Marforel Organization in Lettre de Sang | World Anvil
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Marforel

Le Royaume du Marforel, le Bouclier de l'Ouest, est l'un des plus vieux et l'un des plus puissant d'Anelde. Englobant à lui seul une superficie couvrant presque le tier du Nord du continent, ce royaume possède la taille ainsi que la puissance d'un empire, mais un roi, et non un empereur, gouverne ces terres. Issus d'une longue ligné de demi-elfe entremêlant deux des plus puissantes familles du Nord, la royauté du Marforel trouve son origine dans l'une des saga les plus héroïques des royaumes Divins. Fondé dans les cris d'agonie d'une empire mourant par des réfugiés et des idéalistes, il naquit au terme des interminables Guerres de Purification contre les barbares des Les Collines du Sacrifiés et d'une longue et pénible confédération, parfois forcée, des terres voisines, que les historiens appellent aujourd'hui les Guerres d'Unification. Une fois ses fondations posé, le roi du Marforel entreprit de le transformer en la puissance protectrice, cosmopolite et accueillante qu'il est aujourd'hui.   Des montagnes imposantes et glaciales au Nord. Des forêts de conifères à perte de vue encadrant de profond lac d'eau pure. De grandes plaines verdoyantes bordées d'ondulantes collines. Tel sont les paysages du vaste Marforel. Pourtant, tout n'y est pas que paisible nature alors que des cités tentaculaires et d’imprenables forteresses jalonnent, elles aussi, ses terres, forêts et collines. Symboles du pouvoir du royaume, celles-ci sont à sa mesure, imposantes et audacieuses.   Les autres royaumes se tournent vers le Bouclier du Nord pour chercher conseils, amitié et, parfois, protection. Les rois du Marforel sont toujours heureux de répondre à ces demandes. Au terme d'une conception sanglante et d'une histoire turbulente, le Marforel ne cherche plus l'affrontement et tend une main ouverte vers les autres royaumes. Pourtant, lorsque des ennemis se présente à leurs portes, cette main ouverte prend la forme du poing fermé de la guerre et la colère duement contenue du royaume s'abat sur les malheureux qui leur font face. Bien sûr, la rivalité séculaire que les oppose au Dénémor fait en sort que l'avenir du Marforel restera emprunt de conflits, politiques, économiques ou militaires. Éternels ennemis, chaque accord et chaque traité que ces deux royaumes signent comportent des clauses hostiles à l'autre et la politique des royaumes Nord et même d'une bonne partie du continent est influencé par la lutte de ces deux géants.     Quoi que lui réserve l'avenir, le Royaume du Marforel se tiendra fier et fort, garant de la paix du Nord, protecteur des faibles et opprimés et terre d’accueil pour ceux rêvant d'une nouvelle vie et prêt à combattre pour la saisir.

Ressources

Les Maison du Royaume

  Le royaume de Marforel est une monarchie héréditaire appuyé par Le Conseil Royal du Marforel. De plus, humains, nains et elfes, Élémentaires et Ktals se partagent une panoplie de positions de pouvoir au sein du royaume selon au sein d'une inextricable toile d'influence, de respect et de pouvoir. En effet, les courtisans, nobles, barons, comptes et ducs sont légion à travers ce gigantesque royaume et les Postes, Titres et Charges à même de donner un pouvoir inimaginable à un homme abondent. Passant de Maître et Maréchal de Guerre en Cardinal du Culte et en Illustres Navigateurs, le pouvoir se dispute et s'obtient.   De nos jours, de nombreuses maisons nobles et influentes lutte au sein du royaume pour une place au Conseil Royal. Chez les nains, deux des trois clan originaux, les Marcheterre et les Bruckman, ont conservé leur pouvoir d’antan et occupe actuellement une place au au sein de cette prestigieuse assemblée, le clan Mornebois ayant déjà perdu son lustre, décimé. Les clans Frappesang, Grandroc, Têtedonyx, Ventrefer, Spearhead, Écudacier et Bruckar occupe, eux aussi, une place importante au sein du royaume, les premier grâce à leur entreprise mercenaire, les trois suivant pour la richesse de leur commerces et les trois dernier pour les titres de noblesses qu’ils ont acquis. Quelques clans mineurs se sont aussi installé et vivent dans l’ombre des plus puissants, nommément les Frappeterre, Mornebois, Longuebarbe et Fléaud’orc.   Chez les elfes, quatre clans siègent au Conseil Royal, les Narmacil, Noircoeur et Voroné grâce à leur rôle dans la construction du royaume et les Elenwë ayant prit la place des Vilael après leur quasi extinction. Quelques clans elfes d’importance se sont aussi ajouté au fils du temps, les Ophir, Tarisael, Brinondor et Arafel et entretiennent des liens très étroits avec les quatre premiers. Finalement, une poignée de clans mineurs complètent le paysage politique elfe, nommément, les Dirlae, Merithel, Nevetha, Favarael, Mil’hak et Sternovel.   Malgré tout, les humains occupe le gros des places d’influences avec de nombreuses Maisons nobles ou marchande d’importance variable et une pléthore de petites maisons nobles, bannerais des plus grandes et possédant de petits titres de Seigneur. Des treize maisons nobles à avoir fondé le royaume, seule les Brillépée, O’Neil, Edelbert, Tecilla, Becdecorbin, Morgan, Bloodwood, Stanson, Niric et Altman existe encore, avec les cinq première siégeant au Conseil Royal, secondés par les Perchevent, Cederyl et Raldar s’y étant aussi taillé une place. Ces trois Maisons occupent elles-aussi des places de choix au sein de la toile d'influence de la politique Marforellienne, cotôyant les autre Maisons nobles d'importance que sont les maisons Delacay, Stirling, Percleran, Klint, Batista, Fleuran, Ferembach, Fortesprit, Gale, Doyle et Kaglon. Finalement, se tennant au dessus de la masse de la petite noblesse se trouve quelques autres Maisons digne de mention ayant réussit à se tailler une place parmi ''la Haute'', mais sans avoir réussit à devenir véritablement influent. Étoiles montantes, ils sont des Maisons promise à une bel avenir ou sont plutôt de celle ayant perdu de leur lustre passé. Ce sont les Altmans, Nivalos, Grimsen, Laslau, Mead, Taleof, Greencrow, Bertony, Villeray, Miner, Tale, Kev, Bartel, Frey, Gorg, Karcher, Fetcher, Markel, Beterdel, Verner, Falk, Mist et Morterossa ces derniers ayant perdu beaucoup de leurs influence dans les dernières décennies.   Dernièrement, il existe quelques maisons d'importance variable appartenant à d’autres races s’étant installé au fils du temps au Marforel. Il existe un seul Clan orc digne de mention étant établi au Marforel, les quelques autres existant gravitant autour de lui d'une manière similaire à la politique orc du Gurvak. Celui-ci, le Clan Mangor, est établis dans les Contrefort d'Hiver depuis de nombreuses générations, n'ayant acquis de véritables titres que depuis une trentaine d'année. Il existe cinq familles élémentaires digne de mention au sein du Marforel, certaines remontant à la fondation même du royaume, d'autres, plus récentes, étant venus s'y installer à la recherche d'un nouveau départ. Ils sont les Alnirel, Garidar, Hespal, Noctoran et Pardaral, la Maison Alnirel étant la plus influente d'entre elles, briguant une place au sein du Conseil Royal. Il existe encore moins de Maisons Kalil Ktal d'influence au sein du Marforel que de Maisons dirigés par des Élémentaires, mais certaines d'entre elle réussirent à se faire une place. Parmi celles-ci se trouve les Maisons Vent Noir, Urshak et, se démarquant, la Maison Keltis. Celle-ci est de loin la plus connue d'entre elle même si elle ne risque pas de se hisser aux plus hauts rangs de la noblesse.    

