Gozreh
Divinité de la nature, de la mer et du climat
Royaume : nomade (plan matériel)
Alliés : Besmara , Desna , Érastil
Ennemis : Nethys, Rovagug ,Urgathoa
Temples : moulins, phares, rivages, zones de grande beauté naturelle
Adorateurs : druides, ermites, explorateurs, pêcheurs, survivalistes
Animal sacré : tous
Couleurs sacrées : bleu et vert
Entité intemporelle née du premier vent à avoir troublé la surface des vastes océans, Gozreh vagabonde dans l’air et les eaux du monde. Dans l’espoir de plaire au Vent et aux Vagues, les marins offrent à leur divinité des caisses de marchandises afin d’éviter une tempête fatale,tout en étant conscients que ces suppliques passeront probablement inaperçues. Le tempérament de Gozreh est inconstant et il est prompt à s’emporter et à laisser parler la foudre avant d’entraîner dans les profondeurs ceux qui osent souiller le monde naturel. Gozreh est la mer qui ceint les terres et le vent qui anime sa surface, les oiseaux qui traversent le ciel et les nuages qui les protègent. Gozreh est une divinité à deux aspects, représentée dans l’art comme l’un, l’autre ou les deux, selon les endroits. Lorsqu’elle vient de l’océan, elle est présentée comme une femme aux cheveux d’écume émergeant des flots jusqu’à la taille. Sur terre et dans les cieux, il s’agit d’un vieil homme à la longue barbe mouchetée du noir et du gris des nuages dans l’orage et dont les yeux luisent de foudre. Lorsqu’ils sont représentés ensemble, le long d’un rivage par exemple, les deux avatars se dirigent l’un vers l’autre, l’extrémité de leurs doigts séparés par le plus infime des intervalles. Pourtant, ces deux aspects ne sont pas distincts. Ils représentent le Vent et les Vagues, et la divinité est à la fois l’un et l’autre et sans être aucun des deux, car elle transcende les concepts mortels degenre et de corps. Tout comme les vents et les mers, Gozreh est capricieux et enclin à de soudaines explosions de colère. La divinité voit tout, glissant en un instant de la brise septentrionale aux yeux d’un étourneau puis aux racines d’un grand chêne à l’autre bout du monde. C’est ainsi que ceux qui souillent la nature ou détruisent les étendues sauvages vierges peuvent soudain se trouver victimes de la colère tempétueuse de Gozreh. Cela dit, ces fureurs imprévisibles et aveugles peuvent se produire après plusieurs années et saccager la vie d’innocents qui n’ont rien à voir avec la transgression initiale. Si l’humeur de Gozreh est explosive, la divinité n’est pas pour autant malintentionnée. Sa rage se dissipe aussi rapidement qu’elle a éclaté et le ciel et les eaux retrouvent alors leur aspect paisible. Le Vent et les Vagues voient et ressentent tout à la fois et ils n’ont pas le luxe de rester longtemps concentrés sur un seul acte de profanation.Gozreh est une divinité terrestre, qui s’intéresse au climat et aux êtres vivants. La terre ferme ne l’intéresse pas, sinon en cela qu’elle donne des fon dations aux arbres et que le feu qui la couvre parfois laisse le champ libre à une nouvelle vie. Pour le culte de Gozreh, ces choses ne sont pas dénigrées, elles sont simplement dénuées d’importance. De même, les créatures existent puis disparaissent, cédant leur énergie à ce qui vient après. Le Vent et les Vagues se soucient davantage de la nature qui n’a pas été souillée par les mortels et qui est libre d’évoluer à sa guise. Le culte de Gozreh accepte des individus de toutes les identités et tous les genres. La nature duelle de la divinité parle en effet à ces adorateurs et le clergé considère toutes les identités comme faisant partie de l’ordre naturel. L’Église n’attache pas d’importance particulière au mariage et les idylles saisonnières sont aussi bien acceptées que les unions à vie. Certains membres des courants les plus isolationnistes du culte choisissent une vie de réclusion et de célibat et se réfugient dans des montagnes ou des cavernes littorales isolées où ils peuvent méditer à loisir sur l’indépendance de Gozreh : après tout, en tant que divinité à la nature duelle, Gozreh n’est jamais vraiment seule. La plupart des adeptes de Gozreh portent les cheveux longs (parfois jusqu’au sol) et les ornent de complexes décorations à base d’algues, de coraux et