et la société, les hommes se consacrant plus volontiers à servir la religion à travers l'étude et la prêtrise.
Cette tradition n'est cependant pas une obligation et certains hommes choisissent la carrière des armes, tandis que des femmes deviennent prètresses ou érudites. Ainsi, l'armée est constituée d'environ 70% de femmes et les fonctions de commandement leur sont le plus souvent confiées ; de façon similaire, seules 2 prètres sur 10 sont des prètresses et les "grands prètres" sont exclusivement des hommes, à quelques (fameuses) exceptions près.