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Sir Malakh de Théodonis - JASON 28 December 565

Ebauche : L’Ordre du Temple de Sagrada – Hospitalier des hautes terres – Thaumaturge

by Sir Malakh De Théodonis

L’Ordre du Temple de Sagrada – Hospitalier des hautes terres – Thaumaturge
Ressources & Possession :
o Ressources
Aux files des dons et de leur excursion en terre sainte et escartes les commanderies ont accumulé et amoncelé de très nombreuses formes de ressources. Tant monétaire que des nombreuses terres de cultures, des pâtures pour chevaux, des temples et châteaux ou bien encore des reliques, des artefacts et tout autre forme de trésors sans parler des nombreuses matières premières à l’armurerie et aux capacité militaire allant d’un métal raffiné et pur aux soies les plus noble pour les cape et robe de leur prêtre. Les templiers sont des commerçant sans pareil ou du moins des collectionneurs sans foi ni loi récupérant sans relâche ce qui leur tombe sous leur de gré ou de force si tenté que celui-ci soit concilié dans les archives de l’ordre s’il est considéré comme saint.
o Dons
De nombreux dons était faits et administré à cette ordre militaire, temps des dons matériel, que des ressources en tout genre ou même des terres et champs afin de montrer et démontrer son appartenance au culte et à l’Escartisme. Aussi ces dons on pour objectifs de financé les expéditions militaires et notamment celle destiné à l’escorte de pèlerins en terres saintes et soigner et chérirai les meurtrie et blessé sur les routes. Des gages de remerciement et de charité des peuples et populations des royaumes Occidentine envers leurs immenses académies de fier et courageux chevalier et médecin militaires.
Les dons pouvaient être de trois natures différentes :
• Donation pro anima : il pouvait s'agir d'une donation importante (qui était souvent à l'origine de la création d'une commanderie) ou alors d'un don foncier mineur ne portant que sur quelques parcelles. La motivation du donateur était d'invoquer le salut de son âme ou la rémission de ses péchés.
• Donation in extremis : ce type de donation était réalisé en majeure partie par des pèlerins agissant par précaution. Ils effectuaient ce don avant de partir en Terre sainte. Peu nombreuses, ces donations ont été vite remplacées par le legs testamentaire.
• Donation rémunérée : le donateur agissait dans le but de percevoir un contre-don. Il ne s'agissait pas exactement d'une vente mais plutôt d'un don rémunéré, assurant le donateur d'un avoir lui permettant de recevoir de quoi vivre. Le bénéficiaire (à cette occasion l'ordre du Temple) était également gagnant dans ce type de don, le contre-don étant d'une valeur inférieure. Le but de ce type de donation était de faciliter le processus de don, sachant que la cession de tout ou partie d'un bien foncier pouvait sérieusement entamer le revenu du donateur ou celui de ses héritiers. Il n'était pas rare d'ailleurs que certains conflits entre l'ordre et des héritiers survinssent en de pareils cas, le litige se réglant parfois par le biais de la justice.
Après la réception de ces dons, il restait à l'ordre du Temple d'organiser et de rassembler le tout en un ensemble cohérent. Pour ce faire, les Templiers ont procédé à nombre d'échanges ou de ventes afin de structurer leurs commanderies et de rassembler les terres pour optimiser le revenu qui pouvait en être tiré. On peut prendre le processus de remembrement comme parallèle, tout au moins à propos du regroupement des terres autour ou dépendant d'une commanderie.
o Trésors
Il s'agissait d'un coffre fermé à clé dans lequel étaient gardés de l'argent, des bijoux, mais aussi des archives. Ce coffre-fort était appelé huche. Le maître de l'Ordre à Jérusalem en effectuait la comptabilité avant que celle-ci ne fût transférée à la fin du XIIIe siècle au trésorier de l'ordre. Trois articles des retraits de la règle nous renseignent sur le fonctionnement financier de l'Ordre. Le maître pouvait autoriser le prêt d'argent (sans intérêt) avec ou sans l'accord de ses conseillers selon l'importance de la somme. Les revenus provenant des commanderies d'Occident étaient remis au trésor du siège de l'Ordre.
Aussi de nombreux trésors ont été acquis à la suite des nombreuses croisades en terres sainte mené par les multiples commanderie et phalange de l’ordre.
o Pillage
Les templiers on une réputation de voleur et pillard dans tout le capharnaüm. De toute évidence liée au massacre perpétré par les croisades saintes. Ces pillages ont permis d’établir de nombreuse forteresse et autre commanderie éparpillé dans le capharnaüm. Aussi ces pillages ont alimenté des routes commerciales et de nombreuse unité militaire et marchande traversant de long en large les terres escartes comme celle entourant Sagrada. Alimentant encore aujourd’hui les caisses ensanglantées du trésor et des fonds de l’ordre du temple.
o Relique
Nombreux ont été les reliques et artefacts récupéré et pillez par le templier. Dans les plus nommable nous connaissons le crane de Mohammed et son épée. Mais aussi un très grand nombre de livre, parchemin, grimoire et autre inscrit à l’origine plus ou moins ésotérique ont été récupéré aux quatre coins du capharnaüm. Offrant alors au sein dans immense commanderie et académie escartes des flots de ressources culturel et magique sans nul pareil appartenant au toute forme de culture et origines.
 
