Le Léviathan
La première gemme qui orne les collections de l’Atelier est le Sipë-Lin nommé le Léviathan.
Ce monstre de plusieurs centaines de mètres de long, près d’une centaine de haut et pas loin de cinquante mètres de large est un mastodonte capable de rivaliser en taille avec bon nombre de navires amiraux au sein des nation de Myrdalim.
Et pourtant, il appartient à l’Atelier, une organisation libre de toute attache politique, officiellement en tout cas. Nul ne saurait dire exactement comment une telle pièce de collection, alors même que les Sipë-Lin sont déjà très rares, a pu finir entre les mains de la Fondatrice, mais il est reconnu que lorsqu’elle se déplace officiellement, elle ne le fait qu’avec le Léviathan.
Alors, ce fut à ce moment que les Premiers de l’Atelier, ceux qui ont façonné notre organisation avec la Fondatrice, décidèrent d’orner la maison d’une pierre mystique de grande puissance, couverte de runes et de mots de puissance.
L’enchanteur qui s’occupa d’un tel ouvrage, ou le groupe, même, demanda à n’être honoré qu’au sein de l’Atelier, alors je ne partagerai pas leurs glorieux noms ici, même s’ils mériteraient mille fois d’être honorés pour une telle œuvre d’art. Depuis, la maison est capable de se déplacer par elle-même dans les airs.
Bien sûr, une seule pierre ne fait pas un tel monstre, et c’est avec de nombreux enchantements, innombrables, que force d’élémentaires ont vu leur essence liée à cette création. Les êtres nés du Zéphyr pour faire voler, des fils des marées pour y faire apparaitre l’eau tout comme pour le protéger des tempêtes, des scions de feu qui le réchauffe et l’alimentent en énergie…
Tant d’êtres, sans compter les nés-de-la-roche qui en assurent la solidité et la stabilité… Une telle bête de roche et de bois, de mâts et de cordages demande ainsi de nombreux enchantements entremêlés, sans oublier les habituels sorts de protections, si d’aventure un accident advenait.
On raconte aussi qu’un joyau d’olivine gravé de mots de pouvoir permet à la maison de changer l’agencement des pièces à tout moment, s’adaptant ainsi aux besoins des résidents.
Un autre, fait d’un onyx sombre comme la nuit, enchâssé dans l’armature de la maison, lui permettrait de régénérer les pièces, boiseries et même cordages, lentement, rendant le Léviathan presque immortel, et le faisant vivre comme un être vivant. Mais outre sa naissance, qui est déjà hors norme, ou ses dimensions, qui sont majestueuses, c’est l’apparence même du Léviathan qui est unique.
Sur la moitié de sa longueur, sur l’avant, sa coque est remplacée par un immense bloc de granit d’où s’écoulent plusieurs cascades permanente, née de la magie aqueuse de quelques pierres mystiques.
Une partie de l’eau générée est utilisée dans les bains, au sein des bâtiments et pour alimenter une citerne, mais le surplus forme ces trois cascades qui s’écoulent des flancs et viennent arroser le sol survolé.
Le roc est aussi percé à plusieurs endroits de passages, soutenus par des piliers de bois de cèdre ouvragés, permettant d’accéder à une plateforme d’accès et à des balcons sur la proue du Sipë-Lin.
Au-dessus de la roche, un château est bâti, dont la toiture, extrêmement ouvragée, rappelle une silhouette de dragon, offrant un air bestial au navire.
Accroché de partout, avec pour assise de nombreux pilotis, d’autres constructions suivent l’échine du rocher, jusqu’à rejoindre, à la moitié du navire, une partie dont la coque est faite de bois et d’acier, percé de douze rames mystiques de part et d’autre du bastingage et enluminé d’un corps de dragon à la feuille d’or tout le long de la coque.
Au-dessus de cette partie, à nouveau d’autres constructions, mais d’un bloc, cette fois, car n’ayant eu besoin de travailler en harmonie avec la pierre.
Cinq mâts immenses et portant des voiles lattées et frappées de l’armoirie de l’Atelier viennent saisir les enchantements de mouvement de l’ensemble. Pourquoi un tel navire ?
Car il doit, selon les désirs de la Fondatrice, être capable de véhiculer plusieurs Compagnies sans oublier qu’il héberge la Première Loge, celle qui fut fondée par notre Fondatrice elle-même. Ainsi, les maisons abritent aussi bien des ateliers, des batteurs d’armure, des lieux de stockages que des espaces de vente, car partout où se déplace le Léviathan s’ouvre un commerce…
Jamais l’Atelier ne refuse la possibilité de faire découvrir son art, d’enseigner ou de vendre, mais aussi de recruter, car le Léviathan est aussi une vitrine vivante pour l’Atelier. Et… Il faut le reconnaitre, si les flancs du Léviathan sont percés aussi pour d’impressionnantes balistes et qu’en permanence y vivent plusieurs compagnies, c’est aussi qu’il est une composante militaire importante pour l’Atelier. Garant de l’indépendance des Loges menacées par des autorités iniques, il vient délivrer un message qui ne souffre d’aucun doute. Et lorsque l’Atelier bouge et combat par lui-même, le Léviathan monte au front. Et pourtant, ce qui étonne toujours les curieux qui voient le Léviathan pour la première fois, c’est son apparence unique.
