Clitoris
Construite à l’une des extrémités de la Faille fin-du-monde, cette grande cité perchée à flanc de falaise est presque toujours à l’ombre, les hautes façades de pierre qui l’entourent lui cachant le soleil avant 10h et après 14h.
D’un autre côté, le fait d’être à une extrémité de la faille donne un avantage à Clitoris : contrairement aux six autres cités de la fin du monde, il est possible de construire à l’horizon, en créant des paliers artificiels. Il en existe des dizaines, plus ou moins grands et plus ou moins stables, qui soutiennent la vie et l’économie de la ville.
Le bord des paliers est l’endroit le plus ensoleillé mais aussi le plus dangereux, si bien qu’une mixité sociale assez rare est observée dans l’ensemble de la cité.
Là encore en différence avec les autres cités à flanc de la faille, Clitoris se reposent moins sur l’industrie minière que ses sœurs : comme elle est à l’un des bouts de la faille, la moitié de ceux essayant de contourner celle-ci par la terre passent par Clitoris, ce qui en fait une plaque tournante du commerce, comprenant de nombreuses moyens de se déplacement, des portails aux navires volants.
Clitoris n’est pas le premier nom de cette cité et n’est d’ailleurs toujours pas le nom officielle consigné dans les documents municipaux. Cependant, il s’agit du nom usuel, et celui par lequel les Traverse-monde reconnaissent la ville.
L’histoire locale raconte qu’un voyageur est arrivé en ville et, la comparant à un bulbe, s’amusa que ce bulbe soit caché à une extrémité d’une faille. La comparaison fut rapidement faite et le surnom resta.
Les habitants apprécient le nom de leur ville et racontent souvent qu’ils voient passer des hommes clamer qu’il n’était pas si dur de trouver cette cité, au final.
D’un autre côté, le fait d’être à une extrémité de la faille donne un avantage à Clitoris : contrairement aux six autres cités de la fin du monde, il est possible de construire à l’horizon, en créant des paliers artificiels. Il en existe des dizaines, plus ou moins grands et plus ou moins stables, qui soutiennent la vie et l’économie de la ville.
Le bord des paliers est l’endroit le plus ensoleillé mais aussi le plus dangereux, si bien qu’une mixité sociale assez rare est observée dans l’ensemble de la cité.
Là encore en différence avec les autres cités à flanc de la faille, Clitoris se reposent moins sur l’industrie minière que ses sœurs : comme elle est à l’un des bouts de la faille, la moitié de ceux essayant de contourner celle-ci par la terre passent par Clitoris, ce qui en fait une plaque tournante du commerce, comprenant de nombreuses moyens de se déplacement, des portails aux navires volants.
Clitoris n’est pas le premier nom de cette cité et n’est d’ailleurs toujours pas le nom officielle consigné dans les documents municipaux. Cependant, il s’agit du nom usuel, et celui par lequel les Traverse-monde reconnaissent la ville.
L’histoire locale raconte qu’un voyageur est arrivé en ville et, la comparant à un bulbe, s’amusa que ce bulbe soit caché à une extrémité d’une faille. La comparaison fut rapidement faite et le surnom resta.
Les habitants apprécient le nom de leur ville et racontent souvent qu’ils voient passer des hommes clamer qu’il n’était pas si dur de trouver cette cité, au final.
Type
Large city
Location under
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