Session 8 "Les fleurs du mal"
Cap sur Castrovel
General Summary
…La vente de notre butin, nous permet d’upgrader
significativement l’OMEGA (*tout nikel, a part l’histoire un peu houleuse,
du flingue trop cher pour que Nezu le garde) … Puis chacun, vaquant à
ces occupations, nous nous séparons pour quelques temps…
Après plusieurs mois, nous nous retrouvons, de nouveau sur
l’OMEGA, upgradés nous aussi !!!... (* Le Rige, n’ayant pas finit son
entrainement a un nouvel art de combat : « Le Picolo » consistant à tester sa
résistance à l’alcool et aux beignes dans la gueule, décide de rester sur
BrokkenRock) … Parmi toutes les nouvelles ; nous noterons l’arrivée
d’un 7eme membre d’équipage, (*8 si on
compte le drone, je veux froisser personne)
Nihilite (*Nihilite et ces mouches, moustiques et
autres chiures volantes…garde manger du
nouvel arrivant)., petit être singulier,
empathe, télépathe et animal de
compagnie de Jéricho.
En faisant le récit de nos différentes
expériences, nous nous apercevons que
certaines pièces de nos puzzles
respectifs s’imbriquent…
C’est en croisant l’histoire de la famille Irinenko(*le Duke) et
celle de mon peuple que nous découvrons qu’avant le gap (* il y
aurait 1000 ou 1500ans ???), ces ancêtres ont secouru un vaisseau
diplomate félis : l’Adventice. Pour les Pathras, l’Adventice c’était
perdu dans l’espace et avait été oublié dans le temps. Ce que je
savais en revanche, c’est que ce même vaisseau était porteur d’un
artefact technologique, l’Oxis, capable de calculer des sauts de
trou de ver. L’occasion était trop belle… En s’appuyant sur
l’histoire d’ Heliana luna Irinenko, trisaïeule de Vladko, et
orpheline rescapée du crash. Nous apprenons qu’elle fut recueillie
et élevée par un peuple d’êtres au corps de fourmi et au buste
d’homme. Après quelques recherches. Nous trouvons, la seule
planète connue pour abriter des Fourmianes (*être mi-fourmi, mihomme…
ou mi homme, mi-fourmi, je ne voudrais froisser personne).
Castrovel serait donc notre prochaine destination. Essayant de
préparer au mieux notre voyage, et nos futures investigations,
Nous prétextons, auprès de Lady Morana Kesh (*Lady M), un voyage
diplomatique de remercîment. Vladko se sentant redevable, il tient
à exprimer lui-même (*et blablabla…) toute sa gratitude au peuple
Formian, en souvenir (*et re-blablabla…) du sauvetage de la
trisaïeule Heliana (*et tout le toutim). Représentant de Lady M,
auprès de la puissante université de Castrovel, Maitre Rayol
pourra être notre contact sur place.
Durant notre voyage, nous affinons nos recherches. En effet,
topographie, population, lieux mystiques ou même hanté mais
aussi les légendes, tout ce que nous pouvions trouver sur le
GlobaleNet était source d’information. Nous en profitons pour
récupérer quelques renseignements sur les différentes C.o.r.P
installées sur Castrovel, ainsi que sur notre futur contact, Maitre
Rayol (*Maitre M). Nous en savions un peu plus sur la planète qu’on
s’apprêtait à explorer. Les recherches furent fructueuses :
(*Elaboration d’environ 163 plans différents. Parce que là !!! On va pas s’ faire
avoir !!!)
Le monde, séparé en 3 continents et reliés par une multitude
d’îles, presqu’iles et d’atolls, regorgeant d’une faune et d’une flore
aux allures jurassique. Une jungle impénétrable, un rempart
naturel et souvent mortel pour tous les petits curieux et
explorateurs novices.
Les Formians, natifs de la planète, avaient été poussé sur le
continent Ouest. Ils vivaient dans des fourmilières géantes, leurs
savoirs, leurs connaissances et leur histoire, circulaient
uniquement de façon orale (*ou odorante, comme nous l’apprendrons
plus tard). Nous devions donc les rencontrer. Un autre
renseignement, faisait état d’une Créature, décrite comme un
monstro-plante, qui terrorisait toute la partie nord de ce continent.
Au fil des décennies, les conditions de vie y étaient devenues
impossible, même pour les Formians. Face à l’adversité le peuple
Fourmi entama un exode vers le sud, laissant le mal prendre
possession du Nord…
Nous stationnons non loin, de Qabarat,
lieu du rendez-vous, ville universitaire et
haut lieu de connaissances. A notre
arrivée, Maitre R, nous conduit à de
luxueux
appartements. Puis,
prenant congé, il nous
invite à une collation,
en fin d’après-midi, en
compagnie de
quelques étudiants.
Nous profitons de notre temps libre, pour
visiter la mégapole. Nous nous imprégnions de l’atmosphère
bruyante, grouillante et flamboyante de Qabarat. Une jeune cité
vivante et colorée. Vladko, semblait pourtant préoccupé (*enfin,
plus que d’habitude, pour qu’on le remarque…parce qu’il est un peu, tout le
temps préoccupé…J’ dis ça j’dis rien !! Parce que je veux froisser personne,
moi !!!). L’étrange sensation d’être observé, écouté, surement
suivi… Mais impossible d’identifier l’espion. Ecourtant notre
promenade, nous rentrons à nos appartements, à l’affût du
moindre détail suspect.
