Micraz
Ayant la forme globale d'un centaure, le corps des micraz est séparé en deux grandes parties.
La première, horizontale (le cheval du centaure) ressemble à un abdomen d'araignée dans sa forme. Six membres se terminant en une griffe constituent les pattes de micraz, et le tout est couvert d'une fourrure dont l'épaisseur et la couleur dépendait de chaque individu.
La partie haute (l'homme du centaure) est humanoïde. Deux bras se finissent avec des mains à trois doigts, dont un pouce opposable. Tout est couvert de fourrure, jusqu'à la tête. Là, deux longues oreilles triangulaires se dressent sur le haut du crâne. Elles peuvent tourner jusqu'à 180°, leur permettant de diriger leurs ouïes. Ils ont deux yeux principaux, dont l'iris peut prendre de nombreuses couleurs, généralement dans des teintes bleues.
L’orifice buccal est enserré par deux puissantes mandibules, dont la partie intérieure est couverte de onze dents servant de canines et de déchiqueteur. Les dents plus petites à l'intérieur de la bouche servent à couper en plus petit morceau la viande qu’ingèrent les micraz, leurs régimes étant exclusivement carnivores.
Peut-être du fait de leur morphologie, mais les micraz avaient l'habitude de construire des couloirs et des pièces aux murs arrondis, ou au moins en octogone. Ce style très reconnaissable leur permettait de monter sur les partis penchés lorsque les chemins étaient encombrés, tout en permettant un soutien maximal du poids au-dessus de leur tête.
Leurs lits sont composés de deux pièces, l'une horizontale pour leur corps inférieur, et une seconde partie, plus haute, pour leur corps supérieur.
S'ils furent parmi les premiers à se lancer dans la conquête traverse-mondienne, les micraz ne connurent qu'une gloire passagère. Utilisant une magie rudimentaire, ils s'éparpillèrent sur différents mondes, créant une myriade de faction et d'empire, se battant parfois entre eux. Rapidement, ils rencontrèrent les dolphènes et se battirent contre eux, occasionnellement les premières batailles entre mage et technologue, qui font qu'encore aujourd'hui beaucoup voient ces deux arts comme opposés.
Fort et violent, les micraz firent couler le sang pendant de nombreuses années avant que leur violence ne se retourne contre eux. À force de s'attaquer à tout ce qui pouvait parler, ils se mirent à dos les puissances d'Onim, représenté à ce moment par l'empire dolphène ainsi que les quatre marcheurs, récemment rentré dans la course traverse-mondienne. La principale faiblesse des dolphènes étaient leurs courtes durées de vie (une trentaine d'année) et leur façon de penser unique descendant de leur façon de communiquer (télépathie), ce qui fut totalement réglé par l'arrivée des elfes millénaires et des nains et humains avec leur ingéniosité. Cette nouvelle force déferla sur les micraz, qui furent exterminé. Séparé par les luttes intestines, affaiblis par une peste, le coup mortel fut porté sur leur Krzku, leur monde natal (Purec, 3-1), aux alentours de -14 000 A.S.H.
Pour beaucoup d'historiens, cette guerre contre les micraz est l'une des choses qui causa la chute des dolphènes. Trop affaiblis et dispersé, ils ne se remirent par de la perte de plusieurs de leurs vaisseaux-amiraux et de nombres de soldats. Les blessés, rapatriés sur Delphes, sont souvent accusés d'avoir causé la pandémie qui ravagea les rangs dolphènes et précipita leur chute.
D'un autre côté, des chercheurs argumentent que les elfes furent les véritables vainqueurs. Meilleur magicien que les micraz, ils tirèrent un très beau profit des recherches sur les portails magiques de ces derniers, qu'ils surent utiliser bien mieux que la technologie des dolphènes.
Il est globalement reconnu que la race des micraz est éteinte, mais il existe quelque très rare exception, des mages qui ont ressuscité ces anciens guerriers pour remplir leur zoo, ou des micraz en stase, caché dans des lieux secrets, attendant d'être réveillé.
Sur leur fin, en plus de devoir faire face aux dolphènes et à leurs apprentis traverse-monde, les micraz combattirent contre une maladie virulente. Cette peste - aux effets semblables à une puissante rage - contamina les peuples micraz les uns après les autres alors qu'ils fuyaient éperdument devant l’avancée Dolphène. La période d'incubation était longue, et beaucoup portaient la maladie sans le savoir, contaminant leurs connaissances.
En plus de l'impact évident sur les micraz, cette maladie eut aussi un effet sur la guerre. Voyant ces micraz devenus fous de rage, l'alliance des dolphènes cru à une arme. Portés par cette idée, ils décidèrent de ne laisser aucun survivant pour faire payer une telle atrocité.
Bien que moins contagieuse chez les autres races, la Rjol'irati peut les toucher, causant les mêmes effets. Elle réapparaît assez souvent, lorsque des explorateurs ignorants et imprudents tombent sur des ruines micraz où le germe attend. Les personnes spécialisées dans l'étude de ces ruines ont souvent dans leurs équipes un homme-bête à fourrure, car la perte de cette dernière est le premier symptôme visible d'une infection. Ainsi, les hommes-bêtes ayant ce travail ont le même rôle qu'un canari de mine.
