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Samãy

Neutre Bon Eladrin ()
Occultiste (pacte du génie) 2
17 / 17 HP
STR
8
DEX
14
CON
14
INT
10
WIS
12
CHA
17

1st of Jūna, 1152 AP

Campaign & Party

Played by
Olibo31
Sun 9th Jun 2024 03:40

Sans retour

by Samãy

An zero après mon erreur.
 
Lorsque je franchis le seuil du portail, l'énergie rougeoyante m'engloutit et me projeta à travers le temps et l'espace. J'atterris lourdement sur un sol froid et désolé. La première chose qui frappa mes sens fut le silence oppressant. Plus de rugissements de dragons, plus de cris de bataille. Juste un silence mortel.
Je me relevai lentement, mon cœur battant à tout rompre. Autour de moi s'étendait un paysage apocalyptique. La terre, craquelée et aride, semblait avoir été brûlée jusqu'à l'os. Des ruines de bâtiments se dressaient comme des squelettes dans un cimetière oublié. Le ciel était d'un gris plombé, lourd de cendres et de désespoir. Les rares arbres qui subsistaient étaient dépouillés de feuilles, leurs branches tordues comme des mains suppliantes.
Mes mains étaient vides. Le cube, cet artefact que je devais détruire pour sauver mes amis, avait disparu. Un frisson glacé parcourut mon échine alors que je réalisais l'étendue de mon erreur. J'avais sauté dans le portail avec l'espoir de tout réparer, mais j'avais condamné mes amis, ma sœur, et peut-être même le monde entier.
J’étais tellement sur, sur le coup, qu’en emmenant le cube avec moi et en le détruisant dans le futur, personne ne le trouverai, et que tout ça ne serait jamais arrivé. Pas d’échange de bébé, pas de prophétie. Ma sœur Amelys découvrant un autre frère, son vrai frère… Pas une vie idéale, peut être, mais une vie normale… Mais je tenai du vide dans mes mains, et mon cœur ne pouvait les remplir. Je les avais trahis. Tous… Pour rien…
Les jours devinrent des semaines, les semaines des mois, et les mois des années. Je parcourais ce monde dévasté, survivant à peine, toujours à la recherche du cube. La rudesse de la vie était incommensurable. Les vents hurlants fouettaient ma peau, chargés de poussière et de cendres, et chaque souffle semblait me couper comme une lame. La nourriture était rare, l'eau encore plus. Les nuits étaient glaciales, et les jours brûlants.
 
Les premières années furent les plus difficiles. Lorsque je franchis le portail et atterris dans ce futur dévasté, la réalité de ma situation s'imposa à moi comme une lame froide. Le paysage était un cauchemar éveillé : une terre stérile et craquelée, parsemée de ruines de bâtiments effondrés, vestiges d'une civilisation autrefois florissante. Le ciel était perpétuellement couvert de nuages gris et lourds, obscurcissant le soleil et plongeant le monde dans une lumière morne et sans espoir.
Les jours se succédaient, marqués par une lutte incessante pour la survie. Les ressources étaient rares, et chaque goutte d'eau, chaque bouchée de nourriture était une victoire amère. Je devais me contenter de racines desséchées et de l'eau croupie que je trouvais dans des flaques stagnantes. Mon corps, habitué aux privations depuis mon exil, s'adapta rapidement, mais l'épuisement et la faim étaient des compagnons constants.
Le vent, ce vent cruel et implacable, soufflait sans cesse, transportant des volutes de poussière et de cendres qui s'infiltraient partout, rendant chaque respiration douloureuse. Il hurlait à travers les ruines, émettant des sons étranges et désolés, comme les murmures de fantômes oubliés. La nuit, le froid mordant me transperçait jusqu'aux os, et je me recroquevillais sous les débris pour trouver un semblant de chaleur.
La solitude était mon plus grand ennemi. Sans personne à qui parler, sans amis pour partager mes peurs et mes espoirs, je commençai à me parler à moi-même. Au début, ce n'était que de simples murmures, des mots échappés dans l'obscurité. Puis, au fil des mois, ces monologues se firent plus longs, plus élaborés. Je racontais mes journées, évoquais des souvenirs d'un temps révolu, et parfois, je parlais à Arin comme s'il était encore à mes côtés.
"Arin, tu aurais aimé cet endroit, malgré tout," murmurais-je souvent, les yeux fixés sur l'horizon désolé. "Tu aurais trouvé un moyen de voir la beauté dans ce chaos."
Crocs. Dents. Sourire… Sang.. Je chassai ces images de mon esprit…
 