L’heure du lunch approchait. Sur nos gardes, nous nous rendons
dans un restaurant très prisé de l’université, où Maitre R et ces
acolytes nous attendent. Les étudiants présents étaient des
spécialistes de Castrovel. Ils avaient des connaissances tant sur
l’histoire, que la géopolitique, la démographie ou encore la
topographie. Si la conversation avec les érudits portait ces fruits,
confirmant certaines de nos informations et en complétant d’autres,
la discussion avec Rayol était plus austère et un échange
télépathique houleux, avec notre diplomate préféré, mis fin à cette
entrevue.
Fort des nouveaux renseignements obtenus et impatients d’avancer
dans nos recherches, nous nous lançons dans la visite tardive d’un
bouge malfamé de la ville basse. ‘’ Les
1000 épines’’, bar miteux où se
retrouvent tous les Formians rejetés par
leur communauté. Chassés de la
fourmilière et parias de cette société. A
deux doigts de nous faire éviscérer,
nous n’apprenons pas grand-chose de
plus, si ce n’est le nom de la grande
reine de tous les formians ; Mor’gebard
la reine aux mille épines. Nous rentrons,
enfin, fatigués d’une journée bien
remplie et malheureusement pas finit.
Toujours attentifs au fait d’être
espionné, nous décidons de passer nos
appartements à la panoplie de
détecteurs du drone. La pêche fut bonne, ‘’ le vers était dans le
fruit ‘’. Une nectarine locale, a priori normale, posée dans la corbeille
de fruit, hébergeait un nanospion (*Ensemble méga-miniature de systèmes
d’écoute, micro, caméra, géoloc… et tout bataclan). Pour ne pas éveiller les
soupçons, nous finissons notre soirée normalement, utilisant la
Télépathie pour les conversations les plus sensibles. Au petit matin,
nous sommes contactés, par un certain Elion Stimaline. L’holophone,
nous montre un Elf de petite taille, vêtu comme un tribun, et d’après
ces dires, connaissance de Maitre R (*la conversation de la veille ne s’est,
finalement, pas trop mal passée !!!). Il dit bien connaitre la région des
Fourmis-hommes, et peut nous y conduire.
Soulagés de rencontrer enfin le peuple Fourmi, nous ne
prêtons pas attention au petit manège de notre ôte. L’habile menteur
passa de la cabine au cockpit afin d’indiquer au pilote le trajet à
suivre. Dans les secondes qui suivirent, il déposa notre partie de
vaisseau dans la forêt (*Il avait bien préparé son coup, le fourbe !! Mais !!
Merci quand même de nous avoir déposés là où on voulait se rendre… Espèce
de put….!&% $ ! £#@....ulé d’oreilles pointues). Nous Tentons d’ouvrir
manuellement notre prison. Dehors une petite formiane ce fait
‘’gobé’’ par un Ksarik, Mastodonte végétale à tête de pieuvre. On
sauve l’enfant fourmi in-extremis.
Elle nous facilite grandement la
rencontre avec la colonie du nord.
Une fois rendu à leur fourmilière,
nous entamons des
discussions (*Grâce au
traducteur de Modia,
nous comprenons leur
dialecte, basée sur de
petits bruissement et
l’échange de vapeurs
odorantes : les
Phéromones). Nous
apprenons qu’ils sont
le dernier rempart
entre la Bête et les
Formians. Ils arrivent à contenir le ‘’MAL’’ grâce à leurs
chants odorants. Nous décidons de les libérer du
monstre du Néant. Il fallait longer le fleuve et nous tomberions sur le
territoire du supposé espion Nieryotep (*l’histoire Pathra avec l’Adventice
et l’Oxis, parlait d’un espion Nieryotep, une créature de l’ancien temps héritière
de la puissance destructrice du Néant…).
La faune meurtrière s’attaqua à Jericho, Une fleur
cannibale, aux effluves attirantes, avait charmé
notre synthétique, prête à le dissoudre pour
l’ingérer. La chaleur et l’humidité pesaient sur le
groupe. Après trois jours d’une
marche éreintante, nous
atteignons notre but.
Surplombant l’embranchement
de 2 bras du fleuve, une épave de vaisseau se
devine, on entrevoit les propulseurs arrières, à
travers un amas de terre, de verdure et d’eau.
Pour atteindre les débris, ils nous faut traverser.
Utilisant ces talents de télékinésies pour me
soulever, Jericho tente de me faire traverser.
Nous sommes attaqués, sur la rive
ouest, par un être végétal à tête
au corps décharné, aux membres
pointus et extensibles (*un Khizar) ,
et sortant des bosquets juste devant le groupe, la
charge de la créature déviante, fruit de la fusion du
Nieryotep et d’un Khizar (*le premier étant le symbiote du
second). La bataille fait rage des 2 côtés du fleuve. je
suis gravement blessée et
ramener auprès du groupe
par Jericho. L’épée de
vladko vient finalement à
bout de la sombre créature. La bête
maléfique expire dans un râle d’horreur
tandis que le bijou de l’épée s’illumine de
l’énergie absorbée. Alors que l’ombre
informe du Nieryotep disparait dans les airs,
la nature, elle, reprend ces droits, libérées de
l’emprise du néant, la faune et la flore
retrouvent vie et couleurs.
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