La première, horizontale (le cheval du centaure) ressemble à un abdomen d'araignée dans sa forme. Six membres se terminant en une griffe constituent les pattes de micraz, et le tout est couvert d'une fourrure dont l'épaisseur et la couleur dépendait de chaque individu.
La partie haute (l'homme du centaure) est humanoïde. Deux bras se finissent avec des mains à trois doigts, dont un pouce opposable. Tout est couvert de fourrure, jusqu'à la tête. Là, deux longues oreilles triangulaires se dressent sur le haut du crâne. Elles peuvent tourner jusqu'à 180°, leur permettant de diriger leurs ouïes. Ils ont deux yeux principaux, dont l'iris peut prendre de nombreuses couleurs, généralement dans des teintes bleues.
L’orifice buccal est enserré par deux puissantes mandibules, dont la partie intérieure est couverte de onze dents servant de canines et de déchiqueteur. Les dents plus petites à l'intérieur de la bouche servent à couper en plus petit morceau la viande qu’ingèrent les micraz, leurs régimes étant exclusivement carnivores.
Peut-être du fait de leur morphologie, mais les micraz avaient l'habitude de construire des couloirs et des pièces aux murs arrondis, ou au moins en octogone. Ce style très reconnaissable leur permettait de monter sur les partis penchés lorsque les chemins étaient encombrés, tout en permettant un soutien maximal du poids au-dessus de leur tête.
Leurs lits sont composés de deux pièces, l'une horizontale pour leur corps inférieur, et une seconde partie, plus haute, pour leur corps supérieur.
S'ils furent parmi les premiers à se lancer dans la conquête traverse-mondienne, les micraz ne connurent qu'une gloire passagère. Utilisant une magie rudimentaire, ils s'éparpillèrent sur différents mondes, créant une myriade de faction et d'empire, se battant parfois entre eux. Rapidement, ils rencontrèrent les dolphènes et se battirent contre eux, occasionnellement les premières batailles entre mage et technologue, qui font qu'encore aujourd'hui beaucoup voient ces deux arts comme opposés.
Fort et violent, les micraz firent couler le sang pendant de nombreuses années avant que leur violence ne se retourne contre eux. À force de s'attaquer à tout ce qui pouvait parler, ils se mirent à dos les puissances d'Onim, représenté à ce moment par l'empire dolphène ainsi que les quatre marcheurs, récemment rentré dans la course traverse-mondienne. La principale faiblesse des dolphènes étaient leurs courtes durées de vie (une trentaine d'année) et leur façon de penser unique descendant de leur façon de communiquer (télépathie), ce qui fut totalement réglé par l'arrivée des elfes millénaires et des nains et humains avec leur ingéniosité. Cette nouvelle force déferla sur les micraz, qui furent exterminé. Séparé par les luttes intestines, affaiblis par une peste, le coup mortel fut porté sur leur Krzku, leur monde natal (Purec, 3-1), aux alentours de -14 000 A.S.H.
Pour beaucoup d'historiens, cette guerre contre les micraz est l'une des choses qui causa la chute des dolphènes. Trop affaiblis et dispersé, ils ne se remirent par de la perte de plusieurs de leurs vaisseaux-amiraux et de nombres de soldats. Les blessés, rapatriés sur Delphes, sont souvent accusés d'avoir causé la pandémie qui ravagea les rangs dolphènes et précipita leur chute.
D'un autre côté, des chercheurs argumentent que les elfes furent les véritables vainqueurs. Meilleur magicien que les micraz, ils tirèrent un très beau profit des recherches sur les portails magiques de ces derniers, qu'ils surent utiliser bien mieux que la technologie des dolphènes.
Il est globalement reconnu que la race des micraz est éteinte, mais il existe quelque très rare exception, des mages qui ont ressuscité ces anciens guerriers pour remplir leur zoo, ou des micraz en stase, caché dans des lieux secrets, attendant d'être réveillé.
Sur leur fin, en plus de devoir faire face aux dolphènes et à leurs apprentis traverse-monde, les micraz combattirent contre une maladie virulente. Cette peste - aux effets semblables à une puissante rage - contamina les peuples micraz les uns après les autres alors qu'ils fuyaient éperdument devant l’avancée Dolphène. La période d'incubation était longue, et beaucoup portaient la maladie sans le savoir, contaminant leurs connaissances.
En plus de l'impact évident sur les micraz, cette maladie eut aussi un effet sur la guerre. Voyant ces micraz devenus fous de rage, l'alliance des dolphènes cru à une arme. Portés par cette idée, ils décidèrent de ne laisser aucun survivant pour faire payer une telle atrocité.
Bien que moins contagieuse chez les autres races, la Rjol'irati peut les toucher, causant les mêmes effets. Elle réapparaît assez souvent, lorsque des explorateurs ignorants et imprudents tombent sur des ruines micraz où le germe attend. Les personnes spécialisées dans l'étude de ces ruines ont souvent dans leurs équipes un homme-bête à fourrure, car la perte de cette dernière est le premier symptôme visible d'une infection. Ainsi, les hommes-bêtes ayant ce travail ont le même rôle qu'un canari de mine.
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