Homme-bête
Curieux de voir ce qu'il adviendrait si des races complètement différentes étaient mélangé en une seule créature, Azil a rempli de nombreuses dimensions avec ses créations, créant de nombreux monstres, mais aussi des mix d'êtres sentients et d'animaux, qui se sont ensuite éveillé à la pensée et ont rejoint la sentienté.
Le nombre de différents hommes-bêtes, des différentes sous-espèces est incalculable, premièrement par le nombre d'animaux qui peuvent être touché, et ensuite par le nombre d'espèces sentientes qui ont été utilisé par Azil, car les humains n'ont pas été les seuls touchés par les expériences du dieu des sciences.
Ce dernier ayant fait ses expériences hors d'Onim, la population d'homme-bête dans le plan de L'Unique est bien moindre que celle des autres races.
Lorsqu'ils forment une société, deux castes sont généralement formées : la première, considérée comme inférieur, est celle des êtres chez qui la partie animale prend le dessus, légèrement ou non. Ce genre de chose est souvent visible par la démonstration de comportement purement animal chez l'individu (mouvement de meute et cri à la pleine lune pour des demi-loups, danse de séduction chez plusieurs espèces de demi-oiseau...).
Au-dessus de cette caste se trouve ceux chez qui la partie sentiente prend le dessus. Là aussi, des comportements peuvent éclore (dédain d'un demi-haut-elfe, soif d'or d'un demi-dragon, violence d'un demi-orc...), mais ils sont considérés comme des marques que cette caste est supérieure en intellect à la première.
De plus, physiquement, les hommes-bêtes ballaient un large spectre de possibilité : les plus légèrement atteint par le côté animal ne porte que des oreilles où une queue, voir un morceau de fourrure sur leur peau, où une corne. À l'inverse, certains hommes-bête ont une forme totalement animale, et ne sont dissociable des véritables animaux que par leur intellect plus développé.
D'un point de vue religieux, ils sont fortement tournés vers Azfur, leur dieu dédié. Le fait que celui-ci ait atteint la divinité grâce à leur prière et leur pluralité de visage et corps font qu'ils se tournent souvent vers des systèmes de pouvoir où le peuple prend les décisions. Il existe potentiellement autant de type d'homme-bête différent qu'il existe d'animaux, mais un même animal peut devenir sentient de plusieurs manières. Ces manières, déjà rapidement évoqué (simple présence d'oreilles animales sur un corps humain, ou véritable animal ayant un esprit évolué) forment les ethnies des hommes-bêtes.
voir la liste des ethnies d'homme-bête
Il est fallacieux de parler d’une culture globale pour une espèce dont l’éventail des formes est aussi large – cependant, on retrouve souvent certains comportements.
Odorat Beaucoup d’hommes-bêtes ont un odorat plus élevé que les espèces des Quatre grands marcheurs. De ce fait, l’odeur des personnes a beaucoup plus importante, faisant partie intégrante de l’identité des individus.
Si certains changements naturels (dû à la transpiration, à ce qu’on a mangé, ou autre) sont acceptables, ces hommes-bêtes jugent l’utilisation de parfum – et toute autre manière de changer son odeur – comme une modification d’identité. Ils évoquent, en comparaison, l’exemple d’un ami qui se mettrait soudainement à mettre une cagoule, comme s’il cherchait à se cacher.
Le nombre de différents hommes-bêtes, des différentes sous-espèces est incalculable, premièrement par le nombre d'animaux qui peuvent être touché, et ensuite par le nombre d'espèces sentientes qui ont été utilisé par Azil, car les humains n'ont pas été les seuls touchés par les expériences du dieu des sciences.
Ce dernier ayant fait ses expériences hors d'Onim, la population d'homme-bête dans le plan de L'Unique est bien moindre que celle des autres races.
Lorsqu'ils forment une société, deux castes sont généralement formées : la première, considérée comme inférieur, est celle des êtres chez qui la partie animale prend le dessus, légèrement ou non. Ce genre de chose est souvent visible par la démonstration de comportement purement animal chez l'individu (mouvement de meute et cri à la pleine lune pour des demi-loups, danse de séduction chez plusieurs espèces de demi-oiseau...).
Au-dessus de cette caste se trouve ceux chez qui la partie sentiente prend le dessus. Là aussi, des comportements peuvent éclore (dédain d'un demi-haut-elfe, soif d'or d'un demi-dragon, violence d'un demi-orc...), mais ils sont considérés comme des marques que cette caste est supérieure en intellect à la première.
De plus, physiquement, les hommes-bêtes ballaient un large spectre de possibilité : les plus légèrement atteint par le côté animal ne porte que des oreilles où une queue, voir un morceau de fourrure sur leur peau, où une corne. À l'inverse, certains hommes-bête ont une forme totalement animale, et ne sont dissociable des véritables animaux que par leur intellect plus développé.
D'un point de vue religieux, ils sont fortement tournés vers Azfur, leur dieu dédié. Le fait que celui-ci ait atteint la divinité grâce à leur prière et leur pluralité de visage et corps font qu'ils se tournent souvent vers des systèmes de pouvoir où le peuple prend les décisions. Il existe potentiellement autant de type d'homme-bête différent qu'il existe d'animaux, mais un même animal peut devenir sentient de plusieurs manières. Ces manières, déjà rapidement évoqué (simple présence d'oreilles animales sur un corps humain, ou véritable animal ayant un esprit évolué) forment les ethnies des hommes-bêtes.
voir la liste des ethnies d'homme-bête
Culture
Il est fallacieux de parler d’une culture globale pour une espèce dont l’éventail des formes est aussi large – cependant, on retrouve souvent certains comportements.
Odorat Beaucoup d’hommes-bêtes ont un odorat plus élevé que les espèces des Quatre grands marcheurs. De ce fait, l’odeur des personnes a beaucoup plus importante, faisant partie intégrante de l’identité des individus.
Si certains changements naturels (dû à la transpiration, à ce qu’on a mangé, ou autre) sont acceptables, ces hommes-bêtes jugent l’utilisation de parfum – et toute autre manière de changer son odeur – comme une modification d’identité. Ils évoquent, en comparaison, l’exemple d’un ami qui se mettrait soudainement à mettre une cagoule, comme s’il cherchait à se cacher.
Genetic Descendants
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