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kobok

Parfois aussi appelé drakeïde, dragon-né/dragoné/dragonet
  Créé lorsqu'un grand marcheur et un kobold se lient, les kobok sont de grands humanoïdes couverts d'écailles, mais sans museau, ailes et n'ayant qu'une petite queue (la plupart du temps, elle ne tombe pas plus bas que le genou de l'individu). Même s'ils sont les descendants par deux degrés des dragons, les kobok sont généralement très fier de ce lignage et se considèrent comme les véritables héritiers de cette espèce.
Selon les ethnies, les kobok peuvent ou non avoir de la pilosité ; cependant la majorité est chauve. Bien qu'elles ne dépassent jamais les dix centimètres, ils ont parfois des cornes : la base celle-ci se trouvent généralement sur les tempes ou, s'il y en a plus que deux, sur tout le pourtour du crâne.
  La coloration des écailles des koboks dépend de celles des Kobolds dont ils descendent (leur coloration dépendant elle-même du Dragon étant à l'origine de la lignée familiale des kobolds), mais ils sont généralement d'une teinte plus sombre, les kobok étincelants étant rapidement supprimé par la sélection naturelle.
  Sur le thème de leur vénération des dragons (bien qu'étant très ancré, cela reste un fait culturel et n'est pas vérifiable pour chaque population kobok), l'amour des kobok pour leur ancêtre les pousse souvent à essayer de leur ressembler.
Ils commencent d'abord par des moyens artistiques : les légendes qu'ils se partagent affublent tout les kobok important d'ailes et de longues queues, voir de museaux. De la même manière, les empereurs et rois se font souvent peindre avec ces attributs, représentation assez simpliste de force.
Dans les mondes industriels et post-industriels où habitent des kobok, on voit souvent apparaître une mode de retouche physique poussant de nombreux individu à user de magie ou mécanique pour s'affubler d'ailes, de queues, de cornes plus grandes, et de museaux.
Toujours lié à cette adoration, les cultes principaux chez les kobok sont ceux des quatre dragonnes ancestrales.
  Plusieurs historiens de la génétique ont aussi relevé que, par sélection manuelle, les kobok choisissent de s'accoupler avec ceux ressemblant le plus à des dragons, ce qui fait que leur race voit petit à petit apparaître des enfants kobok naturellement doté d'ailes... bien qu'elles ne soient pas, pour l'instant, fonctionnelles.
Ces populations plus « draconiennes » gagnent souvent un sentiment de supériorité. Le reste du peuple obéit d'abord à leur envie, les voyant comme des envoyés. Presque immanquablement, le « bas-peuple » finit par se soulever et supprimer les draconiens.
Après ces événements, la vénération des kobok envers la forme draconique est bien plus mesurée.
  Leur faible espérance de vie (45 ans S.H.) rapproche socialement les kobok des orcs, des gobelins et kobolds, et dans une moindre mesure des humains.
Les kobok descendant d'une union nain-kobold ne font jamais moins d'un mètre cinquante, et ceux qui descendent d'elfe, humain ou orc atteignent souvent les deux mètres.
    Il existe deux principales écoles de pensée chez les kobok, quant aux marques culturelles : certains imitent les dragons et colorent leurs écailles, tandis que d'autres considèrent leur peau comme sacré, car signe de leur ascendance. Les débats entre ses écoles sont souvent houleux.
Genetic Ancestor(s)

This species has multiple parents, only the first is displayed below.
All parents:

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