de coquillages. Les membres du clergé qui le peuvent se laissent pousser la barbe, qu’ils portent souvent en tresses emmêlées. Il n’est pas rare qu’ils se servent de cette pilosité pour apporter à de petites créatures locales de quoi nidifier. Ils passent alors plusieurs mois à emmêler leurs cheveux avant de les couper pour en faire de petits nids. Seuls quelques-uns abritent dans leur barbe, alors qu’ils la portent encore, de petits oiseaux, grenouilles ou rongeurs. Les membres les plus dévots du culte de Gozreh gardent leurs distances avec la civilisation et vivent dans les profondeurs de forêts ou sur des côtes stériles. Les plus sociables intègrent souvent l’équipage d’un navire, où ils font office de navigateurs et de porte-bonheurs qui aident les bateaux à échapper aux tempêtes les plus violentes. Ces « orateurs des tempêtes » ne mettent pied à terre que le temps de changer de navire et ils sont très prisés par les capitaines. Il n’est cependant pas possible d’acheter leurs services. Ils choisissent eux mêmes leur destination et privilégient les long-courriers qui leur permettent de voguer dans des eaux rarement touchées par autre chose que le Vent et les Vagues. Aphorismes Les adeptes de Gozreh parlent généralement avec une franchise qui ne reflète pas leur perspicacité. La plupart d’entre eux préfèrent l’action aux paroles et les axiomes varient d’un temple à l’autre. Les dictons se limitent généralement à de simples déclarations qui tiennent de la sagesse courante. La tempête finit par passer : Si sombre le ciel puisse-t-il devenir, le mauvais temps et les émotions sont temporaires. La vie continue, événement après événement, et même si certains laissent des traces durables, les nuages finissent toujours par se dissiper. Les adeptes de Gozreh se servent de cette phrase comme mantra ou afin de réconforter ceux qui viennent les voir, poussés par le désespoir. Par la marée et les tempêtes. Les adorateurs de Gozreh prononcent cette formule afin de sceller un serment solennel en jurant sur les deux aspects de leur divinité. Elle est également utilisée lors des rites d’initiation des nouveaux acolytes, des sacrifices à Gozreh ou comme menace de châtiment face à quelqu’un qui souille la nature.
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Entité intemporelle née du premier vent à avoir troublé la surface des vastes océans, Gozreh vagabonde dans l’air et les eaux du monde. Dans l’espoir de plaire au Vent et aux Vagues, les marins offrent à leur divinité des caisses de marchandises afin d’éviter une tempête fatale,tout en étant conscients que ces suppliques passeront probablement inaperçues. Le tempérament de Gozreh est inconstant et il est prompt à s’emporter et à laisser parler la foudre avant d’entraîner dans les profondeurs ceux qui osent souiller le monde naturel. Gozreh est la mer qui ceint les terres et le vent qui anime sa surface, les oiseaux qui traversent le ciel et les nuages qui les protègent. Gozreh est une divinité à deux aspects, représentée dans l’art comme l’un, l’autre ou les deux, selon les endroits. Lorsqu’elle vient de l’océan, elle est présentée comme une femme aux cheveux d’écume émergeant des flots jusqu’à la taille. Sur terre et dans les cieux, il s’agit d’un vieil homme à la longue barbe mouchetée du noir et du gris des nuages dans l’orage et dont les yeux luisent de foudre. Lorsqu’ils sont représentés ensemble, le long d’un rivage par exemple, les deux avatars se dirigent l’un vers l’autre, l’extrémité de leurs doigts séparés par le plus infime des intervalles. Pourtant, ces deux aspects ne sont pas distincts. Ils représentent le Vent et les Vagues, et la divinité est à la fois l’un et l’autre et sans être aucun des deux, car elle transcende les concepts mortels degenre et de corps. Tout comme les vents et les mers, Gozreh est capricieux et enclin à de soudaines explosions de colère. La divinité voit tout, glissant en un instant de la brise septentrionale aux yeux d’un étourneau puis aux racines d’un grand chêne à l’autre bout du monde. C’est ainsi que ceux qui souillent la nature ou détruisent les étendues sauvages vierges peuvent soudain se trouver victimes de la colère tempétueuse de Gozreh. Cela dit, ces fureurs