Abadar
Dieu des villes, de la loi, des marchands et de la richesse
Royaume : Aktun (Axis)
Alliés : Asmodeus, Brigh, Érastil, Iomédae, Irori, Shélyn, Shizuru, Torag
Ennemis : Besmara, Lamashtu, Norgorber, Rovagug
Lieux de Culte : banques, cathédrales, palais de justice
Adorateurs : architectes, banquiers, législateurs
Animal : sacré singe
Couleurs : sacrées or et argent
Abadar est vénéré comme le dieu des villes, de la loi, des marchands et de la richesse. De nombreuses villes où l’ordre prospère (ou est en train de s’établir) abritent ses banques-cathédrales. Les adorateurs du dieu des villes sont générale ment des aristocrates, des gardes municipaux, des marchands, des citoyens travaillant dans le domaine juridique ou qui œuvrent pour le bien-être de leur commu nauté, et bien souvent des nains. Les membres du clergé d’Abadar qui vivent en ville occupent souvent des fonctions de juges, d’avocats et de greffiers, tandis que ceux qui vivent dans des zones encore sauvages cumulent souvent les rôles de juge, jury et bourreau itinérant au nom de l’ordre. Abadar est le gardien du Premier Coffre, une chambre forte divine qui abrite un exemplaire parfait de chaque type de créature et d’objet. On trouve ainsi dans le Coffre l’épée longue parfaite, le bouclier parfait, le passereau parfait, le marteau parfait et même une loi parfaite. À leur manière, ses fidèles font de leur mieux pour imiter ces formes parfaites, par exemple en réalisant une œuvre d’art, en élevant du bétail vigoureux, ou en votant les lois les plus justes possible pour une communauté. Le livre sacré d’Abadar, L’Ordre des nombres, enjoint aux croyants de construire des villes et des colonies là où il n’y en a pas, de travailler dur et de commercer pour s’enrichir dans le respect des lois. Si une profession a une place légale dans la société, elle se trouve sous la houlette d’Abadar. Ainsi, les agents du gouvernement et tous ceux qui bénéficient directement de l’État de droit et du commerce rendent généralement hommage à Abadar. Naturellement, ceux qui s’opposent aux lois ou les enfreignent volontairement, comme les voleurs,les criminels, les bandits et les pirates, sont des ennemis de l’église et de la société telles que les conçoit Abadar. Cela n’empêche pas certains membres de factions hérétiques au sein de son culte de pervertir le message de L’Ordre des nombres pour justifier leur cupidité. Ils légitiment leur comportement criminel en détournant les mots sacrés d’ordre et de richesse et jouent sur des détails techniques afin de contourner la loi, sapant ainsi la légitimité des institutions. En tant que dieu des villes et des lois, Abadar est un maître sévère mais juste. Il récompense ceux qui travaillent dur et méprise ceux qui tentent de tromper le système pour leur propre intérêt. Abadar est bien conscient que tous les mortels ne sont pas logés à la même enseigne et il encourage son clergé à soutenir des lois aussi équitables que possible afin de promouvoir l’égalité des chances. L’église désapprouve l’esclavage. Elle estime que le commerce doit toujours être équitable et qu’aucune somme n’est assez élevée pour compenser l’ensemble de la vie et des abeurs d’une créature. Les prêtres d’Abadar contribuent activement au développement et à l’épanouis sement de leur communauté. Ils militent pour l’adoption de lois efficaces et encouragent le rétablissement de l’ordre là où il est absent. Lorsqu’ils s’adressent à leurs fidèles, les prêtres portent des robes de soie blanche avec des détails dorés symbolisant la richesse de leur église. Les temples dédiés à Abadar faisant souvent office de banque, d’organisme de prêt et de bureau de change, ils sont fortifiés. Au-delà de cette considération pratique, ils sont richement décorés et affichent une architecture élégante et une profusion de vitraux et de dorures. En Avistan , l’église d’Abadar estime qu’elle doit faire payer ses services divins pour rendre hommage au dieu des marchands. Cependant, les fidèles traitent généralement les questions de santé et de sécurité publique rapidement et sans exiger de rémunération. Les membres du clergé sont également encouragés à se lancer dansdes entreprises commerciales afin de remplir leur devoir sacré d’enrichissement de l’église. Ces entreprises sacrées mettent souvent les membres de plusieurs lieux de culte en concurrence, une situation perçue comme saine et souvent