Les ruines devinrent mes refuges. J'explorais les décombres, espérant toujours trouver quelque chose d'utile, un indice sur ce qui s'était passé, une trace du cube. Mais les vestiges n'offraient que des échos de désespoir. Parfois, je découvrais des objets du passé : une vieille clepsydre, ironiquement, un jouet cassé, des choses que je ne comprenai pas aussi, sans doute crée pendant ces siècles qui étaient passé depuis mon erreur… des fragments de vie que je ne pouvais que deviner.
Les nuits étaient les plus cruelles. Allongé sous un ciel sans étoiles, je repensais sans cesse à mon erreur, à cette décision fatidique qui avait condamné mes amis. Le remords était un poison qui me rongeait lentement. Les souvenirs de Bran, Kethot, Moonie, Katarina, et surtout Arin, étaient autant de lames plantées dans mon cœur. Mais aussi ma sœur et l’étrange sourire qu’elle avait eut à nos retrouvailles. Même Millerion, lucens, loen qui était venu me trouver pour me parler du portail rouge et du trône, edras, qui s’était lié au fils de vasuki… Mais déjà leur traits, aperçus à peine quelques heures avec nos retrouvailles, s’éffaçaient…
 
"Pourquoi ai-je fait ça ?" me demandais-je, la voix brisée. "Pourquoi ai-je cru que je pouvais tout réparer ?"
 
Les années passèrent, et je commençai à m'adapter à cette existence de survie. Mon corps, bien que fatigué, devint plus résistant. J'appris à trouver de la nourriture et de l'eau plus efficacement, à utiliser les ruines pour me protéger des éléments. Mais la solitude restait, une ombre insidieuse qui ne me quittait jamais.
Un jour, alors que je fouillais les décombres d'un ancien village, je sentis une présence. Au début, je crus que c'était le fruit de mon imagination, un autre tour cruel de mon esprit fatigué. Mais lorsque je me retournai, je vis une petite créature, pas plus grande que trois pommes. C'était un petit dragon, ses écailles cuivrées scintillant faiblement sous la lumière grise. Il me fixait avec des yeux curieux et malicieux.
 
Je tendis la main, hésitant, et le petit dragon s'approcha lentement. "Bran," murmurai-je, une larme roulant sur ma joue. "Tu me rappelles Bran., haut comme trois pommes". Pas Arin. Non. Pas arin…
Il sembla accepter ce nom, et dès lors, il devint mon fidèle compagnon. La présence de Bran apporta une lueur d'espoir dans ma vie morne. Il me suivait partout, ses petites pattes créant des empreintes légères dans la poussière. Ses jeux et ses cabrioles, bien que modestes, m'arrachaient parfois un sourire.
Les années suivantes furent un mélange de désespoir et de ténacité. Avec Bran à mes côtés, je continuai de chercher le cube, d'explorer ce monde dévasté. La rudesse de la vie ne s'atténua jamais, mais la petite créature qui m'accompagnait me rappelait chaque jour qu'il restait une part de lumière dans ce monde de ténèbres.
"Un jour, Bran," disais-je souvent, caressant doucement ses écailles, "nous trouverons un moyen de réparer tout ça. Je ne sais pas comment, mais je ne peux pas abandonner."
Et ainsi, nous continuâmes notre voyage, deux âmes perdues dans un océan de désolation, unies par un espoir fragile mais tenace.
 
Les décennies passèrent, une lente et implacable marche du temps dans ce monde désolé. Les paysages restaient invariables, témoins silencieux de ma lutte incessante pour la survie et la rédemption. Chaque jour apportait son lot de défis, mais aussi de maigres victoires, alors que Bran et moi continuions notre quête désespérée à travers cette terre ravagée.
 
