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Irori

Dieu de l’histoire, de la connaissance et du perfectionnement de soi     Royaume : Cercle serein (Axis)   Alliés : Abadar    Ennemis : Asmodeus , Norgorber    Relations : Gruhastha (neveu)   lieux de culte : bibliothèques, dojos, monastères   Adorateurs : artistes martiaux, ermites, érudits, historiens, moines   Animal sacré : escargot   Couleurs sacrées :  bleu et blanc  
Irori incarne le concept du perfectionnement de soi. Selon son dogme, il a d’abord été mortel et est devenu un dieu après avoir atteint un état physique et mental surpassant les limitations des mortels. Ses adeptes cherchent à imiter leur dieu en se perfectionnant à l’aide des conseils prodigués dans le Se libérer des entraves, le texte sacré d’Irori. Les pages enluminées de cet ouvrage présentent de nombreux exercices physiques, spirituels et men - taux, ainsi que des méthodes d’apprentissage et de mémorisation. Irori n’est pas seulement le dieu du perfectionnement de soi, mais aussi de l’histoire et de la connaissance, et il connaît en effet parfaitement l’univers. Il encourage ses disciples à suivre ses traces et à apprendre tout ce qu’ils peuvent sur le monde et ce qui se trouve au-delà. Même si Irori s’est perfectionné lui-même, il est un professeur patient et bienveillant. Irori et son clergé proposent ainsi à ses adeptes une multitude de pratiques et de méthodes parmi lesquelles ils peuvent choisir celle qui leur convient. En tant que Maître des Maîtres, Irori enseigne qu’une personne est composée d’un corps, d’une conscience et d’un esprit unifiés. Une fois que quelqu’un maîtrise les trois aspects de sa personne comme s’il s’agissait d’un tout, elle a alors accès à son Moi trinitaire. Pour la plupart des mortels, le corps et la conscience sont plus faciles à maîtriser que l’esprit et ils leur servent donc de point de départ. Les progrès qu’ils font dans cette voie leur servent ensuite à percer les secrets de l’esprit et atteindre l’illumination. La recherche de la perfection conduit de nombreux adeptes au sacer - doce. Ils deviennent alors des moines errants solitaires ou s’isolent dans des monastères où ils s’adonnent à un perfectionnement perpétuel. Nombre de ces monastères sont des bâtisses tentacu - laires fermées au public. Dans leur quête sans fin de perfection, les fidèles y prient, dorment, s’entraînent et étudient, sou - vent après avoir fait vœu de pauvreté et de silence. D’autres temples accueillent des visiteurs et proposent des conseils et des formations en échange de dons. Certains adorateurs d’Irori préfèrent rester seuls et consolident leur lien avec Irori en renonçant à la distraction des biens matériels et en vivant dans une grotte, une forêt ou un cimetière. Ces ascètes sont parfois nus ou seulement vêtus de haillons et les personnes vivant alentour leur prêtent souvent des pouvoirs mystiques. En dépit de leur apparence, ces individus sont très respec - tés parmi les fidèles d’Irori. On raconte que les membres du clergé d’Irori les plus proches de l’illumination ont atteint un tel état d’éveil qu’ils savent quand l’heure de leur mort approche. Afin de s’y préparer, certains adoptent un régime à base de thé et de noix empoi - sonnés pour entamer un processus d’automomification. Ce rituel leur permettra de continuer de veiller sur leur monastère après leur mort et de venir en aide aux fidèles si nécessaire. Ceux qui sont considérés comme les plus dévots semblent quant à eux tout simplement disparaître de la surface du monde. On raconte que ces individus, que l’on suppose triés sur le volet, deviennent des serviteurs divins d’Irori et « marchent avec le Maître ». Le clergé d’Irori ne se contente pas de chercher à atteindre la perfection et participe à la vie du monde. Les moines-prêtres adoptent souvent le rôle d’historiens et chroniqueurs d’une région et les bibliothèques des monastères iroriens abritent des trésors de connaissances anciennes et occultes, pour le plus grand bonheur des bardes et des sages. Les plus anciens ecclésiastiques prennent souvent ce rôle à cœur et accumulent les connaissances au nom du savoir. Irori estime que toute connaissance vaut la peine d’être connue et ne se soucie pas de la manière dont elle est utilisée, sauf si elle cause une perte du contrôle de soi. Cette apparente indifférence au bien et au mal peut mettre les fidèles d’Irori en porte-à-faux face à des Églises plus dogmatiques. Lorsqu’ils ont affaire à des croyants séculiers, les ecclésiastiques d’Irori se comportent comme des guides ou des bergers et incitent les fidèles à s’améliorer. Certains adorateurs se concentrent sur un ou deux aspects des enseignements et des méthodes d’Irori pour devenir des guerriers ou gladiateurs accomplis dans le combat à mains nues, tandis que d’autres étudient exclusivement la médecine et la philosophie. D’autres encore s’intéressent particulièrement à l’histoire du monde, d’un royaume ou d’une région. Irori est rarement représenté car, étant donné sa nature parfaite, ses disciples estiment que tout portrait du Maître des Maîtres serait bien terne en comparaison de son apparence réelle. Ils préfèrent donc utiliser le chant et la poésie pour louer l’indescriptible perfection de leur dieu. Irori est décrit comme un homme vudrain à la peau sombre, vêtu de robes simples et de sandales en bois. Son crâne est rasé à l’exception d’une simple tresse qu’il enroule souvent autour de son cou comme un collier.   Aphorismes On attribue à Irori d’innombrables adages. La plupart de ces aphorismes évoquent le perfectionnement et le dépassement de l’adversité. Puisse Irori t’oublier. En tant que dieu de l’histoire, il est admis qu’Irori sait tout ce qui s’est passé. Souhaiter à quelqu’un qu’Irori l’oublie revient à souhaiter qu’il n’existe pas, ce qui extrêmement blessant pour un ami ou un parent. La variante « Puisse Irori oublier ceci » est généralement prononcée après un épisode particulièrement embarrassant ou grotesque. Souviens-toi et tu pourras éclairer la voie. Lorsqu’un adepte d’Irori connaît le passé, il est mieux préparé pour l’avenir. Cette phrase est souvent prononcée en guise d’adieu au début d’un voyage ou pour rappeler que l’histoire contient peut-être une solution à un problème actuel. Il n’y a pas de perfection sans changement. Irori enseigne que la voie de la perfection passe par le changement. Les disciples du Maître des maîtres rappellent cet adage quand les temps sont durs, afin de garder courage face à l’adversité.     Lien vers le Wiki Pahtfinder FR
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