Culte
Louer Kharishaa implique de vénérer le feu. Les femmes la vénèrent pour la plupart en brûlant leur linge menstruel (dans l’âtre du foyer en général), puis en déposant un petit tas de cendre devant la statuette ou l’effigie de la déesse. Certains soldats et guerriers la vénèrent aussi en brûlant des feuilles d’hortensia ou de sauge dans les feux de camp puis en inhalant la fumée. Cela confère parfois des visions du combat futur.
Les homosexuels ont également Kharishaa pour déesse, trouvant chez elle un écho à la liberté sexuelle.
Le livre du feu sacré est le texte saint.
Ordres
Temples et église de Kharishaa se doivent d’avoir un énorme brasier qui jamais ne doit s’éteindre. Très souvent, l’évêque supérieur du lieu est une femme et c’est elle qui a la charge d’entretenir le feu sacré.
Le culte de Kharishaa tolère toute les races pour l’asile et offre sa protection aux femmes en toute circonstances.
Parmi les bâtiments importants de ce culte, on peut citer le
Monastère de Kharishaa à
Contemplation, qui possède un grand contre-pouvoir au
duc.
Post-Théocides
En 270, le ciel devint rouge pendant les deux mois de combat entre les
Théocides et Kharishaa, sa colère embrasant les cieux. La déesse fut celle qui causa le plus de pertes chez les archi-mages.
Depuis sa disparition, il est possible d’invoquer sa puissance depuis les flammes mais aussi pendant un acte sexuel ritualisé.
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