An 120 après mon erreur
 
Les ruines, autrefois mystérieuses, devinrent familières. J'appris à lire les traces du passé, à déchiffrer les indices laissés par une civilisation disparue. Les vestiges de la technologie ancienne étaient rares, mais je trouvais parfois des fragments de connaissance, des bouts de papier jaunis, des livres à moitié brûlés. Ces découvertes nourrissaient mon esprit et maintenaient ma détermination.
Le paysage restait sévère et impitoyable. La terre, fissurée et stérile, ne laissait pousser que des herbes éparses et des buissons épineux. Les montagnes au loin semblaient être des géants endormis, veillant sur un monde qu'ils ne reconnaissaient plus. Les rivières, jadis vives et bondissantes, n'étaient plus que des filets d'eau boueuse.
Les tempêtes de poussière étaient fréquentes, de véritables démons de vent et de sable qui fouettaient ma peau et rendaient chaque respiration douloureuse. Le ciel, perpétuellement couvert de nuages gris et lourds, me privait de la chaleur du soleil et de la beauté des étoiles. Les rares fois où le ciel s'éclaircissait, c'était pour révéler une lune pâle et morne, offrant peu de réconfort.
La solitude me pesa lourdement. Bran était mon seul compagnon, sa présence un baume sur mes plaies émotionnelles. Il grandit, mais jamais beaucoup, restant une petite créature fidèle et protectrice. Ses yeux pétillants et sa curiosité constante étaient des rappels de la vie et de la joie, même dans ce monde morne. Parfois, je lui parlais longuement, partageant mes pensées, mes peurs, et mes souvenirs d'un temps révolu.
"Bran, tu te souviens de cette vieille ruine près du lac ? Nous y avons trouvé ce vieux livre de contes," disais-je souvent, assis près du feu, Bran lové contre moi. "Je me demande si ces histoires de héros et de magie avaient un fond de vérité."
Les années n'épargnèrent pas mon corps. Les rides marquaient mon visage, mes cheveux grisonnaient et mes forces déclinaient. Mais mon esprit, nourri par l'espoir et la détermination, restait vif. Je continuais à chercher le cube, à explorer chaque recoin de ce monde en ruines, espérant toujours trouver une solution, un moyen de corriger mon erreur fatale.
 
Les saisons changeaient, mais la désolation restait. Les étés étaient brûlants, le soleil implacable écrasant toute vie sous une chaleur torride. Les hivers étaient glacials, le vent coupant comme des lames de glace. Le printemps et l'automne étaient des intermèdes furtifs, offrant de maigres répit dans ce cycle infernal.
La solitude et l'espoir se mêlaient en une danse mélancolique. Les souvenirs de mes amis et de mon amour perdu étaient des phares dans l'obscurité. Je me rappelais les rires de Bran, la sagesse de Kethot, la chaleur de Moonie, la détermination de Katarina, et surtout, l'amour d'Arin. Ces souvenirs étaient à la fois des réconforts et des tourments, rappelant ce qui avait été perdu et ce qui devait être retrouvé.
Parfois, le désespoir menaçait de m'engloutir. Les nuits étaient les pires, lorsque le silence devenait écrasant et que mes pensées tournaient en boucle. Je me souvenais de ce dernier regard d'Arin, de son ultimatum désespéré, de mon saut dans le portail. La culpabilité était une plaie béante, mais elle alimentait aussi ma détermination à ne pas abandonner.
 
"Je trouverai un moyen, Arin," murmurais-je souvent dans l'obscurité, les yeux fermés. "Je te le promets."
 
Les décennies continuèrent de s'égrener, et malgré la dureté de ma vie, je trouvais de petites joies. La découverte d'un ruisseau caché, la floraison inattendue d'une fleur sauvage, les jeux de Bran qui m'arrachaient des sourires malgré tout. Ces moments étaient des éclats de lumière dans un monde de ténèbres.
Au fil des ans, je m'adaptai de plus en plus à cette existence. Ma connaissance du terrain et de ses dangers grandit, et je devins un survivant aguerri. J'appris à chasser les rares animaux encore présents, à trouver des plantes comestibles et à utiliser les ressources naturelles pour me protéger et me soigner.
Bran, fidèle compagnon, veillait sur moi. Sa petite taille était un atout, lui permettant de se faufiler dans des endroits inaccessibles pour moi, trouvant souvent des cachettes secrètes et des trésors oubliés. Sa présence était un rappel constant que même dans les pires situations, il restait une lueur d'espoir et de vie.
Un siècle passa, et malgré tout, je continuais à avancer. Mon corps, bien que fatigué, n'était pas encore prêt à succomber. Les elfes vieillissent lentement, et bien que les marques du temps commençaient à se voir sur mon visage, j'étais loin de l'épuisement final. Mon esprit restait déterminé. La quête du cube, bien que vaine, me donnait un but. Les souvenirs d'un amour éternel et d'une promesse non tenue étaient des flammes qui me poussaient à ne jamais abandonner.
 
