S2E15 - La pierre de Karnac & Le mariage de Valaverde Report in Abrasia0 | World Anvil

S2E15 - La pierre de Karnac & Le mariage de Valaverde

General Summary

Les nouveaux convives, accueillis par leur hôte Orc, s’attablent tous afin de profiter du festin qui leur est offert. La grande table située au second étage dans la pièce principale est alors recouverte de mets et de préparations aussi larges qu’appétissantes. Encouragés par les couleurs et les odeurs vives des plats les aventuriers ne tardent pas à entamer leur magnifique repas. Tous les goûts sont présents et chacun des cavaliers trouve à se satisfaire. Cela faisait longtemps qu’ils n’avaient pas tous festoyé ainsi.   Une fois les premières bouchées venues combler l’appétit, les discussions s’animent. Manolito, intrigué par cette histoire de sanctuaires à réactiver, en profite pour interpeller le Shaman Orc sur l’aspect magique qui entoure ces derniers. Koblac Kimar à l’aide de deux couverts tenus dans chaque main évoque alors l’existence dans l’univers de plusieurs plans de réalités. Chacun est disposé différemment dans l’espace-temps de telle manière qu’aucun ne vienne en rencontrer un autre. Cependant dans certains cas de figure deux plans peuvent, à un certain point dans l’espace et dans le temps se trouver à une « distance » assez faible pour que leurs réalités s’entremêlent et génèrent des interférences. Lorsque que cela se produit les interférences viennent impacter les flux magiques en venant troubler leur intensité et leurs lois. Ainsi en ce moment même, Abrasia se trouve proche d’un autre plan d’existence et les cinq sanctuaires sont les points réceptacles des interférences magiques.   L’explication ne satisfait pas totalement la troupe, qui souhaite comprendre quel est alors l’intérêt de réactiver les sanctuaires. Le Shaman continue donc son explication : Lorsque les plans entrent en résonance une grande puissance magique se concentre en quelques points précis. Dès lors si cette énergie venait à être canalisée et exploitée à de sombre fin Abrasia serait confronté à une menace extrêmement dangereuse. Sans contrainte les pans de réalités risqueraient même de se pénétrer l’un l’autre en engendrant ainsi un chaos inarrêtable. Les sanctuaires agissent comme des verrous sur cette énergie magique, les garder actifs permet donc de maintenir le contrôle sur la magie et de garantir ainsi la paix en Abrasia. Koblac Kimar évoque enfin ses voyages vers des quatre autres sanctuaires. Le premier déjà réactivé par Ank'Or, Anastasia, Asorann & Korg se trouve à Milothoné dans les cavernes de roches. Il est gardé par son protecteur Huan. Un second se trouve au cœur de la forêt de Nadarah, et il y fit le voyage avec Gilbert Bart quelques trois siècles auparavant. Il se rendit au troisième, vers Erionth déguisé en vieille femme. Mais jamais il ne put ou ne souhaita mettre les pieds dans celui de Théia , car ce dernier est depuis longtemps maudit et empli d’esprits maléfiques.   Les CAB commencent alors à comprendre l’ampleur et la gravité de la tâche qu’il leur reste à accomplir. Il ne s’agit pas simplement de démasquer une organisation secrète aux pratiques mafieuses mais vraisemblablement de s’assurer du maintien de la réalité d’Abrasia et de la sécurité de toute sa population et de ses sociétés.   