Car autant le dragon qui semble dormir le long de ses flancs et dont la tête reposerait sur la proue que l’architecture générale des bâtiments, de nombreuses parties reflètent aussi bien la culture que l’architecture de l’Empire Suzuhara, l’Empire Interdit.
La Fondatrice n’a jamais nié une quelconque proximité avec ce dernier, ni n’a confirmé quoi que ce soit, alors, le pauvre conteur que je suis ne peut que tirer des hypothèses… Est-ce qu’elle et son groupe aurait noué là-bas des contacts avec des artisans qui auraient mis leur patte artistique ?
A moins qu’une partie du Léviathan ne soit originaire de cet Empire fermé ?
Peut-être qu’un jour, je connaîtrai le fin mot de cette histoire, mais ce dont je suis sûr, c’est que notre Fondatrice aime cette architecture, qui se retrouve aussi dans d’autres lieux de l’Atelier.
Et pourtant, il appartient à l’Atelier, une organisation libre de toute attache politique, officiellement en tout cas. Nul ne saurait dire exactement comment une telle pièce de collection, alors même que les Sipë-Lin sont déjà très rares, a pu finir entre les mains de la Fondatrice, mais il est reconnu que lorsqu’elle se déplace officiellement, elle ne le fait qu’avec le Léviathan.
Selon la légende, au commencement, il n’y eu qu’une simple maison, bardée d’enchantement, qui vit la naissance de l’Atelier. Ses premiers membres en foulèrent le parquet, même. Et alors que les premiers artisans se regroupaient, que la maison se retrouvait trop étroite, voilà qu’ils y ajoutaient, grâce à de nombreux artisans de grandes compétences, qui d’un étage, qui d’une autre pièce. L’essence même de notre Fondatrice était mêlée à l’énergie intrinsèque de la première pierre posée dans la maison, lui donnant la capacité de marcher, de se déplacer, et même, selon les plus anciennes rumeurs, d’aboyer comme un chien face au danger. Je n’ai jamais eu l’occasion de voir ceci, mais ça devait être un terrible spectacle !Au gré des rencontres, la maison se retrouva devenir un manoir, une construction si grande que même si elle pouvait se déplacer par elle-même, elle commençait à avoir des difficultés à franchir ponts et ouvrages d’art, et surtout à entrer dans les villes.
Alors, ce fut à ce moment que les Premiers de l’Atelier, ceux qui ont façonné notre organisation avec la Fondatrice, décidèrent d’orner la maison d’une pierre mystique de grande puissance, couverte de runes et de mots de puissance.
L’enchanteur qui s’occupa d’un tel ouvrage, ou le groupe, même, demanda à n’être honoré qu’au sein de l’Atelier, alors je ne partagerai pas leurs glorieux noms ici, même s’ils mériteraient mille fois d’être honorés pour une telle œuvre d’art. Depuis, la maison est capable de se déplacer par elle-même dans les airs.
Bien sûr, une seule pierre ne fait pas un tel monstre, et c’est avec de nombreux enchantements, innombrables, que force d’élémentaires ont vu leur essence liée à cette création. Les êtres nés du Zéphyr pour faire voler, des fils des marées pour y faire apparaitre l’eau tout comme pour le protéger des tempêtes, des scions de feu qui le réchauffe et l’alimentent en énergie…
Tant d’êtres, sans compter les nés-de-la-roche qui en assurent la solidité et la stabilité… Une telle bête de roche et de bois, de mâts et de cordages demande ainsi de nombreux enchantements entremêlés, sans oublier les habituels sorts de protections, si d’aventure un accident advenait.
On raconte aussi qu’un joyau d’olivine gravé de mots de pouvoir permet à la maison de changer l’agencement des pièces à tout moment, s’adaptant ainsi aux besoins des résidents.
Un autre, fait d’un onyx sombre comme la nuit, enchâssé dans l’armature de la maison, lui permettrait de régénérer les pièces, boiseries et même cordages, lentement, rendant le Léviathan presque immortel, et le faisant vivre comme un être vivant. Mais outre sa naissance, qui est déjà hors norme, ou ses dimensions, qui sont majestueuses, c’est l’apparence même du Léviathan qui est unique.
Sur la moitié de sa longueur, sur l’avant, sa coque est remplacée par un immense bloc de granit d’où s’écoulent plusieurs cascades permanente, née de la magie aqueuse de quelques pierres mystiques.
Une partie de l’eau générée est utilisée dans les bains, au sein des bâtiments et pour alimenter une citerne, mais le surplus forme ces trois cascades qui s’écoulent des flancs et viennent arroser le sol survolé.
Le roc est aussi percé à plusieurs endroits de passages, soutenus par des piliers de bois de cèdre ouvragés, permettant d’accéder à une plateforme d’accès et à des balcons sur la proue du Sipë-Lin.
Au-dessus de la roche, un château est bâti, dont la toiture, extrêmement ouvragée, rappelle une silhouette de dragon, offrant un air bestial au navire.
