Orient
A l'est des Plaines de Qamah, se trouvent les territoires orientaux. Il est possible d'y accéder et de les parcourir en empruntant la route du sable. Le début du territoire Oriental est marqué par le massif montagneux du Pandapai. Ses chemins difficiles et ses cols escarpés font que peu de marchands ou voyageurs décident de s'y aventurer. Ceux qui en reviennent sont encore moins nombreux. Ils parlent de vallées florissantes et populations rurales qui s’intéressent peu au reste du monde. Le reste du monde s’intéresse peu à elles aussi.
Pour vous rendre en Orient, vous passerez en premier près du massif du Pandapai. Ce dernier est le seul relief important de la région et est difficile d'accès. Il abrite des populations rurales qui ont un mode de vie basé sur le partage et l'inter-dépendance. Elles sont protégées par les moines guerriers de l'Ordres Monastiques.
Une fois passé le Pandapai, le grand désert d'Ounkatoun. Les Fafani y sont organisés en petits villages mal répertoriés, qui peuvent changer de localisation en fonction des mouvements du sable ou des colonies de vers des sables. Ce peuple en déclin tente de survivre au désert et à sa malédiction. Ces derniers sont accueillants, à partir du moment où l'on respecte leurs traditions et que l'on ne critique pas leur spécialités culinaires.
Les marchands qui traverse ce désert racontent des histoires à propos d’insectes géants et de vers des sables. Ce désert reste un lieu où la loi du plus fort règne. A moins que cela soit vraiment nécessaire, il vaut mieux ne pas sortir du tracé de la route du sable.
Encore plus à l'Est se trouve la source est une partie du Fleuve Enma. Ses berges ont été emménagées pour l'agriculture de masse. Cela a permis à plusieurs villes de se développer. Les principales sont, du Nord au Sud, : Sacem, Socram, Ikram, Ursaff et Al-Défense. Les autres ne font qu'office de points de passages pour les voyageurs qui transitent entre ces dernières. Elles sont chacune gouvernées par une trinité de décideurs représentant chacun un engagement :
Le Fakbar : chargé d'être à l'origine des actions de développement, de prise de risque et offensive. Encore marqué par une grande guerre du passé, ce peuple cherche rarement l'affrontement militaire. Mais il y a d'autres terrain d'offensive, notamment les négociations politique et le trafique d'influence. Le principal sujet est l'utilisation et l'appropriation des terres en bordure du fleuve. Le Moulan : chargé des missions de conservations, exploitation et solidification de l'existant. Son objectif est de faire travailler et fructifier les acquis (qui proviennent généralement du Fakbar) Le Badon-Badof : rôle plus récent, il a pour but de trancher lorsque Le Fakbar et Le Moulan ne sont pas d'accord. Auparavant, il pouvait y avoir des situations de blocage sur plusieurs années pour une décision. Situation qui se soldait souvent à la mort d'un des deux décideurs. Le Badon-Badof prend la décision qu'il juge la meilleure si les deux précédents ne se sont pas mis d'accord au bout d'un mois. La cité la plus puissante actuellement est celle d'Ikram, car elle a réussit à prendre le monopole de l'organisation des caravanes marchandes. C'est la première à avoir nommé un Badon-Badof. Ce dernier a fait en sorte qu'Ikram soit la première ville que l'on rencontre en suivant le route du sable.
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Relu par Anthony le 14/06/2019