La Division du Royaume

  Chez les hommes, majoritaire à posséder des titres de noblesses au Marforel, les Duchés portent ce nom. Ayant intégré ces coutumes, les Kalil Ktals nobles portent les même titres, mais les gérant et les interprétant parfois à leur manières. Chez les races à la longévité supérieure que son les nains, elfes et les différentes races élémentaires, d'autres titres sont en vigueur, mais ont généralement une importance et des fonctions similaires à leurs pendants humains. Au Marforel, les humains peuvent se voir attibuer par le mérite ou par la naissance les titres de Seigneur, Baron, Comte,    Importants bastions de pouvoir du sein du Marforel, les duchés sont parfois aussi grand que de petit royaume. Dirigés par des Maison nobles au pouvoir immense, les plus grand d'entre eux abritent parfois des centaines de millier d'âmes et possèdent à eux seul un pouvoir économique et militaire impressionnant.    Le Duché de Déther est le plus isolé du royaume, ses frontières s'étendant bien plus loin au Nord que celles des autres. Historiquement chargé de défendre la frontière Nord du Marforel, il accomplit encore à ce jour ce rôle malgré la paix relative s'étant installée dans la région. La vie y est rude, la nature peu perturbé par le passage de l'homme et les dangers nombreux. Les principales industries y sont l'exploitation minière, la pêche et le commerce et son titre est actuellement accordé à Vorhouse Edelbert, patriarche de la Maison Edelbert.   Le Duché de Déther est lui-même composé de x Comtés de taille et d'influence divers.   

