sept cité de la fin du monde
Les sept cités de la fin du monde sont des villes construites sur les flancs de la Faille fin-du-monde. Accrochées au roc, des milliers de poutre soutiennent des maisons, des routes et chemins qui traversent ces cités à l’urbanisme étrange, forcé de s’adapter à la verticalité extrême du terrain. Les bâtiments sont donc tout en auteur et très peu large, sauf pour ceux ayant de quoi se payer les lourdes poutres de suspensions et les permis de la ville.
Car ces villes ont beaucoup d’obligation lié à l’urbanisme : creuser la roche pour créer des habitats troglodytes demande des études pousser afin d’assurer que cela n’affaiblira pas la falaise où est construit le reste de la ville.
On dit d’ailleurs qu’il existait une huitième cité qui, moins régulée, disparu entièrement dans un effondrement.
Dans l’ensemble, ces cités sont construites proches de la surface et, en se développent, ont pris la forme d’une tête de flèche dont la pointe est vers le bas ; la plupart de ces pointes sont en vérités des aéroports et des halls d’ascenseurs permettant de continuer à descendre, facilitant la première tranche du voyage vers la face interne d’Hélios… Et permettant aux industries minières des sept cités de s’en donner à cœur joie là où les règles d’urbanisme ne s’appliquent plus : pourquoi craindre un effondrement lorsqu’on creuse à l’endroit où la gravité se renverse ?
Les cités sont d’ailleurs dépendantes des mines, qui leur apporte la majorité de leur richesse : n’étant pas des points de passage, le commerce est moribond. De plus, il est difficile de faire de l’élevage ou de l’agriculture à la verticale et les denrées doivent être importées, souvent à grands frais, ce qui crée des tensions politiques et économiques… Mais c’est aussi un beau filon pour qui veut s’enrichir.
Car ces villes ont beaucoup d’obligation lié à l’urbanisme : creuser la roche pour créer des habitats troglodytes demande des études pousser afin d’assurer que cela n’affaiblira pas la falaise où est construit le reste de la ville.
On dit d’ailleurs qu’il existait une huitième cité qui, moins régulée, disparu entièrement dans un effondrement.
Dans l’ensemble, ces cités sont construites proches de la surface et, en se développent, ont pris la forme d’une tête de flèche dont la pointe est vers le bas ; la plupart de ces pointes sont en vérités des aéroports et des halls d’ascenseurs permettant de continuer à descendre, facilitant la première tranche du voyage vers la face interne d’Hélios… Et permettant aux industries minières des sept cités de s’en donner à cœur joie là où les règles d’urbanisme ne s’appliquent plus : pourquoi craindre un effondrement lorsqu’on creuse à l’endroit où la gravité se renverse ?
Les cités sont d’ailleurs dépendantes des mines, qui leur apporte la majorité de leur richesse : n’étant pas des points de passage, le commerce est moribond. De plus, il est difficile de faire de l’élevage ou de l’agriculture à la verticale et les denrées doivent être importées, souvent à grands frais, ce qui crée des tensions politiques et économiques… Mais c’est aussi un beau filon pour qui veut s’enrichir.
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