Kassi Aziril
GUÉRISSEUSE SCIENTIFIQUE NOVATRICE
Parfois surnommée la Mère de la médecine, Kassi Aziril est déterminée à ne se reposer que sur la science et l’alchimie à la place de la magie pour soigner les malades et les blessés.
Cela l’a conduite à une série de découvertes majeures qui avaient été, jusqu’à récemment, ignorées par la communauté des médecins en raison de l’accès facile à la guérison divine dans la majeure partie du monde. Toutefois, au Radadoum , où la foi dans les dieux est persécutée, des techniques telles que celles inventées par Kassi sauvent des vies. Ayant obtenu des
diplômes de plusieurs grandes universités de tout Golarion grâce à sa précocité et suivi un apprentissage auprès d’Artokus Kirran , Kassi Elaran a voyagé à travers le monde pour perfectionner ses techniques.
Des découvertes telles que la kandlerae, une algue des profondeurs maritimes pourvue de propriétés médicinales incroyables, ont permis de faire de nouvelles avancées capitales et le fait de travailler avec d’autres médecins l’a aidée à trouver un moyen de cultiver cette plante dans ses laboratoires.
Elle est retournée au Radadoum pour se concentrer sur ses recherches, partageant périodiquement ses rapports ou nouvelles découvertes avec d’autres érudits ou agences gouvernementales pour les soumettre à une évaluation par ses pairs.
En 4714 AR, des érudits du Taldor et du Qadira ont plagié le travail de Kassi sur la médecine de guerre à un mois d’intervalle l’un de l’autre et ont tous deux reçu nombre de louanges.
Le gouvernement rahadoumi s’est interposé pour protéger les droits de Kassi en réalisant le potentiel de ses découvertes. Il lui a été demandé de produire un rapport sous la forme d’un livre sur ses techniques de guérison qui a ensuite été publié, assurant ainsi non seulement que son travail lui soit dûment attribué, mais aussi l’obtention d’un plus grand contrôle du gouvernement à ce sujet.
Comme autre témoignage de cette solidarité, Kassi et sa famille ont été adoptés par le prestigieux clan rahadoumi Aziril, faisant ainsi de son nom Kassi Aziril.
Grâce au soutien du gouvernement, les recherches et découvertes de Kassi n’ont fait que croître, mais ses méthodes sont souvent difficiles à imiter pour les autres, ce qui est en partie dû au fait que Kassi ne souhaite pas vraiment rendre son dérivé de kandlerae disponible au grand public.
Ses méthodes d’application de la médecine de terrain et ses observations sur la nature de la maladie sont toutefois devenuesdes entités indépendantes et de plus en plus adoptées par les soldats, les guérisseurs,les érudits et les aventuriers de la région de la mer Intérieure.
Dr. Aziril, Je souhaite tout d’abord que vous sachiez que je tiens toujours beaucoup à vous voir donner une conférence au collège vénicaan de Pharmacologie et de Chirurgie, un jour ou l’autre.
Vos références de plus d’une dizaine d’universités et vos nombreuses découvertes médicales parlent pour elles-mêmes. S’il s’agissait des seules choses connues à votre sujet, cela serait amplement suffisant.
Bien que je sois conscient d’être à l’origine de notre requête, je me dois de commettre la véritable offense d’annuler notre invitation. Les Sans-Pareils désapprouvent certaines choses que vous avez dites par le passé, en particulier à propos de Sarenrae . Je sais que nous sommes tous des gens de parole, mais peut-être que si vous acceptiez de retirer certaines de vos affirmations, il me serait possible de changer les choses ? Le fait de qualifier la Fleur de l’Aube de «meurtrière sanguinaire déguisée en guérisseuse et prête à massacrer une ville entière au lieu de daigner s’expliquer» semble particulièrement dur et va à l’encontre du texte sacré.
De même, je souhaiterais présenter votre recherche sur l’addiction à nos étudiants pour aider à combattre l’import de drogues, mais ils ont du mal à passer outre l’avant-propos. Vous avez écrit : «La raison pour laquelle tant de personnes ne comprennent pas l’addiction est qu’ils la perçoivent comme une faiblesse psychologique personnelle. En vérité, l’addiction est une maladie liée à la force vitale qui nous donne des instincts comme la faim ou la soif.
Les dieux ont volontairement créé les mortels de façon à ce qu’ils soient sensibles aux addictions afin d’être plus facilement trompés et dépendants de la religion et la foi et c’est en usant de cette vulnérabilité que les drogues nous tourmentent.» Cet aparté théologique est-il vraiment nécessaire dans un texte médical ?