Les villes du Royaume

Histoire

-Vous qui en savez tant, vous pourriez nous régaler d'une de vos histoire de voyage, Seigneur Iltamis! Lança le compte Olivier d'Ancteau, les yeux pétillant et le teint rubicon.    Celui-ci ayant déjà quelques coupes de vin dans le nez et semblait en oublier l'étiquette propre à ce genre de réunion.   -Oh oui! S'il-vous-plait! Renchérit la duchesse d'Angre, des étoiles dans les yeux, les mains anxieusement serrées l'une dans l'autre et le buste penché vers lui.   Tournant son regard vers elle sans se départir de son sourire de circonstance, il l'étudia un moment, et sentit le désir d'évasion et d'oublie de la jeune femme. La nouvelle duchesse était ravissante en ce jour de noce, son jolie minois encadré de cheveux roux, la parure impeccable et les yeux brillant en cet instant de la fougue propre aux jeunes filles de quinze ans. La regardant, il comprit son besoin d'oublier l'espace d'un instant ce soir de noce et la présence inquiétante de son mari fraîchement consacré à sa droite. Pourtant, tel n'était pas la raison de la visite d'Iltamis. Alors qu'il ouvrait la bouche afin de décliner poliment et de ramener la conversation vers le sujet qui l'intéressait, le duc d'Angre le devanca, prennant la parole.   -Oui, Seigneur Iltamis. Régalez nous donc d'une de vos histoire. Vous revenez d'un long voyage au Marforel, n'est-ce pas?   Son ton était resté calme et égale alors qu'il s'adressait à lui, mais sa voix avait porté à travers la salle de banquet sans peine et lui était parvenue, froide et incisive, un ordre plutôt qu'une demande. Alors que les yeux tout autour de la longue table se tournaient vers lui, Iltamis s'empreint de son meilleur air affable avant de lui répondre.   -Avec plaisir! Que pourrais-je refuser au tout nouveau couple célébré ce soir? Répondit-il d'une voix forte pourtant jusqu'au Duc et à sa nouvelle épouse. Après plusieurs semaines à écumer les archives royales, j'ai bien uen ou deux histoires à raconter.   Il avait parlé de son habituel air enjoué et badin, transportant ses voisins de tablé d'enthousiasme, mais son regard n'avait pas quitté celui du Duc d'Angre. Il ne savait pas à quoi jouait celui-ci, mais il était confiant de pouvoir le battre à son propre jeu. Se levant comma à chaque fois qu'il s'apprêtait à conter une histoire, il commença à marcher d'un pas dégagé le long de la table, se penchant parfois sur un convive afin de poncuter une réplique ou une pose dramatique.   -Comme beaucoup d'autre royaume avant lui, le Marforel naquit dans le sang et la guerre, mais, contrairement à beaucoup d'autres, aussi dans l'espoir et l'unité. L,histoire que je m'en vais vous compter en est une de persévérance et d'héroïsme, de hauts faits et de légendes mais aussi de drames et de tragédies. Il s'agit peut-être même de l'une des histoires les plus épiques des Royaumes du Nord.   Sa voix avait un effet comme hypnotique sur son auditoire, bien qu'il ne l'ait rehaussé d'aucune dose de magie. Elle était intense et lourde, résonnant à l'oreille comme l'écho d'une avalanche lointaine, captivante par sa régularité et saisissante par ses effusions. Il s'arrêtta un instant pour juger de son efet sur la foule de seigneurs et de dames réunit autour de lui et, satisfait de voir même le duc pendu à ses lèvres, il continua.   -Cette histoire commence comme bien souvent par une fin. Celle du glorieux Empire Quermel ayant régné sur les terres du Nord pendant plus de trois siècles. Comment un royaume aussi puissant en vient-il à chuter, me demanderais-vous? Et bien, il s'agit d'une histoire pour une autre fois. Suffit de dire que, alors que l'Empire vivait ses derniers instants, nombreux furent ceux qui quittèrent ses terres moribondes afin de chercher un nouveau foyer. Pareillement, le Riviel et l'ancienne Confédération Nagarienne vivaient des troubles similaires, dchirés tous deux par des conflits idéologiques et poussant les leurs à partir vers des terres plus hospitalières. Ironiquement, c'est sur Les Collines du Sacrifiés que ces expatriés trouvèrent un refuge et une promesse d'espoir. Imaginez un instant, valeureux seigneurs et gentes dames: vous retrouvez, vous et votre famille, sur des terres maudites où le blé ne pousse pas, où la sinistre brume porte les cris fantomatiques des sacrifiés et où ne vivent que les monstres et les tribus barbares païennes vénérant le sang et les Seigneurs Inférieurs. Une bien sinistre perspective, n'est-ce pas? Décidés à prendre leur destin en main, ce fut sur ces terres et nul part ailleurs que s'établirent les clans nains et les maisons humaines et elfiques. Pourtant, la méfiance était grande entre ces nouveaux venus, chacun redoutant de trouver en ces nouveaux voisins des ennemis tout aussi dangereux, sinon plus, que les barbares hantant la lande. C'est donc le soupçons dans le regard et la main sur l'arme que les nains s'installèrent dans les Monts de Fer, les elfes dans la sinistre forêt de Voma et les humains dans les plaines fertiles entre les deux, bordé par le fleuve.   Sa voix se fit plus grave alors qu'il posait subitement la main sur l'épaule du maigrelet Seigneur Verin, le faisant sursauter.   -Comment purent-ils survire face à ces menaces? Pourquoi les elfes s'étaient-ils installés dans ténébreuse et dangereuse forêt de Voam, le bois au sorcières, le Jardin aux racines Sanglantes? Que cherchaient donc les nains avec tant d'empressement dans les montagnes au lieu de fonder leur propre foyer? Nul ne le savait. À ce moment. Pendant un temps, ces trois communautés survécurent face aux attaques barbares et aux assauts bestiaux des monstres ayant pour terrain de chasse cette terre de mort, croyant s'isoler pour leur sécurité. À l'abris des regards, les elfes cherchaient quelque chose dans les bois impies de la forêt de Voma, étant prêt à combattre les horreurs diaboliques invoqués par les barbares de la forêt pour le trouver. Les nains continuaient eux aussi leur recherche incessante, ne s'établissant que le temps de se reposer avant de contiuner à fouiller les monts galcials, repoussant les attaques incessantes d'orc et de barbares dans leur quête mystérieuse. Luttant vaillamment, les humains peinèrent quant à eux à s'installer sur ces terres inhospitalières où le sol lui même semblait vouloir les chasser et où les attaques de locaux enragés étaient ininterrompues. Pourtant, il ne faudrait pas longtemps avant que le destin ne réunissent ces peuples en exil. En effet, mes chers, n'ayant pas oublié les ambitions esclavagiste des elfes du Riviel, les humains se méfiaient de plus en plus de leurs voisins elfiques établis au Nord de leur cité. Les nains, quant à eux, avaient trouvés, au moins en partie ce qu'ils cherchaient et en avaient été amèrement déçus. Fouillant à travers les pics et les vallons, ils avaient finalement mit la main sur l'objet de leur quête, la cité naine perdue de Velkar. Malheureusement, les barbares y avaient pénétré et les nains noirs des profondeurs en avaient saisit les niveaux inférieurs! L'une des plus ancienne et plus illustes cités naines était retrouvé, mais gisait, profanée et vandalisée par leurs ennemis. Quel triste destin pour cette magnifique cité d'argent et de bronze chatoyant... Bien décidés à ne pas faire demi-tour, les nains se jettèrent au combat avec la juste fureur des justes au cœur. ils combattirent avec courage dans ses couloirs et ses salles, répandant des torrents de sang impies, reprennant ce qui était à eux de par leur héritage. Pourtant, les ennemis étaient nombreux et bien retranchés et ne laisseraient nos maîtres nains les chasser sans résister! le combat fut acharné, fanatiquement motivé d'un coté comme de l'autre, mais fini par s'enliser sans que la cité perdu ne change de main. Au désespoir, les nains se résolurent en désespoir de