Ayant compris que la montagne de Karnac était pour le moment occupée par une armée ennemie bien trop large pour envisager s’y attaquer les aventuriers décident tout de même, avant de partir, d’aller observer le sommet et de constater les forces en présence. Alors l’équipe se prépare à une mission d’infiltration Gustavo sort prendre l’air en attendant que Korg puisse ôter son armure. Lors de ces quelques instants il remarque au loin au pied de la montagne, un grand campement Orc plein d’activité. De retour parmi les siens Gustavo demande alors si le shaman n’a pas un moyen pour évaluer la menace que représente l’armée au sommet. Koblac Kimar entonne alors une incantation magique. Il sort quelques herbes séchées de ses poches, les dépose dans une bassine puis y verse de l’eau bouillante d’une marmite chauffant près du feu. Après quelques murmures et mouvements de bras l’Orc se penche sur la vapeur puis d’un coup est aspiré vers le ciel. Son corps semble flotter légèrement alors que ses yeux partent en arrière, laissant apparaître deux globes blancs au milieu de son visage sans vie. Les cavaliers n’ont même pas le temps de s’inquiéter que sa silhouette retombe lentement au sol à mesure que l’incantation prend fin. Koblac averti alors le groupe qu’il a identifié exactement 62 soldats. Prévenue l’équipe redouble d’attention et se dirige lentement vers le sommet via un petit escalier creusé dans la roche.   La route se termine sur une arche de pierre, sculptée et qui donne sur un grand plateau naturel au sommet de la montagne de Karnac. En s’approchant doucement l’équipe découvre alors une scène impressionnante mais étonnamment silencieuse. Ils trouvent là les soldats agenouillés en cercles concentrique autour d’une pierre, comme si tous s’étaient positionnés pour vénérer un objet magique au grand pouvoir. Au centre se trouve une petite pierre blanche montée sur un socle. Rien ne bouge, seuls les bruits lointains du vent dans les arbres viennent perturber le calme du plateau, il règne une atmosphère de mort, comme si la vie avait été aspirée de la montagne.   N’osant pas s’aventurer trop loin avant d’en savoir plus Manolito fait alors appelle à son compagnon Sylvestre, qui sous sa forme d’aigle part survoler l’armée en éclaireur. Après un premier aller-retour sans accro, Gustavo Federico Montefalli lui emboîte le pas et s’avance doucement vers les soldats agenouillés, qu’il reconnait à leurs tenues comme étant des membres de la troupe des Coragio, compagnie d’élite de mercenaires de sa ville à Valaverde. D’abord méfiant, l’absence totale de réaction de l’armée l’encourage à aller plus loin, jusqu’à se trouver à côté du premier garde. Sûr de lui, Gustavo Federico Montefalli s’approche de son épaule et la secoue brièvement. Là encore, aucune réaction. C’est en contournant le soldat que Gustavo remarque alors le visage cadavérique de ce dernier. Sa peau blanche et son aspect sec ne signifie qu’une chose, ce soldat est mort après avoir été poussé à bout par la faim. Il jette alors un œil au reste des corps. Beaucoup ont subi le même sort que le premier soldat, mais par miracle certains semblent encore en vie, leur respiration faible à peine visible sur leurs corps meurtris.   Gustavo continue alors sa marche vers le centre du plateau en direction de la pierre centrale. A mesure qu’il se rapproche du centre la pierre devient de plus en plus captivante, comme si un sortilège appelait à elle. Assez lucide pour contrer l’appel Gustavo détourne son regard de l’objet et remarque à l’opposé du plateau une grande forme rocheuse à laquelle sont attachées des chaines de fer, il signale alors la chose aux compagnons restés derrière et leur fait signe de l’y rejoindre en prenant soin de ne pas traverser le plateau près de la pierre. Une fois rassemblés l’Abrökalypse découvre une nouvelle scène d’horreur. Un corps mutilé mais apparemment encore en vie est attaché aux chaines et plaqué sur la roche vers l’extérieur du plateau. Son corps entier est recouvert de larges plaies, et sa jambe gauche a été amputée. Gustavo reconnait là Sighinolfo Alidosi un de ses amis et capitaine de la troupe des Coragio. Sans plus attendre l’équipe le détache de ses liens, lui administre les premiers soins, puis s’urge vers le sanctuaire pour espérer le sauver. Gustavo rassure alors le capitaine à peine conscient, il se trouve entre de bonnes mains.   