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Église d'Égora

Architecture des temples
Les temples d’Égora ont le plus souvent une architecture ouverte, avec une enfilade de salle permettant de créer un parcours pour que les visiteurs puissent facilement observer les nombreuses œuvres d’art rassemblés dans ces halls.
En plus des cellules des prêtres et des lieux de prières, ces temples comportent très souvent des salles de classe qui – le plus souvent en accès libre – permettent à quiconque de venir écouter les maîtres, ou de proposer des cours. On retrouve souvent, dans ces salles de classe, des statues-fontaines très particulières, aux multiples jets et multiples vasques. Tous les jets crachent de l’encre plutôt que de l’eau, le plus important étant de l’encre bleue ou noire, les jets secondaires étant des couleurs comme le rouge ou le verre, moins souvent utilisés.
L’aspect extérieur de ces temples est assez reconnaissable : s’ils prennent autant de forme que les musées en prennent, leurs façades sont toujours couvertes d’arabesques, de bas-relief et de peinture, du pied au sommet des murs. Ces derniers sont aussi percés de nombreuses fenêtres, afin que la lumière illumine toujours l’intérieur.
Ce besoin de lumière pousse aussi les temples à s’équiper de nombreux candélabres et bougies, ce qui cause de nombreux incendies. Les prêtres d’Égora deviennent rapidement des experts pour fuir – en emportant les objets précieux – et reconstruire.
Ainsi, même si les temples d’Égora sont très difficiles à défendre, il est rare que la destruction – ou le pillage – de l’un d’eux ne soit très impactant pour le culte.  
Mythe créationniste
Selon les prêtres de la déesse, il n’existait au début que le vide et un être observant le vide. Attristé de ce paysage inchangeant, l’être fendit sa chair et en sortit un os. Y liant une mèche de cheveux, il trempa le pinceau archaïque dans son propre sang et, transformant le vide en une toile, entreprit de peindre une nouvelle réalité.
La première peinture disparu, avalé par la noirceur de la toile, mais il resta les éclaboussures : de tout petit point de peinture qui se mirent à briller sur la toile nocturne. Alors, l’être qui deviendrait Égora se pencha et, du bout d’un unique cheveux, dessina sur les petits points – les premières planètes – le premier homme.
  Cette légende est fortement critiqué par les prêtres de l’Église de Zachal, qui argumente que, la déesse ayant été créée par son mari, elle ne peut pas avoir été présente avant celui-ci.
Rituel funéraire
Le Chant du manquant (parfois connu sous d'autres noms, comme Chanquant ou opéra du parti) est le principal rituel funéraire de l'Église d'Égora.
Il s'agit comme son nom l'indique d'un chant. Il peut être chanté par l'assistance ou une chorale spécialisée, avoir des paroles traditionnelles ou retracer dans ses rimes la vie du défunt. De même, son style, rythme et musique changent en fonction des territoires et cultures.
Cependant, il y un point qui ne change pas : le chant ressemble immanquablement à une chorale où le chanteur principal est absent, laissant des silences étranges là où il devrait déclamer des couplets, reprenant des rimes après les moments où il devrait les avoir dites.
  Un autre rituel funéraire commun de l’Église d’Égora est la Dernière fanfare. Il s’agit de groupe de musique et de danse spécialisées, qui accompagnent le mort de son lieu de décès à son lieu de dernier repos.
Leur formation est complexe, car ils doivent autant être des prêtres que des musiciens, capable de dédier leur vie à la mort sans que cela impacte leur performance.
Ces groupes sont parfois très demandés, les plus fervents ayant même le pouvoir d’attirer la déesse (et parfois @Mort) sur le lieu de cérémonie. Ils sont donc très recherchés, et en louer un est un puissant signe de richesse extérieure – souvent le dernier qu’un riche peut s’acheter.
Type
Religious, Organised Religion
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