cause à requérir l'aide de leur voisins humains. Pendant ce temps, les tensions grandissaient entre ces derniers et leurs voisins elfiques, de plus en plus d'humains en appelant à prendre les armes contre eux ou à trouver une nouvelle terre d’accueil. Les attaques barbares se faisaient de plus en plus pressente et leur position menaçaient de se faire intenable. Brisés, ces hommes et ces femmes avaient dut abandonner leur cités face aux assauts barbares et l'avaient regarder brûler dans le lointain, emportant en volutes opaques et noirâtres presque tout leurs espoirs. Lorsque les émissaires nains descendirent des montagnes ave une proposition à leur faire, il ne purent résister. En échange de leur participation dans la libration de la cité naine retrouvée, les humains obtiendrait les armes et armures nécessaire afin de repousser les barbares et peut-être même les elfes. Pourtant, ceux-ci avaient bien d'autre soucis en tête que d'exterminer les colons humains. Au terme d'une lutte implacable pour le contrôle de la forêt, les elfes étaient parvenus à libérer celle-ci et à en faire leur nouvelle demeure. Pourtant, tout ce sang versé et tout ces morts ne purent se montrer suffisant pour la terre éternellement assoiffée des Collines du Sacrifiés et les orcs sauvages des montagnes du Nord se montraient de plus en plus audacieux face aux recul des barbares et les humains au Sud, nouvellement armée, semblait assembler le courage nécessaire pour leur faire la guerre... Un avenir sombre se profilait à l'horizon et je n'ose imaginer ce qu'il serait advenue des terres du Nord s'il s'était réalisé. Heureusement, le pire nous fut épargné, ce qui ne veux pas dire que les braves venus coloniser le Marforel ne passeraient pas à travers l'enfer avant de rencontrer le succès...   Il marqua une pause dramatique, baissant la tête vers le sol de pierre grise pendant un long moment avant de relever la tête et de jauger son audience. Comme il s'en doutait, les spectateurs étaient complètement captivés par son histoire, par le timbre hypnotique de sa voix, tantôt rêveur, tantôt évocateur de mille images et par ses gestes saisissants et sa posture même. Les couverts avaient depuis longtemps été reposés et la nouriture, pourtant fastueuse, négligée. Partout à travers la salle de banquet, les convives avaient interrompue leur badinage pour se tourner vers lui, quitte à se tordre le cou, les serviteurs ayant même cessé d'assurer le service pour plutôt s'entasser à la porte des cuisine pour l'écouter. Alors qu'il relevait la tête en mimant une profonde contemplation, il en profita pour jeter un coup d'oeil fugace à sa complice à l'autre bout de la table. Bien. Le méfait avait été accomplit comme un témoignait le mouchoir rouge maintenant à sa manche. Même une larme de Rouge Gorge accomplira la sinistre besogne, donnant même l'apparence d'une maladie plutôt que d'une empoisonnement. Ironique... Haussant à nouveau sa voix d'orateur accomplit, de marionnetiste ayant accomplit cent fois la même pièce, il reprit.   -N'était-ce pas assez? Ces hommes et ces femmes n'avaient-ils pas subit bien plus que leur part de tourments? Combien de souffrance et de déceptions un homme peut-il supporter avant de biser? ''Bien plus encore, s'il s'agit de défendre sa famille et de garantir son avenir!'' Tel est la réponse! Au cœur vaillant et au bras fort, l'adversité ne saurait résister! Tel n'est-elle pas la leçon que les Divins nous ont apprise, nous inspirants vers des sommets de grandeur?   Autour de lui, alors que sa voix se faisait impérieuse, la foule (presque entièrement des humains, il faut l'avouer), s'animait, se tortillait sur sa chaise, à la recherche du manche d'une arme à agripper, d'un ennemi des justes à pourfendre, sans en trouver.   -Alors que les hordes grouillantes et sanguinaires s'amassait à l'Ouest, les nains percèrent enfin les secrets enfouis dans les tréfonds de leurs forteresses reconquises. Dans les grandes Chambres de Savoir et sur les immenses fresques murales des cités naines reconquise, les nains avaient redécouvert le secret du légendaire Dravèr, le métal des Rois, de son exploitation, de sa forge et de la localisation de certain de ses dépôts à travers le Nord. Plus encore, ils comprirent ce que les elfes cherchaient dans la forêt ainsi que la cause de leur lutte acharné: la Pierre Élémentaire de Feu. Afin de préserver ce qu'ils avaient tous accomplit à la sueur de leur front et par la force de leurs armes, les nains comprirent qu'ils devraient reforger les anciennes alliances et requérir l'assistance des enchanteurs elfes s'ils espéraient survivre face à la marée de sang qui allait frapper. Bien qu ce soit peut-être leur seule chance, les doutes furent nombreux et les tensions grandes entre le clans nains, mais l'ennemis avait fait l'erreur de trop! Décidant de s'allier afin de chasser nos héros en dehors de la terre promise, ils leur donnèrent l'impulsion nécessaire afin de s'allier et de former un front uni! Rencontrant les elfes, les nains leur proposèrent une marché...   Prenant une pause afin de se désaltérer en buvant à même la coupe du Seigneur Farigal, Iltamis secoua bientôt la tête de manière exagéré avant de s'exclamer d'une voix faussement étranglée.    -Pardis Seigneur Farigal! Ce vin me semble particulièrement relevé, du Réconfort du Chasseur si je ne me trompe pas! Attention à ne pas devenir aveugle, c'est bien ce qui est arrivé à votre oncle, non? Je crois bien que vous allez devoir demander l'hospitalité de notre généreux hôte ce soir, sans quoi, le trajet du retour en carriole risque d'être mouvementé!    Alors que la foule s’esclaffait et que le vieux et empâté Seigneur Farigal hochait la tête de bonne grâce, Iltamis évalua son auditoire. La plupart des gens présent connaissaient les grandes lignes de l'histoire du Marforel et savait donc où il se dirigeait. Pour autant, aucun ne l'avait encore entendu raconté par lui et les regards se tournaient déjà de nouveau vers lui. Rêveurs, il attendaient avec impatience qu'il reprenne la parole. D'un pas tranquille, mais d'un ton grave, il reprit la parole ainsi que sa marche entre les tables.    -Le marché que les nains proposèrent aux elfes fut incroyablement audacieux et... risqué. Il faillit diviser leurs deux communautés et les précipiter toutes trois dans une guerre intestine dont aucun ne se serait relevé. C'était suicidaire, fou, mais c'était la seule chose à faire. Il leur proposèrent de mettre à nouveaux leur savoir et leur compétence en commun et de créer une arme de légende avec laquelle ils pourraient faire face aux hordes de sauvages. Les nains forgerait l'arme dans le Dravèr le plus pur et les elfes utiliserai la Pierre Élémentaire de Feu afin d'en faire un artefact incomparable. Mit à part les défis innombrables qui se dresserait entre eux et l'accomplissement de ce projet s'il décidait de s'y lancer, deux problèmes semblaient simplement insurmontables. D'abord, les cités naines libérées ne renfermaient plus aucun Dravèr et ils devraient s'enfoncer profondément en terre ennemie pour en trouver. Ensuite, la Pierre Élémentaire avait développé une affinité avec l'humanité et seul le sang humain pourrait permettre au porteur de leur arme d'en invoquer les redoutables pouvoirs. La solution à ces deux problème était la même: la communauté de braves humains combattant avec acharnement pour leur rêve depuis son arrivé dans les Collines du Sacrifié.    