Une fois descendu l’équipe force le passage d’un « étranger » dans le sanctuaire auprès de Koblac, qui accepte finalement fournir un abri et de porter secours au nouvel arrivant. L’intervention dure plusieurs dizaines de minutes pendant lesquels le shaman fait usage de son savoir et de magie pour stabiliser avec succès l’état du malade. L’équipe laisse alors le faible capitaine se reposer pendant qu’elle remonte sur le plateau, accompagnée de Koblac Kimar afin d’en savoir plus sur cette mystérieuse pierre et libérer les quelques derniers esprits vaillants qui pourraient avoir survécu.   Pendant que l’Orc Koblac Kimar observe l’objet central Korg remarque sur le sol une zone différente des autres, comme si cette dernière avait été balayée rageusement. Une déduction rapide révèle qu’il s’agit d’une trace d’un portail magique ou d’une téléportation. Malheureusement le Koblac annonce alors que la magie de la pierre, est une forme de Dunamancy, et qu’elle est bien trop étrange et lointaine pour qu’il puisse en percer le mystère. Manolito , qui s’était aussi essayé à l’analyse en arrive à la même conclusion. Sans avertissement le shaman renverse alors la pierre qui vole en éclats sur le sol. A peine les derniers échos du choc éteints les corps des soldats Coragio s’écroulent. La destruction de la pierre les a libéré de leur entrave. Les CAB portent alors secours aux derniers survivants, et après quelques heures de soin une vingtaine de soldats est capable de faire le chemin jusqu’au pied de la montagne, à courte distance du refuge sanctuaire.   Les aventuriers reviennent alors eux aussi à leur sanctuaire et rejoignent Sighinolfo à présent réveillé. Voyant que son état est maintenant stable Gustavo Federico Montefalli s’approche de lui et lui demande des explications sur leur périple ainsi que sur la pierre qui a eu raison de la major partie de la troupe. Le capitaine raconte alors son voyage au départ de Valaverde. Au départ sa troupe forte d’une grosse soixantaine de soldats s’était faite engagée à Valaverde pour une mission d’escorte marchande. Ils entreprirent alors le chemin vers Vent qui Chante mais se rendirent très vite compte que les personnes qu’ils accompagnaient n’avait rien à voir avec des commerçants. C’est alors qu’ils arrivèrent à Karnak sur le plateau à son sommet. Là un personnage tout en blanc les rejoignait et après quelques échanges avec les « marchands » déposa la pierre au centre du plateau. Sighinolfo qui essaya de s’interposer pour sauver ces hommes fût alors sorti des rangs puis torturé et attaché à la merci de la faune et des éléments. Dès lors plus personne ne fut en mesure de bouger. Ils purent simplement apercevoir le mage et ses acolytes disparaître au travers d’un portail magique, qui se referma aussitôt.   La journée prend fin et chacun des aventuriers part se reposer. Il a été convenu avec la troupe que tous ensemble ils effectueraient la route du retour vers La cité fortifiée de Valaverde . Au dîner et devant l’ensemble de l’équipe Manolito interpelle Gustavo . « Ton histoire devient plus floue et sertie de mensonges à mesure que nous en apprenons plus sur toi. D’abord un demi-orque, puis un demi-elfe, d’abord orphelin caché de son père Montefali puis maintenant membre du Clan des Alidosi… Pourquoi devrions-nous te croire maintenant ? N’avait-on pas dit que notre alliance était basée sur la sincérité ? ». Attaqué, Gustavo avoue alors avoir menti à son équipe afin de pouvoir trouver de l’aide dans sa quête vers Karnak afin de sauver la troupe Coragio. « Mais si j’ai pu vous mentir sur la raison de ma motivation je n’ai jamais fait qu’aller dans votre sens et vous aider à traquer l’organisation du Lierre Grimpant. Peux être sera-t-il difficile pour vous de me pardonner mais sachez que nous n’avons eu et auront toujours le même ennemi, continuons donc à travailler ensemble car nous faisons une très belle équipe. » La tension est palpable, les aventuriers se sentent dupés, mais les mots de Gustavo Federico Montefalli viennent apaiser leur colère. Finalement l’ensemble de l’équipe se convainc, qu’en effet l’objectif le plus important est le lierre grimpant et les sanctuaires, et que tous ne seront jamais de trop pour espérer les atteindre.   