Un manoir à sécuriser, une lettre de menace et le temps qui manque.
Gardien vigilent,
Danger imminent désastreux,
Fuite impitoyable.
Une lettre, des recherches, un poison, une fuite.
La suite des négociations prévue avec les Mier et les Delacroix pour Sombrempt était prévue pour bientôt au manoir des Auralée à la capitale. Je me suis rendu un peu plus tôt sur place avec des visages connus; des gardes, des cuisiniers, des servant, etc. La première rencontre nous aura servit de leçon. Des hommes se sont présenté à l’entré en mentionnant être de la suite d’Archibald Delacroix. J’ai été les accueillir et après m’être assurer que tout était bien en ordre, je les conduisis au manoir pour leur présenté l’endroit où ils allaient séjourner. Puis un breuvage et un repas était de rigueur pour ses hommes qui venaient de faire voyage. En plein repas, une lettre laissée sur la table attira mon attention. Elle était en Loracien et je n’ai réussi à déchiffrer que quelques mots qui ne semblait avoir ni queue ni tête et personne présent ne sachant lire le Loracien, la suite d’Archibald ( Lothario, Percilas et William ) et moi-même somme allé au seul endroit possible à la capitale pour avoir des informations « discrète »… La ligue de Neustrie.
Après une petite discussion avec maître Maalosis, il déchiffra la lettre au mot difficile. C’était une lettre de menace dirigé directement envers Ludivine et par la même occasion tout les membres de la noblesse présente. Nous avons demandé des informations sur le front de libération et d’artifice capable de raser un bâtiment à Maalosis et un jeune Rhinn, Étienne, a rejoint notre petit groupe intrigué par la chose. ( et le fait que nos informations pointaient vers les taudis et que lui-même passait du temps là-bas. Il pouvait nous être d’un aide précieuse. ) Le temps nous étaient compté car la menace était planifié pour le lendemain. Je devais passer voir un autre endroit où les informations son nombreuses, les contes de Fae. Comme toujours, la charmante personne qui est Ninri nous accueilli comme il se doit. J’ai malheureusement dû couper court à notre conversation pour rencontrer un homme d’information. J’ai été droit au but et certainement dévoilé de l’information, mais l’homme savait déjà pour la continuité des négociations. Il nous a fait part que ce que nous cherchions à de forte chance d’être dans le coin des quais, mais que contre rémunération, il pouvait mettre un de ses hommes sur le coup. Comme le temps manquait, j’ai accepté et convenu d’un mot de code pour validé d’être devant la bonne personne le moment venu.
Nous avons quitté le centre de la capitale pour aller vers les quais de l’ouest, ceux des taudis. Pour gagné du temps, le groupe ses séparé pour quérir le plus d’information possible dans le plus court laps de temps. Nous devions ramasser le plus de renseignement possible avant notre rendez-vous avec notre contact. Sois pour confirmer ses informations sois pour ne pas avoir les mains vide si l’homme n’avais rien pour nous. Il se trouva que l’homme du rendez-vous avait certaine information et combiner avec les nôtres, nous avons pût réduire la zone de recherche à quelques bâtiments dont un qui était très possiblement l’endroit que nous cherchions. Le contact était prêt à nous aider à faire diversion pour éloigner des gardes du hangar sans rien nous demander en compensation. J’en ai déduit qu’il devait faire parti d’un gang à qui le hangar devais appartenir avant de tomber aux mains du front de libération. Nous avons tous convenue de la suite des choses puis avons pris d’assaut le hangar qui était maintenant moins protéger.
Tout c’est passé vite, très vite. Je me suis retrouvé seul dans le bâtiment entouré de Loracien en arme. Tout semblais bien se dérouler jusqu’à ce qu’un Spadassin et un Artificier fit irruption dans la pièce. Les autres coincé à l’entrée ou à l’extérieur suite à un artifice Loracien ( une sorte de toile gluante ), je me suis retrouvé à faire face au deux spécialistes Loracien seul. Le Spadassin était redoutable, je n’ai jamais rencontré d’adversaire aussi fort au corp à corp. J’ai réussi à lui tenir tête, mais avec l’Artificier dans mon dos et les hommes Delacroix blessé, incapable de venir à moi et essayant tant bien que mal des attaques à distance, j’ai redoublé d’ardeur et réussi à faire retraiter l’Artificier. Il avait reçu quelques tirs à distance mais tenait toujours sa position. Puis lors de son retrait, il tomba au sol dans un sommeil magique, il échappa l’emprise de son artifice et permis au autre membre de me rejoindre à l’intérieur.
Le spadassin réveilla son collègue Artificier et tout les deux prirent la fuite. En fouillant l’endroit nous sommes tombés sur une bouteille au contenu visqueux et des notes ajoutées à une carte griffonnée. Toujours sans perdre de temps, nous avons suivie la carte dans l’espoir de trouvé les artifices qui explose. La carte pointait à l’extérieur de la ville.
Arrivé à l’endroit mentionné par la carte, une petite maisonnée était présente. Une petite altercation avec un homme éclata et il appela ce qui semble être la maitresse des lieux. Une femme à la manière d’une noble apparue suivie par un gigantesque drake. Nous avons appris que la femme fabriquait des poisons, potions ou artifice et les vendait au plus offrant. Elle avait effectivement vendu des « choses » au front de libération. Ni un poison ni un artifice qui explose. Un artifice qui une fois allumé, répand dans la pièce une sorte de fumé qui tue tous ceux qui la respire dans un temps plus ou moins long. Nous avons continué de discuter avec elle et il y avait un antidote à son artifice. ( avec la description, c’était ce que Percilas avait trouvé dans le hangar. ) Elle pouvait nous en vendre, mais le coût était tel que personne ne pouvait payer. ( L'antidote ou le poison serais à base de sang d'Ashura. ) Elle demanda un service en échange du remède et tous rebroussèrent chemin sauf Lothario qui lui était prêt à faire l’échange de service.
Ensuite tout le monde prirent la route vers la capitale, mais une surprise nous attendaient. Le front de libération nous avait tendu plusieurs embuscades pour nous empêcher de retourner au manoir. Nous avons combattu et couru toute la nuit pour arrivé au manoir à bout de force mais trop tard. Des gardes du conclave étaient sur place et plusieurs personnes étaient blessées. Le front avait changé de plan de par notre pro action et envoyé un de leur meilleur assassin. Les nobliaux étaient sauvent, mais salement amoché.
Si seulement j’avais su lire ma langue maternelle…..