encouragée. Toutefois, le dogme interdit aux membres du clergé de se porter préjudice, y compris lors des guerres opposant des nations ou des royaumes. Par conséquent, les abadariens remplissent souvent le rôle de négociateurs entre deux camps adverses (moyennant finance, bien sûr). Dans L’Ordre des nombres, Abadar enseigne à son clergé que respecter la loi mène à la richesse et au confort, et donc au bonheur. Il explique que la discipline conduit à un jugement éclairé, qui permet à son tour des négociations favorables concernant le commerce, le droit ou d’autres sujets. Si Abadar encourage l’expansion de la société ordonnée, il désapprouve toute action précipitée et recommande la prudence en toutes choses. Le clergé abadarien enseigne ces principes à ses ouailles et apprend aux individus séculiers que le commerce est un système menant au bonheur. Ces enseignements transmettent également les idéaux d’équité et de respect de l’esprit de laloi, mais aussi de sa lettre. L’une des principales valeurs de l’église est la coopération entre les citoyens, car une communauté forte est essentielle pour la santé d’une ville et d’un royaume. Le clergé reste cependant conscient que la plupart des individus recherchent un meilleur statut et des richesses pour des raisons égoïstes. Aphorismes Lorsqu’un mortel souhaite attirer l’attention du Maître des Coffres, il prononce certaines phrases. Sous le regard d’Abadar, le marché est conclu : L’initiateur des négociations prononce souvent cette phrase pour signifier qu’un accord a été atteint et que la discussion est terminée. Elle est souvent simplifiée sous une des formes suivantes : « Sous le regard d’Abadar » ou « Le marché est conclu ». Une fois cette formule prononcée, il est mal vu de tenter de modifier l’accord. Digne du Coffre d’Abadar : Cette expression signifie qu’un produit est d’excellente facture, mais elle est généralement considérée comme une hyperbole. De la même manière, dire que quelque chose n’est pas digne du Coffre d’Abadar implique généralement qu’il s’agit d’un objet fonctionnel mais de piètre facture. Ainsi en a-t-il été décidé : Il s’agit de la conclusion standard des verdicts officiels et autres procédures judiciaires. Certains adeptes utilisent cette expression lorsque des événements apparemment aléatoires favorisent ce qu’ils considèrent comme la justice.
Abadar est vénéré comme le dieu des villes, de la loi, des marchands et de la richesse. De nombreuses villes où l’ordre prospère (ou est en train de s’établir) abritent ses banques-cathédrales. Les adorateurs du dieu des villes sont générale ment des aristocrates, des gardes municipaux, des marchands, des citoyens travaillant dans le domaine juridique ou qui œuvrent pour le bien-être de leur commu nauté, et bien souvent des nains. Les membres du clergé d’Abadar qui vivent en ville occupent souvent des fonctions de juges, d’avocats et de greffiers, tandis que ceux qui vivent dans des zones encore sauvages cumulent souvent les rôles de juge, jury et bourreau itinérant au nom de l’ordre. Abadar est le gardien du Premier Coffre, une chambre forte divine qui abrite un exemplaire parfait de chaque type de créature et d’objet. On trouve ainsi dans le Coffre l’épée longue parfaite, le bouclier parfait, le passereau parfait, le marteau parfait et même une loi parfaite. À leur manière, ses fidèles font de leur mieux pour imiter ces formes parfaites, par exemple en réalisant une œuvre d’art, en élevant du bétail vigoureux, ou en votant les lois les plus justes possible pour une communauté. Le livre sacré d’Abadar, L’Ordre des nombres, enjoint aux croyants de construire des villes et des colonies là où il n’y en a pas, de travailler dur et de commercer pour s’enrichir dans le respect des lois. Si une profession a une place légale dans la société, elle se trouve sous la houlette d’Abadar. Ainsi, les agents du gouvernement et tous ceux qui bénéficient directement de l’État de droit et du commerce rendent généralement hommage à Abadar. Naturellement, ceux qui s’opposent aux lois ou les enfreignent volontairement, comme les voleurs,les criminels, les bandits et les pirates, sont des ennemis de l’église et de la société telles que les conçoit Abadar. Cela n’empêche pas certains membres de factions hérétiques au sein de son culte de pervertir le message de L’Ordre des nombres pour justifier leur cupidité. Ils légitiment