Église de Sahïl
Sahïl étant le dieu de l’aide et de la bonté, cela se répercute sur les prières et traditions liées à son culte.
Bien qu’elles varient fortement de monde en monde, on retrouve souvent l’idée d’une « ligne sacrée ». Celle-ci se trouve en haut du dos des fidèles, et correspond à la ligne de peau qu’ils ne peuvent atteindre avec leurs propres mains : il leur faut l’aide d’une tierce personne.
Cette aide, souvent nécessaire pour se laver parfaitement, est vu comme une preuve biologique et naturel que l’homme (mais aussi les autres races) ont besoin de gentillesse pour vivre sainement.
Lors des offices, les fidèles dénudent leurs dos pour que le prêtre pose sa main sur cette ligne sacrée, assurant ainsi que Sahïl aide le fidèle dans les épreuves où ses bras ne peuvent lui suffire.
Il n’est aussi pas rare que les robes et tuniques des prêtres de Sahïl laissent libre le dos ; de la même manière, les tatouages religieux à cet endroit sont bien plus nombreux et appréciés par ce culte.
Dans des cas extrêmes (et rares), cette ligne sacrée est considérée comme tabou et ne peut être montré qu’à un conjoint ; ceux qui oseraient montrer cet endroit sacré de leur corps au tout-venant s’expose à de violents châtiments par ces communautés extrémistes.
L'Église de Sahïl se sépare en de nombreux sous-culte :
Dans le cas d’un enterrement, ces mains sont donc posées à la tête de la tombe ; lors d’une crémation, les boites sont le plus souvent intégrées à l’urne funéraire (en intérieur ou extérieur). Lors des cas où le reste de la coutume funéraire fait qu’il ne reste rien du corps, les mains sont conservées et leur boites attachées à un endroit haut.
Cette coutume est censée permettre au mort d’être emporté par Sahïl : les mains tendues au-dessus de lui, cela lui permet d’attraper celles du dieu lorsqu’il se penche sur sa tombe. Une autre explication est que la main est considérée comme un écho du travail effectué pendant la vie, et les conserver à la mort permet de faire survivre le souvenir du mort.
Enfin, on peut noter que cette coutume était très présente chez les archéens.
Quand l'Église de Sahïl est plus développé, on peut voir la construction de large toit de verre supportés par des forêts cristallines qui, tout en évitant de cloisonner le temple, permettent de le protéger de la pluie et de la neige.
En Puram particulièrement, il existe de nombreux temples ou le temple en lui-même est totalement invisible, n'étant protégé et délimité que par des cloisons magiques, laissant passer les personnes mais pas le vent ou la pluie.
La seule exception à cette règle est l'habitation des prêtres qui, pour de simple raison d'intimité, habitent dans des bâtiments plus classiques.
Certaines n’étaient que les os, le sang et la chair de Sahïl, et ces morceaux tombèrent sur eux-mêmes pour former les planètes. D’autres provenaient de ses pensées, de son âme et ses espoirs, et devinrent la vie.
Ainsi, selon l’Église de Sahïl, fut créé le premier univers.
Ils évitent aussi de manger des plantes entières (tubercules, champignons, céréales), préférant ne prélever qu'une partie mineure de la plante considérée (surtout des fruits, donc).
Ils ne sont pas végétalien et ont des élevages, pour se fournir en lait et laine. Là aussi, ils suivent des rituels et traditions censés s'assurer qu'ils ne prélèvent rien dont l'animal à besoin, et d'une façon qui ne le fait pas souffrir.
Ils ne mangent de la viande que lorsqu'un animal mort (ce qui, ironiquement, fais qu'ils sont heureux lorsqu'un loup attaque un troupeau et laisse la moitié de sa proie sur place).
Ce régime assez stricte, souvent différent de celui des gens qui les entourent, fait que les apprentis ont parfois du mal à s'adapter.
Ces différents rituels, en fonction des monastères, sont plus ou moins respectés.
Bien qu’elles varient fortement de monde en monde, on retrouve souvent l’idée d’une « ligne sacrée ». Celle-ci se trouve en haut du dos des fidèles, et correspond à la ligne de peau qu’ils ne peuvent atteindre avec leurs propres mains : il leur faut l’aide d’une tierce personne.
Cette aide, souvent nécessaire pour se laver parfaitement, est vu comme une preuve biologique et naturel que l’homme (mais aussi les autres races) ont besoin de gentillesse pour vivre sainement.
Lors des offices, les fidèles dénudent leurs dos pour que le prêtre pose sa main sur cette ligne sacrée, assurant ainsi que Sahïl aide le fidèle dans les épreuves où ses bras ne peuvent lui suffire.
