homo/elfis/nanis/orcos unucorpu

Ethnie assez rare apparaissant parfois lorsque des ethnie feminutrice et matrinutrice se croisent, les sont surtout connus pour être l’ethnie des quatre grands marcheurs qui n’a que peu, voir même aucun, dysmorphisme sexuel.
La seule différence notable reste les organes sexuels, des mâles et femelles existant toujours dans cette ethnie. Cependant, comme ils sont presque indissociables en façade, le concept de genre est très peu présent.
Comme il n’y a pas, dans la culture de cette ethnie, de différence mâle-femelle, il n’existe pas non plus de sexisme. Les unucorpu ont aussi beaucoup de mal à comprendre les transgenres, eux-mêmes ne considérant pas le genre comme une chose réelle.

Les mâles et femmes unucorpu sont semblables en termes de masse musculaire, en taille, en organisation neuronales, en taux d’hormones, etc. Un processus, lié à l’évolution naturelle, intéresse beaucoup ceux étudiant cette ethnie : les mâles unucorpu, quand ils deviennent père, sont tout autant capable d’allaiter que les mères.
Tout comme ces dernières, le processus permettant l’allaitement commence pendant la grossesse, avec des pectoraux qui grandissent.
Hors grossesse, les femelles unucorpu ont une poitrine et des fesses plates, ainsi qu’une taille plus large que les femmes des autres ethnies, ce qui participent grandement à les confondre avec des mâles.
Enfin, la pilosité n’est pas liée au sexe. Mâle comme femelle peuvent développer des barbes et la présence – ou non – de pilosité fournie est plus liée aux canons de beauté en rigueur qu’à une réalité physique.

L’amour et le couple sont particuliers chez les unucorpu, qui distingue l’amour charnel de la procréation. Le sexe des deux membres du couples est généralement peu discuté et il n’est pas rare que l’un et l’autre le découvre lorsqu’ils partagent un lit pour la première fois.
Cela pose évidement des problèmes pour les nombreux couples du même sexe comptant avoir un enfant. Il est rare que des couples se séparent pour cette raison, ou qu’un individu cherchant compagnon se réduisent à ne chercher que parmi l’autre sexe : à la place, il est jugé comme acceptable pour les unucorpu de coucher avec un membre de l’autre sexe ne faisant pas partie du couple, afin d’obtenir un enfant.
Dans les sociétés évoluées, cela est d’autant plus facilité par la possibilité d’enfant-éprouvette. Les unucorpu, lorsqu’ils existent sur une planète, sont souvent à l’origine des déclinaisons locales de cette technologie.