Journal de Frikilaz - XLVIII
General Summary
Cartographie avec un nouveau membre de la Guilde
Par Frikilaz Dunkan J'arrive à l'auberge, prêt pour une sortie. Merrick nous introduit à Meriel, nouvellement arrivée. Cette fois-ci, je pars avec Solairik et Tyfdur, deux bons compagnons avec qui je suis déjà parti en expédition, ansi qu'avec Draxar, un fier paladin qui a déjà une grande réputation, ainsi que Meriel. Le but de cette expédition est particulièrement de cartographier la Forêt de l'Ouest et de continuer le travail déjà commencé par Tifdur. La première journée se passe plutôt bien, nous progressons assez rapidement malgré la saison hivernale et tout son lot de difficultés. À la fin de la deuxième journée, deux gros ours-hiboux nous traquent. Quoique très impressionnants nous devons éliminer cette menace, Meriel demontre un peu de reticence, mais s'apperçoit assez vite qu'ils sont une menace réeelle. Le combats finit, nous décidons de monter le camp. Une bonne nuit de repos nous sera bien utile. Pendant la nuit, Draxar nous réveille. Des orcs nous ont pris pour proies, quoique peu nombreux, ces orcs semblent plus puissants et rusés que les autres. Ils offrent un combat très ardu. Plusieurs d'entre eux font utilisation de la magie. À chaque rencontre que je fais contre les orcs, ils semblent s'être plus entrainés et utiliser plus de ressources; maintenant on croise seulement des orcs du clan du Poing de sang. On ne rencontre plus seulement que des gobelins et des simples orcs soldats, maintenant leurs rangs sont formés de de gobelours et d'orcs utilisant la magie, ainsi que de plusieurs autres variétés. Nous vainquons les orcs, un d'entre eux réussi à s'enfuir. Meriel offre ses talents de pisteuse, nous sommes tous impressionnés quand elle se transforme en loup. Après une longue marche, on entend un attroupement d'orcs ou de gobelins. Tyfdure et moi décidons de s'approcher, histoire de savoir à quoi nous avons affaire. Tyfdur a encore une de ses idées folles. Cette fois-ci, je suis moins enthouiaste à l'idee. Je le suis quand même; l'idée de le laisser aller seul me deplait. Je n'essaie pas trop de l'en empêcher non plus, je le connais et j'ai un peu aussi la même fougue que - fougue que j'essaie de combattre. Depuis les limites de vision du camp orc, nous essayons d'observer pour obtenir le plus d'informations possibles. Trop poussés par le vouloir de bien évaluer les forces enemmies, on se fait apercevoir. Tyfdur, toujours prêt, se transforme immédiatement en gobelin; moi, un peu moin (c)réactif, les gobelins m'identifient. Tyfdur crée un mur de neige et me permet de me cacher et m'enfuir pendant qu'il distrait ces être pas très très inteligents. Je me rend directement vers mes amis et les informe de notre maladresse. Encore une fois, Muriel se rend très utile et court au secours de Tyfdur dans sa forme de loup. Tyfdur, durant ce temps, résussit (je ne sais comment) à distancer un petit peu les orcs qui sont maintenant à sa poursuite. Nous éliminons les forces visibles et décidons d'immédiatement de partir. Cette dernière rencontre aurait pu vraiment mal tourner. Heureusement, nous rentrons les cinq à l'auberge avec une carte un peu plus complète, mais nous aurons définitivement besoin d'y retrouner pour finir notre tâche et éventuellement éliminer définitivement la menace orque.Rapports en lien
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