Le chef du
SPVM est un personnage controversé. Ses commentaires sur le mouvement étudiant ne font qu'attiser les flammes de révolte de la
CRASSE.
Mouvement étudiant
Que ce soit le mouvement de 2051 qui a participé à l'établissement de la
Commune de Montréal ou la CRASSE depuis 2072, le chef de police a toujours déclaré publiquement son dédain pour ce qu'il considère comme des "agitateurs"
Selon Lafrenière, si certaines manifestations ont tourné au vinaigre, c’est que des pommes pourries se sont mêlées à la foule, estime le chef de police, qui, « comme père de famille », n’irait pas dans une manifestation avec ses enfants. "Il y a des gens qui se sont joints aux manifestations étudiantes qui étaient des gens plutôt anarchistes, analyse-t-il. Ils voulaient profiter de cette plateforme-là pour prôner le néo-anarchisme."
"À partir du moment où tu es dans une manifestation — ma réponse va être bien plate —, il y a toujours un semi-danger. De part et d’autre, on avait des craintes que ça dérape"
Commentaires