Une rencontre de famille, des négociations formelles et une tentative d’assassinat.
Négociation tendue,
Compromis se dessine,
Accord en équilibre.
Une Dame, un Baronnet, des négociations, un assassinat
Un soir alors que Ludivine et moi-même discussions, elle m’annonça qu’elle voulait rencontrer un Baronnet, Grégoire Mier. Ayant grandit dans l’entourage d’un Baron et que le Marquis semblait bien m’aimer, Ludivine voulait que je l’accompagne à cette rencontre. Elle voulait rencontrer le Baronnet Mier et essayer de voir si il pouvait faire un allier durant Sombrempt. Je n’avais jamais participé à se genre de rencontre, mais si Ludivine me le demandais, je ne pouvais pas refuser. (Surtout qu’après réflexion, je ne voyais pas beaucoup de membre de la guilde de l’ours être bien vue dans se genre de discussion. Mon coté elfique pourrais même causer des problèmes si ces Mier son très conservateur.) Elle m’a convié au manoir un matin, pour une rencontre formelle avec son père. Je n’ai pas dormis de la nuit… une rencontre avec Justinien!!! Je devais me faire plus que présentable. L devais pouvoir m’aider. Je passerai chez lui avant d’aller au manoir.
Arrivé au manoir, Ludivine m’attendait à l’extérieur l’air anxieuse. Plus j’approchais et plus je le devenais à mon tour comme si c’était contagieux. J’allais devoir parlé de ce que j’ai vue dans les brumes si on me posait la question et c’est peut-être de savoir que Conrad pouvait être présent qui me rendait nerveux au plus haut point. La rencontre allais avoir lieux et en traversant les portes, Justinien, Théophile et… Conrad nous attendaient. Une petite discussion concernent une sorcière/druidesse Meriel et des objections majeures de Conrad à son sujet fût calmer par Justinien. Les deux hommes connaissent cette Meriel et il parle même « d’alliés inattendu » en temps de guerre. Voyant que Conrad était de mauvaise humeur plus que d’habitude, je me suis retenu de parler des Tieflings. J’allais garder cette rencontre pour une prochaine fois, si possible avec le Marquis seul à seul. Une petite chamaillerie entre Ludivine et son frère s’en suit et changea un peu l’atmosphère le temps de quelques minutes. Ludivine fit part de la rencontre futur prévue avec les Miers et une possible alliance pour le mois sombre. Le marquis sembla ravi de voir l’initiative de sa fille et lui donna les pleins pouvoirs lors de cette rencontre. Si elle devait négocier quelque chose, elle pouvait le faire au nom du marquisat. Le marquis allait même faire préparer leur demeure à la capitale pour la rencontre Mier-d’Auralé.
À notre arrivé à la « maison » de la capitale, plusieurs servant s’affairaient à nettoyer et rendre l’endroit plus acceptable. Nous n’avons pas eu à attendre longtemps avant que les invités de marques arrivent. Accompagné par deux homme de mains ou conseillé, Balthazar un homme au visage voilé et Thomas un vieux scribe qui regardait partout, peut-être pour trouver des failles dans les défenses de l’endroit. Quelques gardes aux couleurs du baronnet l’accompagnaient comme protection. Après les salutations d’usage et être entré à l’intérieur pour prendre un petit breuvage, la discussion entre Ludivine et le baronnet tourna vite en négociation. Je gardais un œil sur les deux hommes, et un peu plus sur se Balthazar. J’ai pus voir sous son voile... et je comprends. J’ai vue des morts qui marchent avec un plus beau visage. Même si la discussion allait bon train, je ne saurais dire qui avait l’avantage des négociations, certain terme ou jargon m’était un peu inconnu. Mais il semblerait qu’un mariage de convenance a été mis sur la table.
Tout semblais bien se déroulé, jusqu’à ce que je remarque en même temps que Ludivine, qu’un garde au couleur du Marquis ai tué un garde des Miers. Ne voulant pas créer d’incident diplomatique, j’ai sauté par-dessus la table pour traverser la fenêtre où se trouvait l’homme. Arrivé à l’extérieur, quatre hommes armés d’arbalète s’approchait des fenêtres. Des gardes du marquisat et un serviteur. J’allais engager le combat avec ses hommes quand un crie de douleur lancer par Ludivine me fit retourné à l’intérieur. Un combat acharné avec se qui était clairement des assassins de métiers éclatas. Nous avons réussi à repousser l’attentat d’assassinat et l’un des hommes de main réussi à faire deux prisonniers. Nous avons pus entre-apercevoir un homme qui donnait des directives à ceux qui fuyaient. Il avait l’apparence d’un Saltimbanque. Par la suite,une petite séance de prise d’information avec un prisonnier très coopératif, nous permis d’apprendre que le coup avait été monté par un groupe. Le front de libération de Meryda.