Résume de la Session du 25/06/24- 23 Desnus 4721
General Summary
Notre histoire reprend face à une porte, toujours dans la salle de torture.
Lukyan ne souhaite plus se mettre en avant et ferme donc la marche. Galean , quant à lui, ouvre la porte. Derrière celle-ci se trouve une salle circulaire avec un rocher marqué de sept griffures, d'où émanait quelque chose qui me fit frissonner de terreur.
Des Follet clignotant ainsi que des mains étranges surgies de nulle part se sont mises sur notre route, prêtes à combattre. Gaston nous informe de ne pas nous laisser saisir à la gorge, sinon il en serait fini de mes chants.
Heureusement, il les a toutes carbonisées avec sa boule de feu. Par la suite, l’un des Follet clignotant s’est mis à luire.
La dernière fois, je n’ai pas payé le prix ; cette fois-ci, j’essaie grâce à mon luth de forcer la concentration de mes amis sur ma mélodie. Malheureusement, je l’ai moi-même perdue et me suis retrouvé quelques mètres plus loin sans me souvenir des dégâts engendrés par cette absence, mais soulagé de voir tous mes compagnons debout. Les Follet clignotant ont ensuite été formidablement gérés par Galean et Lukyan .
Une fois la tension redescendue, mes compagnons ont remarqué au fond du couloir une étrange émanation nécrotique. Cela indiquait que nos recherches allaient enfin aboutir, mais avant cela, nous avons préféré fouiller le reste des pièces, notamment deux portes.
La première nous conduit directement à Jaul . Nous avons vite refermé la porte pour aller ouvrir l’autre, qui a débouché sur un étrange couloir. Après en avoir fait le tour, nous nous sommes retrouvés : ce couloir tourne en rond, enfin en carré en l’occurrence. Galean ouvre cette nouvelle porte, qui mène également à Jaul , comme pour nous rappeler de l’aider ou de décider de son sort.
En repartant dans l’autre sens, intrigués, nous avons tout de même inspecté le couloir, qui nous a menés face à un mur illusoire. Derrière, une petite pièce, un salon dans lequel on aperçoit un souvenir de Volluk et Belcorra , semblerait-il en pleine dispute.
Mais même si l’image est présente, il nous manque leurs voix. Nous avons avancé et sommes de nouveau tombés sur d’autres souvenirs, mais rien de marquant. Quand nous sommes finalement arrivés à la chambre, dans laquelle se cachait un étrange feu follet assez robuste, le combat fut difficile. J’ai subi quelques coups, et Blinis a frôlé le trépas, mais heureusement, nous en sommes sortis victorieux.
Nous avons découvert son « garde-manger » avec plusieurs corps. Galean s’est empressé de les sortir de la prison de toiles, pensant qu’ils étaient toujours vivants.
Je pense qu’il devrait lire une partie du livre de Gaston sur la médecine, du moins les bases, histoire de reconnaître les morts et les vivants. Une fois que Lukyan lui a expliqué leur état, il les a fouillés, puis nous sommes partis vers ce qui semblait être la barrière nécrotique.
En nous approchant, aucun doute n'était possible : c'était bien la barrière. Quatre piédestals sont disposés près de la barrière ; ces derniers semblent pouvoir accueillir les quatre artefacts. À notre approche, Belcorra surgit de nouveau. Même si vous, cher lecteur, souhaitez connaître en détail la conversation, je vais simplement vous la résumer : BLA BLA BLA vous êtes encore là à jouer les héros, BLA BLA BLA je suis diabolique et je vais me venger d’Absalom , BLA BLA BLA vous avez déjà perdu.
Suite à cette rencontre, nous avons décidé de remonter. Sur le chemin, j’ai proposé au groupe de rester quelques heures de plus afin de réactiver le cercle de téléportation global du second étage, et c’est donc ce que nous avons fait. Durant mon rituel, j’ai cru entendre Lukyan parler de sa part de noirceur. Il a l’air troublé depuis un moment ; Gaston fera un meilleur travail que moi pour le rassurer à ce sujet. Je ne pense pas être la bonne personne, d'autant plus que, durant mon absence lors du combat contre les feux follets, je l’ai attaqué. J’aimerais trouver une parade contre ces pertes de contrôle ; je chercherai peut-être une solution une fois rentré. J’ai finalement réussi à activer le portail, au prix de huit heures tout de même. Je n’ai plus grand-chose à écrire. Nous sommes tous en train de ranger nos affaires pour rentrer. Je suis épuisé et j’ai hâte de rentrer pour me reposer.
