Les Filles du Roy
Si les conditions de vie sont particulièrement difficiles pour tous dans les bas-quartiers, elles le sont particulièrement pour les femmes qui subissent des sévissent, préjudices et exploitations de toutes parts. Les Filles du Roy est un gang de rue féminin, une sorrorité ayant décidé de faire un pied de nez aux choix que la société leurs avaient réservé: mère ou putin et plutôt suivre la voie la plus subversive qui soit, c'est-à-dire faire ses propres choix. Pour y parvenir, il n'existe nul autre alternative que l'illégalité car dans le très conservateur régime anglais; une femme est une citoyenne de seconde zone qui sera dépendante toute sa vie d'un homme et qui n'a aucune autonomie. Les Filles du Roy se sont fondus dans le monde interlope et clandestin pour y tracer leur chemin, sacrifiant la sécurité d'un monde bien rangé pour l'audace d'une vie très fort probablement plus courte, mais selon leur volonté.
Les Filles ne contrôlent pas un territoire en entier, gang émergeant, elles tissent leur toile en se spécialisant dans les combats de rue, les heists qui demandent du front tout le tour de la tête afin de se tailler une réputation dans le monde de la rue. Dans le but de se déplacer avec aisance dans la ville et éviter ses rues bondées, plusieurs de leurs membres ont développé une technique consistant à se déplacer en sautant de toits en toits et fondre au dernier instant sur leur cible pour redisparaître presqu'aussitôt. L'objectif n'est cependant pas de passer inaperçu, bien au contraire, car avec leurs tuniques rouges, on ne manque pas de remarquer celles-ci passer d'une toiture à l'autre et c'est l'objectif... elles ne sont pas discrètes, mais audacieuses. Elles n'ont pas quitté la douceur du foyer pour se cacher.
Le second signe distinctif est le port d'un fleur de lys soit une boucle d'oreille, un pendantif, un écusson sur un chapeau ou une pièce de vêtement, une pinne ou encore un tatoo. Le fleur de lys est choisi afin de représenter le fait qu'elles se revendiquent de l'héritage des filles du Roy de l'époque de la Nouvelle-France, le lys représente donc cette filiation revendiquée avec la Royauté française.
Le troisième signe distinctif des Filles du gang est qu'elles prennent un autre nom afin que leurs mères, soeurs ou cousines qui n'ont pas rejoint le gang ne subissent pas l'opprobe de l'église ou des autorités du fait que l'une de leur proche aient choisi de vivre dans la clandestinité et la criminalité: scandale total. Les noms que choisissent les Filles sont souvent celui d'une héroine québécoise telle que Madeleine de Verchères, Jeanne Mance ou Agathe de St-Père... cette tendance est cependant un peu vue comme étant un peu trop ''Sainte-Nitouche' par d'autres membres du gang qui préfèrent des sobriquets élégants, mais illustrant le caractère subversif et audacieux de leur mode de vie tel que Velour, Souffre, Menotte, Épine, Venin, Murmure, Vermeille.
en mettant le feu à une Église qui a complètement été rasé par l'incendie et elles menacent ouvertement de recommencer.
Biensûr, les Filles ont été excommunié pour cela, mais qu'en on-t-elle à foutre?
Culture du gang
Le Jolly Rogers du gang
Un fleur de lys qui peut être porté comme une pinne ou encore brodé sur les vêtements ou un fanion bleu ou blanc.Signes distinctifs
Les Filles ont toute comme menteau une vieille tunique rouge, souvent en cuir; mais pas toujours. Ce menteau a été précisément choisi car la Tunique Rouge est aussi le surnom donné aux soldats britanniques qui sont l'emblème du système qui les oppressent, ce faisant, le message est de s'accaparer ce symbole pour en changer le sens. Ironie? Satyr? Appropriation? Ce signe distinctif a aussi été choisi en lien avec la légende des Frères Grimm: Le Petit Chaperon Rouge, sauf qu'ici; le chaperon rouge désir renverser sa position de victime pour chasser le loup qui est l'allégorie du système oppresseur.Le second signe distinctif est le port d'un fleur de lys soit une boucle d'oreille, un pendantif, un écusson sur un chapeau ou une pièce de vêtement, une pinne ou encore un tatoo. Le fleur de lys est choisi afin de représenter le fait qu'elles se revendiquent de l'héritage des filles du Roy de l'époque de la Nouvelle-France, le lys représente donc cette filiation revendiquée avec la Royauté française.
Le troisième signe distinctif des Filles du gang est qu'elles prennent un autre nom afin que leurs mères, soeurs ou cousines qui n'ont pas rejoint le gang ne subissent pas l'opprobe de l'église ou des autorités du fait que l'une de leur proche aient choisi de vivre dans la clandestinité et la criminalité: scandale total. Les noms que choisissent les Filles sont souvent celui d'une héroine québécoise telle que Madeleine de Verchères, Jeanne Mance ou Agathe de St-Père... cette tendance est cependant un peu vue comme étant un peu trop ''Sainte-Nitouche' par d'autres membres du gang qui préfèrent des sobriquets élégants, mais illustrant le caractère subversif et audacieux de leur mode de vie tel que Velour, Souffre, Menotte, Épine, Venin, Murmure, Vermeille.
Pourquoi Filles du Roy?
Premièrement car une très forte proportion de femmes descendent de ces dernières, elles peuvent donc toutes se sentir ''appelées'' par ce terme qui les englobent et deuxièmement, les filles du Roy ont toujours été décrite comme des femmes courageuses et audacieuses qui ont traversé seule un océan pour venir prendre pays, mais surtout; contrairement à toutes les autres femmes de leurs temps, elles ont pu choisir leur destinée ET leur époux, ce qui était extrêmement rare que se soit la femme qui sélectionne son mari à l'époque et c'est toujours le cas. Prise en exemple pour leur audace et leur indépendance, les Filles du Roy font de ces 2 qualités les pierres fondatrices de leur sorrorité des rues.Take me to church
Incendie de l'Église Sainte-Adèle-de-Limoilou en 1811
De toutes les institutions, les Filles considèrent que l'Église est la plus coupable de toutes lorsqu'il est question de la place réduite des femmes dans la société. Réduites à leur rôle de mère et pointées du doigt lorsqu'elles passent plus d'une année sans accoucher par le curée en Chaire le Dimanche devant toute la communauté, les Filles méprisent, conspuent et détestent l'Église qui le leur rend bien. En effet, le Clergé n'hésite jamais à accuser les Filles de tout les maux possibles de la débauche à la sorcellerie et en réponse, les Filles ne démentent rien. Cependant, puisqu'elles ne sont pas du genre à tendre l'autre joue lorsqu'on tente de les écraser, les Filles ont provoqué par le passé un scandale sans précédent
Possible modification à faire: Étant donné que le "Plan" est devenu une manigance (plutôt qu'un item), est-ce que l'événement de fin de chapitre "La vengeance est un plat qui se mange froid" change? Ou bien on garde l'idée d'un item qui donne un bonus à la discrétion pour UN heist à UN lieu?
bien vu, ajustement fait