Organisation & Hiérarchie :
• Maitre > Son élection se faisait par treize frères selon une procédure complexe, décrite en détail dans vingt-cinq articles des retraits (articles 198 à 223). Les pouvoirs du maître étaient assez limités ainsi que son rôle qui était principalement « représentatif » lors des manifestations et visites officielles. Il était souvent tributaire des décisions du chapitre général. Il était le seul à décider de l'engagement de l'Ordre dans une bataille et se trouvait accompagné de deux frères-chevaliers qui lui servaient de conseillers et qui le suivaient dans tous ses déplacements.
• Grand précepteur > Le grand-précepteur, appelé aussi grand-commandeur, est, après le grand-maître, le premier dignitaire de l'Ordre, et figure toujours en tête des officiers de l'Hôpital. C'est généralement lui qui, en cas d'absence ou de maladie du grand-maître, supplée celui-ci, avec le titre de lieutenant ou de vice-maître (1). Il est nommé par le chapitre général aussitôt après l'élection du grand-maître et avant tous les autres grands-officiers. Cette nomination devait être faite par le chapitre après accord préalable avec le grand-maître. Il importait, en effet, pour le bon fonctionnement du gouvernement de l'Hôpital, que ce fonctionnaire, appelé à seconder et à remplacer le grand-maitre
• Sénéchale > Il était le deuxième dignitaire de l'Ordre après le maître2. Les retraits de la Règle lui consacrent deux articles (articles 99 et 100). Son rôle consistait à remplacer le maître lorsque celui-ci était absent. Mais, « en tous lieux où le maître est absent, tous les équipages des terres et des maisons et toutes les maisons et les viandes (nourritures) sont au commandement du sénéchal. »
• Commandeur > Lorsqu'un maître de l'ordre disparaissait, il y avait également un grand commandeur (de l'élection) chargé de convoquer le chapitre et d'organiser l'élection d'un nouveau maître. Il tenait lieu de maître en attendant. Il gérait toutes les transactions financières de l'Ordre Il avait la mainmise sur la flotte du Temple car tous les échanges commerciaux transitaient par les ports. Il s'occupait également de répartir les frères dans les forteresses ou les commanderies selon les besoins en hommes de celles-ci. Il était secondé par le drapier de l'Ordre.
• Maréchal > En temps de paix ainsi qu'en temps de guerre, il était responsable de la discipline et de l'entretien des armes et montures. Il répartissait les tâches de la journée et faisait l'appel des chevaliers lors des messes. En campagne, le maréchal dirigeait tous les hommes d'armes du Temple et « fournissait la pointe » pour la charge qu'il exécute en portant lui-même le gonfanon.
• Hospitalier > Nommé par le chapitre général en même temps et pour la même durée que le trésorier, l'hospitalier, ou infirmier, était préposé au soin des malades. Il avait une bulle, et, à chaque chapitre général, rendait compte de l'état des approvisionnements (garnisons) et dressait l'inventaire du matériel dont il avait la garde. De nombreuses prescriptions statutaires réglaient l'hospitalité.
• Trésorier > Il y a peu de chose à dire de ce grand-officier, dont le nom seul suffit à déterminer les attributions ; il avait la garde et le maniement des deniers de l'Ordre. Les Statuts nous apprennent qu'il était nommé par le chapitre général aussitôt après le grand-précepteur, et que sa nomination se faisait en même temps que celle de l'hospitalier. Il n'avait pas de sceau particulier, mais se servait du sceau de cire du grand-maître. Sa charge durait autant que celle de l'hospitalier. N'ayant pas de sceau, il n'était pas obligé, comme les autres dignitaires, de « rendre sa bulle » à chaque chapitre général. Il se bornait à rendre ses comptes (« burce »), à donner l'état du trésor et à faire ratifier sa question financière.
• Drapier > On connaît ce grade de la hiérarchie de l'Ordre du Temple grâce aux deux articles des retraits de la Règle qui lui sont consacrés (articles 130 et 131). Le rôle du drapier du couvent était de la toute première importance. C'est pourquoi il était cité comme le troisième personnage de l'Ordre après le maître et le maréchal. Le frère drapier gérait le stock de vêtements ainsi que tout ce qui dépendait de la literie. Il surveillait lui-même l'arrivée des vêtements importés et destinés aux templiers. Il contrôlait l'ouverture des colis. Il devait veiller à ce que tous les Templiers aient un vêtement correct et « soient habillés honnêtement ». Il préparait également l'habit blanc ou noir des frères nouvellement reçus dans l'Ordre lors de la cérémonie de réception et récupérait leurs vêtements civils.
 