Il n’est aussi pas rare que les robes et tuniques des prêtres de Sahïl laissent libre le dos ; de la même manière, les tatouages religieux à cet endroit sont bien plus nombreux et appréciés par ce culte.
Dans des cas extrêmes (et rares), cette ligne sacrée est considérée comme tabou et ne peut être montré qu’à un conjoint ; ceux qui oseraient montrer cet endroit sacré de leur corps au tout-venant s’expose à de violents châtiments par ces communautés extrémistes.
L'Église de Sahïl se sépare en de nombreux sous-culte :
- Les Pélerins d'Iztot
Rite funéraire
Du côté mortuaire, l’Église de Sahïl n’a pas de façon de faire particulière, à l’exception d’une tradition très souvent respectée : les mains sont conservées, mises dans des boites qui sont, elles, posées à la verticale. Ainsi, les mains du mort semblent tendues vers le ciel.Dans le cas d’un enterrement, ces mains sont donc posées à la tête de la tombe ; lors d’une crémation, les boites sont le plus souvent intégrées à l’urne funéraire (en intérieur ou extérieur). Lors des cas où le reste de la coutume funéraire fait qu’il ne reste rien du corps, les mains sont conservées et leur boites attachées à un endroit haut.
Cette coutume est censée permettre au mort d’être emporté par Sahïl : les mains tendues au-dessus de lui, cela lui permet d’attraper celles du dieu lorsqu’il se penche sur sa tombe. Une autre explication est que la main est considérée comme un écho du travail effectué pendant la vie, et les conserver à la mort permet de faire survivre le souvenir du mort.
Enfin, on peut noter que cette coutume était très présente chez les archéens.
Architecture des temples
Les temples de Sahïl sont très différents des églises et cathédrales habituelles, car les prêtres du dieu-bon cherche au maximum à se passer des choses qui bloquent le regard et le passage. Ceci incluant les murs et les toits, ces temples ne sont parfois que des cercles de pierre ou des champs au sol sculpté.Quand l'Église de Sahïl est plus développé, on peut voir la construction de large toit de verre supportés par des forêts cristallines qui, tout en évitant de cloisonner le temple, permettent de le protéger de la pluie et de la neige.
En Puram particulièrement, il existe de nombreux temples ou le temple en lui-même est totalement invisible, n'étant protégé et délimité que par des cloisons magiques, laissant passer les personnes mais pas le vent ou la pluie.
La seule exception à cette règle est l'habitation des prêtres qui, pour de simple raison d'intimité, habitent dans des bâtiments plus classiques.
Mythe créationniste
Le mythe créationniste de Sahïl raconte l’histoire d’un être ancien, supérieur même aux dieux, qui enfermait en son corps toute l’existence. Mais il est seul, et il décida de se séparer d’une partie de lui-même pour créer une nouvelle chose. Soufflé par la beauté de sa création, il comprit qu’il n’était pas juste que tout soit sien, il comprit qu’il n’était pas bon de posséder l’existence. Alors, petit à petit, il se sépara, libérant des parties de lui-même, des parties qui s’en allèrent en titubant.Certaines n’étaient que les os, le sang et la chair de Sahïl, et ces morceaux tombèrent sur eux-mêmes pour former les planètes. D’autres provenaient de ses pensées, de son âme et ses espoirs, et devinrent la vie.
Ainsi, selon l’Église de Sahïl, fut créé le premier univers.
Régime alimentaire
Les prêtres de Sahïl sont strictement végétariens ; même lorsqu'ils récoltent fruits et légumes, ils suivent un rituel particulier, qui sert à la fois d'excuse à la plante, de promesse qu'ils répandront ses graines, mais aussi de vérification qu'ils ne sont pas en train de se servir sur une plante plus intelligente qu'il n'y parait.Ils évitent aussi de manger des plantes entières (tubercules, champignons, céréales), préférant ne prélever qu'une partie mineure de la plante considérée (surtout des fruits, donc).
Ils ne sont pas végétalien et ont des élevages, pour se fournir en lait et laine. Là aussi, ils suivent des rituels et traditions censés s'assurer qu'ils ne prélèvent rien dont l'animal à besoin, et d'une façon qui ne le fait pas souffrir.
Ils ne mangent de la viande que lorsqu'un animal mort (ce qui, ironiquement, fais qu'ils sont heureux lorsqu'un loup attaque un troupeau et laisse la moitié de sa proie sur place).
Ce régime assez stricte, souvent différent de celui des gens qui les entourent, fait que les apprentis ont parfois du mal à s'adapter.
Ces différents rituels, en fonction des monastères, sont plus ou moins respectés.
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