Des souvenirs flous,
Écho du temps à venir,
Rêves en sommeil.
Masque tombe enfin,
L'ombre révèle son vrai nom,
L'ennemi sourit.
Deux âmes séparé,
Échange sous ciel glacial
Mère et fils réunis.
Dernier coup porté,
Le colosse tombe enfin,
Fardeau léger.
Pendant sa méditation et son entrainement matinale, Fahad repensa aux derniers jours passé.
À son éveil brutal et son bras en feu. La "tourtequiche" de madame Quignon. L'arrêt des voleurs de chevaux par un groupe
mené par un noble "perdu".
En repensant au combat contre Jax, les mouvements de Fahad prirent plus de force et de rapidité.
Ils avaient été si proche de le vaincre, mais il avait réussi à prendre la fuite.
Puis buvant un peu d'eau, il repensa à ce que Ludivine leur avaient appris.
"ManfredCharles" qui était dans le proche cercle de Justinien, n'avait rien de bon.
Puis le demi-elfe eu une petite pensée pour Emerion. Il avait pu faire ses adieux à son ami
Jerfo et était maintenant le gardien de l'arbre.
Fahad se mis à faire une suite d'étirement sous l'oeil attentif de Solathil. Il ne devait pas baisser sa garde pour éviter de recevoir
un coup de tête ou qu'elle ne mange ses vêtements.
Ses pensée allait vers Givregarde. Une cité que tous disaient mère de tout les vices et des démons. Pourtant elle ressemblait
à n'importe quelle grande ville. Même que leur groupe un peu disparate ne se faisait pas juger du regard par les gens.
Puis il repensa au beau visage de Fareena... et à se qu'il a dû faire pour qu'Aroxyan es une chance de pouvoir revoir sa mère.
Échanger son corps pour une entré au palais de givre... Fahad serra la machoire. Il n'était pas une vulgaire catin.
Il aimait la bonne compagnie et souvent la chaleur d'une femme la nuit, mais se faire imposer divers femmes et même hommes.
Un frisson parcourue Fahad.
Était-ce le vent? la pensée des choses qu'il à fait ou subit ou bien qu'il comprenait ce qu'Aroxyan vivait et si il y avait
une chance qu'il puisse revoir sa mère cela en valait le prix?
Après plusieurs longues minutes d'étirements et de coup d'oeil rapide à la chèvre, Fahad se leva puis alla vers le
mannequin improvisé pour l'assainé de coup avec différente partie de son corps. Poings, pieds, genoux, coudes tout y passait.
Il pensa à Hugues et au combat que leur groupe a sorti victorieux de justesse. Puis les coups était de plus en plus fort.
Laissant les jointures et autres points d'impacts des coups des blessures, mineurs, mais de plus en plus apparante.
Qu'est-ce qui c'était passé? Habituellement Regimbald et lui combattaient presque comme un seul mais là, rien n'avait fonctionné.
Comme si depuis leur éveil, quelque chose n'était plus. Qu'est-ce qui ne fonctionne plus?
Puis Fahad s'arrêta. La couleur rouge sur la corde qui recouvrait le mannequin l'avait sortie de sa "transe".
Il regarda ses mains, les jointures en sang. Puis ses coudes, ses genoux et ses jambes. On aurait dit qu'il s'était fait
trainer derrière un cheval sur une bonne distance.
Il alla à la cuve d'eau pour nettoyer ses blessures et enlever un peu de sueur.
Une fois changer et presque propre, Fahad monta dans son chariot et pris la direction de la ville.