homo/elfis/nanis/orcos odorir

Étant pour l’odorat ce que sont les rudeus aures pour l’ouïe, les odorir forment une ethnie au nez bien plus épais et proéminent que les autres. Bien que leur capacité d’odorat reste inférieure à celle des canidés, ils sont capables de bien plus de précisions que les humains et elfes de la moyenne.
En particulier, ils font d’excellents traqueurs, capable de poursuivre l’odeur de proie. Ils sont aussi très appréciés pour leur capacité de cuisinier et de testeur, leur flair leur permettant de déterminer quels aliments sont consommables.
Cet organe proéminent prend cependant de la place sur leurs yeux, qu’ils ont petits et enfoncés, impactant leur vue. Certains (le biologiste Alan Mashër, mais aussi la cheffe cuistot Kalia Nig) ont avancé que ce grand nez prend des ressources importantes à leur cerveau, et qu’ils sont donc plus bêtes que les autres ethnies ; ceci est cependant faux et a été démontré – et prouvé – par le professeur Otto Al'Abar.

On retrouve surtout cette ethnie dans les territoires préindustriels, les avantages biologiques de celle-ci étant moins efficaces en période industrielle et postindustrielle ; ils sont alors petit à petit remplacés par des ethnies plus « citadines »

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