Alors que la communauté humaine se préparait à un dernier affrontement,              Le Royaume de Marforel fût fondé comme beaucoup dans le sang et le conflit, mais aussi dans l'union et l'espoir. Les terres où se situe maintenant ce royaume prospère n'étaient guère qu'une lande maudite parcourue par de nombreuses tribus barbares impies. Quittant leurs terres d'origine pour trouver un nouveau foyer, nombreux furent ceux qui affluèrent vers l'endroit que tous surnommaient les Collines du Sacrifié. Les humains fuyait l'empire chancelant du Quermel ou la servitude sur les terres elfes tandis que les nains fuyait la guerre civile qui suivait la chute de leur royaume. Les elfes, quant à eux, quittaient un royaume qu'ils ne reconnaissent plus, refusant de pratiquer l'esclavage devenant omniprésent ou d'endosser la politique expansionniste et militairiste de leur royaume d'origine.   Alors que ces expatriés s'installaient de l'autre côté de la (fleuve), les premiers temps furent dur. Les différents groupes se défiaient les uns des autres et devait composer avec l'hostilité de ce nouveau monde plein de danger et d'épreuves. Les elfes s'établirent dans la forêt de Voma au nord, les nains prirent possession de la partie occidentale des Montagnes de Fer à l'est et les humains construisirent leur foyer dans les plaines fertiles entre les deux. Tous s'établirent dans la partie Est des Collines du Sacrifié car la présence barbare était bien trop forte dans la partie Ouest, proche de la mer.   A cette époque, le Nagar était secoué par de nombreux troubles internes. En effet, les Cité-États du Sud livrait une guerre économique impitoyable à l'enclave naine et le bien être du peuple s'en ressentait. Certains clans pressait le roi de partir en guerre en réponse à cette attaque tandis que d'autres luttaient pour que les nains repartent vers le nord et reprennent les terres de leurs ancêtres. Le roi Baljour Pierre Bleu, lui, tentait de faire entrer son peuple dans l'ère moderne, de quitter leurs traditions archaïque et de commencer à combattre les Cité-États sur leur propre terrain. Cette manière de gouverner lui attirait l'inimitié des traditionalistes et parfois même leur haines. De plus, l'empire humain au Nord semblait sur le point de péricliter et menaçait leur frontière nordique. Bientôt, ces dissensions couplé avec l'instabilité économique au sud et politique au nord projetèrent le Nagar déjà en trouble en plein guerre civile, les traditionalistes tentant de prendre le pouvoir et le peuple se rebellant. Certains clans nains, chassé de leur foyer par la guerre civile, n'eurent pas d'autre choix que de trouver un nouvel endroit pour s'installer. Ils n'avaient pas d'expertise en creusement de forteresses souterraines, mais les premiers nains avaient perfectionner leur compétence dans le domaine et avaient établient leur première demeures dans les montagnes. Chassé par l'invasion barbare, ceux-ci avaient dû s'exiler et avait fondée le royaume du Nagar plus au sud. De plus, les légendes naines prétendaient que ces premières cité du Petit Peuple abritait les secrets qui avaient permis au nains de l'époque d'acquérir l'hégémonie technologie sur le nord d'Anelde. Ils se mirent donc en tête de revendiquer les anciennes cités naines perdues maintenant transformé en bastion des forces barbares. Ils s'installèrent d'abord sur les flancs de la montagne, afin d'analyser la situation. Rapidement ils furent la cible d'attaques féroces de la part des barbares installé dans les villes abandonné de Wrelk et Darman. Il ne fallut pas plus de quelques semaines aux nains pour comprendre que leur demeures avaient été investis par de bien plus grande forces que celle qu'ils étaient en mesure d'affronter. Pourtant, le peuple nain n'abandonne pas facilement et les Mornebois, Bruckman et Marcheterre décidèrent d'un commun accord de tenter de reprendre ce qui leur appartenait ou de mourir en essayant. Ces deux dernières familles était de racine ancienne et certains des leurs avaient eu des proches contemporain d'un époque où les nains vivaient encore dans ces cités souterraines. Les Mornebois, eux, étaient des guerriers aguerrie ayant juré de défendre leur pays lorsqu'ils habitaient encore le Nagar. Pourtant, il n'avait pu empêcher celui-ci d'être détruit de l'intérieur par les guerres intestines. Aucun d'entre eux n'était prêt à laisser ces forteresses aux mains impie des barbares. Ils firent donc s'écrouler les voies de sorties des barbares et se lancèrent à l'assaut de Wrelk, chaque nain, naine et jeune en mesure de porter une arme sur la ligne de front. Jour après jour, semaine après semaine, chambre après chambre, salle après salle, ils s'enfoncèrent dans l'ancienne ville, parsemant leur chemin de corps barbares. Après trois long mois de batailles, ils avaient libéré la cité maintenant en ruine, mais au prix fort. De nombreux nains avaient péri et Darman, la forteresse la plus fortifié des deux, restait à reprendre. De plus, des éclaireurs barbares avaient eu vent de la présence naine et commençait à les attaquer. Comble du malheur, les fresques relatant les secrets de nains avaient été endommagé par les siècles de mauvais traitement aux mains des barbares et étaient incomplète. Wrelk n'était plus que l'ombre de ce qu'elle avait été, leur réserves de nourriture étaient très faible et les nains fatigué, mais leur moral était au plus haut et ils étaient chez eux. Débuta alors une guerre d'usure entre les nains tentant de reconstruire la forteresse et de refaire leur forces et les barbare décidé à les exterminer, guerre qui devait durer plus de 10 ans, jusqu'à ce que les humains s'en mêlent.   De leur côté, les elfes s'étaient établi dans la forêt de Voma, en bordure des Contreforts D'Hiver. Si les nains avait été forcé quitter leur terres, les elfes, eux, l'avait choisi. En effet, radicalisé par l'instigation de l'esclavage par les elfes de Riviel, principalement des hommes, sur leur terre, l'empire Quermel avait déclaré la guerre à leur voisin elfique. Cette situation et la réponse déployé par les dirigeants de Riviel d'envoyer les familles supportant le moins l'esclavage dans les situations les plus dangereuses, avait créé beaucoup de mécontentement parmis la population. De plus, des cultes noirs barbares se manifestaient de plus en plus fortement dans la forêt servant de sépulture à la Pierre de Feu et cela inquiétait bien de sages elfes. Même si les nains avaient oublié le secret de cette pierre de pouvoir, ce n'était pas le cas des elfes et avec les égarements de plus en plus dangereux des hommes, il était plus que jamais nécessaires de protéger le secret de son existence. Ils décidèrent donc de prendre possession de cette forêt sombre et hostile, tombeau de la pierre élémental et d'en faire leur nouveau foyer, quittant une terre qu'il ne reconnaissaient plus. De leur côté, les barbares avaient été attiré par cette forêt depuis des siècles à cause des phénomènes magique qui s'y produisaient. Là-bas, les flammes magiques brillaient de mille feux et les invocations démoniaque étaient bien plus efficace. Les principaux chamans et démonologues avaient installé leurs demeures parmis cette forêt obscure et s'y était fortifié. Ce défis était de taille, même pour le peuple elfe, mais il s'y attelèrent sans perdre une seconde, débutant les reconnaissances dès leur arrivée et préparant leur offensive. Bientôt, Voma se transforma en champs de batailles sanglant, les elfes utilisant leur connaissance des forêt, leur lames affûté et leur connaissance magique pour tenter de déloger les barbares habitant dans cette forêt depuis des décennies et invoquant des monstres venus des enfers pour défendre leurs demeures impies. La plus grande difficulté qu'ils rencontrèrent fut Nezralm, le monstre infernal créé par la magie impies des invocateurs et par la vision des patrons infernales que ceux-ci adorent. Les combats furent d'une violence incroyable, mais heureusement court, les barbares n'étant pas prêt à répondre une attaque de grande envergure de la part de guerrier discipliné et organisé. Bientôt, la forêt fut libéré de leur influence et les elfes purent commencer à s'y installer et à fortifier leur position. Pourtant, même débarasser de cette menace, les elfes rencontrèrent vite un nouveau problème. Les tribus orc au nord semblait encourager par la mise en déroutes des barbares et augmentait leur incursion vers le sud. De plus, les familles humaines ayant fuis les turpitudes de l'empire de Quermel avait assisté à l'offensive brutal que les elfes avaient déployé contre les barbares et gardait en tête les méthodes esclavagiste qu'ils avaient utilisé contre les leurs au Riviel. Malgré les tentatives d'apaisement déployé par les ambassadeurs elfes envoyé chez les hommes, ceux-ci restait méfiant et même revanchard et une nouvelle guerre semblait poindre le bout de son nez...   