Le lendemain après avoir remercié et fait leurs adieux à Koblac Kimar les aventuriers commencent le long voyage retour vers Valaverde avec une nouvelle fois une étape à Vent qui chante. Le rythme est bon et la troupe de soldat impose sa rigueur. Après cinq jours de marche sans encombre les CAB aperçoivent alors au loin les remparts de leur première destination. N’osant pas s’aventurer dedans par peur de représailles à la suite de leur dernier passage la troupe décide simplement de la contourner et de ne pas profiter de son abri. Ensemble ils continuent leurs routes toujours vers l’est. Sur le chemin Korg en profite pour en apprendre toujours plus sur les plantes d’Abrasia, et récolter au passage quelques herbes utiles pour la suite de l’aventure. Nalafinwë après avoir vu Gustavo Federico Montefalli faire usage de ses talents de l’ombre lui demande s’il ne peut pas l’aider, à maitriser elle aussi l’art du vol. Chaque soir, après le diner, Gustavo partage alors avec elle les rudiments théorique pour dérober sans être vus.   A mi-chemin la troupe de voyage rencontre un homme de l’empire avec la barbe taillée en pointe, les cheveux en chignon sur la tête. Il se présente comme un artiste & poète du nom de Yu , cherchant voyage et aventure pour pratiquer son art. Ce dernier se joint alors au convoi faisant route vers Valaverde . Au détour de quelques conversations fortement rythmées pas de longs monologues de Yu les CAB apprennent qu’il était autrefois, et peut-être encore, détective pour l’empire. Ils remarquent de plus que malgré son apparence paisible ce dernier voyage avec une épée d’attaque et semble à l’aise avec les pratiques martiales.   Une dizaine de jours après leur départ de Karnak et un peu avant midi, la troupe arrive enfin à Valaverde et s’arrête dans le manoir de la famille Alidosi. Tandis que les soldats se dispersent dans la cour Gustavo Federico Montefalli , soutenant Sighinolfo pénètre avec les cavaliers dans le hall de la Villa. Ils sont accueillis par une escouade de serviteur accompagnée d’une jeune femme issue de la famille : Milla la sœur de Sighinolfo. Cette dernière soulagée de revoir son frère et son ami Gustavo les embrasse tous les deux. Étonnée elle regarde alors le reste des nouveaux entrants. Gustavo lui présente alors ses amis et lui raconte brièvement son aventure depuis l’incendie de la Villa Montefali. Sans attendre Milla annonce qu’un rendez vous est prévu dans l’après-midi avec Filippo Alidosi.   Après avoir pu manger et avoir pris possession de ses quartiers les CAB se retrouvent aux environs de 4h devant le bureau du maitre Alidosi. Ils entrent ensemble et découvrent un vieil homme bien en forme habillé en tenue martiale. A côté de lui sa fille Milla et son fils Sighinolfo. Gustavo Federico Montefalli entreprend alors de raconter en détails son histoire depuis sa rencontre avec l’Abrökalypse jusqu’à la découverte du corps meurtri de du capitaine des Coragio. Après un long silence Filippo se lève et remercie personnellement chacun des aventuriers avec un cadeau pour avoir su lui ramener ses soldats et surtout son fils. Enfin il se tourne vers Gustavo et lui déclare alors « Tu as toujours été à me côté et un fidèle servant de la cause Alidosi. Tu fais presque partie de la famille mais pour te remercier de tout ce que tu as fait pour moi, je souhaite qu’aujourd’hui tu en fasses partie réellement. Ma fille Milla n’est toujours pas mariée et il est connu de tous que vous éprouvez des sentiments l’un pour l’autre. Aussi tu as maintenant ma bénédiction : Dans 2 jours nous célébrerons votre mariage ! ». Ému l’ensemble de l’équipe remercie son hôte et débute les préparations pour l’heureux événement.   