An.. je ne sais plus... après mon erreur
 
Les décennies devinrent des siècles, chaque année s'étirant dans une monotonie douloureuse et implacable. Le paysage restait inchangé, une étendue désolée de terre craquelée et de ruines silencieuses. Le monde, autrefois vibrant de vie et de couleurs, n'était plus qu'un désert de cendres et de désespoir. Chaque jour était une lutte pour la survie, chaque nuit une confrontation avec la solitude et le regret.
Les ruines, ces témoins silencieux d'un passé perdu, devinrent mes compagnons familiers. J'explorais chaque recoin, fouillant les décombres à la recherche de quelque chose, n'importe quoi, qui pourrait m'aider à réparer mon erreur. Le cube restait introuvable, un spectre insaisissable qui hantait mes jours et mes nuits. Bran, mon fidèle petit dragon, grandit un peu mais resta toujours à mes côtés, un éclat de vie dans un monde morne.
Les tempêtes de poussière devinrent plus fréquentes, leurs hurlements remplissant l'air de terreur et de tristesse. Le vent coupait ma peau comme des lames, et la poussière s'infiltrait partout, rendant chaque respiration douloureuse. Les rares sources d'eau s'asséchaient peu à peu, et trouver de la nourriture devint une tâche presque impossible. Mais je continuais, animé par une détermination obstinée et un espoir presque irrationnel.
Les souvenirs de mes amis et de mon amour perdu étaient mes seules consolations. Chaque jour, je me rappelais leurs visages, leurs voix, leurs rires. Je parlais souvent à Bran de ces souvenirs, comme pour les garder vivants dans ma mémoire.
"Bran," disais-je un soir, assis près d'un feu de fortune, "Arin avait ce tatouage sur son torse, son dos, une marque de notre amour , de ce qu’il était vraiment et de notre lien éternel. Je pense que je vais me faire le même."
Avec une détermination douloureuse, j'utilisai ma télékinésie pour marquer ma peau, recouvrant les cicatrices qui avaient été ironiquement effacée en partie par Bran, il y si longtemps.. La douleur était intense, chaque ligne gravée dans ma chair un rappel de mon amour perdu et de ma promesse non tenue. Le tatouage prenait forme lentement, un miroir de celui qu'Arin portait autrefois.
 
"Pour toi, Arin," murmurai-je à travers la douleur, mes larmes se mêlant au sang. "Pour nous."
Les années passèrent, et malgré tout, je continuai de chercher. Mon corps, bien que marqué par le temps, restait robuste grâce à ma nature elfique. Mais l'épuisement mental et émotionnel était palpable. Les nuits étaient de plus en plus difficiles, les souvenirs de mes erreurs me hantant sans relâche. La solitude devenait insupportable, chaque moment de silence un rappel cruel de ce que j'avais perdu.
 
Bran, toujours à mes côtés, devint mon seul réconfort. Sa présence fidèle et ses petits gestes d'affection étaient des lumières dans mes ténèbres. Mais même lui ne pouvait pas apaiser la douleur qui grandissait en moi.
Deux siècles passèrent ainsi, dans une danse mélancolique de survie et de désespoir. Finalement, mon corps commença à faiblir. Les années de privation et de lutte laissèrent leurs marques, et je sentis mes forces décliner inexorablement. Un jour, alors que je m'effondrais sur le sol poussiéreux, je sus que la fin était proche.
"Bran," murmurai-je faiblement, le petit dragon lové contre moi, "Je suis désolé. Je n'ai pas pu tenir ma promesse."
Mes yeux se fermèrent lentement, et dans mes dernières pensées, je revis les visages de ceux que j'aimais. Arin, Bran, Kethot, Moonie, Katarina... Ils étaient tous là, m'accompagnant dans mes derniers instants.
Le vent continua de souffler, recouvrant lentement mon corps de sable et de poussière. Les années passèrent, et mon squelette resta là, une silhouette solitaire dans un monde en ruines.
Des années plus tard, alors que le vent dévoilait à nouveau mon repos éternel, une silhouette apparut à l'horizon. La figure, courbée par les années et marquée par les épreuves, s'approcha de mon squelette. Avec une ironie cruelle, la lumière du crépuscule révéla, à quelques mètres de mes os blanchis par le temps, le cube tant recherché.
 
L'inconnu, dans un geste de curiosité fatale, ramassa l'objet. Mon ultime erreur, mon ultime espoir, reposait maintenant entre ses mains, alors que le vent continuait de hurler son chant de désespoir à travers la terre dévastée.
 

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