Allant toujours de l'avant, cherchant sans cesse l'avancement de leur situation et de celle de leur enfant, les hommes avaient pour leur part installé leur nouvelles maison dans les plaines fertiles du Bassin brumeux. De nombreuses famille, guidé par Z, avaient quitté l'empire Quermel et ses véliétés guerrière et xénophobe afin de se trouver une terre ou vivre en paix. Pourtant, ce ne fut pas ce qu'ils trouvèrent dans les Collines du Sacrifié. Les barbares écumaient chaque parcelle de terre, livrant une guerre sans merci au nouveaux arrivants, au orcs et même à ceux d'entre eux qui étaient différent d'eux. Les hommes tentèrent de s'installer près de la rivière Dalme, mais furent chassés à la première offensive barbares. Ils purent s'installer plus loins, mais furent continuellement la cible d'attaques de la part des sauvages locaux, sauvage semblant bénéficier de l'aide de sombres forces venus d'un autre monde. Ces hommes d'alors ne possédant pas d'atouts magiques durent se fier à leur courage et à leur résilience afin de résister aux attaque incessante et tenir bon. Les années passèrent, ponctué par la fondation de leur première ville, XXX, par de nombreuses dissensions internes quant à la manière dont leur communauté et les relations avec leur voisins devrait être gérés et par une crainte croissante que les elfes au Nord tentent d'étendre leur territoire au dépens des humains. Alors que les tensions escaladaient, les nains virent à la rencontre de la communauté humaine.   La forteresse naine libéré ne contenait pas tous les trésors de secrets que les nains espérait. Depuis le premier assaut barbare et la capture de la forteresse, leur présence avait dégradé l'intégrité des structures. Les fresques taillées à même les murs des salles de conceptions naines avaient été effritée quand elle n'avaient pas été simplement vandalisé. Les connaissances qu'il renfermait étaient lacunaires, mais assez complète pour qu'ils comprennent que la seconde forteresse renfermait elle aussi une version de ces secrets. Qui plus est, ils avaient rapidement découvert que la forteresse elle-même était vulnérables. À la recherche des légendaires salles aux trésors des nains, les barbares avaient creusé le sol imprudemment et affaibli ses fondations. Ils était apparent au nains que la cité enfouie ne durerait pas deux cents autres années. Il devenait donc impératif pour eux de reprendre possession de la deuxième cité. Pourtant, leurs pertes avaient été sérieuse lors de la libération de la première et leur force était maintenant insuffisante pour espérer reprendre Darman. Bien des conversations houleuses eurent lieu entre les familles naines et une décisions fut finalement prise. Ils iraient chercher de l'aide chez ceux qui serait susceptible de les aider: leur voisin humain. Ils leur proposèrent un accord simple : les humains les aideraient à reprendre la forteresse et en échange, les nains leur fourniraient des armes et des armures de qualité grâce au forges reconquise afin de se protéger d'une invasion elfe. Les humains furent divisé face à cette proposition, la plupart ne voulant pas risquer la vie des leurs pour des nains, mais quelque autres comprenant très bien que face aux barbares et aux elfes, ils auraient non seulement besoin d'armes et d'armures, mais surtout d'alliés. Cette différences dans leur vision de ce qui était bon pour leur peuple entraîna bien des tumultes dans leur petite communauté en proie à tant d'ennemis, ceux contre jugeant que l'aide que comptait offrir les autres relevait de la traîtrise. Pourtant, malgré cette opposition, certaines familles avec à leur tête la famille demi-elfe Forgépée acceptèrent d'aider les nains. Ils se rendirent dans les Montagnes de Fer et convinrent d'un plan pour libérer la forteresse. La famille Forgépee était martiallement reconnue, mais assez peu populaire, à cause de leur héritage de sang mêlé. Ils proposèrent un plan ambitieux, mais risqué: les nains mèneraient l'assaut frontal contre les barbares, attirant leur attention tandis que les humains s'infiltraient par les grandes cheminée abandonné, prenant leurs adversaires par surprise. Le plan eu dès le départ des accrocs. La fresque renfermant les secrets des nains était bel et bien intact, mais la présence barbare était beaucoup moins grande que prévus. Alors qu'ils progressaient dans les entrailles de pierre de cette construction monstrueuse, ils réalisèrent qu'ils étaient en train d'interrompre un puissant rituel satanique déjà bien entamée. À leur plus grande horreur, ils comprirent que les mages barbares comptais ouvrir une porte vers les Enfers qui livrerait passage à un Diable destiné à en finir avec les nains. Les nains n'avaient plus d'autre choix que de continuer jusqu'à la fin, mais certain dans les rangs humains commençait à hésiter. La famille ZZZ arguait qu'ils n'étaient pas venus pour ça et qu'ils feraient courir un risque inconsidéré en continuant. Ils préconisèrent de se replier et de demander l'aide des elfes, mais les Forgépee comprirent bien que le temps pressait et réussir à souder les troupes et à les faires continuer, malgré leur doutes. Le combats qui suivit fut terrible, retentissant à travers les sombres couloirs comme des cris horribles. La magie satanique déployé par les barbares eurent presque raison des forces alliés et celle-ci auraient péri jusqu'à la dernière si le clan Mornebois et ses guerriers n'avait pas courageusement donné leurs vies pour les stopper, eux et le rituel. Quand la poussière du combat retomba, ils constatèrent avec effroi que leurs ennemies étaient vaincu, mais que le rituel interrompu était en train de projeter la forteresse entière dans un abysse sans fond. Pire encore, le grand diable qui avait échoué à rejoindre ce monde avait sentie la noirceur dans le coeur de certain hommes et avait touché l'un d'entre eux de sa marques. Daniel Gerrois, l'un de ceux qui arguait pour qu'ils abandonne les nains à leur sort quant ils ont appris qu'un rituel avait lieu, n'avait pas eu la volonté de résister à la tentation infernale. Rapidement, tous durent évacuer et finalement, la cité naine témoin de tant d'horreur sombra dans les ténèbres, ne laissant que les étages supérieurs plus ou moins intact. Les nains avait libéré leurs anciennes villes souterraines, mais à quelle prix?   