La cérémonie débute donc deux jours plus tard par une première cérémonie à l’hôtel de ville de Valaverde. Une fois les papiers officialisés le cortège prends la direction du manoir Alidosi où une grande fête est donnée pour l’occasion. Des amis de la famille et des mariés de toute culture et race, (orque et autres monstres exceptées) se retrouvent ensemble pour célébrer l’entrée de Gustavo Federico Montefalli dans la famille Alidosi. Un grand buffet est disposé dans la cour et malgré la fraicheur des premières nuits de printemps une grande tablée est installée au dehors.   A mesure que la soirée avance les animations s’enchainent au rythme des tournées d’alcool et de plats délicieux. C’est alors que Gustavo, dans son costume de marié, en chemise beige et avec un sabre en bandoulière s’approche de Manolito et l’interpelle : « Eh Manolito ! N’avais-tu pas dit que tu détenais le record du lancé de tonneaux dans ton village ? C’est mon mariage aujourd’hui et je veux voir ça ! ». Sur ces mots une dizaine de domestiques s’activent et apportent une petite dizaine de barrique trop vieille pour être bues mais encore assez solide pour servir de projectiles.   Comme le veut la tradition la fontaine à l’entrée de la villa est choisie comme cible. Un tour de table est fait à la recherche de participants souhaitant défier le tout puissant Manolito . Après avoir compris les règles du jeu plusieurs membre de la famille s’avancent. Afin de montrer à tous l’étendue de son talent, et pour initier le concours improvisé Manolito s’empare du premier tonneau et se positionne à la marque. Le petit gnome fait un tour sur lui-même puis d’une force surprenament bien maitrisée fait s’envoler la barrique qui s’écrase dans la fontaine 3,4 m plus loin. Si le score n’impressionne pas les adversaire Manolito lui explose de joie et bombe le torse, il vient d’aplatir largement son ancien record. Les lancés s’enchainent ensuite jusqu’au tour de Korg , qui malgré son refus de participer se voit contraint par le marié de tenter au moins sa chance. L’exercice n’a rien de très compliqué pour l’Orc qui se saisit avec un bras du tonneau et entreprend de viser l’autre côte de la fontaine, c’est sans compte sur la malice de son compère gnome qui, pour amuser l’ensemble des convives décide de faire usage d’un petit tour de magie afin de faire glisser le tonneau des mains de Korg juste avant que ce dernier le lâche. Sous les fous rires de tous l’Orc, déguisé en Liang, se retrouve à terre, tandis que le tonneau part s’exploser dans la fontaine. Finalement c’est au tour de Kiarra, la fille des jumeaux Alidosi de prendre sa place sur le pas de tir. Quoique svelte son lancé vient s’écraser sur le bord opposé de la fontaine à 4,8 m, elle établit alors le record absolu de la soirée. Ravi de l’engouement dégagé par son concours, mais un peu déçu de ne pas faire partie du groupe de tête le gnome tente une dernière tentative sans « handicap » en utilisant un sort d’agrandissement. C’est donc sous une forme géante, égalant en taille Asoran que Manolito se saisie du dernier tonneau et s’oriente vers la fontaine. Mais si la force est une chose la maîtrise en est une autre, le lancer part bien trop haut et retombe avant la fontaine. Le tonneau explose et c’est une pluie de vin qui vient clôturer le concours. La soirée reprend de plus belle et se prolonge jusqu’à l’aube.   Les chemins sinueux du destin ne se révèlent que rarement aux yeux des mortels. Un nouvel objectif fait face à nos héros, quelle voie prendront-ils pour l'accomplir ? Nous sommes le premier jour d' Ilma'Cermië, et il est temps pour nos héros de marcher vers leurs destin.
Date du Rapport
27 Oct 2019

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