Roðtull'heill

"I had heard a lot about the capital, this city that never sleeps, this unparalleled majestic spire. However, when I arrived at its gates for the first time, I was unprepared.   Nothing prepares you for such a change of scenery.   My first memory there is that of a smell. A smell that I have since learned to cherish like the one of my own home. The scents of metal and criðnis pies baking. Then came all these marine aromas, these iodized emanations coming from the port and going up the arteries of the crowded working districs, the sometimes delicate, sometimes heady, perfumes that coexist as best as they can in the different markets of the city, the mossy freshness of the humid cellars and the indescribable smell of the storm on the hot pavement.   Of course I have integrated more and more details over the days, weeks, months I spent in this city that I have gradually taken over. I found more and more, in this effervescence that no longer shocked me, an unthinkable comfort for a field child like me. The noises became more familiar, the cries of seabirds and scavengers, the soliciting of merchants, the clear clacking of the hooves on the white paving stone, the strident shards of metal being bumped into each other. All these noises became, with the passage of time, a lullaby that today is almost indispensable to me.   Soon I fell in love with the vestiges scattered all over the city. Where the majority of the inhabitants of the capital saw only stones that would attract curious strangers and the wrath of the gods if one approached them, I saw a whole civilization. Without realizing it, I was irresistibly drawn to these majestic ruins engulfed by time in the maze of streets and chaotic architecture of the city. Luckily for me, the ancient and long forgotten inhabitants of the peak who had built all these forgotten wonders had been using mainly stones that were not native to this side of the bay. The supernatural white hue of these stones, eaten away by ages of rain and wind, made them quite visible among the ochre stones used by the builders since Roðtull'heill's construction. Besides, one speaks too often about ruins whereas all did not collapse. There are still a number of rather well preserved vestiges whose access is only dangerous for those who think they will attract the evil eye of the Coat Mother by treading on the cobblestones of the ancients.   I therefore took over these marvellous constructions, sometimes forgotten, sometimes feared. With time, I ended up considering them as my property, my domain. In particular, I invested the remains of the highest floor of the Crystal Garden. This very poetic name is given by the locals to the huge hanging parks, in the heart of the city, facing the bay. There, under the very particular vegetation that proliferates in a chaos that is both dark and reassuring, one can guess huge glass canopies almost intact after an eternity spent facing the torments of time. The most intriguing element of these gardens, however, remains the omnipresence of crystals of varying sizes, ranging from an inch to dozens of cubits long, dotting the abandonned lawns and alleys a of these aerial parks. I never understood the fear that pushed most of the locals to avoid this magical place, a real breath of greenery, a calm and magnificent view at the foot of the Palace of the Eight, in the heart of this city which, despite its mothering and reassuring character, can be oppressive for a son of the field like me." -Gredore Kurt in The tome and the parrot
      French translation
          "J'avais beaucoup entendu parlé de la capitale, de cette ville qui ne dort jamais, de cette ville majestueuse sans pareille. Cependant en arrivant pour la première fois aux portes de la cité j'étais tout sauf préparé. Rien ne prépare à un tel dépaysement.   Mon premier souvenir dans cette ville est celui d'une odeur. Une odeur que j'ai appris depuis à chérir comme celle de mon propre foyer. Les fragrances mêlées de métal et des tourtes de Criðnis cuisant. Vinrent ensuite toutes ces odeurs marines, ces effluves iodées venant du port et remontant les artères de cette ville bondée, les parfums tantôt délicats, tantôt entêtants qui cohabitent tant bien que mal dans les différents marchés de la ville, la fraicheur moussue des caves humides et l'odeur indescriptible de l'orage sur le pavé chaud.   Bien sûr j'ai intégré de plus en plus de détails au fil des jours, des semaines, des mois que j'ai passé dans cette ville que je me suis petit à petit accaparée. Je trouvais de plus en plus dans cette effervescence qui ne me choquait plus un réconfort impensable pour un enfant des champs comme moi. Les bruits se firent plus familiers, le cri des oiseaux marins et des charognards, le racolage des marchands, le claquement net des sabot sur le pavé blanc, les éclats stridents du métal que l'on entrechoc. Tous ces bruits devinrent au gré du temps une berceuse qui aujourd'hui m'est presque indispensable." -Gredore Kurt dans Le tome et le perroquet
  Rod est la ville la plus peuplée et la capitale d'Avan'Wanor Elle se situe sur un gigantesque piton rocheux surplombant le Delta de la Truite. La ville a ainsi un accès direct à la rivière de XXX tout en surplombant la Baie de Cuivre. Elle est entourrée sur sa partie continentale d'un bassin sédimentaire maintenant émergé aux sols fertiles et au climat tempéré malgrè la proximité maritime appelé le bassin d'or en raison de la couleur des blés qui y poussent. La ville comptait 300 000 habitants dans ses murs lors du Grand Recenssement de Igval le Pieux cependant l'aglomération qui s'étend toujours un peu plus vers l'Ouest aux pieds des murailles représente facilement le triple de la population intramuros. On nomme les habitants de la ville les Rodiens. Cette grande concentration d'habitant fait de la ville la seconde sur l'île. Bâti il n'y a que près de 300 ans par le peuple d'Avan'Wanor, la cité est construite sur les ruines de la capitale des Gris qui se nommait alors Ak'Sholki qui fut détruite avant l'arrivée du peuple banni. Le complexe souterrain semble infini à l'intérieur du pic rocheux, plongeant dans les entrailles de la terre. Par peur, par superstition ou par incapacité technique, nul ne s'est jamais aventuré assez loin pour témoigner d'une fin aux tunnels et aux salles abandonnées. La position du piton sur lequel est bâti la ville est stratégique. Il surplombe directement le plus gros cours d'eau de la région et contrôle ainsi son franchissement. Bien qu'excentrée par rapport au territoire d'Avan'Wanor, son immense port marchand et militaire en eau profonde lui donne un avantage logistique considérable. Elle est par ailleurs aussi une étape importante sr la route entre le Nord et le Sud de l'île par la côte Est. Son accès à la mer, les terres innondables ainsi que la forte pente sur laquelle sont bâties les murailles et la rivière qui les entoure d'un bras sur près de la moitié des remparts rendent la ville très facilement défendable. Depuis la création de la première université en son sein, Rod est l'un des premies foyers de l'île pour l'enseignement et les arts. Le pouvoir des Huits se fixant dans cette ville, sont importance économique et politique ne cesse de croitre. Cette ville, malgrè son histoire contemporaine longue de seulement 4 siècles tout au plus, joue un rôle de tout premier plan dans l'histoire du Berceau des Étoiles. Rod simbolise la culture d'Avan'Wanor. Surnommée la Ville Solaire, elle abrite des monuments mondialement connus comme la Sainte Chapelle, La Tour Ikar ou encore la Porte de Pourpre. Ces nombreux monuments ainsi que son importance religieuse en font la ville la plus visité du monde connu. Avec le temps, les artisans se sont spécialisé pour dnner à la ville la renomée de capitale de la couture. Utilisant une technique qu'ils gardent jalousement, les Rodiens créent des tissus ouvragés sans pareils. Leur finesse leur a d'ailleurs apporté le surnom de Porcelaine de lin.  
Type
Capital
Population
178567
Location under
Included Locations
Owning Organization

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