Une lettre à transmettre, une blessure douteuse et rencontre d’une prisonnière Levantin.
Dans l’ombre du doute,
Chemin vers la vérité,
Certitude émerge.
Une blessure, un drake, une geôle, une Levantin
Ludi est venue me voir pour me demander un service, une lettre destinée au baronnet Miers. Je lui ai demandé si c’était pour les négociations en cours. Elle a rougit légèrement et mentionner que oui. Je me doute qu’il n‘y ai que des mots de négociations dans cette lettre mais bon, je me dis que si Ludi est venue me voir pour ce service, c’est qu’elle avait besoin d’une personne de confiance pour remettre la lettre. J’ai accepté tout de suite, je ne pouvais manquer une occasion de retourner voir le/la très sympathique Ninri au conte. Moi qui espérait rêvasser en chemin, j’ai vite compris que le voyage allait être très long… Aroxyan allait venir avec moi, mais je me réconfortais en me souvenant que certaine porte lui était ouverte.
Après une nuit plus ou moins reposante au fae, nous sommes entrés à la Ligue de Neustrie pour remettre la lettre. Le courageux Willybald et la charmante Edhel était déjà sur place à fouillé dans plusieurs livres devant eux. Willybald nous a fait par, à Aroxyan et moi-même, le but de leur recherche… un remède à une infection, le truc le plus dégeulasse que j’ai pus apercevoir. Un couleur mauve, des boursoufflures et des mouvements sous la peau!! J’ai tout de suite immobilisé le bras de Willybald et demander à Aroxyan d’amputer le bras du très courageux barde! Willybald a réussi à me convaincre de ne pas amputer son bras de garde cette option en dernier recourt. (Note à moi-même, ne pas touché le membre d’une personne si quelque chose bouge sous la peau, pour éviter d’être contaminé.) Un homme nommé Arsène, à l’allure de Rinn des ruelles, était curieux de la blessure de Willybald. Il a du être dérangé dans ses recherches quand on a parlé d’amputation. Il nous a aidés à faire quelques recherches sur ce qui pourrait être dans le bras de Willybald, mais sans grand succès. Aroxyan a mentionné qu’un de ses oncles aurait peut-être des réponses.
Arrivé au grand temple, nous avions quelques doutes sur l’oncle de l’halfelin et encore plus quand un giganteste prédicateur drake nous « receva » dans son bureau. Son « oncle » était en fait plus un mentor avec le type de discussion qu’ils ont entretenue. Mais l’halfelin avait vue juste, Prédicateur Solairik pouvait apporter son aide à Edhel et Willybald. Avec la puissance que les Huits lui on accordé, il a fait sortir les parasites des deux infectés mais à bien préciser que se n’était que temporaire. J’ai eu une petite discussion seul à seul avec le Prédicateur. J’ai cru remarquer un moment qu’il se retenait de dire des informations, comme les nobles qui cache certaine chose à leur sujet pour éviter de plus gros problème. J’ai réussi à le convaincre de nous mettre sur une piste ou d’avoir une information pour sauver des personnes. Un nom est sorti, un capitaine de bateau : Valérien Capitaine du Hurlevent. Juste avant de quitter le bureau, de toute son imposante stature le Prédicateur Solairik me demanda l’impossible…. Veillé sur le nabo!! (Après Juge Conrad et Ludivine, maintenant Prédicateur Solairik et Aroxyan!! Mais qu’est-ce que j’ai fait aux anciens pour ça!)
Je devais laisser la lettre à la ligue de Neutrie pour le baronnet, mais comme nous allions passer devant leur domaine à Rivelande pour se rendre à Trellac, j’ai décidé de mettre en main propre le papier. N’ayant pus la remettre au baronnet lui-même, j’ai dû laissé la lettre à son homme de main, Balthazaar.
Le Rinn Asrène nous a accompagné jusqu’à Trellac. Je ne sais pas si c’était une punition infligé par le Prédicateur Solairik, mais il avait « passé un savon » la veille au très jeune Rinn. Nous avions eu information la veille qu’une Levantin, la Commodore de la flotte était prisonnière là-bas. Curieux de voir une Levantin et par amitié pour Edhel qui voulait avoir des nouvelles de sa chef, nous avons décidé d’y aller et voir si nous pouvions la rencontré. Arrivé à la prison, Aroxyan réussi à convaincre la sentinelle en charge des geôles de nous laisser discuter avec la prisonnière. Sentinelle Horik est un homme de poigne, mais le papier que lui remit le halfelin semblait avoir effet sur l’homme. Arrivé à la cellule, la Levantin dans un piteux état était là, assise au sol. Edhel s’est entretenue un moment avec la Commodore Mehraveh. Sans avertir le reste du groupe, j’ai « testé » Mehraveh. Je me suis fait passer pour un sympathisant de la Loracie. J’ai puisé dans ma mémoire pour aller chercher une phrase que mère disait parfois, une phrase qui démontrait qu’on était pour la cause. Elle à compris le message, mais m’a fait comprendre que sa fidélité était à la défunte impératrice. Comme elle était morte, sa fidélité allait à ses hommes, à la flotte. Mais que si un jour l’impératrice venait à refouler le sol, son allégeance retournerait à l’impératrice. Elle n’a pas tout à fait passé le test, mais au moins sa fidélité n’est pas à la Loracie... mais à l’impératrice.
Puis Sentinelle Horik est venue nous rejoindre pour mettre un terme à cette discussion. Il semblait ne pas avoir apprécié notre présence et nous fit escorter le plus promptement vers la sortie.
Nous avons déambulé dans les rues, admirant les échoppes et étal de produits différent du Puits de l’ours puis avons pris des rues différentes. Un petit étal avec des bijoux fait à la main était tenu par une vielle dame. Plusieurs bijoux arboraient des formes d’animaux des marais. Une peu comme certaine personne vendait des bijoux en lien avec un ours au Puits. Un petit pendentif avec une breloque en forme de lézard attira mon œil. La dame me posa quelques questions et avec les réponses fournis, m’en conseilla un en particulier. Un petit lézard vert qui était tenu par de fine lanière de cuir bleuté. Après avoir acheté le bijou et payé beaucoup plus que ce que la dame me demandait, elle fit un genre de bénédiction sur le bijou. Je n’ai pas compris la langue, mais elle m’a souhaité bonne chance. Il ne me resterais plus qu’à trouvé le courage de lui remettre….