Église de Vaalar
Les fidèles de Vaalar sont divisés en deux catégories : ceux qui l'intéressent, et qu'il va aider à évoluer jusqu'à juger apte à le combattre, et ceux qui lui rapportent des légendes, et qui sont sous la hiérarchie du grand scribe, son bras droit. Celui-ci a réalisé l'écriture du grand bestiaire d'Onim ainsi que des trois tomes de la geste de L'Unique.
Parmi la première partie de ses adeptes, il existe ce qui est appelé les trois grandes voies : combat, croissance et honneur. Les mortels suivants la voie du combat ne cherche rien d'autre que se battre, alors que les fidèles de la voie de l'honneur défendent une cause ou une personne précise. Quant à la voix de la croissance, elle est constituée de personnes qui se chargent de trouver des enfants avec un fort potentiel et de les entraîner.
La seconde partie de ses adeptes est constitués de scribes et de conteur qui rassemblent, vérifient et couche sur papier les légendes qu'ils entendent, mettant un point d'honneur à être sûr de chacun des actes qu'ils racontent. Généralement appelés scribes de Vaalar, on leur donne parfois aussi le titre de Mythiculteur.
Un fidèle de Vaalar peut suivre plusieurs voies : par exemple, il peut entraîner un enfant pour le seul objectif d'ensuite le combattre. Un autre exemple est un combattant qui cherche à se battre pour avoir de quoi écrire des contes, il suivra alors la voie du scribe et celle du combat.
Pour les adeptes des Troies Voies, la tenue la plus classique est celle d’un bonze martial : pilosité à ras (y compris les cheveux), toge et sandale. Ces toges sont généralement ouverte sur le torse, et leur ceinture permet de facilement en repousser les pans pour se retrouver torse nu, montrant ainsi un corps affûté (preuve de foi pour les gens de cette voie).
En plus de l’épée-soleil, qui figure sur toutes les sculptures, bas-relief, peinture et bannière de l’Église, ses prêtres disposent de plusieurs objets pour affirmer leur lien avec le dieu.
Le plus connu de ces symboles physiques est le Gal'dar, ou « glaive sans garde ». Il s’agit d’une épée courte, sans garde et sans manche. que les prêtres arborent pour rappeler leur appartenance à l'ordre du dieu guerrier.
Selon ces catégories, les fidèles effectuent des prières plus ou moins compliquées ; une des idées de Vaalar s’appliquant à toutes les branches de son culte étant la perfection physique et mentale, les preuves de foi sont associées à des épreuves physiques.
Lorsqu’un fidèle prit, il lui est donc demandé de faire fonctionner son corps en même temps que son esprit ; cela peut se faire au moyen de dance de combat rituel, dont les mouvements sont a effectué avec la prière. D’autres fois, on demande aux prieures de se tenir sur les coudes et les pieds, et de prier en position de planche pour entraîner leurs muscles. Le plus souvent, on demande aussi de se denuder (sans obligation de dévoiler les parties considérées tabous par la culture locale) : les priants montrent alors, sans se cacher, leurs capacités au dieu.
De par ces rituels et cette pureté de corps, les fidèles sont souvent des êtres très capables en termes de travaux physiques, ce qui leur permet de se défendre plus aisément ; cette santé de fer leur permet d’atteindre des âges avancés. Ces avantages, présents, même quand Vaalar n’offre pas de miracle, explique en partie pourquoi son culte est si apprécié.
Ces prières donnent aux fidèles une figure musclée, si bien que les canons de beauté en vigueur dans les cultes de Vaalar sont presque toujours lié au muscle et à la bonne santé physique.
Rites funéraires
La plupart des rites funéraires de l’Église de Vaalar tournent autour de l’idée de mourir debout, ou de pouvoir continuer à combattre même une fois mort.
Les corps sont donc dressés à la verticale, dans des sarcophages pour les plus pauvres ou à l’intérieur de statues censées leur ressembler pour les plus aisés. Certaines de ces statues sont même vêtis d’armure, permettant au mort d’être prêt dès son réveil – si réveil il y a.
Qu’ils soient dans des sarcophages ou dans des statues à leurs images, les fidèles de Vaalar sont toujours munis d’une arme. Et ce, même quand ils n’étaient pas des combattants pendant leur vie, si bien qu’une véritable industrie d’ « Épée mémorielle », arme forgée (et sculptée) pour représenter leurs victoires et défaites, se développe dans les villes et pays où le culte de Vaalar est le plus importants.
