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homo/elfis/nanis/orcos undeciligna

Bien que les lignées d’Onim soient caractérisés par le lien présent entre chaque planètes les composants, l’énorme majorité des habitants de ces lignées ne quittent jamais leurs mondes de naissance, et plus rare encore sont ceux qui quittent leurs lignées de naissance.
Ainsi, comme à chaque fois qu’une population n’a que peu de lien avec l’extérieur, des traits sont sélectionnés par le processus évolutif, donnant ici naissance à des ethnies pour chacune des onze lignées, les ethnies undeciligna qui sont présentés ci-suis :  
  • Undeciligna puramis
  Ironiquement, le fait que l’air de Puram soit si chargé de magie rend inutile le fait qu’un corps retienne de la magie ; les habitants de cette lignée ont donc, au fil des âges, perdu cette capacité.
Ils sont donc des maîtres dans l’art de manipuler la magie qui ne leur appartient pas (qu’elle soit atmosphèrique – magie druidique – ou offert par un autre individu – magie mécénique, magie divine) mais ne peuvent pas manipuler leur magie personnelle, car n’en ayant que très peu.
Quant ils s’aventurent dans des mondes à l’énergie atmosphérique moins dense, ils ont donc la mauvaise surprise de soudainement perdre leur compétence de magicien.
  Un autre point d’intérêt est que, leurs corps ayant été lentement adapté en un conduit magique bien optimisé, l’électricité ne leur fait quasiment rien : un éclair les traverse sans presque causer de dégât.  
  • Undeciligna purekis
  Les purekis sont marqués par quelque chose dont ils ne se rendent jamais compte avant de quitter leur lignée : étant donné qu’il n’y a pas de magie dans leurs mondes, leurs corps n’a aucune raison d’avoir la capacité d’en retenir.
Une fois dans les autres lignées, les purekis se rendent donc compte qu’ils font de très, très mauvais mage. On dit parfois qu’un purekis essayant de modeler la magie ressemble à un humain essayant d’attraper de l’eau : un spectacle piteux qui ne fait rire que Filn.
  Cette herméticité à la magie peut se révéler une force dans bien des cas : bien des sorts partent du principe, pour fonctionner, que leur cible contient de la magie ; lancés sur un purekis, ils ne marchent tout simplement pas.
Pour la même raison, l’électricité à du mal à pénétrer dans les corps des purekis. Si cela ne les empêche pas de mourir quant ils reçoivent la foudre, beaucoup de manieur de taser ont eu une mauvaise surprise en affrontent des purekis.  
  • Undeciligna lupalis
  Parmi les ethnies undeciligna, les lupalis sont de loin les plus connus, et pour cause : ils disposent d’une étrange capacité mentale, une forme de télékinésie limitée qui les transforme en esprit-ruche pendant de courte période de temps… période qu’ils passent à chanter ou danser.
Le mécanisme précis derrière ce fait est au coeur de bien des études, mais reste flou.
La « communion artistique » peut se déclencher à tout instant : il suffit qu’un individu avec une volonté assez forte se mette à chanter (ou toute autre représentation artistique) pour que les individus l’entourant se joignent à lui.
Cela est d’autant impressionnant que, lors de ces représentations improvisés, des dizaines de personnes peuvent chanter sans hésiter, avec les mêmes phrases et mots… alors qu’ils ignoraient tout de la chanson un instant plus tôt.  
  • Undeciligna primeris
  Les primeris sont l’ethnie undeciligna la moins étrange, si semblable à la moyenne des espèces que beaucoup discutent du bien-fondée de son existence dans les livres officielles.
En effet, à part une proportion à bien se souvenir de l’Unique et de La grande croisade – qui est souvent un fait culturel et non biologique – les primeris ne se détachent que peu du reste des ethnies.  
  • Undeciligna naquiem
  Parmi les peuples d’Onim, ceux de Berceau sont sûrement ceux avec l’ascendance biologique la plus diverse : dans la lignée du voyage, bien des patrimoines génétiques se sont croisés, donnant des populations aussi mélangées qu’intéressantes.
