Journal d'Anchar - XLIII
General Summary
Échec sur toute la ligne causé par les Brumes
Par Anchar Hacuzal Excité par ma découverte sur les bulliwugs, je convainquis des vétérans de la Guilde, soit Rillius le nain, Wuurzaf le demi-orc barbare, Zorra l'elfe et Kaski le magicien, d'aller faire le ménage à la forteresse pour en prendre possession. Leur renom n'est plus à faire en Nouvelle-Audarque et je suis excité de voyager avec eux. De plus, cela nous permettrait de ramener une présence dans les marais. Notre journée commence comme à l'habitude à la taverne et nous y rencontrons Merrick. Après les banalités d'usage, nous quittons vers le camp de l'amertume. Je commence a trouver qu'il porte trop bien son nom. En arrivant non loin de là, et du monolithe, nous sommes embusqué par des revenants. Je fus paralysé et mis inconscient avant même de pouvoir faire quoique ce soit. Je me suis relevé plusieur fois, assez pour savoir que ces morts-vivants sont immunisés au pouvoir divin. Je n'y comprends rien à cette affaire, que fait La Faucheuse. J'en ai appelé au Protecteur et ils ont l'air de ne pas avoir aimé les flammes divines. Ha oui, j'oubliais... Nous sommes encore dans Les Brumes. Plus les événements arrivent, plus je crois que ma théorie du déplacement fais du sens. Nous décidons de prendre possession du campement pour nous y reposer et refaire nos forces. La première nuit, des ghasts nous ont attaqués. J'ai appelé La Bienveillante et des ronces ont poussé devant eux. Pendant que l'une attaquait Zorra, les autres tombèrent dans le piège même si elles essayaient de l'éviter. Arrivées à nous, elles étaient déjà battues (ou presque) et mon appel au Protecteur a protégé Zorra avec des flammes divines. Après cela tout n'était qu'une fomalité. Malheureusement pour nous, les Brumes ont continué de grossir. À notre sixième journée, elles étaient si épaises que nous pouvions presque parler de brouillard. Elles jouaient sur notre moral. Un malheur n'arrivant jamais seul, de drôles de créatures des Brumes avec un corps de loup et une queue de scorpion sont apparues. J'ai parlé à mes compagnons de voyages et nous avons décidé que l'heure de la retraite était venue. J'en ai rappelé à La Bienveillante, comme que je fais pour les fermiers afin de les ralentir. À mon grand étonnement, cela fonctionna. La première créature nous rattrapa après quelques minutes de course. Elle fut prise dans des ronces convoquées par La Bienveillante suite à ma petite prière. Arrivée à nous, elle tomba sous nos coups assez rapidement. mais elle réussi à planter son dard dans Kaski et le paralysa quelques secondes. Ensuite, à mon grand soulagement, nous nous sommes cachés de la deuxième créature grâce à Zorra et ses habiletés de chasseuse. Je croyais que le pire était dernière nous, mais c'était sans compter sur la présence des Brumes qui allait nous affecter. À un moment donné, j'ai voulu tout arrêter, me coucher et attendre la Mort, et ainsi oublier ma vie dans ce monde. Rillus en décida autrement et nous poussa à continuer d'avancer. Je ne me souviens plus après combien de temps, mais Zorra et Wuurzaf ont arrêté d'avancer. Inspiré par la voloté de notre ami nain Rillus, je l'aidai à transporter nos amis. Lors de notre dernière nuit, à notre grand soulagement, une grosse tempête de neige chassa les Brumes. Épuisés nous allâmes, porter à l'hospice de Tristan nos amis. Après m'avoir écouté, il chassa tout le monde et plaça l'hospice en quanrantaine de peur que leur état affecte d'autres personnes. Au bout du compte, le monstre sous le château et les bulliwugs seront pour quelqu'un d'autre. Déçu par cet échec, je réfléchis à mon avenir. De plus, il serait temps d'avoir plus d'un seigneur sur ces terres...Rapports en lien
Résumé :
Autres journaux :