Autres rituels
Premièrement, les temples sont souvent de forme ronde, avec un espace libre en leurs centres, qui donne à l’ensemble une forme de Colisée. Les murs internes sont donc aménagés pour être penché et soutenir des gradins. Lorsque c’est possible, le sol de cet espace interne est souvent fait de sable, car facilement remplaçable et absorbant bien le sang : du fait de leur forme, les temples peuvent aussi servir d’arènes. Généralement, ceux qui s’y battent sont toujours volontaires et ces temples deviennent alors des lieux de fêtes guerrières et de culture très appréciés de la population. Lors des événements dramatiques, celle-ci s’y dirigent souvent car elle sait pouvoir profiter de la présence des prêtres – souvent formés aux arts martiaux – et des nombreuses armes pour se protéger. Lors des pillages et sièges, les temples de Vaalar sont souvent les derniers à tomber, quand seulement ils tombent : les assaillants laissent parfois ces bâtiments tranquilles car, eux-mêmes des combattants, ils rechignent à s’attaquer au dieu des combats. Disposer d’un temple de Vaalar est donc, pour une cité, un avantage du point de vue festif mais aussi défensif.
Certains juges y font aussi se dérouler les ordalies par le combat.
Deuxièmement, les murs intérieurs sont quasiment toujours adornés d’armes, déposées là par des guerriers qui, après une vie de combat, espèrent montrer au dieu une preuve de leur force.
Cela prend parfois des proportions disproportionnées : on a vu des murs s’écrouler car trop d’armes y étaient accrochées. Quand leurs nombres augmentent trop, les prêtres finissent par les décrocher et les fondre pour forger d’autres objets, bien qu’ils cherchent alors à garder présente l’image de l’arme : on peut alors voir dix dagues êtres pliés pour qu’un bol soit créé, mais on devinera toujours leur forme première.
Il y aurait eu, au début de tout, une mer d'apathie dans lequel tout aurait dormi, écrasé par le poid du futur, du passé et du présent, incapable de prendre la moindre action. Tous les êtres se noyaient en ces eaux, incapables d'en sortir ni même d'imaginer une autre vie, trop épuisé pour penser.
Jusqu'à ce que l'un d'eux se réveille et, porté par un ennui qui le rongeait pis qu’une flamme, décide de changer le cours des choses et de créer, de libérer les autres pensionnaires de l’eau afin qu’ils répondent à son ennui.
Une main s'éleva du fond marin, se referma sur la mer d'apathie, et se forma en un poing qui fit voler en éclat les eaux sombres de la création.
La mer inexistante fut brisée et les êtres – mortels comme Ancestraux – purent se lever à leur tour, marchant dans les pas du tout premiers d'entre eux, et Vaalar trouva ses premiers adversaires parmi ceux se réveillant à ses côtés.
Parmi la première partie de ses adeptes, il existe ce qui est appelé les trois grandes voies : combat, croissance et honneur. Les mortels suivants la voie du combat ne cherche rien d'autre que se battre, alors que les fidèles de la voie de l'honneur défendent une cause ou une personne précise. Quant à la voix de la croissance, elle est constituée de personnes qui se chargent de trouver des enfants avec un fort potentiel et de les entraîner.
La seconde partie de ses adeptes est constitués de scribes et de conteur qui rassemblent, vérifient et couche sur papier les légendes qu'ils entendent, mettant un point d'honneur à être sûr de chacun des actes qu'ils racontent. Généralement appelés scribes de Vaalar, on leur donne parfois aussi le titre de Mythiculteur.
Un fidèle de Vaalar peut suivre plusieurs voies : par exemple, il peut entraîner un enfant pour le seul objectif d'ensuite le combattre. Un autre exemple est un combattant qui cherche à se battre pour avoir de quoi écrire des contes, il suivra alors la voie du scribe et celle du combat.
Uniformes, armes et symboles
La tenue des adeptes de Vaalar changent beaucoup selon qu’il s’agite d’un suivant des Trois Voies ou d’un Mythiculteur.Pour les adeptes des Troies Voies, la tenue la plus classique est celle d’un bonze martial : pilosité à ras (y compris les cheveux), toge et sandale. Ces toges sont généralement ouverte sur le torse, et leur ceinture permet de facilement en repousser les pans pour se retrouver torse nu, montrant ainsi un corps affûté (preuve de foi pour les gens de cette voie).
En plus de l’épée-soleil, qui figure sur toutes les sculptures, bas-relief, peinture et bannière de l’Église, ses prêtres disposent de plusieurs objets pour affirmer leur lien avec le dieu.
Le plus connu de ces symboles physiques est le Gal'dar, ou « glaive sans garde ». Il s’agit d’une épée courte, sans garde et sans manche. que les prêtres arborent pour rappeler leur appartenance à l'ordre du dieu guerrier.
Rites et prières
Prières journalièresSelon ces catégories, les fidèles effectuent des prières plus ou moins compliquées ; une des idées de Vaalar s’appliquant à toutes les branches de son culte étant la perfection physique et mentale, les preuves de foi sont associées à des épreuves physiques.
Lorsqu’un fidèle prit, il lui est donc demandé de faire fonctionner son corps en même temps que son esprit ; cela peut se faire au moyen de dance de combat rituel, dont les mouvements sont a effectué avec la prière. D’autres fois, on demande aux prieures de se tenir sur les coudes et les pieds, et de prier en position de planche pour entraîner leurs muscles. Le plus souvent, on demande aussi de se denuder (sans obligation de dévoiler les parties considérées tabous par la culture locale) : les priants montrent alors, sans se cacher, leurs capacités au dieu.
