Eyshalass
Saint patron des elfes voyageurs, directeur des obuns et boussole céleste, Eyshalass est un des Aspects les plus connus d’Alkamil, même dans les communautés traverses-monde conscientes qu’il ne s’agit que d’un reflet d’un dieu plus complexe.
Celui qu’on appelle aussi le vieux marin est vu comme une divinité qui châtie et protège à la fois : ceux qui se lancent dans un voyage traditionnel, un obun, avec au cœur de trouver de nouvelles terres voient Eyshalass calmer les tempêtes et souffler dans leurs voiles, manipulant leur dérive pour les diriger dans le droit chemin. Ceux qui s’y lancent trop tôt, ou avec un coeur impure, verront au contraire les océans s’ouvrir sous eux, les plongeants dans un des enfers de la mythologie d’Onim.
Généralement, l’enfer associé à Eyshalass est On’lmalune, ou « le monde-épave », où censé se retrouver les bateaux peuplés de menteurs, tueurs et autres personnes ne respectant pas l’océan.
Eyshalass est donc la divinité du voyage marin et il allie autant l’idée de la découverte que celle de la sacralité de l’océan ; cela pose divers problème, car les marins en long voyage ne peuvent faire autrement que jeter leurs déchets dans les eaux, ce qui est considéré comme une insulte.
En contre-partie, ils offrent donc de ferventes prières ; peut-être est à cause de cette foi exacerbée par un pêché inévitable qu’Eyshalass est si répandu.
Les prières à Eyshalass se concentre sur l’idée de rendre à la mer ce qu’elle prête ; ainsi, les poissons attrapés sont certes mangés, mais leurs arêtes (et parfois leurs écailles) sont lavées et renvoyées à l’eau. De la même manière, une offrande de sel à l’aube et censé assurer une bonne journée de navigation.
Tout comme ce qu’on retrouve dans la culture des Obkre, les artefacts et objets sacrés d’Eyshalass sont souvent sculptés à côté de bois flotté ou, plus rarement, à partir de pierres récoltées dans les fonds marins. Des pouvoirs surnaturels leur sont presque toujours attribués, mais ils ont rarement un réel effet magique sur leur environnement, autre qu’un effet placebo augmentant la foi des fidèles.
Les rites funéraires d’Eyshalass tournent toujours autour de l’idée du dernier voyage, qui se traduit le plus souvent par le fait de rendre le corps à la mer. Le plus souvent, cela se fait grâce à une barque (dont la construction, la forme et la couleur peuvent être bien des symboles) que l’on envoie dans un cours d’eau ou sur un courant alors que les proches restent sur la rive.
Cela pose problème dans les mondes ayant connu une explosion démographique : les rivages se retrouvent envahis par des canots contenant des cadavres, ce qui oblige les autorités à réagir. Sur Goltat (Purec 5-1) cela s’est par exemple traduit, dans l’État de « l’empire empiécé » par la construction de maelström artificiel, au milieu de lac spécialisé pour les rites, dont le but était d’aspirer les canots, laissant libre les rivages.
Celui qu’on appelle aussi le vieux marin est vu comme une divinité qui châtie et protège à la fois : ceux qui se lancent dans un voyage traditionnel, un obun, avec au cœur de trouver de nouvelles terres voient Eyshalass calmer les tempêtes et souffler dans leurs voiles, manipulant leur dérive pour les diriger dans le droit chemin. Ceux qui s’y lancent trop tôt, ou avec un coeur impure, verront au contraire les océans s’ouvrir sous eux, les plongeants dans un des enfers de la mythologie d’Onim.
Généralement, l’enfer associé à Eyshalass est On’lmalune, ou « le monde-épave », où censé se retrouver les bateaux peuplés de menteurs, tueurs et autres personnes ne respectant pas l’océan.
Eyshalass est donc la divinité du voyage marin et il allie autant l’idée de la découverte que celle de la sacralité de l’océan ; cela pose divers problème, car les marins en long voyage ne peuvent faire autrement que jeter leurs déchets dans les eaux, ce qui est considéré comme une insulte.
En contre-partie, ils offrent donc de ferventes prières ; peut-être est à cause de cette foi exacerbée par un pêché inévitable qu’Eyshalass est si répandu.
Les prières à Eyshalass se concentre sur l’idée de rendre à la mer ce qu’elle prête ; ainsi, les poissons attrapés sont certes mangés, mais leurs arêtes (et parfois leurs écailles) sont lavées et renvoyées à l’eau. De la même manière, une offrande de sel à l’aube et censé assurer une bonne journée de navigation.
Tout comme ce qu’on retrouve dans la culture des Obkre, les artefacts et objets sacrés d’Eyshalass sont souvent sculptés à côté de bois flotté ou, plus rarement, à partir de pierres récoltées dans les fonds marins. Des pouvoirs surnaturels leur sont presque toujours attribués, mais ils ont rarement un réel effet magique sur leur environnement, autre qu’un effet placebo augmentant la foi des fidèles.
Les rites funéraires d’Eyshalass tournent toujours autour de l’idée du dernier voyage, qui se traduit le plus souvent par le fait de rendre le corps à la mer. Le plus souvent, cela se fait grâce à une barque (dont la construction, la forme et la couleur peuvent être bien des symboles) que l’on envoie dans un cours d’eau ou sur un courant alors que les proches restent sur la rive.
Cela pose problème dans les mondes ayant connu une explosion démographique : les rivages se retrouvent envahis par des canots contenant des cadavres, ce qui oblige les autorités à réagir. Sur Goltat (Purec 5-1) cela s’est par exemple traduit, dans l’État de « l’empire empiécé » par la construction de maelström artificiel, au milieu de lac spécialisé pour les rites, dont le but était d’aspirer les canots, laissant libre les rivages.
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