Accroché de partout, avec pour assise de nombreux pilotis, d’autres constructions suivent l’échine du rocher, jusqu’à rejoindre, à la moitié du navire, une partie dont la coque est faite de bois et d’acier, percé de douze rames mystiques de part et d’autre du bastingage et enluminé d’un corps de dragon à la feuille d’or tout le long de la coque.
Au-dessus de cette partie, à nouveau d’autres constructions, mais d’un bloc, cette fois, car n’ayant eu besoin de travailler en harmonie avec la pierre.
Cinq mâts immenses et portant des voiles lattées et frappées de l’armoirie de l’Atelier viennent saisir les enchantements de mouvement de l’ensemble. Pourquoi un tel navire ?
Car il doit, selon les désirs de la Fondatrice, être capable de véhiculer plusieurs Compagnies sans oublier qu’il héberge la Première Loge, celle qui fut fondée par notre Fondatrice elle-même. Ainsi, les maisons abritent aussi bien des ateliers, des batteurs d’armure, des lieux de stockages que des espaces de vente, car partout où se déplace le Léviathan s’ouvre un commerce…
Jamais l’Atelier ne refuse la possibilité de faire découvrir son art, d’enseigner ou de vendre, mais aussi de recruter, car le Léviathan est aussi une vitrine vivante pour l’Atelier. Et… Il faut le reconnaitre, si les flancs du Léviathan sont percés aussi pour d’impressionnantes balistes et qu’en permanence y vivent plusieurs compagnies, c’est aussi qu’il est une composante militaire importante pour l’Atelier. Garant de l’indépendance des Loges menacées par des autorités iniques, il vient délivrer un message qui ne souffre d’aucun doute. Et lorsque l’Atelier bouge et combat par lui-même, le Léviathan monte au front. Et pourtant, ce qui étonne toujours les curieux qui voient le Léviathan pour la première fois, c’est son apparence unique.
Car autant le dragon qui semble dormir le long de ses flancs et dont la tête reposerait sur la proue que l’architecture générale des bâtiments, de nombreuses parties reflètent aussi bien la culture que l’architecture de l’Empire Suzuhara, l’Empire Interdit.
La Fondatrice n’a jamais nié une quelconque proximité avec ce dernier, ni n’a confirmé quoi que ce soit, alors, le pauvre conteur que je suis ne peut que tirer des hypothèses… Est-ce qu’elle et son groupe aurait noué là-bas des contacts avec des artisans qui auraient mis leur patte artistique ?
A moins qu’une partie du Léviathan ne soit originaire de cet Empire fermé ?
Peut-être qu’un jour, je connaîtrai le fin mot de cette histoire, mais ce dont je suis sûr, c’est que notre Fondatrice aime cette architecture, qui se retrouve aussi dans d’autres lieux de l’Atelier.
Production d'Énergie
L'alimentation de la Cohorte élémentaire est assurée par les mages de l'équipage.
Bien que le Léviathan soit capable de stocker un importante quantité d'énergie magique, il est nécessaire qu'une dizaine de mages y consacrent quotidiennement leurs efforts afin de maintenir la Cohorte sous contrôle.
Moyen de Propulsion
Salle du Cœur :
- - 1 Cristal-Cœur
- - 1 Cohorte élémentaire
Armes et Armement
Le Léviathan est essentiellement défendu par de nombreuses balistes, chacune ayant été spécialement enchantées pour le combat aérien.
Un certain nombre de légendes courent également sur l'existence d'une cavalerie aérienne de créatures volantes, prêts à prendre leur envol depuis les écuries dans ses flancs.
Armure et Moyen de Défense
La coque du Léviathan est composée de nombreux matériaux rares dont la résistance physique et magique ont été renforcés au fil du temps, jusqu'à aujourd'hui être capable de résister au assauts d'un dragon furieux ou d'une petite flottille de Sipë-Lin hostiles.
Systèmes et Outils de Communication
Relais élémentaires :
900 Cristaux de relais (Conférant une manœuvrabilité médiocre)
Systèmes additionnels et auxiliaires
Espace de Vente :
Atelier de Forge / Tannerie :
Atelier de Potier :
Laboratoire d'Alchimie :
Atelier de Menuiserie :
Etude :
Dortoirs :
Cuisine :
Terrasse à herbes/Jardin :
Salle de vie commune :
Atelier de Forge / Tannerie :
Atelier de Potier :
Laboratoire d'Alchimie :
Atelier de Menuiserie :
Etude :
Dortoirs :
Cuisine :
Terrasse à herbes/Jardin :
Salle de vie commune :
Hangars et vaisseaux amarrés
4 Écuries fournissant de l'espace pour 180 montures
Manufacturer
Creation Date
422 de notre ère
Propriétaire
Organisation Propriétaire
Prix
Environ 900 000 pièces d'or
Rareté
Unique
Related Technologies
Longueur
765m
Hauteur
90m (hors mâts)
Poids
Inconnu
Vitesse
48 km/h
Capacité de Fret et de Passagers
8250 passagers & 72 000 tonnes de marchandises
Commentaires