J’espère que nous pourrons trouver un accord, pour le bien d’une génération tout entière des esprits médicaux les plus brillants du Qadira . — Grand vizir Hebizid Vraj
Parfois surnommée la Mère de la médecine, Kassi Aziril est déterminée à ne se reposer que sur la science et l’alchimie à la place de la magie pour soigner les malades et les blessés.
Cela l’a conduite à une série de découvertes majeures qui avaient été, jusqu’à récemment, ignorées par la communauté des médecins en raison de l’accès facile à la guérison divine dans la majeure partie du monde. Toutefois, au Radadoum , où la foi dans les dieux est persécutée, des techniques telles que celles inventées par Kassi sauvent des vies. Ayant obtenu des
diplômes de plusieurs grandes universités de tout Golarion grâce à sa précocité et suivi un apprentissage auprès d’Artokus Kirran , Kassi Elaran a voyagé à travers le monde pour perfectionner ses techniques.
Des découvertes telles que la kandlerae, une algue des profondeurs maritimes pourvue de propriétés médicinales incroyables, ont permis de faire de nouvelles avancées capitales et le fait de travailler avec d’autres médecins l’a aidée à trouver un moyen de cultiver cette plante dans ses laboratoires.
Elle est retournée au Radadoum pour se concentrer sur ses recherches, partageant périodiquement ses rapports ou nouvelles découvertes avec d’autres érudits ou agences gouvernementales pour les soumettre à une évaluation par ses pairs.
En 4714 AR, des érudits du Taldor et du Qadira ont plagié le travail de Kassi sur la médecine de guerre à un mois d’intervalle l’un de l’autre et ont tous deux reçu nombre de louanges.
Le gouvernement rahadoumi s’est interposé pour protéger les droits de Kassi en réalisant le potentiel de ses découvertes. Il lui a été demandé de produire un rapport sous la forme d’un livre sur ses techniques de guérison qui a ensuite été publié, assurant ainsi non seulement que son travail lui soit dûment attribué, mais aussi l’obtention d’un plus grand contrôle du gouvernement à ce sujet.
Comme autre témoignage de cette solidarité, Kassi et sa famille ont été adoptés par le prestigieux clan rahadoumi Aziril, faisant ainsi de son nom Kassi Aziril.
Grâce au soutien du gouvernement, les recherches et découvertes de Kassi n’ont fait que croître, mais ses méthodes sont souvent difficiles à imiter pour les autres, ce qui est en partie dû au fait que Kassi ne souhaite pas vraiment rendre son dérivé de kandlerae disponible au grand public.
Ses méthodes d’application de la médecine de terrain et ses observations sur la nature de la maladie sont toutefois devenuesdes entités indépendantes et de plus en plus adoptées par les soldats, les guérisseurs,les érudits et les aventuriers de la région de la mer Intérieure.
Dr. Aziril, Je souhaite tout d’abord que vous sachiez que je tiens toujours beaucoup à vous voir donner une conférence au collège vénicaan de Pharmacologie et de Chirurgie, un jour ou l’autre.
Vos références de plus d’une dizaine d’universités et vos nombreuses découvertes médicales parlent pour elles-mêmes. S’il s’agissait des seules choses connues à votre sujet, cela serait amplement suffisant.
Bien que je sois conscient d’être à l’origine de notre requête, je me dois de commettre la véritable offense d’annuler notre invitation. Les Sans-Pareils désapprouvent certaines choses que vous avez dites par le passé, en particulier à propos de Sarenrae . Je sais que nous sommes tous des gens de parole, mais peut-être que si vous acceptiez de retirer certaines de vos affirmations, il me serait possible de changer les choses ? Le fait de qualifier la Fleur de l’Aube de «meurtrière sanguinaire déguisée en guérisseuse et prête à massacrer une ville entière au lieu de daigner s’expliquer» semble particulièrement dur et va à l’encontre du texte sacré.
Les dieux ont volontairement créé les mortels de façon à ce qu’ils soient sensibles aux addictions afin d’être plus facilement trompés et dépendants de la religion et la foi et c’est en usant de cette vulnérabilité que les drogues nous tourmentent.» Cet aparté théologique est-il vraiment nécessaire dans un texte médical ?
J’espère que nous pourrons trouver un accord, pour le bien d’une génération tout entière des esprits médicaux les plus brillants du Qadira . — Grand vizir Hebizid Vraj
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