Les humains repartirent bientôt dans leur demeure, repartant avec la promesse des nains de leur livrer armes et armures de qualité. Daniel Gerrois retourna avec eux dans la communauté et ne fit plus parler de lui pendant bien longtemps. De leur côté, les nains retournèrent s'installer dans la forteresse de Velke et laissèrent une garnison pour défendre une Darman en ruine. Entendant parler de la libération des premières forteresses naines, quelques autres clans nain virent les rejoindre afin de repeupler leur héritage. Pendants quelques mois, les perspectives d'avenir semblèrent se dégager dans la région, pourtant des rouages de bien plus grande ampleur venait d'être mis en branle. En étudiant les fresques encore en bon état de Darman, les nains réalisèrent que les secrets qu'elles renfermaient dépassait de loins leurs attentes. Elle indiquaient la localisation et la méthode de forge d'un métal exceptionnel, mais aussi le secret de la Pierre de Feu. Elle relatait l'histoire ancienne de l'arrivé de la pierre sur ce continent, le fait que, jumelé avec le métal en question par l'expertise des nains et des elfes, elle pourrait donner naissance à un artefact de grande pouvoir, qu'il ne pourrait être maîtrisé que par un homme et que les vieux peuples avaient décider de la cacher par méfiance envers les humains. Elle indiquait la moitié des informations nécessaires afin de la retrouver ainsi qu'une transcription d'une des prophéties de XXX semblant annoncer qu'un homme prendrait possession d'une arme de lumière et changerait le monde avec. Cette découverte plongea le petit peuple dans l'inquiétude, en effet, si la pierre était encore ici, les barbares allait tenter de la retrouver et à l'Ouest, courroucé par les attaques des nains et des hommes, ce peuple sauvage se préparait pour une guerre de grande ampleur contre les nouveaux arrivants. Face à cette menace de grande ampleur, les nains comprirent qu'il était temps d'agir. Ils organisèrent une rencontre avec les elfes en terrain neutre afin de discuter de cette découverte. Les elfes furent contrarié de constater que les nains avaient redécouvert le secret de la pierre, mais devait bien admettre que les évènements s'enchaînait de manière inquiétantes. Les discussions furent longue et houleuse, mais ils parvinrent à un accord. Ils obtiendrai du Dravèr, les nains le forgerai, les elfes l'enchanterai et ils le confierai à un humain qui saurais s'en montrer digne afin qu'il stoppe l'avancé des hordes barbares. Les elfes, pourtant, voyaient les choses d'un autre oeil. Ils avaient vu les hommes ruiner le monde bien trop souvent dans le passée et voyait leurs voisins humains s'entredéchirer en ce moment même pour le pouvoir sur des bouts de terres qui ne leur appartenait pas. Ils ne pouvaient prendre le risque de laisser une arme d'une telle puissance entre les mains d'être aussi changeant. Même si le condidats proposé par les nains semblait être noble de cœurs, il ne vivrait que bien peu de temps et ses héritiers ne seraient sûrement pas aussi bien intentionné. Ils décidèrent donc de faire ce qui devait être fait et d'enchanter l'arme comme demandé, mais de le confier à un membre très particulier de leur clan.   Subterfuge mis à part, un problème d'envergure se dessinait tout de même à l'horizon. Ils leur faudrait tout de même obtenir du Dravèr s'ils voulaient en faire une puissante création et ce minerai ne se trouvait que dans l'Ouest du territoire actuellement occupé par les barbares. Les nains étaient dans une position trop précaire pour se permettre d'envoyer leur meilleurs guerriers au loin et les elfes utilisaient une grande partie de leur ressources afin d'assembler les matériaux et de préparer le rituel nécessaire au grand enchantement. Les nains partirent donc à la rencontre du peuple humain pour leur faire une nouvelle offre. Les vieux peuples allaient forger une arme légendaire permettant de stopper les barbares et la confierai au hommes, mais seulement si ceux-ci pouvait aller chercher le Dravèr nécessaire à l'Ouest. Cette nouvelle engendre évidemment bien des réactions des les hommes qui se croyaient jusqu'alors condamné par l'avancé des sauvages. Malgré cette chance unique qui leur était proposé, biens des familles nobles eurent des réticences. Elle se demandait si elles pouvaient vraiment faire confiance aux nains et aux elfes pour leur livrer l'arme une fois forgé et, surtout, à qui elle serait confié. Après tout, les nains ne leur avaient pas dit que l'arme ne pourrait être manié que par un homme afin d'éviter que ceux-ci ne se pensent supérieur aux autres races. Ils leur dirent tout de même qu'ils étaient près à confier cette arme à la famille Forgépee pour l'aide qu'ils leur avaient fournis. Bien sur, cela exacerba les tensions entre les familles humaines, mais elle acceptèrent de partir à la recherche de ce rare minerai afin de sauver leurs terres.   Ils réunirent les meilleurs guerriers de leur communauté et créent une force de frappe assez forte pour se rendre en territoire ennemies et assez petite pour avancer rapidement et discrètement. Se joint à cette équipe deux nains chargé de les guider jusqu'au plus proches filons et d'en extraire le minerai. À leur grande surprise se joignit à eux un elfe solitaire décidé à les aider à mener leur tâche à bien. N'étant pas choisi pour participer à cette mission, Mireal Forgépée le plus jeune fils Forgépee, demi-elfe impétueux partisans de la cause humaine et nullement convaincue de la bonne foi des elfes, décida d'aller visiter leur forêt et de voir le rituel par lui même. Il utilisa sa ressemblance au peuple elfe et son expérience acquise au fils d'année de roublardise pour s'infiltrer sur leur territoire et observer les préparatifs. C'est là, pendant que son peuple, sa famille, ses amis, risquaient leur vie pour ramener ce fameux métal qu'il découvrit que les elfes comptais garder l'arme pour eux. Cela aurait été suffisant pour changer son monde, mais il apprit aussi que la famille Forgépee avait deux branches bien distincte et que l'une d'entre elle était resté du côté des elfes et se trouvait maintenant dans cette forêt. Pire encore, les elfes comptais donner l'arme aux descendants de cette famille plutôt qu'à la leur. Il débuta alors la mise en place d'un plan, un plan qui remettrait les choses à leur juste place.   Pendant ce temps, le groupe humain, maintenant connus sous le nom des "Vingts Courageux", s'enfonça en territoire ennemis plusieurs jours durant, affrontant barbares et monstres infernaux et voyant leur groupe rétrécir au fil des escarmouches. Finalement, ils obtinrent le métal et repartirent chez eux. Des 26 partie, 8 hommes revinrent accompagné d'un nain et de l'elfe. Malgré ces pertes, la mission était une réussite et ils avaient rapporté assez de minerai pour forger l'arme de légende. Rapidement, les nains firent rugir les hauts fourneaux de la forteresse reconquise de Velke et commencèrent le processus délicats de la forge du Dravèr alors que la force barbare avançait sur leur position. Heureusement, les diverses tribus avait trop de désir d'indépendance et de gloire pour s'entendre et travailler efficacement, ce qui ralentissait leur progression. Après plusieurs jours de travail acharné, les nains parvinrent à créer une arme digne des anciens écrits. Accompagné d'une délégations humaine, ils acheminèrent l'artefact inachevé chez les elfes, prêt à assister à l'enchantement et à la remise de l'arme de légende aux hommes. Parmis les hommes, plusieurs familles influentes complotaient et cherchais un moyen d'obtenir l'épée pour eux même. C'est dans cette atmosphère de traîtrise que dans la forêt de Voma, ils assistèrent tous à l'un des rituels magiques les plus formidable que le monde ait vue. Un ballet de lumière, un feu d'artifice de son, enchentèrent l'épée forgé par les nains et en firent Brillépée, la Porteuse de Flamme, Le Brasier éternel, une arme capable de repousser l'avancé de la horde barbare et de leurs alliés. Alors qu'il s'apprêtait à remettre l'arme à Serenpel Forgépée, le demi-elfe ayant grandi toute sa vie chez les elfes, Mireal mit son plan à l'oeuvre et, profitant que les gardes elfes se prépare à retenir les humains trahis, s'empara de l'épée. Du moment où sa main toucha sa garde, il ne pu plus la lâcher. Son essence, celle de sa famille, de ses ancêtres et de ses descendants, fut unis à celle de l'arme. Pourtant, ce que ni lui ni les elfes n'avaient compris, c'était que le sang d'un demi-elfe suffirait peut-être à activer l'arme, mais qu'il y aurait des conséquences. Lié au sang