Une journée dans les taudis de l'est

28 juin 36 TE
 
Je crois avoir acquis une certaine reconnaissance du Candélabre puisqu’Étienne requiert mes service pour une investigation. Afin de que nous puissions en parler, il m’a donné rendez vous à l’auberge de l’automne. Sur place, je vois Étienne accompagné d’Enzo et d’un levantin nommé Louis.
 
Etienne nous raconte son épopée dans les taudis du nord dans un secteur appelé «La Crique». Après avoir combattu, son groupe aurait retrouvé les pages d’un livre hérétique, pages qui sont toujours en possession d’un conseiller d’un certain baronet Grégoire de Mier.
Un levantin, nous entendant discuter, s’est joint à notre conversation. Sympathique, il nous a offert son aide . Je crois qu’il se prénommait Augustin.
 
Suite à la discussion, nous nous rendons à la ligue pour savoir les possibilités qui nous sont offert en lien avec d’autres objets maléfiques. Le maitre des lieux nous proposent deux secteurs dont les taudis du nord et ceux de l’est. Comme la stabilité des taudis du nord est vacillante, nous choisissons d’aller investiguer les taudis de l’est afin de trouver ou pourrait se transiger de tels objets.
 
Afin de mieux nous préparer, nous passons par les contes de faes et y rencontrons Clothair. Il nous mentionne qu’un groupe se faisant appelé «le consortium», serait à l’origine des encans qui mettraient les pages et objets maléfiques en vente.
 
Avec ces informations, nous partons vers les taudis de l’est dans le secteur des péninsules à l’ombre du quartier noble. Rendu sur place, nous identifions une calèche dans laquelle il y a des traces de magie. Elle est stationné près de ce qui nous semble être un auberge. Nous entrons dans celle-ci et prenons place à une table. Rapidement, j’identifie 3 individus dans un petit cubicule.
 
Question d’essayer d’entendre ce qu’ils se disent, je vais voir l’aubergiste pour avoir un cubicule. Malheureusement, il nous place à l’écart ce qui fait que nous entendons seulement des brides de conversation. Sachant qu’un homme est venu les voir et est retourné au deuxième, nous envoyons Enzo faire du repérage à l’étage. Enzo a semblé dérangé puisque l’aubergiste et les occupant des tables se lèvent et s’en suit un combat.
 
Ayant pris le dessus sur les belligérants, ceux qui restent se sauvent. Nous essayons de les suivre mais un fois dehors, nous ne voyons qu’une tiefeline aux cheveux rouges disparaitre aux travers des bâtiment. Le trois individus qui était dans le cubicule avait, eux aussi, disparus.
 
Dans l’auberge (La chaumière), plusieurs cadavres jonchent le sol. Parmi eux, un homme lourdement vêtu d’un armure. Au travers celle-ci qui a été fondue et calciné par la magie (j’imagine), nous pouvons distinguer sa toge au couleur d’une maison très influente de la capitale, la Maison D’Artois. Nous retournons à la ligue sans preuve évidente mais la ligue reconnait que notre groupe a du faire échoué la vente d’un objet impie.

L’information à propos de l’implication de la Maison D’Artois a été échangé à Clothair. Mais je vais quand même informer le Rhin Arsène du fait que le tome que nous avions rapporté au Candélabre a été volé et que des pages se retrouvent en circulation en ville, surtout dans les taudis du nord.
 
Finalement, je suis maintenant membre de la ligue. Peut-être vais-je y trouver des traces de mon père?
 
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Lettre à Arsène, Rhin au temple du nord
 
 
29 juin 36 TE
 
Cher Arsène,
 
Bonjour,
 
J’espère que vous allez bien suite à notre dernière aventure.
 
Je vous écris car je trouve important de vous faire parvenir certaines informations qui pourraient vous intéresser.
 
Tout d’abord, sachez que le tome de magie que nous avions récupéré et remis au Candélabre, a été volé. Un regroupement se faisant appelé le «consortium» en serait le détenteur et essayerait de le vendre via des enchères qui serait tenues dans les taudis de l’est. Selon ce que je comprends, le tome complet serait difficile à vendre. Par contre, certaines pages trouveraient preneurs.
 
D’ailleurs, des pages ont été retrouvé par un groupe mené par Étienne dans un secteur des taudis du nord nommé «La Crique». Bien que le groupe ait retrouvé les pages, elles ne sont pas encore détruites puisqu’elles sont en possession du conseiller d’un certain baronet, Grégoire de Mier, si je me rappelle bien. Il semblerait que ce conseiller veuille les étudier.
 
En terminant, j’ai dernièrement investigué avec Étienne pour retrouver ce «consortium». Nous avons pu retrouvé l’un de leur point de repère. Mais, il nous ont échappé. Dans les hommes que nous avons combattu et terrassé, il y en avait un en armure sous laquelle nous avons pu reconnaitre le blason d’une maison influente. J’aimerais vous en dire plus mais, l’information a été vendu au conte de faes. Et comme, je ne tiens pas à avoir des représailles d’eux, je vais me garder l’information.
 
Ridmahel
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