De par ces rituels et cette pureté de corps, les fidèles sont souvent des êtres très capables en termes de travaux physiques, ce qui leur permet de se défendre plus aisément ; cette santé de fer leur permet d’atteindre des âges avancés. Ces avantages, présents, même quand Vaalar n’offre pas de miracle, explique en partie pourquoi son culte est si apprécié.
Ces prières donnent aux fidèles une figure musclée, si bien que les canons de beauté en vigueur dans les cultes de Vaalar sont presque toujours lié au muscle et à la bonne santé physique.
Rites funéraires
La plupart des rites funéraires de l’Église de Vaalar tournent autour de l’idée de mourir debout, ou de pouvoir continuer à combattre même une fois mort.
Les corps sont donc dressés à la verticale, dans des sarcophages pour les plus pauvres ou à l’intérieur de statues censées leur ressembler pour les plus aisés. Certaines de ces statues sont même vêtis d’armure, permettant au mort d’être prêt dès son réveil – si réveil il y a.
Qu’ils soient dans des sarcophages ou dans des statues à leurs images, les fidèles de Vaalar sont toujours munis d’une arme. Et ce, même quand ils n’étaient pas des combattants pendant leur vie, si bien qu’une véritable industrie d’ « Épée mémorielle », arme forgée (et sculptée) pour représenter leurs victoires et défaites, se développe dans les villes et pays où le culte de Vaalar est le plus importants.
Autres rituels
- La danse-épée Le rituel de la danse-épée se réalise par duo, rarement plus. Il s'agit d'un exercice de contrôle de la lame, ou le but est de "pourfendre" l'autre danseur, en jouant avec la perspective pour que l'attaque soit crédible du point de vue du public, mais sûre pour le danseur.
Rituellement, il s'agit d'un rite utilisé pour pourfendre la peur des danseurs. De manière plus terre-à-terre, c'est aussi un très bon moyen de perfectionner sa maîtrise de l'épée.
Architecture des temples
L’architecture des temples et églises de Vaalar peut varier grandement selon les mondes, mais on y retrouve souvent des points communs.Premièrement, les temples sont souvent de forme ronde, avec un espace libre en leurs centres, qui donne à l’ensemble une forme de Colisée. Les murs internes sont donc aménagés pour être penché et soutenir des gradins. Lorsque c’est possible, le sol de cet espace interne est souvent fait de sable, car facilement remplaçable et absorbant bien le sang : du fait de leur forme, les temples peuvent aussi servir d’arènes. Généralement, ceux qui s’y battent sont toujours volontaires et ces temples deviennent alors des lieux de fêtes guerrières et de culture très appréciés de la population. Lors des événements dramatiques, celle-ci s’y dirigent souvent car elle sait pouvoir profiter de la présence des prêtres – souvent formés aux arts martiaux – et des nombreuses armes pour se protéger. Lors des pillages et sièges, les temples de Vaalar sont souvent les derniers à tomber, quand seulement ils tombent : les assaillants laissent parfois ces bâtiments tranquilles car, eux-mêmes des combattants, ils rechignent à s’attaquer au dieu des combats. Disposer d’un temple de Vaalar est donc, pour une cité, un avantage du point de vue festif mais aussi défensif.
Certains juges y font aussi se dérouler les ordalies par le combat.
Deuxièmement, les murs intérieurs sont quasiment toujours adornés d’armes, déposées là par des guerriers qui, après une vie de combat, espèrent montrer au dieu une preuve de leur force.
Cela prend parfois des proportions disproportionnées : on a vu des murs s’écrouler car trop d’armes y étaient accrochées. Quand leurs nombres augmentent trop, les prêtres finissent par les décrocher et les fondre pour forger d’autres objets, bien qu’ils cherchent alors à garder présente l’image de l’arme : on peut alors voir dix dagues êtres pliés pour qu’un bol soit créé, mais on devinera toujours leur forme première.
Mythe créationniste
Le mythe créationniste lié à Vaalar est assez simple, reflet de la figure de force pure qu'est le dieu.Il y aurait eu, au début de tout, une mer d'apathie dans lequel tout aurait dormi, écrasé par le poid du futur, du passé et du présent, incapable de prendre la moindre action. Tous les êtres se noyaient en ces eaux, incapables d'en sortir ni même d'imaginer une autre vie, trop épuisé pour penser.
Jusqu'à ce que l'un d'eux se réveille et, porté par un ennui qui le rongeait pis qu’une flamme, décide de changer le cours des choses et de créer, de libérer les autres pensionnaires de l’eau afin qu’ils répondent à son ennui.
Une main s'éleva du fond marin, se referma sur la mer d'apathie, et se forma en un poing qui fit voler en éclat les eaux sombres de la création.
La mer inexistante fut brisée et les êtres – mortels comme Ancestraux – purent se lever à leur tour, marchant dans les pas du tout premiers d'entre eux, et Vaalar trouva ses premiers adversaires parmi ceux se réveillant à ses côtés.
Type
Religious, Organised Religion
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