Ce mélange génétique fait des naquiem un peuple particulièrement résistant à l’effet des maladies inconnues : là où une population peut être entièrement décimée parce qu’un voyageur considérerait comme une grippe, eux pourraient survivre.
  De manière visuelle, les naquiem sont connus pour avoir des caractéristiques d’autres espèces : un Elfe naquiem peut avoir la peau brun-vert des orcs, un Humain peut avoir les oreilles pointues…
Ce patrimoine génétique mixte fait aussi que les enfants hybrides inter-espèces naquiem ont des chances plus élevées d’être viable (sans maladie ou malformation, et fertile).  
  • Undeciligna luxis
  Même tout ce temps après leur disparition, malgré les deux purges, malgré les efforts des empires Anges et Diables, la marque des archéens est toujours présente en Luxiria. Sur les habitants de la lignée, cela se traduit à une tendance aux taches de rousseur sur tous le corps.
Ces taches, au demeurant, sont rarement rousses : la plupart sont jaune, certains ayant la couleur de l’or.
Cet aspect, signature des archéens, fait des luxis une population résolument mal-aimée par les empires d’Irae et March.
  Même s’il est dangereux de juger chaque individu selon la moyenne comportementale de son ethnie, il est intéressant de noter que les luxis ont la réputation d’être des gens d’une grande bonté, d’une grande ouverture d’esprit, et d’avoir un espoir indestructible que les choses peuvent et vont s’améliorer.  
  • Undeciligna militis
  Les incursions répétées des démons et l’aide des archéens ont fait des peuples d’Eascaesar une société capable d’absorber les tactiques guerrières de tous les bords afin d’assurer leur survie.
Cela se voit aussi sur les habitants de la lignée : de manière générale (quelle que soit l’espèce ou le sexe), ils ont musculature plus développés, se musclent plus vite et mieux, ont une très bonne mémoire musculaire et un sang qui coagulent de manière bien plus efficace pour combler les plaies.
Bien qu’on ne sache pas si la raison est culturelle ou biologique, il est aussi intéressant de noter que l’écrasante majorité des undeciligna militis ont les cheveux courts et on rarement une barde longue.  
  • Undeciligna demonis
  Les demonis sont marqués par la vie horrible qu’ils subissent en Iztot. La plupart disposent d’une constitution rachitique à cause du manque de nourriture, si bien qu’ils ont évolué pour retenir la moindre calorie ; dans les temps d’abondance, cela les prédispose à l’obésité morbide.
Les sociétés d’Iztot étant profondément injuste, elles sont donc constituées d’êtres trop maigres et de dirigeants trop gros.
Les demonis, par rapport aux autres ethnies, ont une espérance de vie réduite : même pour les elfes, il est rare de dépasser les soixante ans.
  Même s’il est dangereux de juger chaque individu selon la moyenne comportementale de son ethnie, il est intéressant de noter que les demonis ont la réputation d’être des gens vil, traître, cherchant avant tout le plaisir personnel immédiat.  
  • Undeciligna angelis
  Marqué par le sang des Anges, les habitants de Whimundus, quelle que soit leur espèce, ont une peau plus claire que la moyenne. Bien qu’ils n’aient pas d’auréole flottant au-dessus de leur tête, de légères protubérances aux niveaux de leurs omoplates semble rappeler que, s’ils s’engagent dans les légions, des ailes sortiront de leurs dos.
Une petite proportion d’undeciligna angelis ont un duvet de plume à la place de cette protubérance.  
  • Undeciligna diabal
  Marqué par le sang des Diables, les habitants d’Igol ont une peau plus sombre que les membres habituels de leur espèce. Tous comme les angelis, ils ont une protubérance aux niveaux de leurs omoplates, mais ils en possèdent aussi une au-dessus du bassin, là où la queue fourchue des Diables prends sa base.
De plus, une part importante des diabal possèdent des cornes. La plupart prennent naissance sur aux tempes, mais certains diabal ont des cornes simples, triples, ou encore qui prennent naissance au sommet du crâne, ou entre les deux yeux.

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