Déesse de l’honneur, de la justice, du commandement et de la bravoure
Royaume : Patrie des épées (Paradis)
Alliés : Abadar ,
Sarenrae ,
Shizuru,
Torag
Ennemis : Asmodeus ,
Norgorber,
Lamashtu
Relations : https://heros-absalom.fandom.com/fr/wiki/Arazni (ancienne divinité protectrice),
Cayden Cailéan (frère exalté),
Norgorber (frère exalté)
Lieux de culte : cathédrales, châteaux, grandes bâtisses immaculées
Adorateurs :aristocrates, chevaliers, croisés, dirigeants, juges, soldats
Animal sacré :lion
Couleurs sacrées : rouge et blanc
Iomédae, la plus jeune des grandes divinités du pourtour de la mer Intérieure, s’est montrée digne de son statut avant même d’y accéder. Née au
Chéliax , elle est devenue paladin d’
https://heros-absalom.fandom.com/fr/wiki/Arazni, héraut d’
Aroden après avoir décidé de prendre les armes pour combattre le mal. Enchaînant les victoires à la tête des Chevaliers d’Ozem contre le
Tyran qui Murmure elle n’a pas tardé à devenirune légende au sein de la Croisade étincelante. Iomédae est la troisième mortelle à avoir réussi l’épreuve de la Pierrétoile et ainsiaccédé à la divinité en 3832 AR.
Quand
Arazni a péri lors de
la Croisade étincelante,
Aroden a fait de la nouvelle déesse son héraut et, à sa mort, Iomédae a hérité de la plupart de ses adorateurs et est devenue à son tour une divinité majeure de l’honneur et de la justice.
Les fidèles de Iomédae, à l’image de leur déesse,consacrent une grande partie de leur vie à lutter contre le mal et la cruauté. Ils peuvent pourcela combattre physiquement des adversaires comme des fiélons, des morts-vivants et d’autres créatures sinistres, mais également prouver leur dévotion à l’Héritière en luttant contre l’adversité, l’oppression ou l’injustice par d’autres méthodes.
Partout où le courage, la vertu et la valeur sont nécessaires, les disciples de Iomédae prospèrent. Iomédae est appréciée des aventuriers d’alignement loyal bon et ceux qui la vénèrent affichent parfois leur obédience en portant une mince chasuble blanche par-dessus leur tenue normale d’aventurier.
L’Héritière ne se considère pas comme une déesse de la guerre, mais elleaccorde beaucoup d’importance aux faits d’armes et est la patronne de nombreux ordres militaires, et ses saints sont réputés pour leurs prouesses martiales. En tant que seule femme qui a atteint la divinité par l’épreuve de la
la Pierre-Etoile , elle est la protectrice des femmes qui fuient de cruels partenaires, des esclavagistes ou toute autre forme d’oppression.
Nombreuses sont ces femmes qui deviennent à leur tour de talentueux chevaliers ou obtiennent un poste important dans son clergé. L’arme de prédilection de Iomédae est l’épée longue et, même si elle ne le leur demande pas, ses prêtres et ses champions refusent souvent de manier d’autres armes. Les épées ont une place si importante dans son culte qu’on retrouve ce symbole gravé sur les alliances des fidèles etque les morts sont enterrés avec de petits objets en forme d’épée, ou simplement des dessins en représentant.
On évite cependant d’enterrer de véritables épées avec les morts. Celles-ci sont transmises aux membres de la famille du défunt, à des apprentis qui en ont besoin, ou données à un temple pour l’usage des ecclésiastiques ou des chevaliers sacrés.
Il existe deux exceptions à cette règle : si une épée est irrémédiablement endommagée ou si une magie ou une autre influence la lie à son porteur. Cependant, même dans ces cas, ces épées ont tendance à reparaître en cas de besoin, comme si Iomédae elle-même les chargeait de poursuivre leur devoir.
Les armures revêtent une importance similaire aux yeux des Iomédaens, qui sont ainsi rarement enterrés avec, préférant les léguer à des proches afin qu’elles continuent de servir la cause de Iomédae.
Les ecclésiastiques de Iomédae voyagent souvent en groupes de dix à cinquante individus sous la houlette d’un chevalier épéiste.
Lors des batailles, de nombreux ecclésiastiques n’hésitent pas à se positionner en première ligne pour combattre directement le mal ou prêter main-forte à ceux qui partagent leurs convictions. En ville, ils sont à l’affût des crimes et se tiennent toujours prêts à intervenir. Ceux qui ne peuvent supporter les rigueurs de la bataille ou préfèrent une vie plus paisible travaillent souvent dans un tribunal, conseillent des nobles et des dirigeants locaux, ou entraînent la prochaine
génération de croisés.
Les églises de Iomédae sont rarement gérées directement par ses champions, ses prêtres ou ses ecclésiastiques, qui préfèrent se trouver sur
le terrain. Ces tâches incombent donc aux croyants et aux acolytes dans la plupart des villes. Cependant, il arrive dans certaines régions reculées que des croisés prennent en charge l’intendance de sanctuaires et de temples.
Plusieurs jours fériés sont associés à Iomédae : le jour de l’Exaltation, qui commémore son passage de l’épreuve de la
la Pierre-Etoile l’Exaltation de l’Héritière, qui fête le jour où elle est devenue héraut d’Aroden ; le jour de l’Héritière, correspondant à la date à laquelle elle a endossé le rôle d’
Aroden ; la Lune du Souvenir, un jour de commémoration dédié aux victimes de la Croisade étincelante contre le
Tar-Baphon ; et Armasse, un ancien jour férié qui donne traditionnellement lieu à des joutes, des duels et d’autres épreuves de maniement des armes.
Elle perpétue également le jour du Deuil, qui permet à ceux qui se souviennent d’
Arazni de pleurer solennellement sa mort aux mains de
Tar-Baphon .
Une grande partie du culte de Iomédae est liée à un document appelé les Actes de Iomédae, qui décrit onze miracles
qu’elle a accomplis quand elle était encore un paladin mortel. Iomédae se manifeste sous la forme d’un resplendissant chevalier en armure étincelante. Comme elle est née au
Chéliax , elle a l’apparence d’une taldorienne armée et harnachée pour le combat.
Aphorismes
Les Iomédaens ont de nombreux cris de guerre afin d’inspirer le courage sur le champ de bataille, mais ils partagent également
des dictons transmettant la sagesse de l’Héritière.
Une lame dont l’on se sert ne s’émousse jamais
Cette phrase rappelle qu’il faut constamment rester alerte, de corps et d’esprit, car une épreuve peut surgir à tout moment.
Visez la victoire, visez le cœur
Cette formule appelle à frapper un ennemi en plein cœur pour s’assurer de sa mort. Elle est souvent utilisée comme cri de guerre, mais les adeptes moins belliqueux l’utilisent lorsqu’ils font quelque chose qui demande de la précision, comme abattre un arbre.
[Sa] cape est devenue rouge
Lorsque Iomédae part au combat, la couleur de sa cape vire du blanc au rouge. Cette image fait référence à un chevalier ou à un prêtre qui prend le sentier de la guerre, que ce soit au sens propre, en s’élançant dans la bataille, ou au figuré, en se dressant contre les menaces qui pèsent sur l’église, ou simplement contre un acolyte qui lui a fait une farce.
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