Calir Delafa
Magistrate d'un pays dont les frontières bordent le territoire contrôlé par la Grande école d'Oboni, Calir Delafa était connu comme une politicienne fortement portée sur la protection des textes anciens et des ruines et elle fut parfois appelée "la reine archéologue".
Pendant ses années de travails, elle fut à l'origine de beaucoup d'efforts archéologiques et de plusieurs textes, tous écris en elfique. Durant toutes sa vie, elle refusa qu'ils soient traduit et ils ne le furent qu'une fois la magistrate morte.
Elle est particulièrement connu pour sa "trilogie des temps anciens", portant sur les Ancestraux ("Ghulène eet aïnkestraal"), sur la création, et sur la disparition de Rien.
Elle fut retrouvée assassinée une soir d'hiver sans que jamais ce meurtre ne soit expliqué. Beaucoup suppose une vengeance politique.
Pendant ses années de travails, elle fut à l'origine de beaucoup d'efforts archéologiques et de plusieurs textes, tous écris en elfique. Durant toutes sa vie, elle refusa qu'ils soient traduit et ils ne le furent qu'une fois la magistrate morte.
Elle est particulièrement connu pour sa "trilogie des temps anciens", portant sur les Ancestraux ("Ghulène eet aïnkestraal"), sur la création, et sur la disparition de Rien.
Elle fut retrouvée assassinée une soir d'hiver sans que jamais ce meurtre ne soit expliqué. Beaucoup suppose une vengeance politique.
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