• Frère Prêtre (Moine) > Un ordre religieux, même hospitalier, même militaire, a d'abord une fonction religieuse ; un ordre religieux est un regroupement de clercs sous une règle monastique (ordre, ordo en latin, signifie règle) et la fonction religieuse est première. Mais dans un ordre hospitalier, les frères prêtres, en plus de l'âme, doivent leurs soins aux malades comme tous les frères hospitaliers
• Frère Chevalier (Soldat) > Ces hommes constituaient le corps principal de l'armée du Temple. Ils étaient des combattants d'élite, généralement recrutés en Europe, formés dans les commanderies, puis envoyés en Orient. Les chevaliers étaient issus de la noblesse, tandis que les sergents provenaient de la paysannerie et de la bourgeoisie. Dix articles des retraits de la Règle précisent leur façon de vivre, de se comporter.
• Frère Servant (Médecin) > Les servants hospitaliers avaient leurs services à l'hôpital de l'Ordre, certains servaient dans l'administration de l'Ordre. D'autres avaient leurs services dans les prieurés comme conseil juridique, Les sergents d'armes étaient d'origine roturière, ils ne devaient prouver uniquement que l'honorabilité de leur famille. Ils étaient les servants des frères chevaliers qu'ils servaient à la guerre mais aussi en temps de paix. Ces servants d'armes concouraient aux commanderies qui leur étaient réservées mais qui souvent étaient communes aux sergents d'armes et aux chapelains ce qui diminuait leurs chances d'y accéder.
 
• Turcoplier > Les turcoples, troupe auxiliaire de cavalerie légère, analogue aux chevau-légers et très employée en Orient, se recrutaient en dehors des frères de l'Hôpital. Ils étaient commandés par le turcoplier. Celui-ci était frère de l'Ordre et nommé par le chapitre général. Personnellement indépendant du maréchal au même titre que les autres baillis capitulaires, il relevait de celui-ci et lui obéissait dans l'exercice de son commandement
• Gonfanonier (porte étendard) > Les retraits de la Règle de l'Ordre lui réservent trois articles de 177 à 179. Il commandait tous les écuyers de l'Ordre : il les engageait, tenait chapitre pour juger les fautes qu'ils ont commises et peut les faire fouetter en cas de désobéissance ou de faute.
• Ecuyer > Jeune noble qui avait pour charge d'accompagner le chevalier à la guerre, de porter son écu, de l'aider à prendre les armes, à se désarmer en attendant que lui-même soit armé chevalier. Le comte se décida à le nommer écuyer.
 
Initiation & Formation :
Entrer dans l’ordre se fait de deux façons : par recrutement ou par candidature. La première a lieu de façon informelle, lorsqu’un soldat doué pour la magie brille aux yeux de ses supérieurs. Ceux-ci le recommandent alors auprès d’un maître de l’ordre. La seconde se fait de façon spontanée, lorsqu’un chevalier doué pour la magie se présente de lui-même à l’ordre et demande le second baptême. Dans les deux cas, on demande au chevalier d’effectuer cinq duels à l’arme émoussée contre des Templiers, et d’être encore debout à la fin du dernier (même s’il n’est pas sorti vainqueur). L’épreuve suivante consiste en trois jours et trois nuits de prière, à genoux, avec seulement un repas par jour.
 
La formation typique commence dès le plus jeune âge et dure de nombreuses années. À l’adolescence, chaque élève commence l’apprentissage d’une profession en parallèle, toujours liée aux intérêts de l’Escartisme : Templier, religieux, hospitalier… ou simplement Thaumaturge à plein temps si ses prédispositions sont grandes. Une fois sa formation académique terminée, il s’engage dans son nouveau métier et servira Aether tout au long de sa vie, rendant parfois des comptes au Grand Thaumaturge Oswald, voire au concile. Il pourra éventuellement aussi donner des cours à l’Académie. Il existe des sorciers escartes qui n’ont jamais été décelés par l’Église ou qui ont caché volontairement leurs talents. Certains croient au don d’Aether, mais préfèrent garder leur liberté vis-à-vis de l’Église officielle et d’autres ont foi en d’anciennes traditions païennes et ou druidiques.
 