incomplet d'un demi-homme, la Pierre Élémentaire qui conférait ses pouvoirs à l'épée fut corrompu et devint aussi incomplète que l'héritage de son porteur. À partir de ce moment, les pouvoirs de la pierre commencèrent lentement à se dissiper, épuisé encore plus rapidement par un usage de ses pouvoirs. Bien que cela aurait une importance capitale sur le destin de la région, ce n'était pas la préoccupation principales des elfes qui virent Mirael se saisir de l'épée et mettre leur subterfuge à jour. Dans un tourbillons de flammes, il se dressa face à l'assemblée, semblant grandir à chaque seconde et les yeux tel des brasiers surnaturels. Les elfes stupéfaits restèrent un instant bouche bée avant qu'un de leur mage tente de le neutraliser d'une puissante décharge de foudre. L'instant d'après, le mage était incinéré et Mirael se dressait, indemne. Se trouvait devant lui des elfes ayant tenté de flouer son peuple et des hommes ayant voulue dépouiller sa famille. La fureur qui se débattait en lui hurlait de réduire en cendre ces menteurs et ces fourbes, mais il avait hérité du coeur de sa famille et s'adressa plutôt à eux. Il leur dit que l'heure était sombre et pourrait bien voir la fin de leur peuple respectif si les barbares parvenait à leur fin. Brillépee pourrait fendre leur rang, mais la magie impies que ces sauvages brandissaient pourrait être contré par le savoir faire elfe et les nains pourrait empêcher les groupes ennemies en maraude de s'attaquer aux civiles. Ensemble, ils pourrait se dresser face à l'adversité et il était prêt à pardonner à ceux qui voulait lui faire du tort s'ils étaient prêt à coopérer. Comprenant très bien que l'union fait la force et mit en face du fait que Brillépee appartenait maintenant aux Forgépee, les humains, les nains et les elfes acceptèrent de s'unir et se préparèrent à partir en guerre.   Ils rassemblèrent leur armée et, dirigé par Mirael Forgépée, avancèrent à l'encontre des centaines de barbares réunis en une horde grouillante et chaotique. Le premier choc fut brutal, entre la magie des elfes et des chamanes barbares et la puissance de Brillepée, des milliers tombèrent. Les tribus sauvages étaient en nette supériorité numérique, mais la magie de l'artefact nouvellement créé se déchaîna et réduisit en cendre des tribus entière d'un simple mouvement. Après cette première rencontre, les barbares se dispersèrent, mis en déroute et commença une traque de la part de peuple allié cherchant à exterminer tous leurs ennemis restant. Après plusieurs mois de traque impitoyable, les dernières tribus barbares avaient soit été massacré soit repoussé dans les confins du Seal'Wèl ou dans les hauteur des montagnes.   Il était maintenant temps de décider quoi faire de ces nouvelles terres. Si ses habitants ne les réclamait pas pour eux, les bandits des terres du Sud, les orcs du Nord ou les nouveaux pays en plein tumulte née de la mort de l'Empire Quermel le ferais. Maintenant que la Pierre n'était plus dans la forêt de Voma et que celle-ci était toujours parcourue par une aura magique malsaine les elfes n'avaient plus de raison d'y rester. Les nains, pour leur part, ne pouvait rester dans les forteresse des Montages de Fer à cause de leur instabilité. Mireal, portant Brillépee, se tourna vers ceux qui s'était battu à ses côté et leur fit une offre. Les nains avaient besoin d'un foyer et il leur en proposa un. Les elfes ne faisait pas confiance aux hommes, il leur donna une chance de le surveiller de près. Il leur proposa de fonder une nouvelle nation, une nation qui saurait se montrer meilleure, grâce à eux tous, qu'ils sauraient l'être individuellement, une nation qu'il gouvernerait en tant que roi grâce à Brillépee. Cette proposition fut loin de faire l'unanimité, les nains et les elfes acceptant mal de se faire diriger par un humain et les différentes familles humains n'ayant pas choisi de l'élir. Pourtant, la majorité des humains acceptèrent de suivre un homme bon, ayant fait ses preuves tel que Mirael, les nains n'avait pas beaucoup d'autre choix et faisait confiance à la famille Forgépee et les elfes acceptèrent un partenariat, laissant les humains régner jusqu'à ce que le royaume tombé dans le chaos, auquel cas, les elfes en prendrait la direction et Brillépee serait confié au descendant Forgépee grandissant chez les elfes. Certaine famille humaine refusèrent de plier l'échine et décidèrent de rester indépendante, établi dans le Bassin Brumeux. C'est sur cette base précaire que fut créé leur nouveau royaume qu'ils baptisèrent Marforel alors que la famille Forgépee se rebaptisait Brillépee.   DÉVELOPPEMENT DU ROYAUME   Parmis les 38 maisons humaines qui avait quitté leur terre pour aller coloniser le Marforel, deux d’entre elle furent totalement éradiquer avant que le royaume ne voit le jour. Parmis les 36 restantes, 13 furent choisie de part leur force, leur pouvoir et leur influence afin de composer la nouvelle noblesse, représenter les hommes et conseiller le roi. Ces maisons furent les Brillépée, O’neil, Edelbert, Tecilla, Becdecorbin, Stanson, Morgan, BloodWood, Niric, Relmor, Traer, Quermon et Altman. Avec le temps, les choses changèrent. La population du royaume grandit, de nouvelles maisons se créèrent, certaine grandirent en influence et d’autre en perdirent. Les maisons Relmor, Traer et Quermon finirent par disparaître et la maison Altamn, autrefois puissante, perdit peu à peu son pouvoir et de nouvelles maisons prirent leur place. La balance de la politique fluctua, certaines maison grandirent, accédèrent au Conseil du Roi avant d’être supplanté. La maison Cederyl se tailla une place de choix dans le royaume et gagna une place aussi influente dans le royaume que les maison de la Première Noblesse. Il ne reste plus que 9 des maisons nobles originels, dont une en déchéance et 5 siégeant au conseil du roi.   À la création du royaume, les familles humaines élurent parmi elles treize familles méritantes et issus des nobles ayant quitté l’empire moribond qui devraient devenir les nouvelles grandes Maisons Nobles humaines. Des trois clans nains originaux, l’un avait été décimé par La Guerre de Purification et un autre était pétri des traditions marchande hérité du Nagar. Il fut convenu entre eux que le clan Marcheterre représenterait leur peuple au sein de cette nouvelle nation. Des quatre clans elfes, seule les Noircoeurs ne purent se prévaloir d'une ligé assez prestigieuse pour leur garantir une position d'influence, les trois autres gagant quant à eux leurs lettres de noblesse. Ayant elles aussi contribué à la victoire et à la création du royaume, certaines familles élémentaires et clans Ktals s'illustrèrent et gagnèrent le droit d'annoblir certaine d'entre elles. Chez les élémentaires, . Chez les Fils de Varan, . Au fils des siècles, ils y eu assez peu de changement dans la balance du pouvoir des clans nains et elfes tandis que les hommes luttaient âprement pour le pouvoir. Des maisons humaines se créèrent alors que les familles se développait et que de plus en plus d'âmes valeureuses venaient s'installer sur ces terres de promesses.

Démographie et Population

La population est très diversifié et englobe 6 000 000 habitants dont 550 000 nain (10%), 400 000 elfe (6,5%), 21 000 Halfelin, 13 500 Gnome, 9 000 Demi-Elfe et 6 000 Demi-Orc et le reste étant humain (83%). --REFAIRE--

Militaire

En temps de guerre, l'armée assemblée par le royaume est assez inégalement composé. Leur force de 145 000 hommes est composé de 91 000 humains (1/55 de la population), 30 000 nains (1/20), de 20 000 elfes (1/20) et de 4 000 individus provenant de d'autre races.   --REFAIRE--

Unis, nous traverserons le brasier

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  • Le Royaume du Marforel

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