imprévisibles et aveugles peuvent se produire après plusieurs années et saccager la vie d’innocents qui n’ont rien à voir avec la transgression initiale. Si l’humeur de Gozreh est explosive, la divinité n’est pas pour autant malintentionnée. Sa rage se dissipe aussi rapidement qu’elle a éclaté et le ciel et les eaux retrouvent alors leur aspect paisible. Le Vent et les Vagues voient et ressentent tout à la fois et ils n’ont pas le luxe de rester longtemps concentrés sur un seul acte de profanation.Gozreh est une divinité terrestre, qui s’intéresse au climat et aux êtres vivants. La terre ferme ne l’intéresse pas, sinon en cela qu’elle donne des fon dations aux arbres et que le feu qui la couvre parfois laisse le champ libre à une nouvelle vie. Pour le culte de Gozreh, ces choses ne sont pas dénigrées, elles sont simplement dénuées d’importance. De même, les créatures existent puis disparaissent, cédant leur énergie à ce qui vient après. Le Vent et les Vagues se soucient davantage de la nature qui n’a pas été souillée par les mortels et qui est libre d’évoluer à sa guise. Le culte de Gozreh accepte des individus de toutes les identités et tous les genres. La nature duelle de la divinité parle en effet à ces adorateurs et le clergé considère toutes les identités comme faisant partie de l’ordre naturel. L’Église n’attache pas d’importance particulière au mariage et les idylles saisonnières sont aussi bien acceptées que les unions à vie. Certains membres des courants les plus isolationnistes du culte choisissent une vie de réclusion et de célibat et se réfugient dans des montagnes ou des cavernes littorales isolées où ils peuvent méditer à loisir sur l’indépendance de Gozreh : après tout, en tant que divinité à la nature duelle, Gozreh n’est jamais vraiment seule. La plupart des adeptes de Gozreh portent les cheveux longs (parfois jusqu’au sol) et les ornent de complexes décorations à base d’algues, de coraux et de coquillages. Les membres du clergé qui le peuvent se laissent pousser la barbe, qu’ils portent souvent en tresses emmêlées. Il n’est pas rare qu’ils se servent de cette pilosité pour apporter à de petites créatures locales de quoi nidifier. Ils passent alors plusieurs mois à emmêler leurs cheveux avant de les couper pour en faire de petits nids. Seuls quelques-uns abritent dans leur barbe, alors qu’ils la portent encore, de petits oiseaux, grenouilles ou rongeurs. Les membres les plus dévots du culte de Gozreh gardent leurs distances avec la civilisation et vivent dans les profondeurs de forêts ou sur des côtes stériles. Les plus sociables intègrent souvent l’équipage d’un navire, où ils font office de navigateurs et de porte-bonheurs qui aident les bateaux à échapper aux tempêtes les plus violentes. Ces « orateurs des tempêtes » ne mettent pied à terre que le temps de changer de navire et ils sont très prisés par les capitaines. Il n’est cependant pas possible d’acheter leurs services. Ils choisissent eux mêmes leur destination et privilégient les long-courriers qui leur permettent de voguer dans des eaux rarement touchées par autre chose que le Vent et les Vagues. Aphorismes Les adeptes de Gozreh parlent généralement avec une franchise qui ne reflète pas leur perspicacité. La plupart d’entre eux préfèrent l’action aux paroles et les axiomes varient d’un temple à l’autre. Les dictons se limitent généralement à de simples déclarations qui tiennent de la sagesse courante. La tempête finit par passer : Si sombre le ciel puisse-t-il devenir, le mauvais temps et les émotions sont temporaires. La vie continue, événement après événement, et même si certains laissent des traces durables, les nuages finissent toujours par se dissiper. Les adeptes de Gozreh se servent de cette phrase comme mantra ou afin de réconforter ceux qui viennent les voir, poussés par le désespoir. Par la marée et les tempêtes. Les adorateurs de Gozreh prononcent cette formule afin de sceller un serment solennel en jurant sur les deux aspects de leur divinité. Elle est également utilisée lors des rites d’initiation des nouveaux acolytes, des sacrifices à Gozreh ou comme menace de châtiment face à quelqu’un qui souille la nature.
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