Une fois admis dans l’ordre, le chevalier obtient immédiatement le titre de Templier, mais ne sera éveillé à la première Parole qu’au terme de la première année s’il a montré un comportement et des compétences exemplaires. Son quotidien est fait de prières et d’entraînement militaire, de patrouilles et de lectures pieuses. Une fois par semaine, au cours de la première année, les jeunes Templiers effectuent une marche pénitente, à genoux sur les pavés reliant le mur de Jason à la cour du palais où il survécut à l’écartèlement. Sur place, ils sont flagellés au rythme des psalmodies de moines aveugles. On crève les yeux de ces moines pour que soit respectée la dignité des chevaliers pénitents.
 
Certains individus grossiers prétendent que le danger que les chevaliers affrontent pendant la bataille est un petit prix à payer pour une vie de privilèges et de luxes. C’est injuste et faux. Les chevaliers subissent des entraînements rigoureux pour exercer leurs fonctions. Malgré leur association avec la Noblesse, les chevaliers mènent une vie dure et austère, consacrée à devenir des guerriers accomplis. Pour devenir un chevalier efficace, un aspirant doit devenir un cavalier expert, apprendre à porter et à entretenir une armure lourde de plaque forgé. La chasse et les tournois constituent l'essentiel de l'entraînement. Dans les forêts, les chevaliers poursuivent le gros gibier qu'ils affrontent à la hache ou à l'épieu. Les accidents sont fréquents, parfois mortels. Les tournois, qui opposent des groupes de chevaliers, sont de véritables combats : on peut être blessé, mourir et obtenir des rançons. Enfin, les guerres ne manquent pas. Elles opposent les plus souvent deux seigneurs soutenus chacun par leur famille et leurs vassaux : ce sont des guerres privées.
 
Seuls guerriers, les chevaliers bénéficient d'importants privilèges (ils échappent aux impôts et aux servitudes). Ils forment une classe à part : la chevalerie. Pour y entrer, il est préférable d'être fils de chevalier (bien que le titre de chevalier ne soit en rien héréditaire). Dès l'âge de douze ans, le jeune homme vit dans la maison d'un seigneur. Il l'accompagne à la guerre, soigne son cheval, entretient ses armes, conduit ses chevaux de renfort, et porte son écu jusqu'au champ de bataille : il est son écuyer.
 
Il devient à son tour chevalier au cours d'une cérémonie : l'adoubement. Après un bain purificateur, le jeune homme se recueille et jeûne toute la journée. La nuit est consacrée à la prière. Le lendemain, après avoir assisté à la messe, il communie et fait bénir son épée. Un seigneur lui remet alors ses armes puis frappe un grand coup sur l'épaule du nouveau chevalier pour éprouver sa vigueur : la colée, ou paumée. Un chevalier se devait d'être expert dans l'art de monter à cheval tout en maniant lance et bouclier, il devait par conséquent s'entraîner à guider sa monture en utilisant uniquement les genoux et les pieds. Il devait également être capable de manier une épée longue et lourde pendant de longues périodes de combat et être suffisamment vigoureux pour se déplacer avec rapidité tout en portant une lourde armure de métal. La maîtrise d'autres armes telles que la dague, la hache de guerre, la masse, l'arc et l'arbalète pouvait également s'avérer utile. C'est pourquoi un jeune garçon destiné par ses parents ou son parrain à devenir un jour chevalier devait débuter son entraînement très jeune, généralement en tant que page dès l'âge de dix ans (voire sept dans certains cas), par l'utilisation d'armes courtoises et l'acquisition de compétences de base en équitation. Il n'était pas rare qu'un jeune noble soit envoyé à la cour royale pour recevoir cette formation, tandis qu'un garçon issu d'une famille de noblesse plus modeste était plus probablement envoyé au château local ou à celui d'un parent pour s'y entraîner avec les chevaliers et les hommes d'armes qui y étaient stationnés.
 
Titre honorifique :
• Chevalier d’Honneur
o Distinction Martial
• Chevalier de Foi
o Distinction Religieuse
• Chevalier de Grâce
o Distinction Médical
• Chevalier de Justice
o Distinction Politique
• Chevalier Grande Croix
o Distinction de la Parole
 
Influence & Domination :
 
Disposition & Domaine :
 
Faveur & Haine :
 
Service & Action :
 
Entrainement & Pratique :
 
Information & Transmission :
 
Conséquence & Enrôlement :
 
Mission & Quête :
 
Motivation & Fonction :
 
Pouvoir & Capacité :
 
Spécialité & Expertise :
 
Faiblesse & Force :
 
Membres & Suiveurs :
 
Cohabitation & Echanges :

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  1. Code de Conduite des Templiers de l'ordre du temple de Sagrada
    Sir Malakh de Théodonis - JASON 28 December 565
  2. Les règles de l'Ordre du Temple
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  3. Prière et Thaumaturgie
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  4. Ebauche : L’Ordre du Temple de Sagrada – Hospitalier des hautes terres – Thaumaturge
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  5. La Veilleuse & Le Gardien
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