leur comportement criminel en détournant les mots sacrés d’ordre et de richesse et jouent sur des détails techniques afin de contourner la loi, sapant ainsi la légitimité des institutions. En tant que dieu des villes et des lois, Abadar est un maître sévère mais juste. Il récompense ceux qui travaillent dur et méprise ceux qui tentent de tromper le système pour leur propre intérêt. Abadar est bien conscient que tous les mortels ne sont pas logés à la même enseigne et il encourage son clergé à soutenir des lois aussi équitables que possible afin de promouvoir l’égalité des chances. L’église désapprouve l’esclavage. Elle estime que le commerce doit toujours être équitable et qu’aucune somme n’est assez élevée pour compenser l’ensemble de la vie et des abeurs d’une créature. Les prêtres d’Abadar contribuent activement au développement et à l’épanouis sement de leur communauté. Ils militent pour l’adoption de lois efficaces et encouragent le rétablissement de l’ordre là où il est absent. Lorsqu’ils s’adressent à leurs fidèles, les prêtres portent des robes de soie blanche avec des détails dorés symbolisant la richesse de leur église. Les temples dédiés à Abadar faisant souvent office de banque, d’organisme de prêt et de bureau de change, ils sont fortifiés. Au-delà de cette considération pratique, ils sont richement décorés et affichent une architecture élégante et une profusion de vitraux et de dorures. En Avistan , l’église d’Abadar estime qu’elle doit faire payer ses services divins pour rendre hommage au dieu des marchands. Cependant, les fidèles traitent généralement les questions de santé et de sécurité publique rapidement et sans exiger de rémunération. Les membres du clergé sont également encouragés à se lancer dansdes entreprises commerciales afin de remplir leur devoir sacré d’enrichissement de l’église. Ces entreprises sacrées mettent souvent les membres de plusieurs lieux de culte en concurrence, une situation perçue comme saine et souvent encouragée. Toutefois, le dogme interdit aux membres du clergé de se porter préjudice, y compris lors des guerres opposant des nations ou des royaumes. Par conséquent, les abadariens remplissent souvent le rôle de négociateurs entre deux camps adverses (moyennant finance, bien sûr). Dans L’Ordre des nombres, Abadar enseigne à son clergé que respecter la loi mène à la richesse et au confort, et donc au bonheur. Il explique que la discipline conduit à un jugement éclairé, qui permet à son tour des négociations favorables concernant le commerce, le droit ou d’autres sujets. Si Abadar encourage l’expansion de la société ordonnée, il désapprouve toute action précipitée et recommande la prudence en toutes choses. Le clergé abadarien enseigne ces principes à ses ouailles et apprend aux individus séculiers que le commerce est un système menant au bonheur. Ces enseignements transmettent également les idéaux d’équité et de respect de l’esprit de laloi, mais aussi de sa lettre. L’une des principales valeurs de l’église est la coopération entre les citoyens, car une communauté forte est essentielle pour la santé d’une ville et d’un royaume. Le clergé reste cependant conscient que la plupart des individus recherchent un meilleur statut et des richesses pour des raisons égoïstes. Aphorismes Lorsqu’un mortel souhaite attirer l’attention du Maître des Coffres, il prononce certaines phrases. Sous le regard d’Abadar, le marché est conclu : L’initiateur des négociations prononce souvent cette phrase pour signifier qu’un accord a été atteint et que la discussion est terminée. Elle est souvent simplifiée sous une des formes suivantes : « Sous le regard d’Abadar » ou « Le marché est conclu ». Une fois cette formule prononcée, il est mal vu de tenter de modifier l’accord. Digne du Coffre d’Abadar : Cette expression signifie qu’un produit est d’excellente facture, mais elle est généralement considérée comme une hyperbole. De la même manière, dire que quelque chose n’est pas digne du Coffre d’Abadar implique généralement qu’il s’agit d’un objet fonctionnel mais de piètre facture. Ainsi en a-t-il été décidé : Il s’agit de la conclusion standard des verdicts officiels et autres procédures judiciaires. Certains adeptes utilisent cette expression lorsque des événements apparemment aléatoires favorisent ce qu’ils considèrent comme la justice.
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