Rituel funéraire de Galor
Les rituels funéraires de Galor, bien qu'assez diversifié, se concentre sur l'idée que le défunt doit attirer l'attention du dieu à lui, pour qu'il l'amène là où vont les morts.
Pour ce faire, on habille le défunt de ses plus beaux atours et bijoux, avec une attention toute particulière placée sur les mains : c'est en le prenant par la main que Galor amènera le mort, celle-ci doit donc être richement décorée. Comme il doit bien se présenter, le corps doit être entier. On préfère donc l'enterrement aux autres formes de rites.
Au lieu des bagues et des bracelets, certains des plus riches fidèles font réaliser des gantelets entiers, dans le métal le plus noble possible, sertis du plus de pierre précieuse possible. De manière plus brutale, quelques cultures ont l'habitude de faire couler de l'or fondu sur les corps des morts, pour que leurs mains soient entièrement d'or.
Sans surprise, les tombes des plus riches font souvent l'objet de tentative de pillage. D'un autre côté, ces riches tombent enrichissent les artisans qui les décorent, les gardes qui les protègent… et les pauvres gens qui arrivent parfois à s'y servir. Certains argumentent ainsi que l'Église de Galor permet une certaine redistribution des richesses.
Pour protéger les tombes, l'Églises a souvent recouru à des sarcophages de pierre ou de métal, fermés par des chaînes (selon la légende, le premier coffre-fort serait né de là et aurait contenu un corps bien avant qu'on y mette de l'or) puis enterré ou, parfois, mis à la mer ou au fond d'un lac.
Certaines riches familles, liées à Galor depuis des générations, ont des lacs personnels où reposent leurs aïeux.
Pour ce faire, on habille le défunt de ses plus beaux atours et bijoux, avec une attention toute particulière placée sur les mains : c'est en le prenant par la main que Galor amènera le mort, celle-ci doit donc être richement décorée. Comme il doit bien se présenter, le corps doit être entier. On préfère donc l'enterrement aux autres formes de rites.
Au lieu des bagues et des bracelets, certains des plus riches fidèles font réaliser des gantelets entiers, dans le métal le plus noble possible, sertis du plus de pierre précieuse possible. De manière plus brutale, quelques cultures ont l'habitude de faire couler de l'or fondu sur les corps des morts, pour que leurs mains soient entièrement d'or.
Sans surprise, les tombes des plus riches font souvent l'objet de tentative de pillage. D'un autre côté, ces riches tombent enrichissent les artisans qui les décorent, les gardes qui les protègent… et les pauvres gens qui arrivent parfois à s'y servir. Certains argumentent ainsi que l'Église de Galor permet une certaine redistribution des richesses.
Pour protéger les tombes, l'Églises a souvent recouru à des sarcophages de pierre ou de métal, fermés par des chaînes (selon la légende, le premier coffre-fort serait né de là et aurait contenu un corps bien avant qu'on y mette de l'or) puis enterré ou, parfois, mis à la mer ou au fond d'un lac.
Certaines riches familles, liées à Galor depuis des générations, ont des lacs personnels où reposent leurs aïeux.
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