Lukyan ne souhaite plus se mettre en avant et ferme donc la marche. Galean , quant à lui, ouvre la porte. Derrière celle-ci se trouve une salle circulaire avec un rocher marqué de sept griffures, d'où émanait quelque chose qui me fit frissonner de terreur.
Des Follet clignotant ainsi que des mains étranges surgies de nulle part se sont mises sur notre route, prêtes à combattre. Gaston nous informe de ne pas nous laisser saisir à la gorge, sinon il en serait fini de mes chants.
Heureusement, il les a toutes carbonisées avec sa boule de feu. Par la suite, l’un des Follet clignotant s’est mis à luire.
La dernière fois, je n’ai pas payé le prix ; cette fois-ci, j’essaie grâce à mon luth de forcer la concentration de mes amis sur ma mélodie. Malheureusement, je l’ai moi-même perdue et me suis retrouvé quelques mètres plus loin sans me souvenir des dégâts engendrés par cette absence, mais soulagé de voir tous mes compagnons debout. Les Follet clignotant ont ensuite été formidablement gérés par Galean et Lukyan .
Une fois la tension redescendue, mes compagnons ont remarqué au fond du couloir une étrange émanation nécrotique. Cela indiquait que nos recherches allaient enfin aboutir, mais avant cela, nous avons préféré fouiller le reste des pièces, notamment deux portes.
La première nous conduit directement à Jaul . Nous avons vite refermé la porte pour aller ouvrir l’autre, qui a débouché sur un étrange couloir. Après en avoir fait le tour, nous nous sommes retrouvés : ce couloir tourne en rond, enfin en carré en l’occurrence. Galean ouvre cette nouvelle porte, qui mène également à Jaul , comme pour nous rappeler de l’aider ou de décider de son sort.
En repartant dans l’autre sens, intrigués, nous avons tout de même inspecté le couloir, qui nous a menés face à un mur illusoire. Derrière, une petite pièce, un salon dans lequel on aperçoit un souvenir de Volluk et Belcorra , semblerait-il en pleine dispute.
Mais même si l’image est présente, il nous manque leurs voix. Nous avons avancé et sommes de nouveau tombés sur d’autres souvenirs, mais rien de marquant. Quand nous sommes finalement arrivés à la chambre, dans laquelle se cachait un étrange feu follet assez robuste, le combat fut difficile. J’ai subi quelques coups, et Blinis a frôlé le trépas, mais heureusement, nous en sommes sortis victorieux.
Je pense qu’il devrait lire une partie du livre de Gaston sur la médecine, du moins les bases, histoire de reconnaître les morts et les vivants. Une fois que Lukyan lui a expliqué leur état, il les a fouillés, puis nous sommes partis vers ce qui semblait être la barrière nécrotique.
En nous approchant, aucun doute n'était possible : c'était bien la barrière. Quatre piédestals sont disposés près de la barrière ; ces derniers semblent pouvoir accueillir les quatre artefacts. À notre approche, Belcorra surgit de nouveau. Même si vous, cher lecteur, souhaitez connaître en détail la conversation, je vais simplement vous la résumer : BLA BLA BLA vous êtes encore là à jouer les héros, BLA BLA BLA je suis diabolique et je vais me venger d’Absalom , BLA BLA BLA vous avez déjà perdu.
Suite à cette rencontre, nous avons décidé de remonter. Sur le chemin, j’ai proposé au groupe de rester quelques heures de plus afin de réactiver le cercle de téléportation global du second étage, et c’est donc ce que nous avons fait. Durant mon rituel, j’ai cru entendre Lukyan parler de sa part de noirceur. Il a l’air troublé depuis un moment ; Gaston fera un meilleur travail que moi pour le rassurer à ce sujet. Je ne pense pas être la bonne personne, d'autant plus que, durant mon absence lors du combat contre les feux follets, je l’ai attaqué. J’aimerais trouver une parade contre ces pertes de contrôle ; je chercherai peut-être une solution une fois rentré. J’ai finalement réussi à activer le portail, au prix de huit heures tout de même. Je n’ai plus grand-chose à écrire. Nous sommes tous en train de ranger nos affaires pour rentrer. Je suis épuisé et j’ai hâte de rentrer pour me reposer.
Date du Rapport
25 Jun 2024
Commentaires