Baiser-de-sang
Provoqué par le champignon qui porte le même nom, la maladie du baiser-de-sang est une "zombification" ne causant pas la mort de l'hôte.
Une fois infecté par des spores, celui-ci va d'abord connaître une période d'incubation, dont la longueur varie selon les races. Les études d'Ekiro Rick ont montré que plus une race vit longtemps, plus la période d'incubation est courte. Ainsi elle est de 3 à 5 jours pour les elfes, mais de deux semaines à trois mois pour les orcs.
Après cette période d'incubation, pendant laquelle l'hôte peut encore être sauvé par certains médicament ou une forte fièvre, l'infecté va commencer à être influencé par le champignon.
Il va rechercher la compagnie d'autres êtres vivants et sera insistant dans ses demandes d'interaction physique, en particulier des interactions buccales*.
Ces contacts permettront aux champignons de passer par les muqueuses de la personne embrassé et d'ainsi l'infecté (ceci ayant donné le nom de la maladie).
Dans une seconde phase plus brutale, le champignon va avoir un contrôle bien plus direct sur les envies de l'hôte qui va perdre tout intellect et chercher à infecter d'autres personnes, cette fois par la morsure.
Si le but du champignon n'est pas de tuer les hôtes potentiels, il est a noté que lorsqu'une personne est attaqué par plusieurs infectés, la perte de sang causé par les morsures est souvent mortelle.
Immanquablement, les hôtes finissent par mourir de malnutrition et le champignon entre alors dans sa phase trois, la floraison. Il va pousser et éclore hors du corps de l'hôte et émettre des spores.
Cette double manière de reproduction fait du baiser-de-sang un champignon qu'il est très compliqué de réprimer.
Les infectés semblent se diriger en suivant la chaleur de leur victime (et les agressent sans considération de race ou d'espèce, qu'il s'agisse de mouton ou d'elfe), ce qui fait que les races à sang froids (Ent, filgus, karakorekor et certains hommes-lézards) ne sont pas visés par les infectés.
Cependant, ils peuvent toujours être infectés par les spores aéroportés; dans ce cas, le champignon est particulièrement vindicatif s'il survit à ce corps froids, car il va chercher avec bien plus d'efforts à trouver un corps plus chaud.
*Certains délinquant sexuels se servent du baiser-de-sang comme d'une excuse, arguant que c'est le champignon qui les a poussé à agresser sexuellement leurs victimes. À cause de leurs faux témoignages, il est quasiment impossible de savoir avec précision sur quelle planète se trouve le champignon.
Le baiser-de-sang étire d'abord ses racines vers le cerveau de l'être, influant ses envies et instincts. Il ne touche pas au corps. Cependant, il existe des sous-espèces encore plus dangereuses qui, en favorisant la production d'hormone comme la testostérone, transforme les infectés en surhommes.
Cette sous-espèce, souvent surnommée baiser-ultime, a surtout été étudié par Boris Namrab.
Une fois infecté par des spores, celui-ci va d'abord connaître une période d'incubation, dont la longueur varie selon les races. Les études d'Ekiro Rick ont montré que plus une race vit longtemps, plus la période d'incubation est courte. Ainsi elle est de 3 à 5 jours pour les elfes, mais de deux semaines à trois mois pour les orcs.
Après cette période d'incubation, pendant laquelle l'hôte peut encore être sauvé par certains médicament ou une forte fièvre, l'infecté va commencer à être influencé par le champignon.
Il va rechercher la compagnie d'autres êtres vivants et sera insistant dans ses demandes d'interaction physique, en particulier des interactions buccales*.
Ces contacts permettront aux champignons de passer par les muqueuses de la personne embrassé et d'ainsi l'infecté (ceci ayant donné le nom de la maladie).
Dans une seconde phase plus brutale, le champignon va avoir un contrôle bien plus direct sur les envies de l'hôte qui va perdre tout intellect et chercher à infecter d'autres personnes, cette fois par la morsure.
Si le but du champignon n'est pas de tuer les hôtes potentiels, il est a noté que lorsqu'une personne est attaqué par plusieurs infectés, la perte de sang causé par les morsures est souvent mortelle.
Immanquablement, les hôtes finissent par mourir de malnutrition et le champignon entre alors dans sa phase trois, la floraison. Il va pousser et éclore hors du corps de l'hôte et émettre des spores.
Cette double manière de reproduction fait du baiser-de-sang un champignon qu'il est très compliqué de réprimer.
Les infectés semblent se diriger en suivant la chaleur de leur victime (et les agressent sans considération de race ou d'espèce, qu'il s'agisse de mouton ou d'elfe), ce qui fait que les races à sang froids (Ent, filgus, karakorekor et certains hommes-lézards) ne sont pas visés par les infectés.
Cependant, ils peuvent toujours être infectés par les spores aéroportés; dans ce cas, le champignon est particulièrement vindicatif s'il survit à ce corps froids, car il va chercher avec bien plus d'efforts à trouver un corps plus chaud.
*Certains délinquant sexuels se servent du baiser-de-sang comme d'une excuse, arguant que c'est le champignon qui les a poussé à agresser sexuellement leurs victimes. À cause de leurs faux témoignages, il est quasiment impossible de savoir avec précision sur quelle planète se trouve le champignon.
Le baiser-de-sang étire d'abord ses racines vers le cerveau de l'être, influant ses envies et instincts. Il ne touche pas au corps. Cependant, il existe des sous-espèces encore plus dangereuses qui, en favorisant la production d'hormone comme la testostérone, transforme les infectés en surhommes.
Cette sous-espèce, souvent surnommée baiser-ultime, a surtout été étudié par Boris Namrab.
Type
Fungal
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